Chapitre 12 : Marie Baise Avec Ses Deux « Vieux ».
Voici un rappel de la fin du chapitre 11 : Après cette journée « torride » passée au Manoir de Beuvron en compagnie de Denis, Claude-Yves et Gérard, journée où je fus soumis, attaché, ligoté, sodomisé à de multiples reprises
etcétéras
Après la remise de mes enveloppes par Claude-Yves et Gérard qui posent question
Est-il acceptable de se faire payer pour une relation sexuelle ? Est-ce de la prostitution ? De la perversion ? Je ne leur demande rien, que de me donner du plaisir, donc
Cest eux qui souhaitent me faire plaisir
Nous nous quittons rapidement, mais jai deux heures de trajet pour regagner mon domicile, pour retrouver mon épouse Marie, mon fils, mais qui sera certainement couché, vu lheure à laquelle je vais rentrer. Deux heures pendant lesquelles je vais encore gamberger.
Comme je le précisais dans le chapitre précédent, le retour est toujours difficile, vous ne ressortez jamais indemne de ce type de relations, où vous vous êtes abandonné, donné à trois hommes bien plus âgés que vous. Jéprouve toujours beaucoup de difficultés physiques, car cest une relation très physique, croyez-moi, il faut mieux être en forme pour ne pas décevoir. Et mentalement, cest compliqué, jai beaucoup de mal à assumer ce goût pour cette pratique, à assumer mes désirs
Dois-je avouer à Marie que je nai pas rencontré Denis seul comme prévu, comme javais pu lui dire avant de partir, alors que je savais que javais rendez-vous avec lui dans le manoir de Claude-Yves
Je dois lui avouer, je dois tout lui raconter, je dois lui avouer que japprécie, comme elle, de me faire pénétrer tout en faisant une fellation, elle doit pouvoir me comprendre
Effectivement, comme prévu, vu lheure tardive, mon fils dort, et cela mattriste, Marie mattend pour dîner, elle semble de très bonne humeur
Et massaille de multiples questions
- Bonsoir chéri, alors content ? Tout cest bien passé ? Comment va Denis ? Il ta parlé de moi ? Tu as lair crevé !!!
Effectivement, je suis crevé, mais je prends le temps de tout lui raconter, en détail avec un « rapport » chronologique de la journée, je prends bien soin de lui décrire le Manoir de Beuvron-en-Auge, le luxe, la piscine, le musée, la collection de voiture de Claude-Yves, les étangs, les chevaux
Je sais que Marie va apprécier, puis je décris « mes » nouveaux compagnons, leurs très grands âges, 56 et 62 ans, je vous rappelle que je vais avoir 35 ans dans quelques mois
je les décris également, jinsiste sur la douceur de Gérard et la gentillesse de Claude-Yves.
- Mais tu es fou, pourquoi as-tu accepté ? Ce nest pas bien, voyons Éric !!!
- Je sais chérie, mais les enveloppes étaient déposées sur mes affaires, cest sur la route que jai eu la curiosité de voir ce quelles contenaient
Et puis Denis ma dit quils voulaient me faire plaisir car
- Tu vas faire quoi de cet argent, si ce nest pas indiscret ?
- Nous allons nous faire plaisir en vacances, je ne lai pas volé, je nai rien demandé, je ne les rencontre pas pour largent, mais avant tout pour me faire plaisir, et du plaisir ils men ont donné comme jai pu texpliquer.
Finalement, aussi surprenant que cela puisse paraitre, Marie réagit plutôt bien à ma rencontre avec mes trois hommes, mes vieux comme elle les nomme
Elle plaisante même sur leur âge.
- Si je calcule bien, tu as quand même 171 années dexpérience sexuelle, dans le cul
Mon chéri, ils doivent être bien vicieux, ces vieux cochons, tu as aimé ?
- Oh oui, je te souhaite de vivre ça un jour !!!
- Alors là !!!
La réponse de Marie, nest pas négative, et cela me surprend.
Avant cette rencontre, Marie était plutôt triste, nous navions pratiquement plus de relation sexuelle, et ce soir, mon récit la rend très coquine, et pourtant je suis crevé, vidé, elle me réclame même une sodomie, je dois la brutaliser comme Denis a pu me le faire
Quest ce qui lui prend, pourquoi ce revirement ?
Puis nous partons trois semaines dans les Alpes Maritimes, Marie est comme la météo de la région, très chaude, très, très chaude, je retrouve « ma Marie ».
