Chapitre 12 : Marie Baise Avec Ses Deux « Vieux ».

Voici un rappel de la fin du chapitre 11 : Après cette journée « torride » passée au Manoir de Beuvron en compagnie de Denis, Claude-Yves et Gérard, journée où je fus soumis, attaché, ligoté, sodomisé à de multiples reprises…etcétéras…Après la remise de mes enveloppes par Claude-Yves et Gérard qui posent question…
Est-il acceptable de se faire payer pour une relation sexuelle ? Est-ce de la prostitution ? De la perversion ? Je ne leur demande rien, que de me donner du plaisir, donc…C’est eux qui souhaitent me faire plaisir…
Nous nous quittons rapidement, mais j’ai deux heures de trajet pour regagner mon domicile, pour retrouver mon épouse Marie, mon fils, mais qui sera certainement couché, vu l’heure à laquelle je vais rentrer. Deux heures pendant lesquelles je vais encore gamberger.
Comme je le précisais dans le chapitre précédent, le retour est toujours difficile, vous ne ressortez jamais indemne de ce type de relations, où vous vous êtes abandonné, donné à trois hommes bien plus âgés que vous. J’éprouve toujours beaucoup de difficultés physiques, car c’est une relation très physique, croyez-moi, il faut mieux être en forme pour ne pas décevoir. Et mentalement, c’est compliqué, j’ai beaucoup de mal à assumer ce goût pour cette pratique, à assumer mes désirs…
Dois-je avouer à Marie que je n’ai pas rencontré Denis seul comme prévu, comme j’avais pu lui dire avant de partir, alors que je savais que j’avais rendez-vous avec lui dans le manoir de Claude-Yves…Je dois lui avouer, je dois tout lui raconter, je dois lui avouer que j’apprécie, comme elle, de me faire pénétrer tout en faisant une fellation, elle doit pouvoir me comprendre…
Effectivement, comme prévu, vu l’heure tardive, mon fils dort, et cela m’attriste, Marie m’attend pour dîner, elle semble de très bonne humeur…Et m’assaille de multiples questions…
- Bonsoir chéri, alors content ? Tout c’est bien passé ? Comment va Denis ? Il t’a parlé de moi ? Tu as l’air crevé !!!
Effectivement, je suis crevé, mais je prends le temps de tout lui raconter, en détail avec un « rapport » chronologique de la journée, je prends bien soin de lui décrire le Manoir de Beuvron-en-Auge, le luxe, la piscine, le musée, la collection de voiture de Claude-Yves, les étangs, les chevaux…Je sais que Marie va apprécier, puis je décris « mes » nouveaux compagnons, leurs très grands âges, 56 et 62 ans, je vous rappelle que je vais avoir 35 ans dans quelques mois…je les décris également, j’insiste sur la douceur de Gérard et la gentillesse de Claude-Yves.

Puis j’aborde la question des enveloppes déposées sur mes affaires à la piscine (auquel j’ai rajouté à parts égales le montant de la première enveloppe remise par Claude-Yves lors de notre première rencontre. Chapitre 3) soit 15 000 Francs, c’est énorme, c’est plus qu’un mois de salaire de Marie.
- Mais tu es fou, pourquoi as-tu accepté ? Ce n’est pas bien, voyons Éric !!!
- Je sais chérie, mais les enveloppes étaient déposées sur mes affaires, c’est sur la route que j’ai eu la curiosité de voir ce qu’elles contenaient…Et puis Denis m’a dit qu’ils voulaient me faire plaisir car…
- Tu vas faire quoi de cet argent, si ce n’est pas indiscret ?
- Nous allons nous faire plaisir en vacances, je ne l’ai pas volé, je n’ai rien demandé, je ne les rencontre pas pour l’argent, mais avant tout pour me faire plaisir, et du plaisir ils m’en ont donné comme j’ai pu t’expliquer.
