Les Découvertes De Charline 5
Jour 5: échangisme et fessée mémorable
Charline arriva à la villa comme à son habitude à dix heures pétantes. Elle aimait bien cette rigueur imposée par Julian, cette précision du temps lobligeant à calculer son rétro-planning afin dêtre prête à lheure. Cela la rassurait, la canalisait, lui donnait les repères dont elle avait besoin. Ses parents étaient trop laxistes, la laissait faire un peu nimporte quoi. Avec Julian tout était plus ferme et carré, cela convenait mieux à son caractère.
Étrangement, toutes les baies vitrées de la villa étaient fermées. Pourtant les voitures étaient là, ils devaient donc dormir. Ce nétait pas le style de Julian qui était matinal. Charline se rappelait que lorsquils partaient en congés, petite, les excursions commençaient très tôt et quelle dormait dans la voiture en y allant.
Trop contente davoir désormais sa clé de la maison, elle entra sans bruit, désactiva lalarme comme Julian le lui avait appris la veille au soir et alla directement en cuisine, leva les stores et découvrit que rien navait été rangé après le repas avec leurs amis.
Charline compta trois cadavres de bouteilles, pas mal pour quatre personnes, dautant plus que Sylvia et Julian avaient déjà pris un bel apéro avec elle. Après tout ils étaient en congés alors ils avaient bien raison de samuser. Charline sentie lodeur du superbe bouquet de fleurs qui trônait sur la table basse du salon. Elle rangea sans bruit la salle à manger et la cuisine
La maison étant toujours silencieuse, Charline décida de monter dans sa chambre revoir ses cadeaux. Ses yeux brillaient encore en repensant au défilé de la veille. Le grand lit était étrangement tout défait, non pas que lon ait dormi dedans. Charline sen étonna, sachant fort bien quelle avait tout rangé la veille avant de partir. Quelque chose sétait passé dans cette pièce et son instinct le confirma quand elle trouva entre la table de chevet et le sommier, un emballage de préservatif.
Au fond de la poubelle traînaient les préservatifs usagés. Elle en prit un au hasard, le souleva entre deux doigts et observa la masse blanchâtre quil contenait. De son autre main elle pinça le liquide épais, cétait donc ça du sperme ? elle samusa à le faire circuler dans le latex, puis louvrit et le porta à son nez. Lodeur était unique, pas si déplaisante quelle avait entendu dire. Elle posa un préservatif sur le rebord de la poubelle et en prit un autre. Il lui sembla plus petit que le précédent et compara leur longueur. Effectivement il y en avait un plus long que lautre Le plus long était certainement celui de Julian. Linvité quelle avait croisé lui avait paru plus petit et plus mince que Julian. Elle ouvrit le petit pour sentir lodeur, qui ne pouvait être celle de Julian et neut donc aucun doute que c'était lui qui chaussait du XXL.
Sylvia et Julian sadonnait donc à de léchangisme. Au fond delle, Charline nétait pas surprise, surtout venant de Julian qui avait toujours eu un côté coquin. Les images de ce couple dinconnus quelle avait croisé hier remontèrent dans son esprit et elle essaya de simaginer les quatre sur ce lit en train de faire lamour. Charline était à la fois déçue et intriguée.
Le monde libertin lui était totalement inconnu. Elle trouvait lidée absolument pas romantique, crade et glauque. Elle savait aussi que des gens de haut niveau social ou dartistes s'adonnaient à ce type de pratique.
Charline eut envie de passer la chambre au karcher, de tout désinfecter, de tout nettoyer du sol au plafond. Après tout cétait sa chambre officiellement. Mais était-ce la chambre dédiée à lamour partagé ? Pourquoi lui avoir donné celle-ci ? Était-elle un jeu pour eux ? Mille questions trottèrent dans sa tête tandis quelle changeait les draps, passait le balais et la serpillère, évitant de faire du bruit avec laspirateur.
Quand la pièce fut toute propre Charline en ressentit une grande fierté. Tout sentait bon, tout était beau et impeccable. Elle remit un coussin en place, le bougeant dun centimètre pour atteindre la perfection. Sa mère aurait fait un arrêt cardiaque si elle avait vu cela. Charline avait bien changé en cinq jours. La caméra venait de bouger sans bruit.