Pendant ces semaines nous avons eu Marie et moi, des relations plutôt torrides et quasi-journalières, Marie est redevenu très coquine, plutôt imaginative et « gourmande » excitée par cette situation anormale, son mari payé pour baiser avec des vieux.
- Payer pour baiser, quand même
Te payer pour te sodomiser, pour ne pas dire tenculer mon chéri, cest classe, non ?
- Mais non Marie, ce nest pas ça, jaime les rencontrer pour le plaisir, simplement pour le plaisir !!!
- Eh bien, tu vois, moi, je veux bien les rencontrer « tes vieux », cela fait trois semaines que jy pense
Oui, je veux bien rencontrer Gérard et Claude-Yves pour le plaisir, mais aussi pour la petite récompense, sils sont daccord bien évidemment. Cest un fantasme bien précis que je veux vivre, jai envie de jouer le rôle dune pute en baisant avec des mecs, qui me paient pour une ou des prestations tarifées comme une vraie pute quoi !
- Mais tu es folle Marie !!!
- Mais, non, au contraire, je joins lutile à lagréable, au moins, ensuite je ne me poserais plus la question de savoir si je suis une pute ou pas !!! Je serais alors une vraie pute
- Mais après tu culpabilise !!!
- Cest vrai, je suis daccord, mais jen ai envie, comme toi, avant tu avais envie de rencontrer des hommes, et cest moi maintenant qui en ai cette envie, tu comprends !!!
Je reste complètement sur le cul, avec mes bêtises, maintenant mon épouse souhaite que je lui présente « mes compagnons », cest invraisemblable.
- Tu mas fait découvrir cet univers avec Denis, et puis le luxe des hôtels, des restaurants, des tenues offertes par Denis, je trouve cela excitant
Nous navons pas les moyens de fréquenter ces établissements
Tu vois tout cela mexcite et mattire !!!
- Cest vrai que cest excitant, mais pas en se faisant rémunérer !!! Nous pouvons continuer sans parler fric
Franchement cela me gêne Marie
- Si au contraire, cest cela qui va encore plus mexciter, si tes deux vieux sont daccords, cest ok pour moi
- Non, je ne suis pas daccord, et Denis ?
- Et bien pour Denis, cest le même tarif que les autres !!! Et puis il doit partir aux Etats-Unis avec ses fils au mois daout !!!
- Non, je ne suis pas daccord, Marie, tu deviens folle !!! Et la différence dâge ne te pose plus de problème ? Claude-Yves à 62 ans, et toi 32 Marie
- Ah non, arrête, cest bien toi qui ma entrainé dans cet univers !!!, cest bien toi Éric ?
- Ben oui, cest moi, mais pas comme cela, tu comprends, ça, ce que tu veux faire, cest te prosti !!!
- Mais, non, pas du tout, je veux jouer à la pute, je pense que ça peut maider à accepter finalement mon envie de me laisser aller à une sexualité plus
enfin tu vois, jai vraiment aimé ce que lon a fait avec Denis, vraiment
- Ben oui, jen suis très heureux, jai pris beaucoup de plaisir à te voir jouir avec Denis, mais je ne me vois pas te « vendre » à mes amis, je ne veux parler dargent avec eux.
- Mais tu acceptes leurs enveloppes !!!
Nous avons continué à avoir une longue conversation avec Marie, elle restant sur sa position
Elle aimerait de temps en temps quand lenvie vient, peut-être toutes les cinq ou six semaines, peut-être tous les deux mois, me précisant que la dernière rencontre avec Denis remonte au 11 juin. Donc quand lenvie revient, elle souhaite provoquer un rendez-vous lui permettant d'assouvir son fantasme de faire l'amour à plusieurs.
Elle tient surtout à conserver une vie sexuelle à deux très active et régulière, très différente mais tout aussi riche que celle en groupe. Elle veut surtout garder notre complicité pendant ces moments dégarements, avoir simplement de temps en temps le plaisir de vivre pleinement l'excitation de l'inconnu, le plaisir de l'abandon total et le pouvoir des sensations exacerbées en jouant « la pute ».
Donc je décide de contacter Gérard, puis Claude-Yves, les informant que Marie est décidée pour les rencontrer, et quelle propose la date du 15 et 16 aout, cest un jeudi et un vendredi, donc nous pourrons faire le « pont », et surtout quelle aimerait venir au Manoir de Beuvron-en-Auge, si cest possible. Marie à bien dautres conditions où règles : jamais de violence ou de mots déplacés. Tout le monde doit être là pour la même chose : prendre son pied dans une atmosphère agréable. Mais pour sa condition financière, je nen parle pas, je demande à « mes amis » de la joindre directement en leur donnant sa ligne direct professionnelle.