Finalement, aussi surprenant que cela puisse paraitre, Marie réagit plutôt bien à ma rencontre avec mes trois hommes, mes vieux comme elle les nomme…Elle plaisante même sur leur âge.
- Si je calcule bien, tu as quand même 171 années d’expérience sexuelle, dans le cul…Mon chéri, ils doivent être bien vicieux, ces vieux cochons, tu as aimé ?
- Oh oui, je te souhaite de vivre ça un jour !!!
- Alors là !!!
La réponse de Marie, n’est pas négative, et cela me surprend.
Avant cette rencontre, Marie était plutôt triste, nous n’avions pratiquement plus de relation sexuelle, et ce soir, mon récit la rend très coquine, et pourtant je suis crevé, vidé, elle me réclame même une sodomie, je dois la brutaliser comme Denis a pu me le faire…Qu’est ce qui lui prend, pourquoi ce revirement ?
Puis nous partons trois semaines dans les Alpes Maritimes, Marie est comme la météo de la région, très chaude, très, très chaude, je retrouve « ma Marie ».
Pendant ces semaines nous avons eu Marie et moi, des relations plutôt torrides et quasi-journalières, Marie est redevenu très coquine, plutôt imaginative et « gourmande » excitée par cette situation anormale, son mari payé pour baiser avec des vieux.
Et puis à la fin de nos vacances à Antibes, à la fin du mois de juillet, juste avant de rentrer en Normandie pour reprendre notre travail, Marie me déclare :
- Payer pour baiser, quand même…Te payer pour te sodomiser, pour ne pas dire t’enculer mon chéri, c’est classe, non ?
- Mais non Marie, ce n’est pas ça, j’aime les rencontrer pour le plaisir, simplement pour le plaisir !!!
- Eh bien, tu vois, moi, je veux bien les rencontrer « tes vieux », cela fait trois semaines que j’y pense…Oui, je veux bien rencontrer Gérard et Claude-Yves pour le plaisir, mais aussi pour la petite récompense, s’ils sont d’accord bien évidemment. C’est un fantasme bien précis que je veux vivre, j’ai envie de jouer le rôle d’une pute en baisant avec des mecs, qui me paient pour une ou des prestations tarifées comme une vraie pute quoi !
- Mais tu es folle Marie !!!
- Mais, non, au contraire, je joins l’utile à l’agréable, au moins, ensuite je ne me poserais plus la question de savoir si je suis une pute ou pas !!! Je serais alors une vraie pute…
- Mais après tu culpabilise !!!
- C’est vrai, je suis d’accord, mais j’en ai envie, comme toi, avant tu avais envie de rencontrer des hommes, et c’est moi maintenant qui en ai cette envie, tu comprends !!!
Je reste complètement sur le cul, avec mes bêtises, maintenant mon épouse souhaite que je lui présente « mes compagnons », c’est invraisemblable.
- Tu m’as fait découvrir cet univers avec Denis, et puis le luxe des hôtels, des restaurants, des tenues offertes par Denis, je trouve cela excitant…Nous n’avons pas les moyens de fréquenter ces établissements…Tu vois tout cela m’excite et m’attire !!!
- C’est vrai que c’est excitant, mais pas en se faisant rémunérer !!! Nous pouvons continuer sans parler fric…Franchement cela me gêne Marie…

- Si au contraire, c’est cela qui va encore plus m’exciter, si tes deux vieux sont d’accords, c’est ok pour moi…
- Non, je ne suis pas d’accord, et Denis ?
- Et bien pour Denis, c’est le même tarif que les autres !!! Et puis il doit partir aux Etats-Unis avec ses fils au mois d’aout !!!
- Non, je ne suis pas d’accord, Marie, tu deviens folle !!! Et la différence d’âge ne te pose plus de problème ? Claude-Yves à 62 ans, et toi 32 Marie…
- Ah non, arrête, c’est bien toi qui m’a entrainé dans cet univers !!!, c’est bien toi Éric ?
