Ma Femme Chez Mon Barbier Pour Une Coupe

Mme et moi marchons sur le boulevard, la ville fourmille de monde, en direction de mon « barbersphop ». J’espère qu’il y aura une chaise de libre, ce lieu de masculinité attire de plus en plus de « boys ». Les discussions sont viriles et parfois chaudes. Lorsque je reviens à la maison, elle me demande toujours que je lui rapporte certaines histoires. Je déroge à la loi des « barbershop » et me commets en lui racontant comment certains « boys » se chargent des petites chattes qui les allument. C’est purement utilitaire, je sais qu’elle est excitée pour mon plus grand plaisir.

Arrivé devant la « shop » une grande fenêtre me permet de voir qu’il y a peu clients, quelle chance. Mme m’embrasse langoureusement et poursuit sa route pour aller faire quelques emplettes. Comme toujours lorsqu’elle prend les devants, je lui mate le cul. Sachant très bien que je la dévore des yeux, elle tourne la tête, ses yeux bleus couleur mer, m’esquisse un sourire.

La porte à peine ouverte, on se sent déjà plus « male », de grosses voix, des rires grossiers et l’odeur des produits masculins de type sapinage, nous amènent dans un autre univers qui me plait bien. Comme les tempes ont commencé à me grisonner légèrement et que je suis plus âgé de six ans que Mme, j’aime bien tenir ma chevelure courte. Elle me répète sans cesse qu’elle aime les hommes matures et me rappelle souvent ses nombreuses aventures alors qu’elle était au collègue avec des mecs plus âgés, bien plus âgés. Entre autres, une avec un enseignant de math qui lui avait attribué la note d’A+, non par parce qu’elle était une bonne étudiante, mais parce qu’après chacune de ses classes, elle lui permettait de décharger dans sa petite chatte. Bien qu’elle le qualifie de gros pervers, elle se plait à me rappeler les détails de ces aventures où elle ne faisait que descendre son pantalon mi-cuisse, et où, ce pervers l’enfourchait rapidement au fond de la classe. Selon elle, une fois sur deux, elle y prenait plaisir.

Je doute, car chaque fois qu’elle me détaille ces aventures, son sexe s’humidifie et elle doit changer son string.

Quelle chance, je suis troisième en attente et les deux barbiers sont de service. Je connais tout le monde. Haft est solide avec sa lame, ses coupes frôlent la perfection; Tisto, un mec fort sympa, mais un peu cru, a demandé quelques « designs » dans sa chevelure noire. Il semble déjà satisfait. Ce mec attire assurément les regards, rare sont les noires aux yeux verts. Franck quant à lui a pratiquement terminé avec Marc, qui d’ailleurs, est un très bel homme. Il m’avait déjà raconté, être gestionnaire immobilier, il possède une centaine de portes. Il ne se gêne pas pour dire que les belles femmes ont un service cinq étoiles, qu’il fait lui-même les réparations nécessaires, ce qui lui a permis plus d’une fois de donner quelques extras et de tirer son coup.

Franck a terminé avec Marc qui est « clean cut », il m’invite à prendre place sur la chaise et commence à me trimer les temples. Naturellement, je ne peux bouger la tête, Marc me raconte que les affaires vont bien, surtout depuis qu’il a fait l’acquisition de nouvelles chaises, plus confortables et lui permettant de donner plus de services barbiers.
Tisto lâche un « what, elle est chaude ! », du miroir, je vois sa tête se tourner vers la vitrine de la shop. Je ne peux bouger ayant l’artiste au travail. « Bordel, je pourrais bien lui montrer les saveurs du monde à cette petite chaudasse », dit-il. J’ai bien hâte que Marc cesse ses coups de rasoir et que je puisse mater ce qu’il semble être une véritable bombe. Enfin, je tourne la tête et « ouf », elle est très chaude, mais elle est tous les soirs dans mon lit. Je ris, « Tisto, c’est ma femme ». Un peu embarrassé, il s’excuse me disant qu’il ne voulait pas... S’il savait ce que j’ai permis à ma petite chienne dans les dernières années. Il ne serait pas la seule queue noire à l’avoir traversée. Voulant se reprendre, il me demande le succès de notre relation.
Je lui fabrique une réponse conventionnelle avant de lancer que le fait qu’elle soit fontaine m’allume au plus haut point.
Ma femme attend toujours à l’extérieure, sacs à la main, elle lance quelques regards à l’intérieur. Je le connais très bien, d’ici quelques minutes elle devrait entrer pour voir si je termine sous peu. Assurément, ça sera une excuse pour se faire mater. La porte s’entrouvre déjà…

