Karine Et Le Plaisir De La Soumission 4
CHAPITRE 4 : Ma première fessée avec Hugo
Hugo me regarde. Il est troublé. Il ne sest pas reconnu pendant quon faisait lamour. Il réagissait à mon attitude. Il ne me pensait pas si salope, si exhibitionniste. Il sest mis au diapason, il sest étonné lui-même. Subitement avec une fausse colère, il reprend la parole
- « Tu devrais vraiment avoir honte, tu devrais être punie. Je ne peux pourtant pas aller voir tes parents pour expliquer ce que tu viens de faire pendant quon faisait lamour
texhiber devant ce voyeur
alors cest à moi de faire ce quils auraient fait. Je dis que tu mérites une bonne fessée sur ton petit cul nu »
Jai du mal à respirer en entendant ces mots. Jadore ce que jentends, et aussi je suis révoltée quil veuille me fesser cul nu, comme une pas sage. Je fais tout ce que je peux pour le satisfaire et lui veux me battre.
- « Tes malade ou quoi ? Même mon père ne ma jamais fessé cul nu. Tu nespères pas être le premier ? »
- « Non seulement je lespère, mais je vais aller massoir sur ce tronc darbre et tu vas venir tallonger sur mes genoux les cuisses bien écartées pour que je te fesse et que ton petit cul devienne tout rouge. »
- « Quest-ce quil te prend. Pourquoi penses-tu que je ferai une chose pareille. Cest insensé de croire cela. » Je suis extrêmement troublée par ses paroles. Il lit en moi comme dans un livre ouvert.
- « Arrête tes simagrées, à chaque fois que jai été un peu violent avec toi, ton minou est devenu liquide et tu tes mise à jouir comme une folle. Quand tu hurlais si fort ton plaisir et que les gens tentendaient, je te caressais puis te mordais le bouton. Je peux te dire que quand je mordais je ne faisais pas semblant. Et toi tu écartais les cuisses encore plus et tu en redemandais ? Dailleurs on va vérifier si je me trompe. (sur un ton autoritaire) Tu enlèves ce string que tu viens de remettre sans ma permission, tu viens tallonger sur mes genoux, tu écartes les cuisses de façon à ce que je puisse contempler ta chatte qui va devenir de plus en plus humide et je te fesse.
- « En plus tu penses que je suis maso ? cest idiot ! quest-ce quon parie ? » Je ne suis pas certaine de gagner, mais je sens que je ne peux pas perdre.
- « Si tu as la chatte trempée, je gagne, et tu deviens ma soumise et tu fais tout ce que je dis sans discuter. » Je ne mattendais pas à ça. Jai lu une histoire hard sur la soumission, javais le minou trempé en le lisant, mais à aucun moment, je ne me serai imaginée à la place de la soumise martyrisée et avilie.
- « Si tu as tord et que tu as torturé mes fesses pour rien, cest toi qui sera mon soumis et tu seras obligé de me satisfaire à chaque fois que je le voudrais. Tenu ? »
- « Tenu ! Ramène ton petit cul sur mes genoux. »
Fébrile, je me positionne, sans quil maide. Jai parfaitement compris la position à prendre. Jai envie de recevoir cette fessée de mon Hugo. Il me demande si je suis prête à compter, après ma confirmation je reçois le premier coup. Il y a mis tout son cur. Jai le cul en feu. La marque de sa main apparait sur ma fesse. Je compte UN. Je reçois le deuxième aussi fort mais sur lautre fesse. Je crie doucement. DEUX.
- « Sil te plait il faut quelque chose pour
»
Ma demande est interrompue net par le coup suivant.
- « TROIS, attends je ten prie il faut me bâillonner je vais hurler avant darriver à trente et on va attirer tous les gens qui passent dans le coin. » Hugo se rend compte de la justesse de mon propos, il veut quelle crie.