Charline se regarda dans le miroir. Elle portait une petite robe printanière légère quelle adorait. Elle se trouva très belle et repensa au défilé dhier : toutes ces tenues, toute cette lingerie, tous ces cadeaux. Elle se sentit grisée par ces souvenirs délicieux et se surprit à se caresser les seins. Debout devant ce miroir elle releva la robe et commença à se caresser le clito au travers du tanga que lui avait acheté Sylvia. Elle décida vite de sen défaire.
Jamais encore elle ne sétait masturbée devant un miroir. Elle était trop timide peut être, pas assez sure delle, ne saimant pas assez pour cela, se trouvait trop moche. Mais aujourd'hui elle était prête. Prête à se caresser devant le miroir de sa nouvelle chambre en portant les vêtements et la lingerie que Julian lui avait offerte, des habits quon avait choisis pour elle et quon lui avait imposé de porter. Des images de Julian et Sylvia faisant lamour avec elle sur ce lit lenvahirent et un orgasme lemporta à sen lécher les doigts.
Elle resta un moment à se regarder dans le miroir, apprenant à se trouver belle, mimant des scènes de défilé de la veille, cherchant des poses mode ta.
Il était presque midi et Charline ne savait ni quoi faire ni quoi cuisiner. Elle décida donc de frapper à la porte de la chambre du couple pour aller prendre ses instructions. Avant, elle colla loreille à la porte mais nentendant aucun bruit, elle décida de ne pas frapper mais dentrouvrir la porte de leur chambre.
Elle se voyait déjà monter lentement sur le lit, sallonger à leurs côtés, quils la prennent dans leurs bras et quils l'enlacent. Vivre un moment dintimité rare pour tous les trois. Elle soupira, ferma les yeux, visualisant son rêve. Elle sentit dans lair le parfum de Julian, il sentait toujours bon, son odeur de mâle qui lattirait plus que de raison et qui éveillait en elle un besoin plus profond que ce moment de tendresse. La respiration de Julian était une douce musique qui la berçait et elle se laissa aller, rêvant de se blottir entre ses bras puissants et musclés. Elle se rapprocha davantage de Julian puis sursauta en entendant Sylvia hurler.
Charline bondi et se donna un coup dépaule à langle de larmoire. Julian se redressa, poing fermé, prêt à en découdre avec un agresseur. Sylvia reconnue Charline
- Mais quest-ce que tu fais là dans le noir ? Tu mas fait une de ces peurs ! Charline devina au regard de Sylvia et au réveil de Julian, quelle avait commis une grave erreur.
- Jai fini de travailler, je vous cherchais et
. Julian expliqua le contexte toujours autant énervé :
- Sylvia fait des cauchemars la nuit en rêvant que quelqu'un entre dans notre chambre. Jai payé une fortune pour renforcer le système dalarme. Charline était incapable de faire autre chose que baisser la tête et se tortiller les doigts.
- Tu avais interdiction de venir dans notre chambre hurla Sylvia, je te lai dit plein de fois.
- Je sais, je sais mais il ny a pas de mal ! Julian lui dit dune voix autoritaire
- Cest un manque de respect Charline. Elle se figea, prenant conscience de la gravité de son acte.
- Retourne-toi. Lordre tomba droit et clair. Cela arrangeait Charline que ne plus croiser leurs regards réprobateurs.
- Va me chercher la canne Sylvia sil te plait. Sylvia ne mouftait pas non plus à coté et sexécuta. Elle ouvrit la salle de bain et Charline compris que Sylvia ouvrait la cage aux secrets. Allait-il la frapper avec une canne ? Sylvia revint avec quelque chose mais Charline étant de dos ne pouvait pas voir quoi. Elle se sentie un peu comme mise au coin.
- Relève ta robe Charline, met tes mains aux murs et baisse-toi. Charline la boule au ventre retroussa sa robe autours de sa taille pour se mettre cul nu.
- Et en plus tu te balades à nouveau cul nu pendant les heures de travail.
- Oui je sais, mais ...
- Silence !