- Ben oui, c’est moi, mais pas comme cela, tu comprends, ça, ce que tu veux faire, c’est te prosti !!!
- Mais, non, pas du tout, je veux jouer à la pute, je pense que ça peut m’aider à accepter finalement mon envie de me laisser aller à une sexualité plus…enfin tu vois, j’ai vraiment aimé ce que l’on a fait avec Denis, vraiment…
- Ben oui, j’en suis très heureux, j’ai pris beaucoup de plaisir à te voir jouir avec Denis, mais je ne me vois pas te « vendre » à mes amis, je ne veux parler d’argent avec eux.

- Mais tu acceptes leurs enveloppes !!!
Nous avons continué à avoir une longue conversation avec Marie, elle restant sur sa position…Elle aimerait de temps en temps quand l’envie vient, peut-être toutes les cinq ou six semaines, peut-être tous les deux mois, me précisant que la dernière rencontre avec Denis remonte au 11 juin. Donc quand l’envie revient, elle souhaite provoquer un rendez-vous lui permettant d'assouvir son fantasme de faire l'amour à plusieurs.
Elle tient surtout à conserver une vie sexuelle à deux très active et régulière, très différente mais tout aussi riche que celle en groupe. Elle veut surtout garder notre complicité pendant ces moments d’égarements, avoir simplement de temps en temps le plaisir de vivre pleinement l'excitation de l'inconnu, le plaisir de l'abandon total et le pouvoir des sensations exacerbées en jouant « la pute ».
Donc je décide de contacter Gérard, puis Claude-Yves, les informant que Marie est décidée pour les rencontrer, et qu’elle propose la date du 15 et 16 aout, c’est un jeudi et un vendredi, donc nous pourrons faire le « pont », et surtout qu’elle aimerait venir au Manoir de Beuvron-en-Auge, si c’est possible. Marie à bien d’autres conditions où règles : jamais de violence ou de mots déplacés. Tout le monde doit être là pour la même chose : prendre son pied dans une atmosphère agréable. Mais pour sa condition financière, je n’en parle pas, je demande à « mes amis » de la joindre directement en leur donnant sa ligne direct professionnelle.
Concernant Gérard, qui a pu également découvrir les photos de Marie habillées, nues et plus osées, il est ravi et partant tout de suite, il doit simplement prévenir son épouse qu’il a un impératif et qu’il ne pourra pas la rejoindre en Corse le 14 aout, mais le 17 aout…
Pour Claude-Yves, il doit s’assurer que son manoir est libre, son épouse passe les deux mois de juillet et aout dans une autre villa à Ramatuelle, avec ses deux petits-s…Mais il doit s’assurer que ses deux filles (40 et 33 ans) rejoignent bien leur maman dans le Var.
Et oui, Claude-Yves a deux filles plus âgées que Marie…C’est fou et excitant à la fois.
Claude-Yves, c’est certain, va s’arranger et se rendre disponible pour pouvoir profiter de ma belle Marie, le seul problème pour l’instant, c’est le manoir…
Comme prévu, Gérard et Claude-Yves contacte Marie, à son bureau, je n’ai pas le détail de leurs conversations, mais lorsqu’elle rentre le soir, Marie, me semble encore plus excitée et coquine que d’habitude…La conversation restera un mystère pour moi, je n’ai jamais eu le détail de leurs échanges.
Donc, finalement, le manoir est libre, nous allons pouvoir nous y rendre avec Marie, qui prend son mercredi après-midi, pour se faire encore plus belle, passage chez la coiffeuse et surtout l’épilation intime intégrale, c’est-à-dire l’épilation de l’ensemble des poils de la zone intime (pubis, sexe, marge anale….) elle garde simplement le petit triangle « bikini ». Pour Marie, c’est un geste beauté. Puis, préparation de sa valise, en emportant les beaux sous-vêtements offerts par Denis, ainsi que ses deux robes, peut-être un peu trop sexy…
La tenue du matin, est plutôt sobre, elle a prévu de se changer au manoir, car nous devons déposer notre fils chez ses parents, sa maman ne peut s’empêcher de nous faire des commentaires désobligeants…
- Eh bien, dites donc, vous avez les moyens !!! après votre séjour en Bretagne et vos vacances dans le sud, vous repartez encore !!!