- « Va chercher ton string et ton haut. » Je me relève pour les prendre
- « Sil te plait tu tapes trop fort. Tu fais mal. » Je me remets sur ces genoux, docile
- « A ton avis une fessée cest sensé faire mal ou faire du bien ? » boudeuse
- « Et comment je vais compter maintenant ?»
- « Comptes sur tes doigts »
Il me fourre mon string dans la bouche et noue le haut de façon à empêcher le string de sortir.
- « TROIS (avec les doigts) » Hugo réagit immédiatement
- « Cétait Quatre. On recommence à Zéro. » Il a un grand sourire aux lèvres.
Nouveau coup UN
Les coups senchainent dune fesse à lautre, mes cris absorbés par le bâillon sont maintenant clairement perceptibles
Des larmes abondantes coulent depuis 15
A vingt, je sanglote, mais je ne bouge pas, je reste les cuisses bien ouvertes quil puisse voir mon minou. Je le sens ruisseler de plaisir. La boule de chaleur dans mon ventre est à la limite dexploser depuis le dixième coup, mais Hugo a ralenti le rythme pour me laisser récupérer. Je sais que je vais jouir dun coup à lautre. Jai perdu. Il a raison je suis une salope masochisme. Une véritable chienne en chaleur qui aime être fessée. Mes pensées salaces provoquent mon orgasme. Je tremble, je hurle mon plaisir et je sens ma chatte se tremper de ma cyprine. Je la sens couler goutte à goutte le long de mes lèvres puis sur lintérieur de mes cuisses. Je nai jamais été aussi mouillée. Hugo me dit, heureux
- « Tu vois tu as perdu. Tu aimes ça. Tu viens de jouir comme une salope. Mais heureusement tu es ma salope personnelle et je taime. Alors on sarrête à 20 et on rentre ? »
Jai perdu, mais je ne veux pas de son cadeau des 10 coups. Je veux lui prouver ma soumission. Jenlève mon bâillon,
- « Non, tu avais dit que je méritais 30 coups alors il me faut les 30. »
Les 10 derniers coups se sont enchainés sans quil me rattache mon haut, uniquement mon string dans la bouche. Je nai pas fait derreur dans le décompte malgré 2 orgasmes supplémentaires. Jai les fesses en feu. Hugo les prend en photo et me les montre : Cest rouge vif. Par endroit on voit les marques des doigts qui ressortent.
Je retourne dans leau me baigner pour adoucir le feu de mes fesses. Hugo vient aussi, mais lui cest sa main qui le brule. Je me baisse dans leau pour recouvrir mes fesses puis me relève. Je me rafraichis les fesses par à-coups et cela me fait du bien mais je nai pas vu que Hugo est derrière, il a une vue directe sur mon petit trou et sur ma fente qui souvre et se ferme à chose fois que je rentre dans leau. Il bande comme un taureau et je continue mon manège sans men rendre compte. Quand je me retourne pour sortir me rhabiller, je tombe sur son membre turgescent.
- « Tu sais ce quil te reste à faire maintenant. Allez suce ma belle salope. Viens chercher ta dose de sperme chaud. »
- « Cest ignoble ce que tu dis là. Tu me parles comme si jétais la dernière des catins lubriques qui se fait sauter par tous les mecs quelle croise. » (Je suis furieuse de ses propos)
- « Tu as perdu ma belle salope. Tu es ma soumise maintenant. Tu suces et tu avales ! »
Matée, je me mets à genou, encore un peu dans leau et je le suce. Jessaie denfoncer son sexe aussi profond que la première fois mais je ne peux pas. Elle bute avant. Prête à être humiliée et à ma déchéance, je lui demande comment on a fait la première fois. Il ne sait pas pourquoi je ny arrive pas alors il matt, me remets la tête en bas. Je mets mes cuisses autour de son visage. Il devine que je voudrais quil me lèche le minou, aussi il me dit « Cest toi la soumise petite salope, tu nas pas à avoir de récompense, tu me suces mais toi bernique ». Humiliée et frustrée, je prends son sexe dans ma bouche, je commence à jouer de ma langue sur son gland. Il me fait descendre, et sa bite trouve seule le chemin de ma gorge. Elle na jamais été aussi loin dans ma gorge. Au bout de trente secondes il me remonte pour que je reprenne ma respiration, ma langue sactive de nouveau puis je me sens mempaler.