- Es-tu bien consciente que tu nous as manqué de respect en désobéissant, Charline ?
- Mais je
un premier coup de canne parti. Elle entendit le vent et ressenti aussi vite limpact et le claquement sec lui provoqua un cri de douleur.
- Enfin je
le second parti sur lautre fesse
- Es-tu bien consciente de ton comportement inadmissible Charline ?
- Oui Julian, rajoutant son prénom comme pour y mettre plus de formalisme.
- Cest Sylvia qui ta bien expliqué cette règle pourtant bien claire. Tu as interdiction de rentrer dans notre chambre. Cest important de respecter cette règle et de respecter Sylvia. Le ton sétait fait tranchant. Un ange passa, comme un grand moment de silence.
- Sylvia va donc lui donner une bonne fessée pour lui apprendre. Julian vint se mettre à coté de Charline et Sylvia se plaça derrière elle
- Vas-y Sylvia !
La première claque s'abattit sur sa fesse qui devint rouge immédiatement, poussant Charline à lâcher un petit cri de surprise.
- Plus fort Sylvia sil te plait, la seconde claqua davantage.
Charline sentit des larmes de frustration monter à ses yeux, elle sen voulait tellement davoir rompu leur confiance. Elle se mit à pleurer silencieusement, pinçant ses lèvres pour ses hoquetements.
- Voilà parfait. Les fessées tombaient à un rythme régulier et Julian sapprochait de plus en plus du visage de Charline qui était couvert de larmes,
- Écarte plus tes jambes Charline !!! dit Julian en tapotant l'intérieur de ses cuisses avec la canne pour les lui faire ouvrir. Elle s'exécuta.
- Frappes plus fort Sylvia je veux voir des fesses bien rouges !
Les lèvres de Julian nétaient quà cinq centimètres de son visage. Cette présence si mâle, si assurée, si proche delle la décontenança totalement. Au moment où une nouvelle fessée claqua Julian lui pinça un téton fortement, comme sil le lui arrachait. Charline lâcha un cri de surprise et de douleur, mais après ce ressenti initial, au fond delle, monta comme une énorme vague de plaisir. Une sensation physique probablement décuplée par ce sentiment d'appartenance et de soumission totale à cet homme, son abandon absolu à lui. Cétait la première fois de sa vie quun homme lui pinçait un sein. Il fallait que ce soit Julian.
Un grand blanc se fit dans sa tête et les sons se coupèrent un moment, comme si son cerveau venait de faire un reboot. La fessée se poursuivait toujours, régulière, Julian était toujours aussi près delle. Quand il sentit quelle avait bien repris tous ses esprits, Julien lui pinça lautre téton, plus fortement lui sembla-t-elle. Un cri plus fort et plus sec sorti de sa bouche. A lintérieur de Charline cétait un tsunami démotions qui la parcourait et elle sentit ses jambes se mettre en spasme. Elle avait entendu parler de lexpression trembler de peur. Elle navait pas peur mais ce quelle vivait physiquement due de rapprocher de cela. Elle essaya de stopper ce tremblement de jambe mais son cerveau ne commandait plus rien. Une autre force sétait emparée delle, lui faisant perdre contrôle sur son corps.
- Stop Sylvia !
Les fessées cessèrent immédiatement mais Charline voulait que rien ne stoppe. Ce quelle vivait était bien trop fort. Ses jambes tremblaient toujours et elle s'était mise en position dattente. Mais quallait-il donc lui arriver ? Ses fesses irradiaient de douleur, un mélange de brûlures et de picotements indescriptibles. Ses oreilles bourdonnaient quand elle entendit parler Julian :
-
.. Compris Charline ?
Elle tourna la tête vers lui, son visage ravagé par son trouble, yeux rougis par les pleurs, ses joues humides de ses larmes :
- Pardon Julian, je nai pas entendu ce que tu me disais.
- Je te demandais si tu avais bien compris que tu ne dois pas faire ce quon tinterdit de faire ! Tu nas pas à entrer dans notre chambre ! Cest bien compris Charline ?
- Oui Julian, je nentrerais plus jamais dans votre chambre.
- Alors files de là et rentres chez toi.