Concernant Gérard, qui a pu également découvrir les photos de Marie habillées, nues et plus osées, il est ravi et partant tout de suite, il doit simplement prévenir son épouse quil a un impératif et quil ne pourra pas la rejoindre en Corse le 14 aout, mais le 17 aout
Pour Claude-Yves, il doit sassurer que son manoir est libre, son épouse passe les deux mois de juillet et aout dans une autre villa à Ramatuelle, avec ses deux petits-s
Mais il doit sassurer que ses deux filles (40 et 33 ans) rejoignent bien leur maman dans le Var.
Claude-Yves, cest certain, va sarranger et se rendre disponible pour pouvoir profiter de ma belle Marie, le seul problème pour linstant, cest le manoir
Comme prévu, Gérard et Claude-Yves contacte Marie, à son bureau, je nai pas le détail de leurs conversations, mais lorsquelle rentre le soir, Marie, me semble encore plus excitée et coquine que dhabitude
La conversation restera un mystère pour moi, je nai jamais eu le détail de leurs échanges.
Donc, finalement, le manoir est libre, nous allons pouvoir nous y rendre avec Marie, qui prend son mercredi après-midi, pour se faire encore plus belle, passage chez la coiffeuse et surtout lépilation intime intégrale, cest-à-dire lépilation de lensemble des poils de la zone intime (pubis, sexe, marge anale
.) elle garde simplement le petit triangle « bikini ». Pour Marie, cest un geste beauté. Puis, préparation de sa valise, en emportant les beaux sous-vêtements offerts par Denis, ainsi que ses deux robes, peut-être un peu trop sexy
La tenue du matin, est plutôt sobre, elle a prévu de se changer au manoir, car nous devons déposer notre fils chez ses parents, sa maman ne peut sempêcher de nous faire des commentaires désobligeants
- Eh bien, dites donc, vous avez les moyens !!! après votre séjour en Bretagne et vos vacances dans le sud, vous repartez encore !!!
Je ne réponds pas, à belle maman, pensant simplement à la tête quelle pourrait faire si elle savait que sa fille chérie, élevée religieusement dans une école privée catholique de la maternelle au lycée, donc, si elle savait quaujourdhui, le jour de sa fête, Marie, la Sainte Vierge, la Mère de Jésus, allait célébrer cette fête en compagnie dhommes beaucoup plus âgés quelle sa maman, et en se faisant rémunérer
Nous arrivons au manoir, simplement dans lallée menant à cette belle bâtisse, les yeux de Marie sillumine
Marie a toujours été attirée par le luxe, et les belles choses.
- Ouah Éric !!! Cest magnifique, je suis heureuse dêtre ici, merci à toi, chéri
- Non, merci à nous
- Nous avons beaucoup de chance dêtre invités dans un tel endroit, tu sais Éric
- Mais eux aussi, ont beaucoup de chance de pouvoir
enfin de tavoir
enfin tu comprends
Nous leurs offrons notre jeunesse
- Cest vrai, tu as raison, mais moi, à partir daujourdhui, je ne moffre plus, cest ça qui mexcite
Nous sommes accueillis par Claude-Yves qui arrive à la porte dentrée de son manoir.
- Ah oui, il nest pas jeune, sa voix est trompeuse !!! Me lance Marie.
- Oui, mais il est très sympa
Claude-Yves, est très soigné, bien coiffé, et sa tenue lui va très bien, je pense même quil a perdu quelques kilos, je lui fais remarquer, il est très fier de nous annoncer quil a perdu six kilos avec un programme sportif intensif, et que cest grâce à nous, à nos projets de rencontres avec Marie et moi. Amélia et Armindo, le couple Portugais gérant le manoir, me reconnaissent et semblent surpris de me retrouver avec une très belle femme comme Marie, ils ne sont pas bêtes
Nous nous installons dans notre belle chambre avec une belle vue dégagée sur les bois, les étangs et la piscine et à droite « le musée ».