- « Le problème cest que avec cette méthode, je ne ressens rien, je suis humiliée, avilie, mais je nai même pas la compensation de recevoir ton sperme dans ma bouche. Jaime ton sperme. Jaime son gout. Si je pouvais je te demanderai de pouvoir te sucer tous les matins pour garder ton gout dans ma bouche toute la journée.
En plus je voudrai quon trouve un moyen de faire des photos de nous deux quand je suis empalé sur ton sexe sans quon nous reconnaisse, et quon les mette sur internet en sarrangeant pour que nos amis les voient. Je voudrais subir lhumiliation dentendre ce quils pensent dune jeune salope qui fait ce genre de chose » Son regard est étonné, il se rend compte de mes fantasmes.
- «Tu fais tout ce que je dis » me répond Hugo. « Quant à mes propos, ils seront salaces et dégueulasses quand nous serons en privé. Je te traiterais en chienne en chaleur et en salope. Ce que tu as été cet après-midi sans que je te le demande. Tu en avais envie. Jai aimé cela. Même le coup du voyeur devant lequel tu tes exhibée sans pudeur et avec beaucoup dexcès. On en reparlera dans quelques jours, quand jaurai commencé à tutiliser en soumise comme ma salope personnelle. On verra et tu me diras ce que tu ressens vraiment quand je te rabaisse ou que je texhibe ou ce qui me viendra par la tête. Pour les photos je verrai comment on peut faire, internet nest pas un problème»
- « Alors daccord, je suis ta soumise. Je tappartiens totalement. Mon corps est à toi, mais tu ne dois pas me mettre en péril, et tu ne dois pas toucher à ma virginité. Mon hymen et mon petit cul sont sacrés. Tu ne peux pas les prendre sans mon accord. Et tu ne les auras jamais tant que je serai ta soumise. Je dois avoir mon libre arbitre pour les offrir. Pour ma bouche, elle est à toi. Je te lai offerte. Tu as été le premier à la prendre, à jouir dedans. Jai avalé ton sperme avec plaisir. Je nai pas honte de te le dire. Jaime le gout de ton sperme. Jaime le côté avilissant de la soumission quand tu mordonnes de te sucer et davaler ton sperme. Je taime Hugo. Je suis à toi. Profite de moi, ta soumise, ta salope personnelle, ta chienne en chaleur même si tu veux, même en public, mais devant les gens quon connait, on fait attention, je ne sais pas où sera ma limite. Devant des étrangers comme ce voyeur, jaccepterai probablement tout, mais si je connais les gens, les conséquences peuvent être graves alors je ne sais pas ce que jaccepterai. Tu me comprends ? »
Pendant mes paroles, Hugo sest rhabillé. Il est daccord avec moi. Quand je veux prendre mon string, il me demande mes vêtements et les mis dans son sac.
- « Tu vas être ma soumise pour la première fois en public. Tu passes devant et tu te rhabilleras quand on arrivera à ta rue. Un conseil fait attention aux gens qui pourraient rentrer chez eux par le bois. »
- « Tu as entendu ce que jai dit ? Il y a obligatoirement des gens à cette heure-là. Je vais me faire voir si je reste nue »
- « Tu passes devant je serai derrière toi. Il ny a que ceux qui sont devant qui risquent de te voir. Au pire, tu te retournes, tu mets ton visage contre ma poitrine et tu te serres contre moi. Ils ne verront que ton dos et tes fesses rouges ou plus si je le décide. En avant maintenant. »
Jai compris quil ne servait à rien dargumenter. Il ne changera pas davis. Je vais devoir faire le trajet entièrement nue. Presque une heure, dexhibition e sans possibilité de fuite.