Je connais ce regarde, les yeux un peu vers le haut, la tête légèrement penchée vers la droite, les dents du haut mordant la lèvre du bas. Le regard des quatre mecs, dont moi, la fixe comme une petite biche qui entre dans un enclos de lions affamés. « Termines-tu sous peu ? » Elle ne me regarde même pas, je peux lire dans son regard qu’elle souhaite se faire dévorer par Tisto qui ne dirait certainement pas non à cette chair. « Il me reste quelques minutes bella. » Elle me raconte avoir trouvé tout ce qu’elle cherchait. L’été arrivant, les jupes seront de mise. « Je vais devoir être « clean » moi aussi chéri pour porter tout cela. » En riant, elle lance à Haft, je pourrais bien me faire trimer ici, ça serait un tracas de moins. Pouffant de rire, je regarde le barbier et lui demande s’il offre ce type de service. Il me répond qu’il n’a jamais trimé une femme, mais qu’il y a une première à tout. Il me regarde en guise d’approbation. Je n’en suis pas à mon premier partage et je sais qu’elle adore faire sa pute. Je lui lance un regard approuvant le service souhaité.

Excitée, elle dépose ses sacs, Haft se dirige vers la porte d’entrée, barre la porte et vire son enseigne. Le « barber shop » est désormais fermé temporairement. Assis sur ma chaise à ses côtés, je la regarde « droper » son pantalon au sol. Elle retire sa petite culotte déjà mouillée. Ma petite salope de femme prend place sur la chaise les jambes déjà ouvertes, le sexe plombant le miroir. Haft lui demande si elle souhaite avoir un service cinq étoiles. Naturellement, elle approuve l’offre.
Il se retire derrière quelques instants et revient seulement avec son tablier de cuire brun. Le cul bien visible, la queue entre les jambes, il a clairement compris ce qu’elle souhaite voir et avoir. Tisto qui a terminé s’installe dans le divan de cuire en biais derrière la chaise de Mme aucun doute qu’il restera pour apprécier les talents de son barbier.

Le son du rasoir se fait entendre, la vibration de son instrument a déjà son effet. En biais, du miroir, je vois son clitoris se gonfler comme une framboise bien mure. Elle s’exclame, « ouf, j’ai des vibrateurs qui font moins d’effet que cela ! » Half poursuit son travail, mais doit commencer à gérer son sexe. Je ne peux m’empêcher de regarder sa queue, question de voir ce qui pourrait enfourcher ma femme d’ici quelques minutes. La courbe de son sexe qui pointe vers le haut est parfaite. Il semble déjà chargé, prêt à réagir. Tisto quant à lui a décidé de profiter du moment, le jeans ouvert, il tient une belle grosse masse noire dans sa main. Clairement, il attire le regard de ma pute de femme. Marc est aussi intéressé par le service en cours, son regard est attentif. Haft en a terminé avec les vibrations, elle s’excuse, un petit filet de mouille pend entre le rasoir et sa chatte. Elle glisse un doigt sur cette petite machine et le dirige vers la bouche du barbier qui clairement ne refuse pas l’offre.

Il sort une lame, expliquant qu’il devra prendre des précautions pour ne pas abimer son bel objet de plaisir. Ses doigts poussent ses lèvres de gauche à droite pour permettre une trime parfaite. Il doit s’essuyer à l’occasion, puisqu’elle ne peut retenir le flot de son liquide. Je reconnais bien ma belle salope qui mouille au moindre frôlement.
Il doit maintenant terminer le travail, quelques petits poils au-dessus de son clitoris sont à retirer. Le point d’appui n’est pas évident. Il cherche, sans être trop invasif. Ma petite salope a bien compris. Elle lui prend la main et garde deux doigts bien raides.
Elle insère ceux-ci dans son trou « Crois-tu pouvoir bien travailler comme cela ? » Haft est sans mot, la réponse vient de son dard bien dur. Je la vois faire des mouvements de bassin sur la chaise, pauvre barbier qui doit composer avec ce corps qui commence à perdre la carte. Il termine tout de même le travail, un vrai artiste. Alors qu’elle est toujours assise sur la chaise, les jambes ouvertes, le sexe laissant sa trace, elle lève son tablier. « Vous prenez que le « cash » ici ? oui dit-il. Je n’ai pas de « cash » lui dit-elle en riant et en m’esquissant un regard. «Je peux tout de même payer». Elle tire sur son tablier et Haft n’a d’autre choix que de l’enfourcher d’un coup sec. Les trois mecs de la place savons exactement à quel moment elle a été remplie. Elle le regarde dans les yeux et lui dit, « donne-moi tout ce que tu as ! » Au moment où il cherche à se reculer un peu pour assurer un mouvement de va-et-vient, elle lui tire le tablier encore. Je sais qu’une fois enfourchée, elle ne veut pas se sentir vide. Je suis habitué, mais Haft visiblement non. S’il croit pourvoir la pilonner d’une belle technique, c’est peine perdue, elle est plus du type défonce moi, je n’en ai rien à foutre, si je n’ai pas joui ça sera le suivant qui le fera.