Je ne réponds pas, à belle maman, pensant simplement à la tête qu’elle pourrait faire si elle savait que sa fille chérie, élevée religieusement dans une école privée catholique de la maternelle au lycée, donc, si elle savait qu’aujourd’hui, le jour de sa fête, Marie, la Sainte Vierge, la Mère de Jésus, allait célébrer cette fête en compagnie d’hommes beaucoup plus âgés qu’elle sa maman, et en se faisant rémunérer…
Nous arrivons au manoir, simplement dans l’allée menant à cette belle bâtisse, les yeux de Marie s’illumine…Marie a toujours été attirée par le luxe, et les belles choses.
- Ouah Éric !!! C’est magnifique, je suis heureuse d’être ici, merci à toi, chéri…
- Non, merci à nous…
- Nous avons beaucoup de chance d’être invités dans un tel endroit, tu sais Éric…
- Mais eux aussi, ont beaucoup de chance de pouvoir…enfin de t’avoir…enfin tu comprends…Nous leurs offrons notre jeunesse…
- C’est vrai, tu as raison, mais moi, à partir d’aujourd’hui, je ne m’offre plus, c’est ça qui m’excite…
Nous sommes accueillis par Claude-Yves qui arrive à la porte d’entrée de son manoir.
- Ah oui, il n’est pas jeune, sa voix est trompeuse !!! Me lance Marie.
- Oui, mais il est très sympa…
Claude-Yves, est très soigné, bien coiffé, et sa tenue lui va très bien, je pense même qu’il a perdu quelques kilos, je lui fais remarquer, il est très fier de nous annoncer qu’il a perdu six kilos avec un programme sportif intensif, et que c’est grâce à nous, à nos projets de rencontres avec Marie et moi. Amélia et Armindo, le couple Portugais gérant le manoir, me reconnaissent et semblent surpris de me retrouver avec une très belle femme comme Marie, ils ne sont pas bêtes…Nous nous installons dans notre belle chambre avec une belle vue dégagée sur les bois, les étangs et la piscine et à droite « le musée ».
Marie en profite pour se changer, elle passe la superbe robe offerte par Denis à Trébeurden, c’est une robe un peu trop sexy à mon gout, fines bretelles laissant apparaitre sa belle poitrine, croisée devant, laissant apparaitre sa jambe droite, mais surtout elle est jaune moutarde…couleur chaude qui convient bien à ma blonde…Mais comme à Trébeurden, elle s’aperçoit que l’on découvre ses sous-vêtement trop marquants, elle décide de les retirer…
Nous descendons, retrouvons Claude-Yves, et Gérard qui vient d’arriver…Le regard des deux hommes est évocateur, ils sont éblouis par la beauté de Marie.
- La beauté d’une femme, Marie, se voit dans ses yeux et vous Marie…Que vous êtes belle, et cette robe Marie…Vous êtes magnifique…Merci à vous de nous accorder du temps, sincèrement merci. Déclare Gérard, littéralement sous le charme.
- Merci beaucoup, Gérard, lui répond un peu impressionnée Marie.
Claude-Yves, nous propose une coupe de champagne, connaissant les gouts de Marie et son penchant pour ce breuvage, puis une deuxième avant de faire la visite de la propriété tous les quatre. En ce 15 aout 1991, il fait très beau en Normandie, Gérard et Marie me semblent déjà très proches lors de cette visite.