Marie en profite pour se changer, elle passe la superbe robe offerte par Denis à Trébeurden, cest une robe un peu trop sexy à mon gout, fines bretelles laissant apparaitre sa belle poitrine, croisée devant, laissant apparaitre sa jambe droite, mais surtout elle est jaune moutarde
couleur chaude qui convient bien à ma blonde
Mais comme à Trébeurden, elle saperçoit que lon découvre ses sous-vêtement trop marquants, elle décide de les retirer
Nous descendons, retrouvons Claude-Yves, et Gérard qui vient darriver
Le regard des deux hommes est évocateur, ils sont éblouis par la beauté de Marie.
- La beauté dune femme, Marie, se voit dans ses yeux et vous Marie
Que vous êtes belle, et cette robe Marie
Vous êtes magnifique
Merci à vous de nous accorder du temps, sincèrement merci. Déclare Gérard, littéralement sous le charme.
- Merci beaucoup, Gérard, lui répond un peu impressionnée Marie.
Claude-Yves, nous propose une coupe de champagne, connaissant les gouts de Marie et son penchant pour ce breuvage, puis une deuxième avant de faire la visite de la propriété tous les quatre. En ce 15 aout 1991, il fait très beau en Normandie, Gérard et Marie me semblent déjà très proches lors de cette visite.
Nous sommes Claude-Yves et moi, à quelques mètres, mais celui-ci nest pas concentré sur notre conversation, effectivement en fonction des rayons du soleil, de notre position, nous distinguons bien « toutes les formes » de Marie
- Éric, ta femme est vraiment belle, et ce cul, ce nest pas possible, elle ne porte rien en dessous
Jaime
Et ses jambes de rêves
longues et fines
Elle a une allure de déesse
Et son décolleté aphrodisiaque
Ce nest pas possible, elle doit mettre en ébullition nimporte quel homme normalement constitué
- Cest vrai, quelle est très belle
Cest ma seule réponse donnée à Claude-Yves.
- Et puis son sourire ravageur
Ses grands yeux bleus qui me captivent par leur intensité
son visage de poupée
Franchement, tant de beauté pour une seule femme est une injustice pour toutes les autres
Nous continuons la visite en compagnie de Claude-Yves et Gérard, Marie est heureuse dans cet endroit, elle est éblouie par tout ce quelle voit, tout ce quelle touche
Gérard aussi dailleurs, car il est très tactile avec Marie
qui semble apprécier sa compagnie.
Après avoir fait le tour de la propriété, nous passons par le musée et la collection de voitures de Claude-Yves, qui propose à Marie de faire un tour à Deauville dans une Ferrari 348 cabriolet en fin daprès-midi
Proposition acceptée par Marie à la condition quelle la pilote
Puis nous passons au bar, Claude-Yves, nous propose une coupe de champagne pendant que nous discutons tous les quatre, Marie est radieuse, elle baigne dans le luxe, le haut de gamme, elle aime le raffinement. Marie est assise sur une table, sa petite robe très courte et très décolletée de couleur moutarde est bien remontée. Et quand elle croise les jambes, Gérard et moi pouvons profiter dun étonnant spectacle.
Comme elle ne porte rien
Cest un moment qui nest pas sans rappeler la célèbre scène de Sharon Stone dans Basic Instinct (le chic en plus), film qui sortira en salle lannée suivante en 1992. Marie à peut-être inspiré les scénaristes
Puis nous buvons une deuxième bouteille de champagne, Marie est toujours aussi radieuse, coquine, elle plaisante beaucoup avec Gérard, qui ne manque rien du spectacle à chaque croisement de jambes de Marie
Gérard me demande la permission dembrasser Marie, je suis surpris par sa demande, mais finalement Marie vient sassoir sur lui pour lembrasser
Même si, je napprécie pas beaucoup les échanges de baisers entre Marie et les autres hommes, je dois vous avouer quaprès son spectacle de « croisements de jambes », je suis particulièrement excité, excité aussi par les réactions de nos amis qui sont véritablement en admiration
Puis Claude-Yves qui semble plus quexcité encore demande à Marie, si elle bien venir visiter les pièces de létage, en fait simplement composées dune grande chambre avec plusieurs lits, un coin salon et une grande salle de bains. Au passage, elle prend une autre bouteille de champagne, je me charge des coupes, et quand nous montons les escaliers, Marie devant, nos vieux compères sont aux premières loges du déhanchement de ma belle Marie
Les mains sont un peu baladeuses, le champagne coule à flots, Marie est un peu pompette. Petite musique sympathique, que Claude-Yves apprécie, Marie danse légèrement
Puis Gérard qui nen peut plus de la voir se trémousser, lui demande :
- Alors, Marie, vous êtes la pour nous faire plaisir ?
