Caroline 9

Partie 9 :

Voyant entrer sa mère quasiment nue dans la maison, Valentine hallucinait !

- Maman, tu viens d’où comme ça !?
- Du boulot, je t’expliquerai…

La mère se précipita directement dans la salle de bain, sa fille aperçut furtivement le plug fiché entre les fesses de cette dernière. Interloquée, elle prit son portable et composa le numéro de Bienvenu.

- Oui salut c’est Valentine !
- …
- T’as fait quoi à ma mère ?
- ….
- Elle vient de rentrer à poil avec un truc dans le cul !
- Et ?
- Ben ! Elle a fait quoi là.
- Ta mère, elle a du potentiel, elle est juste en train de se le révéler à elle-même.
- Il ne faut pas que ça aille trop loin ! Je veux préserver ma maman.
- Ta mère, j’en fait ce que je veux, elle est dans mon trip et prend son pied. Tu lui dis que je passe demain vers 17h00 pour l’amener se faire percer et tatouer.

Valentine voulu protester mais il avait déjà raccroché. La jeune femme était torturée, elle voulait essayer de préserver au mieux sa mère qui se laissait entrainer trop loin dans ces jeux de luxure.

Après une longue réflexion, scrutant sans un mot sa mère qui regardait paisiblement la télévision, elle prit la décision de ne rien lui dire et de proposer à Bienvenu de prendre sa place pour de bon.

Le lendemain à 17h00, Caroline était toujours au bureau, sa fille ne l’ayant pas prévenu, elle n’avait pas avancé l’heure de son retour.

Quand Bienvenu arriva, il ne vit pas la voiture de la directrice. Il entra dans la maison, Valentine l’attendait debout dans une petite robe noire très sexy.

- Elle est où ma salope ?

Demanda-t-il en fixant la jeune femme. Elle sourit et le défia du regard.

- Je suis ta salope !

L’homme secoua sa tête. La situation ne lui déplaisait pas mais il voulait être certain de la détermination de la belle plante devant lui.



- Non, toi tu n’es qu’une petite pucelle de merde !

Elle ne se laissa pas démonter et lui répondit d’un ton calme et langoureux.

- Non, moi je deviendrai la plus belle salope que tu n’as jamais connu. Une chienne qui te fera dresser la queue dès que tu penseras à moi.

Caroline releva lentement le bas de sa robe, exhibant son absence de culotte et son sexe glabre. Doucement, elle se tourna puis se baissa et laissa apparaître ses fesses nues au milieu desquelles un brillant décorait son entrée de service.

- Je suis prête à tout, mets-moi au défi et tu ne seras pas déçu.

L’homme restait impassible, scrutant de haut en bas cette petite jeune femme qui le défiait du regard.

- Ta pilule ?
- J’ai arrêté depuis quelques jours, je sais que tu n’en veux pas. Le plug dans mon cul te permettra d’y entrer plus facilement si tu en as envie. Cette robe est légère et je n’ai rien d’autre en dessous, ni culotte, ni soutif….

Il ne réagissait pas, continuant à la détailler, regardant cette jeune femme d’à peine 18 ans qui se prenait pour une femme.

- Alors, est ce que le grand méchant loup va avoir peur du petit chaperon rouge ? Osa-t-elle en lui jetant un regard coquin, l’index au coin de sa bouche maquillée.

Deux minutes s’écoulèrent encore avant qu’il ne réagisse, ce temps mort était pesant pour la jeune femme, il la remplissait d’incertitude, d’envie et de doute.

- Ok ! Prends une culotte et rejoint moi dans ma voiture.

Bienvenu, tourna les talons et sortit de la maison. La jeune femme exultait, elle avait gagné une bataille. Elle fonça dans sa chambre, choisit la culotte la plus sexy et retrouva le black dans sa voiture.

A peine la portière refermé, la jeune femme n’avait pas eu le temps de s’attacher que la voiture démarra.

- On va où ?
- Une salope ça ne demande rien, ça prend ce qu’on lui donne.

Valentine opina de la tête.
L’air était assez frais dans la voiture, la climatisation était réglée sur le plus froid et cet air faisait pointer les seins de la jeune femme sous l’étoffe fine de sa robe. A chaque mouvement de la voiture, elle ressentait la présence inhabituelle du plug fiché dans son anus, une certaine excitation l’accompagnait dans ce voyage vers l’inconnu.