Quarante minutes avec la peur au ventre dêtre vue. 2 fois je me suis mise dans les bras dHugo et jai montré mes fesses à des inconnus que je nai pas osés regarder. La 3ème fois, il ma demandé de mettre mon visage dans mes mains mais de ne pas me retourner. Il voulait que lhomme regarde mes seins et mon minou. Jai essayée de lui dire que cétait dangereux, mais sa réponse a été claire, je suis sa soumise je dois obéir. En plus, il a ajouté que je devais demander à linconnu de me toucher. Je vais devoir lui parler. Je pose mes lèvres sur sa bouche en signe de soumission, je mets mes mains sur mon visage avec les doigts écartés pour ne pas tomber et je marche droit sur lhomme. Il est maintenant à 20 mètres, il me voit nue devant lui. Je me suis arrêtée quand Hugo me la dit, et quand lhomme a été juste devant moi, mes parties intimes exposées, je dis « Bonjour Monsieur, voulez-vous me toucher les seins et la chatte ? je suis daccord et mon maitre en serait heureux » Souriant, il me demande quel est le piège, et moi de répondre, « pas de piège Monsieur, je viens daccepter dêtre la soumise de mon maître, et il veut vérifier ma soumission » Lhomme me caresse les seins et pince fort mes tétons. Il sourit en me voyant grimacer, puis sa main descend vers mon abricot et il pince violement mon bouton. Surprise, sous la douleur je mets mes mains sur les siennes, lui dévoilant mon visage, je dis « pitié Monsieur, vous me faites très mal ». Sa réponse me trouble : « une soumise na rien à demander elle est là pour subir ». En bonne soumise, jai alors écarté les cuisses, avancé légèrement mon bassin, reculées un peu mes mains, de peur de la douleur je les ai laissés à quelques centimètres de siennes, je lai regardé dans les yeux et jai attendu. Il me tord mon bouton et me le pince pendant une longue minute qui ma paru être une éternité. Jai posé délicatement mes mains sur les siennes le temps de la . Quelques larmes coulaient sur mes joues, mes jambes tremblaient, je le regardais droit dans les yeux, les joues maintenant inondées de pleurs, mais je nai ni crié, ni bougé. Avant quil ne lâche mon bouton, un orgasme a provoqué des spasmes dans tout mon corps. Je suis tombée à genoux à ses pieds. Jai écarté les jambes au maximum pour lui présenter mon intimité. Il ma regardé jouir en souriant. « Votre maitre a beaucoup de chance davoir une soumise comme vous, Mademoiselle, belle, jeune, maso, exhibitionniste. Un cocktail rare, parfait. Vous avez quel âge ? » « 18 ans Monsieur » « Vous êtes bien jeune pour la soumission, vous devriez attendre encore 2 ou 3 ans. Je pourrai vous prendre à mon service pour vous éduquer. Je pense quon va se revoir bientôt, la ville nest pas très grande » et il est parti sans un regard. Je me lève, une main sur mon ventre. Jai mal à mon clitoris. Nous repartons.