Nous sommes Claude-Yves et moi, à quelques mètres, mais celui-ci n’est pas concentré sur notre conversation, effectivement en fonction des rayons du soleil, de notre position, nous distinguons bien « toutes les formes » de Marie…
- Éric, ta femme est vraiment belle, et ce cul, ce n’est pas possible, elle ne porte rien en dessous…J’aime…Et ses jambes de rêves…longues et fines…Elle a une allure de déesse…Et son décolleté aphrodisiaque…Ce n’est pas possible, elle doit mettre en ébullition n’importe quel homme normalement constitué…
- C’est vrai, qu’elle est très belle…C’est ma seule réponse donnée à Claude-Yves.
- Et puis son sourire ravageur…Ses grands yeux bleus qui me captivent par leur intensité…son visage de poupée…Franchement, tant de beauté pour une seule femme est une injustice pour toutes les autres…
Nous continuons la visite en compagnie de Claude-Yves et Gérard, Marie est heureuse dans cet endroit, elle est éblouie par tout ce qu’elle voit, tout ce qu’elle touche…Gérard aussi d’ailleurs, car il est très tactile avec Marie…qui semble apprécier sa compagnie.
Après avoir fait le tour de la propriété, nous passons par le musée et la collection de voitures de Claude-Yves, qui propose à Marie de faire un tour à Deauville dans une Ferrari 348 cabriolet en fin d’après-midi…Proposition acceptée par Marie à la condition qu’elle la pilote…Puis nous passons au bar, Claude-Yves, nous propose une coupe de champagne pendant que nous discutons tous les quatre, Marie est radieuse, elle baigne dans le luxe, le haut de gamme, elle aime le raffinement. Marie est assise sur une table, sa petite robe très courte et très décolletée de couleur moutarde est bien remontée. Et quand elle croise les jambes, Gérard et moi pouvons profiter d’un étonnant spectacle.
Comme elle ne porte rien…C’est un moment qui n’est pas sans rappeler la célèbre scène de Sharon Stone dans Basic Instinct (le chic en plus), film qui sortira en salle l’année suivante en 1992. Marie à peut-être inspiré les scénaristes…
Puis nous buvons une deuxième bouteille de champagne, Marie est toujours aussi radieuse, coquine, elle plaisante beaucoup avec Gérard, qui ne manque rien du spectacle à chaque croisement de jambes de Marie…Gérard me demande la permission d’embrasser Marie, je suis surpris par sa demande, mais finalement Marie vient s’assoir sur lui pour l’embrasser…
Même si, je n’apprécie pas beaucoup les échanges de baisers entre Marie et les autres hommes, je dois vous avouer qu’après son spectacle de « croisements de jambes », je suis particulièrement excité, excité aussi par les réactions de nos amis qui sont véritablement en admiration…
Puis Claude-Yves qui semble plus qu’excité encore demande à Marie, si elle bien venir visiter les pièces de l’étage, en fait simplement composées d’une grande chambre avec plusieurs lits, un coin salon et une grande salle de bains. Au passage, elle prend une autre bouteille de champagne, je me charge des coupes, et quand nous montons les escaliers, Marie devant, nos vieux compères sont aux premières loges du déhanchement de ma belle Marie…
Les mains sont un peu baladeuses, le champagne coule à flots, Marie est un peu pompette. Petite musique sympathique, que Claude-Yves apprécie, Marie danse légèrement…Puis Gérard qui n’en peut plus de la voir se trémousser, lui demande :
- Alors, Marie, vous êtes la pour nous faire plaisir ?
- Euh, oui, Gérard !!!
- Alors, vous dansez…puis strip-tease…D’accord !!!
- Oh, oui, je veux bien, mais…Je…Enfin…Je ne porte pas grand-chose… Lui répond Marie, très surprise de la demande et surtout embarrassée, car elle adore les strip-teases, mais quand il y a beaucoup de vêtements à enlever.