- Montre tes seins.

La jeune femme regarda dans la nuit les alentours pendant que la voiture roulait, baissa les bretelles de sa robe pour découvrir sa poitrine. Bienvenu jeta un coup d’œil en souriant. Le coup d’œil passé, Valentine fit mine de se recouvrir mais il lui interdit de le faire tant qu’il ne lui en aurait pas donné l’ordre.
Le véhicule s’arrêta à un feu rouge. Dans l’instant, une lueur de phares de voiture reflétée par le rétroviseur éblouie la jeune femme par sa droite. Arrivés à sa hauteur, deux jeunes remarquèrent la tenue « décontractée » de la passagère et des pouces levés la félicitaient chaleureusement. Bienvenu alluma la lumière dans l’habitacle et permit ainsi aux deux voisins de bien profiter de cette poitrine dénudée. Valentine était gênée, elle regardait droit devant elle, essayant d’oublier les deux voyeurs.

Le feu passé au vert, les deux voitures redémarrèrent la seconde klaxonnant pour remercier du spectacle offert.

- Alors, ça t’a fait quoi de te montrer ?
- C’est bizarre mais pas désagréable. Je sens que je suis mouillé entre les cuisses.

La réponse satisfit le conducteur, le reste du trajet ne dura pas très longtemps, la voiture ralentit aux abords du zone commerciale puis s’immobilisa devant la vitrine d’un tatoueur.

- Rajuste-toi !

La jeune femme recouvra sa poitrine et sortit pour suivre le black. Un petit carillon tinta pour accompagner l’ouverture de la porte. La salle d’attente était petite et un peu austère. Une porte s’ouvrit, un homme le corps parsemé de tatouage et avec des anneaux dans les oreilles apparut.


- Salut Bienvenu, entrez dans le bureau.

Valentine n’émettait pas un son, elle suivit les deux hommes, son regard balayait tous les horizons, s’attardant sur les différents appareils visibles dans la pièce.

- Asseyez-vous ici mademoiselle.

Elle s’exécuta, le souffle un peu court, craintive de la suite.

- Bienvenu m’a fait par de vos demandes mais j’ai besoin que vous me confirmiez bien que c’est votre choix et qu’il est libre.

La jeune femme ne savait pas trop quoi dire, il lui avait bien dit qu’il voulait la faire percer et marquer mais sans plus de précision.

- Si j’ai bien compris, vous souhaitez vous faire percer les tétons des deux seins. Est-ce bien votre choix ?
- Euh… oui c’est ça, les deux seins.

La jeune femme avait un peu hésité puis avait confirmé en regardant le black.

- Pouvez vous dénuder votre poitrine.

Elle fit tomber les bretelles de sa robe et descendit le tissu pour mettre ses seins à l’air. Le tatoueur commença jouer un peu avec le téton en tirant dessus, puis il appliqua un produit froid.

- Voila j’ai désinfecté, je vais percer maintenant, vous allez ressentir une douleur mais elle sera assez courte, c’est juste le moment du passage de l’aiguille.

L’homme n’avait pas attendu la réponse de la jeune femme, que l’aiguille avait déjà traversé le téton. La jeune femme serra les poings et se détendit assez rapidement. Un petit peu de nettoyage et il avait dans la foulée remplacé l’aiguille par un anneau d’un centimètre de diamètre. Sans perdre de temps, l’homme fit exactement la même chose de l’autre côté. Le temps que le tatoueur nettoie les tétons et qu’il lui explique que la cicatrisation allait prendre entre 9 à 12 mois, Valentine regardait ses seins ornés de ces anneaux, elle trouvait cela assez beau et terriblement sexy.

- Ça va mademoiselle, pas trop dur à supporter ?
- Non ça va, merci.

- Pour le suivant vous voulez toujours le faire maintenant ou on se reprend un rendez-vous ?

Valentine était à nouveau perdue, de quel autre piercing s’agissait-il ? Son regard interrogatif se posa sur Bienvenu pour que ce dernier l’aide à répondre.

- Elle est un peu émotive, tu peux lui repréciser ce qu’elle a demandé en lui expliquant bien tout.
- Bien sûr.