On est arrivé à proximité de ma rue. Je vois ma maison à travers le feuillage des bosquets. Hugo sort mes vêtements du sac. Mais avant que jai eu le temps de réagir, il se met à genou devant moi, me tend la main. Je mapproche. Il me dit alors « je taime tu sais. Ce nest pas parce que tu es ma soumise que je taimerai moins ». Je le regarde avec une tendresse infinie. Je mapproche de lui et serre sa tête contre mon ventre nu: le dernier câlin dune petite fille amoureuse. Quand je le lâche au bout de quelques instants il met ses mains sur mes cuisses, les écartes et il pose sa bouche sur ma fente et commence à me lécher. Je sens le plaisir monter rapidement. Je comprends quil veut me faire jouir bruyamment à proximité de ma famille. Que je gémisse de plaisir au risque quils mentendent jouir. Jai honte de ce que je suis en train de faire, de sentir mon plaisir monter. Jentends un bruit, je tourne la tête et regarde vers ma maison, je vois mon père et ma mère qui sortent les poubelles. Et moi je suis à moins de 20 mètres deux, nue, les cuisses écartées, le vagin béant, mon bouton prêt à exploser de plaisir, un homme, mon Hugo, me broute la chatte pour me mettre le feu. Tout se précipite, des gens passent sur le sentier derrière, à moins de 3 mètres de moi sans me voir, je suis masquée par un bosquet. Si je fais le moindre bruit, le moindre gémissement de plaisir, ces inconnus vont me voir, parler de ma nudité en public, et mes parents entendront et me verront à leur tour. Je jouis. Je plante mes ongles dans la paume de mes mains, jécrase mes mains contre ma bouche, et en silence, mes jambes flageolent sous le plaisir, je mallonge sur le dos pour continuer à jouir et je soulève mon bassin pour continuer à offrir ma fente à Maitre HUGO. Je suis sa soumise et jaime ça. Il me lèche, aspire mon bouton. Soudain il me mort le bouton. Je frémis, les mains sur la bouche, mes jambes se détendent sous la douleur violente, je viens de glisser sur le sol. Je suis totalement visible de la maison allongée nue sur le trottoir. Je relève le bassin pour offrir ma fente à mon maître sans chercher à me cacher. Je cherche des yeux mes parents. Ils ne sont plus quà une quinzaine de mètres de moi. Ils me tournent heureusement le dos, main dans la main, après avoir déposé les ordures dans le conteneur à poubelles. Il leur suffit de tourner la tête, un simple quart de tour, et ils verront leur fille, les seins à lair, les cuisses relevées, couchée nue dans leur rue : impudique, indécente. Ils rentrent sans détourner le regard, Jentends une voiture, elle passe sans ralentir. 3 autres voitures auront le temps de passer à côté de moi avant que mon maître ait fini de me faire jouir. Je reste sans bouger pour récupérer, le fils de mes voisins joue au basket devant leur garage, il ne voit pas la salope soumise exposée sur le trottoir. Je rejoins enfin le buisson, une voiture qui passe me voit à 4 pattes, les seins pendants, nue, disparaitre dans la foret. Il klaxonne rageusement, frustré.
Hugo ma enfin permis de remettre mes vêtements. Il a enlevé les feuilles qui étaient coincées dans mon string : ce nest pas facile de mettre une culotte quand on est allongée sur le dos dans des feuilles mortes. Elles viennent se glisser partout. Il ma inspectée. Il a même pris un mouchoir en papier, ma demandé de rebaisser ma culotte, décarter les cuisses. Dune main, il a écarté les lèvres de mon sexe et de lautre avec le mouchoir il ma essuyé le minou, en prenant bien soin de passer le mouchoir à lintérieur de mes petites lèvres. La honte absolue. « Cest mieux si ton minou ne dégouline pas trop devant tes parents. » Je regarde à droite et à gauche si personne ne peut voir ma soumission. Une fois prête il me donne un Tic-Tac. Je refuse, mais il me dit « cest mieux pour ton haleine, ta mère pourrait reconnaitre lodeur. » Je redeviens rouge comme une pivoine, je lembrasse, met le bonbon dans ma bouche : comment puis-je encore rougir après cette journée. Je pars vers ma maison. Avant de franchir la porte dentrée, je cherche sil est toujours là. Il attend bien en vue que je sois entrée. Quest-ce que je laime !
Qui est celui que jaime ? Mon Hugo, si doux si attentionné, ou Maitre Hugo, qui peut jouer avec mes perversions sans que je puisse lui résister ni lui refuser mon avilissement
(à suivre)
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