Cétait la punition ultime pour Charline. Devoir partir dici, les quitter. Peut-être à jamais. Elle déroula sa robe de ses hanches et sortit à pas lent, espérant quil la rappelle vers eux. Mais ils nen firent rien. Ils entendirent la porte dentrée se refermer et Charline qui la verrouilla de lextérieur.
Sylvia et Julian éclatèrent de rire.
- Tu as vu dans quel état était Charline ? Peut-être quon y est allé un peu fort non ?
- Cest vrai mais regardes par terre, là. Elle montrait du doigt, quelques gouttes de liquide par terre, à lemplacement où était Charline.
- Pendant que tu lui parlais et que je claquais ses fesses, elle mouillait ! Jai même vu une goutte pendre et tomber par terre ! Je ne sais pas si on le verra sur la vidéo.
- Cette fille me rend fou, comme elle a changé en deux ans. Ce nest plus la même !
- Tu ne serais pas en train de tomber amoureux toi ?
- Non, je ne suis amoureux que de toi, Sylvia. Tu mas redonné vie depuis que je tai rencontré.
Il la prit dans ses bras et échangèrent un long baiser
- Tu la veux ? On peut faire son éducation et la garder pendant les vacances.
- Son éducation ? tu veux en faire quoi ?
- Elle est amoureuse de toi, cest évident ! Tu as vu comme elle te regarde ? Tu lui dis un truc, elle le fait sans discuter et regardes comme elle a accepté la punition !
- Je ne veux pas lui faire de mal, elle doit comprendre que cest toi que jaime même si je ladore. Elle passera toujours après toi.
Sylvia trouva cela très mignon de la part de son chéri. Elle lembrassa tendrement et le poussa vers le lit pour lui faire lamour
Charline en rentrant chez elle pris une douche froide et avala un doliprane. La douleur était plus mentale que physique mais la crème apaisante lui fit tout de même du bien.
Ils la laissèrent mariner toute laprès-midi puis Julian la rappela en fin de journée. Elle décrocha visiblement trop rapidement, devant être dans lattente de lappel. En fond sonore Julian reconnu les bruits caractéristiques dune vidéo coquine de fessée, le temps que Charline baisse le son des enceintes de son laptop.
- Tu écoutes quoi là Charline ? Et ne me ment pas sil te plait !
Charline sen voulu dêtre aussi bête. Décidément elle enchaînait les erreurs, un peu comme des actes manqués qui avouait pour elle son trouble et ses envies.
- Je suis sur Pornhub
- Cest bien ce que javais pensé.
- Et quel type de vidéo regardes tu Charline ?
- Julian
.
- Je tai posé une question, Charline.
- Une vidéo de fessée, Julian
- Et pourquoi regardes-tu cette vidéo ?
- Julian
.
Charline ne pouvait pas lui avouer quelle avait cherché cette punition. Elle avait pris trop de plaisir en recevant la fessée de Sylvia quand elle avait brûlé son petit haut fétiche avec le fer à repasser. Alors recevoir la punition des deux à la fois fut une expérience unique pour elle. Dautant plus que Julian, pendant que Sylvia la fessait, lui parlait si près delle, entendant son souffle à ses côtés, sentant son parfum enivrant. Charline se remémora le son de la voix de Julian, le claquement des mains de Sylvia sur ses fesses, ses hoquetements et ses pleurs quelle avalait. Elle sétait tortillée sur place pour bouger le moins possible et s'était sentie fondre entre ses cuisses et vivre des émotions inavouables. Mais comment lui dire qu'elle avait aimé recevoir cette fessée et que cela lavait faite terriblement mouiller ? Que cela la rendait folle et quelle ne se croyait pas normale
- Demain 10h00 on compte sur toi, et sois bien à lheure surtout.
Le cur de Charline faillit défaillir. Elle pensait que tout était fini et quelle ne les reverrait plus., Julian appelait surement pour lui dire de ne pas revenir. Voilà quune fois de plus Julian lui sauvait la vie. Comme le plongeon du rocher ou il lavait tiré jusquà la surface et rapporté dans ses bras sur la rive. Julian était son sauveur.
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