- Euh, oui, Gérard !!!
- Alors, vous dansez
puis strip-tease
Daccord !!!
- Oh, oui, je veux bien, mais
Je
Enfin
Je ne porte pas grand-chose
Lui répond Marie, très surprise de la demande et surtout embarrassée, car elle adore les strip-teases, mais quand il y a beaucoup de vêtements à enlever.
Claude-Yves et Gérard prennent beaucoup de plaisir à la voir danser, puis elle commence son strip-tease, en remontant sa petite robe, laissant apparaitre sa « coupe bikini », et en se retournant ses jolies fesses bien rondes, fermes et rebondies. Leurs mains se promènent sur elle quand elle sapproche deux, puis elle retire le nud des fines bretelles de sa robe, et délicatement, elle se découvre jusquen dessous du nombril. Ses seins fermes de jeune femme attirent toutes les convoitises, il faut dire quelle a une très belle poitrine. Puis elle laisse glisser sa petite robe à ses pieds, se tourne pour la ramasser, devant le visage de Gérard, au bord dun arrêt cardiaque devant la vue dun si beau cul offert
Puis lui donne (la robe) en venant lembrasser.
Elle se laisse effleurer les seins, les jambes, les fesses, « ses vieux cochons » comme elle les appelle, sont aux anges. Moi aussi, jassiste au spectacle de ma femme devant nos deux amis
Cela mexcite
Je la trouve belle, élégante, digne, classe, je suis fier delle
Elle est maintenant entièrement nue devant nous.
- Vous permettez Marie, que nous nous mettions à laise
nous aussi ?
- Oui, bien sûr
Répond Marie.
Nous nous déshabillons tous les trois, Marie nous regarde en souriant, inspectant nos amis, elle semble sattarder sur le corps de Gérard qui est bien conservé, et son sexe est en très grande forme et de très bonne taille
Puis regard circulaire vers Claude-Yves
Les chairs sont flasques, le ventre mou et pendouillant, tout comme ce qui a dû être des pectoraux, il y a longtemps
Mais il a 62 ans.
Nos amis sassoient nus sur le canapé, je minstalle en face deux sur un fauteuil.
- Venez donc vous asseoir ici ma « petite chérie ». Lui demande Gérard, en lui faisant une place entre eux deux.
- Ecartez bien vos jambes
et posez-les sur les nôtres. Lui demande à son tour, Claude-Yves.
Elle sinstalle, cuisses écartées, la chatte offerte à ma vue, je vais magenouiller devant elle. Elle ne porte que ses escarpins, son alliance et un petit collier, elle est totalement nue, elle boit encore une coupe de champagne, en trinquant avec nos deux amis.
- Vous aimez les caresses ? Marie. Lui dit Gérard en titillant un de ses tétons qui sempresse de réagir en pointant tout dur.
- Montrez-moi comment vous caressez, Messieurs. Dit, Marie effrontément.
- Vous aimez ça ? Marie. Lui répond Claude-Yves, pendant que deux de ses doigts taquinent un téton.
Une main de Gérard soupèse lautre sein et le caresse. En guise de réponse, elle prend la main de Claude-Yves, elle lèche ses doigts, elle les met dans sa bouche et elle les suce comme on suce une bite.
- Quelle charmante petite coquine, vous faites Marie, je peux sans doute leur faire parcourir dautres territoires maintenant quils sont humides ?
- Ne vous gênez surtout pas. Fait-elle en écartant mieux ses cuisses.
Claude-Yves se penche, accentue dune main louverture de ses jambes, et vient caresser doucement son petit minou. Je suis toujours à genoux devant elle, je mapproche et viens lécher lintérieur de ses cuisses, remonte jusquà sa chatte et jy glisse ma langue tandis que mes doigts sattardent sur son clito.
Gérard à sa gauche caresse ses cheveux derrière sa tête, approche sa bouche de la sienne, ses lèvres se posent sur les siennes. Elle glisse doucement sa langue, sa langue pénètre sa bouche, de plus en plus fougueusement tandis que sa main gauche vient tripoter sa hanche, son ventre, et descend elle aussi vers sa chatte.
Imaginez la scène. Une jeune femme toute fraîche toute juste 32 ans, vautrée cuisses ouvertes entre deux vieux cochons pervers de 56 et 62 ans, elle se fait tripoter la chatte, lécher, et embrasser goulûment devant son mari, qui en plus prend un énorme plaisir
Cest incroyable, ce moment est purement délicieux pour moi.