Nous assistons à ce spectacle qui laisse place à notre imagination, nous percevons des mouvements, des bruits sous le tablier qu’elle empoigne fermement. Elle est toujours bien campée dans la chaise, Haft debout, le corps qui courbe vers son sexe. À quelques moments, elle semble lui prendre la queue et la claquée sur sa chatte. Du miroir, je vois les fesses de Haft se serrer et pousser sa queue bien au fond de ma salope. Elle lui demande de décharger. Elle lui agrippe les fesses et le pousse au fond d’elle.

Haft ne s’est pas retiré entièrement, qu’elle a déjà alignée Tisto. Marc doit quitter, son « lift » est arrivé. Il sait qu’il manque sans doute la meilleure baise de sa vie, mais il ne peut se faire attendre. Ma pute de femme a décidé qu’elle voulait l’énorme sexe de Tisto, elle n’en dérogera pas. « Au revoir Marc, dommage, tu reviendras lorsqu’il y aura moins d’attente » dit-elle en riant.

Tisto se pointe devant la chaise, le sexe à demi dur. « Je ne t’excite pas ? », et lui de répondre, « Oui, mais c’est que j’ai baisé ce matin et il a déjà coulé à flots ». Je vois ma petite salope tomber dans un autre état de lionne. Elle lui demande, « crois-tu qu’il reste encore un peu de jus de chatte sur ta queue ? Assurément, j’ai défoncé ma copine il y a moins d’une heure ». Ma pute de femme se met alors à lui lécher le sexe comme jamais je l’ai vu me faire. Ses mains lui massent le sexe, elle crache, elle le gobe et recrache. « Elle est propre maintenant, juste pour moi ».

Je regarde la queue de Tisto et j’ai peine à croire qu’elle peut toute la prendre en elle; longue, large, épaisse, elle pourra dire qu’elle s’est fait défoncer pour vrai à l’avenir. Elle se tourne sur la chaise, entoure l’appuie-tête de ses bras. Elle me regarde et me dit « chéri, parfois tu trouves que mon cul est trop serré n’est-ce pas ? Il ne le sera plus jamais ». Elle tourne encore plus la tête et dit à ce mâle noir, fait de mon cul ton chantier. Tisto n’en revient tout simplement pas, un si petit anus, pour une aussi grosse queue. Ses doigts remontent immédiatement sa chatte pour bien lui lubrifier le cul. Il lui perce l’anus sans difficulté avec ses doigts. Je suis un peu surpris de cette demande, vu l’énormité de la chose. Je suis toujours installé sur le fauteuil voisin. Je sors ma bite qui est dure depuis un moment déjà et je me caresse en pratiquant des gestes lents et longs. Mon sexe est gros. Je te regarde et nos yeux se croisent l’espace d’un instant, tu me souris alors qu’elle est sur le point de d’être sodomisée.

Elle demande à ce qu’il l’embroche rapidement, c’est ce qu’il fait en un seul coup, je vois disparaitre cette énorme tige noire au fond du cul de ma femme. Au même moment, le jus de mâle de Haft est expulsé sur le plancher. Elle pousse un cri de douleur et de plaisir à la fois. Il la saisit par les hanches pensant qu’il y a été trop brusque. Nous lui regardons tous le visage qui peu à peu s’illumine. « Défonce-moi putain, défonce-moi. » Je ne l’ai jamais vu dans un tel état. Les gourdes de Tisto claquent sur sa chatte pendant que son sexe lui détruit la cavité anale. Elle s’extase rapidement et pousse des hurlements de jouissance. Tisto en profite pour lui donner la belle grosse décharge de jus de bite qu’elle souhaitait depuis son premier pas dans la « shop ».

Elle se rassoit sur la chaise complètement détruite de la chatte et du cul, ses petits trous noyés dans la crème des « boys ». Comment ne pas être excité devant un tel spectacle? Je pointe ma queue sur accoudoir de la chaise et en profite pour lui donner une grosse décharge au visage. Épuisée elle peine à ouvrir la bouche pour prendre quelques gouttes de mon foutre. On peut dire que maintenant, elle sait ce qui se passe chez le barbier.

Je vous le conseille fortement ce barbier, pour l’adresse, couplepervers69@outlook.com, mais nous révélons nos trouvailles à ceux qui nous révèlent les leurs.



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