Claude-Yves et Gérard prennent beaucoup de plaisir à la voir danser, puis elle commence son strip-tease, en remontant sa petite robe, laissant apparaitre sa « coupe bikini », et en se retournant ses jolies fesses bien rondes, fermes et rebondies. Leurs mains se promènent sur elle quand elle s’approche d’eux, puis elle retire le nœud des fines bretelles de sa robe, et délicatement, elle se découvre jusqu’en dessous du nombril. Ses seins fermes de jeune femme attirent toutes les convoitises, il faut dire qu’elle a une très belle poitrine. Puis elle laisse glisser sa petite robe à ses pieds, se tourne pour la ramasser, devant le visage de Gérard, au bord d’un arrêt cardiaque devant la vue d’un si beau cul offert…Puis lui donne (la robe) en venant l’embrasser.
Elle se laisse effleurer les seins, les jambes, les fesses, « ses vieux cochons » comme elle les appelle, sont aux anges. Moi aussi, j’assiste au spectacle de ma femme devant nos deux amis…Cela m’excite…Je la trouve belle, élégante, digne, classe, je suis fier d’elle…Elle est maintenant entièrement nue devant nous.
- Vous permettez Marie, que nous nous mettions à l’aise…nous aussi ?
- Oui, bien sûr…Répond Marie.
Nous nous déshabillons tous les trois, Marie nous regarde en souriant, inspectant nos amis, elle semble s’attarder sur le corps de Gérard qui est bien conservé, et son sexe est en très grande forme et de très bonne taille…Puis regard circulaire vers Claude-Yves…Les chairs sont flasques, le ventre mou et pendouillant, tout comme ce qui a dû être des pectoraux, il y a longtemps…Mais il a 62 ans.
Nos amis s’assoient nus sur le canapé, je m’installe en face d’eux sur un fauteuil.
- Venez donc vous asseoir ici ma « petite chérie ». Lui demande Gérard, en lui faisant une place entre eux deux.
- Ecartez bien vos jambes…et posez-les sur les nôtres. Lui demande à son tour, Claude-Yves.
Elle s’installe, cuisses écartées, la chatte offerte à ma vue, je vais m’agenouiller devant elle. Elle ne porte que ses escarpins, son alliance et un petit collier, elle est totalement nue, elle boit encore une coupe de champagne, en trinquant avec nos deux amis.
- Vous aimez les caresses ? Marie. Lui dit Gérard en titillant un de ses tétons qui s’empresse de réagir en pointant tout dur.
- Montrez-moi comment vous caressez, Messieurs. Dit, Marie effrontément.
- Vous aimez ça ? Marie. Lui répond Claude-Yves, pendant que deux de ses doigts taquinent un téton.
Une main de Gérard soupèse l’autre sein et le caresse. En guise de réponse, elle prend la main de Claude-Yves, elle lèche ses doigts, elle les met dans sa bouche et elle les suce comme on suce une bite.
- Quelle charmante petite coquine, vous faites Marie, je peux sans doute leur faire parcourir d’autres territoires maintenant qu’ils sont humides ?
- Ne vous gênez surtout pas. Fait-elle en écartant mieux ses cuisses.
Claude-Yves se penche, accentue d’une main l’ouverture de ses jambes, et vient caresser doucement son petit minou. Je suis toujours à genoux devant elle, je m’approche et viens lécher l’intérieur de ses cuisses, remonte jusqu’à sa chatte et j’y glisse ma langue tandis que mes doigts s’attardent sur son clito.

Gérard à sa gauche caresse ses cheveux derrière sa tête, approche sa bouche de la sienne, ses lèvres se posent sur les siennes. Elle glisse doucement sa langue, sa langue pénètre sa bouche, de plus en plus fougueusement tandis que sa main gauche vient tripoter sa hanche, son ventre, et descend elle aussi vers sa chatte.