Le jeu dure un peu, des doigts lui caressent lanus, elle se laisse faire et soffre autant quelle le peut. Elle sattache à ce que rien ne leur paraisse impossible avec elle.
Avec le recul je me dis quelle était déjà très coquine à cette période et moi surtout très pervers. La plupart de ses amies auraient été dégoûtées par ces deux vieux cochons. Elle y prenait du plaisir. La sensation de braver des interdits y était pour beaucoup, faire quelque chose de jugé « inconvenant » lexcitait beaucoup. De même que ses prestations des deux jours qui étaient tarifées lémoustillaient, elle ne voulait surtout pas décevoir « ses clients », comme elle les appelle pour plaisanter entre nous. Et puis sincèrement, jy prenais personnellement beaucoup de plaisir et Marie physiquement également, ils soccupaient tous les deux très bien delle.
Les choses saccélèrent ensuite, elle passe à plat ventre sur le canapé sur les genoux de Gérard, ses doigts lui fouillant lanus, tandis que la bouche de Marie donne toute satisfaction à la queue de Claude-Yves. Je reste spectateur, attentif aux gémissements de ma belle, elle sabandonne, semblable à un pantin désarticulé.
Elle se fait copieusement lécher lanus et doigter la chatte par Gérard tandis quelle se faisait lécher et téter les seins à califourchon sur Claude-Yves sur le canapé.
Puis ensuite à quatre pattes sur le tapis, Gérard sous elle lui dévorant sa chatte, tandis quelle me suçait devant elle, et que Claude-Yves se faisait plaisir derrière elle en la sodomisant virilement.
Je me souviens delle, allongée sur le dos sur lit, la queue de Gérard la sodomisant allègrement tandis que sa tête renversée en arrière, engloutit celle de Claude-Yves alors que je lui caresse ses tétons. Marie est trempée de partout, cest une relation plutôt physique et la belle assure « le service ». Mais Marie est infatigable, elle épuise nos « amis », qui ont déjà bien jouis. Elle continue, ils doivent en avoir pour leur argent, pense-t-elle ?
Ensuite à genoux, elle suce la vieille bite de Claude-Yves, assez riquiqui, mais à 62 ans après une ou deux éjaculations, le vieux a assuré, tandis que les mains de Gérard pénètrent sa chatte et son anus, si je me souviens bien ce micro pénis lui a dailleurs éjaculé dans sa bouche. À lépoque elle avalait encore, moi aussi javalais à cette période, la communication sur le VIH nayant été importante quaprès.
Inutile de dire que sa prestation a été largement appréciée ce jour-là par Gérard et Claude-Yves
- Oh, ma chérie, merci à vous, merci de vous donner de la sorte
Quel plaisir de vous faire lamour, et oui lamour est un besoin, Marie, le sexe juste une envie
Et jai tellement envie de vous Marie. Lui déclare Gérard.
- Merci. Lui répond Marie encore essoufflée et qui récupère
- Merci, merci à vous belle Marie, merci aussi à Éric de nous la confier. Le sexe entre deux personnes, cest beau. Entre quatre personnes, cest fantastique, vous le savez ça Marie. Dit Claude-Yves.
Marie assise sur une petite table est dégoulinante
de sperme
sa petite chatte laisse couler
Un trop plein de semence coule aussi au coin de ses lèvres mais elle nen a cure, elle ne sen rend même pas compte. Le filet descend sur son cou. Elle a beaucoup jouit, la tête lui tourne, il lui faut vraiment récupérer avant de filer à la douche.
Pour Gérard et Claude-Yves bien sûr, cest un vrai plaisir que davoir une jeune femme dévergondée pour satisfaire leurs vices. Pour Marie, cest le début dun cycle, qui va durer pendant trois ans, elle a beaucoup aimé baiser comme la pire des salopes avec des hommes très âgés et fortunés. Ces vieux lexcitent beaucoup, ça lexcite, ça ne sexplique pas. Latmosphère de perversion, ce côté un peu malsain, ses rémunérations, elle naime pas ce mot, mais sa façon de « se prosti », cette petite honte quelle ressent intérieurement décuple son plaisir et je ne vais pas vous mentir, le mien également.
Après une douche collective, où les mains se sont beaucoup baladées et les langues mélangées, nous retournons au manoir pour déjeuner.
Pour la suite de nos aventures de ce 15 août, vous devez encore patienter et attendre le chapitre 13.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!