L’homme cessa de ranger son matériel et se tourna vers la jeune femme.

- Alors vous souhaitez un piercing au niveau du capuchon du clitoris. C’est un peu plus douloureux que les tétons mais pas insurmontable non plus. Celui que vous avez choisi va constamment appuyer sur votre clitoris et vous garder en perpétuelle excitation. Attention, pendant le mois qui suit la pose, vous ne pourrez pas avoir de rapports sexuels vaginaux, c’est fortement déconseillé. La cicatrisation prend entre 2 et 4 mois.

Le silence était retombé dans la pièce. Valentine respirait plus rapidement, le stress montait en elle. Autant se faire percer les seins lui était accessible, autant le capuchon du clitoris ce n’était plus la même chose. Elle voyait Bienvenu jubiler de ses doutes, de ses hésitations. Un court instant passa et elle se lança d’un trait.

- Oui, c’est bien cela que j’ai demandé et je suis prête à le faire maintenant.
- Bon ok. Cependant pour plus de commodité, pouvez vous enlever complètement votre robe et votre culotte. Ensuite vous vous asseyez bien en arrière et vous mettez vos jambes dans les étriers.

Valentine se leva et fit glisser sa robe sur son corps. Elle était nue devant les deux hommes qui savouraient sa beauté. Elle se rassit, se laissa aller en arrière. Le tatoueur lui prit une jambe, la souleva et la plaça dans l’étrier. Elle commença à soulever la seconde et il l’accompagna jusqu’à son logement. Elle offrait impudiquement une vue sur son sexe rasé et sur le plug qui ornait son cul. Sa fente coulait d’un peu de sécrétion intime.

- Attend, un mois sans baiser sa chatte ça va être long, ça te dérange si je me la fais la maintenant ?
- Non, bien sûr, pas de problème pour moi.

Valentine avait relevé la tête, elle avait entendu le black mais n’avait pas percuté qu’il allait la prendre ici devant le tatoueur. Il poussa les étriers pour mieux écarter les jambes de la jeune femme, sa fente s’ouvrait comme une fleur. Le pantalon de l’homme finit au sol, il présenta sa queue dressée devant le sexe de Valentine et l’enfila d’un coup.

- Oh putain ta chatte est bonne ma pucelle !

Valentine accusa le coup, la pénétration fut un peu douloureuse, son vagin n’était pas entièrement lubrifié. Bienvenu sortit son sexe et réemmancha la jeune femme. La pénétration fût un peu moins douloureuse. Il cracha sur sa queue et réinvestit à nouveau cette fente offerte.
Les jambes écartées, un plug dans les fesses, pilonnée par le sexe de son amant black sous les yeux du tatoueur, l’excitation gagnait la jeune femme. Troublée au début par la situation, elle lâcha très vite prise pour se laisser envahir par le plaisir. Les passages vigoureux de la queue de l’africain dans sa minette la transportait. Chaque coup lui arrachait des gémissements de plaisir, les mouvements de ses seins ornés de leurs anneaux rythmaient la cadence. Valentine s’abandonnait complètement à la jouissance, ses gémissements se transformaient en petits cris de plaisir pour le plus grand bonheur des deux hommes.
Bienvenu grogna et se figea sa queue au fond du vagin. Des « ah » de satisfactions indiquaient à sa partenaire qu’il jouissait en elle.

Il se retira, laissant la vue d’une fente bien ouverte dégoulinante de sperme au tatoueur. Ce dernier ne faisait rien, il la regardait essayer de reprendre ses esprits pendant que sa minette rougie se vidaient de la semence du black.

Assommée par cette formidable jouissance, elle ne réagit pas quand elle sentit que les mains du tatoueur reprenaient leur activité sur elle. Les yeux fermés, elle sentit son clitoris manipulé, le capuchon dégagé et désinfecté. La douleur vive mais brève fit sursauter la jeune femme. Encore une fois, le perçage et la pose du piercing fut rapide. Au fur et à mesure la douleur s’estompait et une petite sensation agréable la remplaçait.
Le tatoueur lui répéta les consignes sanitaires à respecter à la lettre sous peine d’avoir des complications. Il lui répéta aussi que la pose de piercing était réversible contrairement au tatouage qui serait plus difficile à ôter voir définitif.

- Vous êtes toujours certaine de vouloir le tatouage ou on peut le reporter à une prochaine fois.

Entre les trois piercings et la pénétration brutale de Bienvenu, Valentine était un peu retournée.

- Valentine, je lui ai dit que tu étais ma salope et que pour me le prouver tu voulais te faire tatouer mon prénom au-dessus de ton sexe.

Valentine respirait fort, d’un effort elle regarda en direction de son pubis, imaginant « Bienvenu » inscrit juste au-dessus de sa minette. Le bruit de sa respiration remplissait la pièce, les deux hommes attendaient dans un silence assourdissant la réponse de la jeune femme.
Un long soupir et elle se lança, fixant le tatoueur droit dans les yeux.

- Oui ! Je suis sa salope et je veux me faire tatouer « Bienvenu » au-dessus de ma chatte.

L’effort qu’elle avait dû déployer pour cette réponse l’avait épuisé, elle laissa retomber sa tête en arrière et ferma les yeux.

- La région est un peu douloureuse, si vous avez besoin qu’on fasse des pauses, dites-le.
- Allez-y, je suis venue pour ça, je suis sa salope et j’aime ça !

Le tatoueur mit sa machine en route, à présent seul le bourdonnement de cette dernière remplissait la pièce. Bienvenu mit sa main sur l’épaule de l’homme, il coupa la machine. Valentine interrogative, releva la tête et regarda les deux hommes.

- Ma petite salope quand elle se fait remplir par un trou, l’autre est jaloux. Si ça te dit, je lui permets de t’accueillir.

L’homme tourna la tête vers Valentine qui, soumise, laissa sa tête retomber en arrière. Elle entendit la ceinture du pantalon s’ouvrir, puis le bruit du jean qu’on froisse. Une main tira sur son plug, habitué à sa présence, le sphincter le retint un peu puis lui permit de s’échapper. Un doigt appliqua un corps gras, il entra sans résistance dans son conduit pour le lubrifier.
La jeune femme sentit le gland se poser sur sa rosette, effectuant un petit mouvement rotatif tout autour de l’entrée.

- Tu préfères qu’il aille tout en douceur petit pucelle ou qu’il te défonce comme une salope.

La respiration de la jeune femme était profonde.

- Je suis une salope qui…

Le sexe l’encula d’un trait, une douleur aiguë lui déchira le cul, elle se mordit les lèvres pour ne pas crier, des larmes coulaient sur ses joues. Il était entré sans ménagement, déjà ouvert par le plug et lubrifié par le doigt, son cul avait accueilli ce sexe sans se défendre. C’était la première fois qu’un homme passait par là.

- Alors tu veux qu’il continue ou bien qu’il arrête ?
- Je suis une salope et j’aime ça !

Le tatoueur fût moins brutal, il se mit doucement en mouvement, déculant lentement et revenant avec la même lenteur dans son fondement. La bouche grande ouverte, Valentine accompagnait cet accouplement avec une forte respiration. Du sperme coulait toujours de sa fente et se mêlait au lubrifiant sur la queue. La petite était serrée et l’homme n’allait pas tenir très longtemps. Les passages étaient toujours aussi lents mais l’homme appréciait cela, ce n’était pas tous les jours qu’il pouvait enculer une mignonne de la sorte. S’arrêtant tout au fond, il se vida sans un bruit, le visage grimaçant d’un homme qui éjaculait avec bonheur.
Toujours lentement, il fit coulisser son sexe hors de son fourreau et partit se le nettoyer. Bienvenu remit le plug à sa place en disant à la jeune femme qu’elle aurait un souvenir de plus pour la soirée.
Rhabillé, le tatoueur se remit à l’ouvrage et marqua le pubis de la jeune femme du prénom de l’africain.
Il lui donna les dernières consignes d’hygiène et le couple repartit en voiture. L’ambiance était lourde lors du retour, Valentine ne pipa pas un seul mot, à chaque vibration du véhicule, le piercing chatouillait son clitoris, lui déclenchant des sensations impossibles à maîtriser.

L’homme la déposa tard dans la soirée chez elle, sa mère était déjà couchée.

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