Imaginez la scène. Une jeune femme toute fraîche toute juste 32 ans, vautrée cuisses ouvertes entre deux vieux cochons pervers de 56 et 62 ans, elle se fait tripoter la chatte, lécher, et embrasser goulûment devant son mari, qui en plus prend un énorme plaisir…C’est incroyable, ce moment est purement délicieux pour moi.
Le jeu dure un peu, des doigts lui caressent l’anus, elle se laisse faire et s’offre autant qu’elle le peut. Elle s’attache à ce que rien ne leur paraisse impossible avec elle.
Avec le recul je me dis qu’elle était déjà très coquine à cette période et moi surtout très pervers. La plupart de ses amies auraient été dégoûtées par ces deux vieux cochons. Elle y prenait du plaisir. La sensation de braver des interdits y était pour beaucoup, faire quelque chose de jugé « inconvenant » l’excitait beaucoup. De même que ses prestations des deux jours qui étaient tarifées l’émoustillaient, elle ne voulait surtout pas décevoir « ses clients », comme elle les appelle pour plaisanter entre nous. Et puis sincèrement, j’y prenais personnellement beaucoup de plaisir et Marie physiquement également, ils s’occupaient tous les deux très bien d’elle.
Les choses s’accélèrent ensuite, elle passe à plat ventre sur le canapé sur les genoux de Gérard, ses doigts lui fouillant l’anus, tandis que la bouche de Marie donne toute satisfaction à la queue de Claude-Yves. Je reste spectateur, attentif aux gémissements de ma belle, elle s’abandonne, semblable à un pantin désarticulé.
Elle se fait copieusement lécher l’anus et doigter la chatte par Gérard tandis qu’elle se faisait lécher et téter les seins à califourchon sur Claude-Yves sur le canapé.

Puis ensuite à quatre pattes sur le tapis, Gérard sous elle lui dévorant sa chatte, tandis qu’elle me suçait devant elle, et que Claude-Yves se faisait plaisir derrière elle en la sodomisant virilement.
Je me souviens d’elle, allongée sur le dos sur lit, la queue de Gérard la sodomisant allègrement tandis que sa tête renversée en arrière, engloutit celle de Claude-Yves alors que je lui caresse ses tétons. Marie est trempée de partout, c’est une relation plutôt physique et la belle assure « le service ». Mais Marie est infatigable, elle épuise nos « amis », qui ont déjà bien jouis. Elle continue, ils doivent en avoir pour leur argent, pense-t-elle ?
Ensuite à genoux, elle suce la vieille bite de Claude-Yves, assez riquiqui, mais à 62 ans après une ou deux éjaculations, le vieux a assuré, tandis que les mains de Gérard pénètrent sa chatte et son anus, si je me souviens bien ce micro pénis lui a d’ailleurs éjaculé dans sa bouche. À l’époque elle avalait encore, moi aussi j’avalais à cette période, la communication sur le VIH n’ayant été importante qu’après.
Inutile de dire que sa prestation a été largement appréciée ce jour-là par Gérard et Claude-Yves
- Oh, ma chérie, merci à vous, merci de vous donner de la sorte…Quel plaisir de vous faire l’amour, et oui l’amour est un besoin, Marie, le sexe juste une envie…Et j’ai tellement envie de vous Marie. Lui déclare Gérard.
- Merci. Lui répond Marie encore essoufflée et qui récupère
- Merci, merci à vous belle Marie, merci aussi à Éric de nous la confier. Le sexe entre deux personnes, c’est beau. Entre quatre personnes, c’est fantastique, vous le savez ça Marie. Dit Claude-Yves.
Marie assise sur une petite table est dégoulinante…de sperme…sa petite chatte laisse couler… Un trop plein de semence coule aussi au coin de ses lèvres mais elle n’en a cure, elle ne s’en rend même pas compte. Le filet descend sur son cou. Elle a beaucoup jouit, la tête lui tourne, il lui faut vraiment récupérer avant de filer à la douche.
Pour Gérard et Claude-Yves bien sûr, c’est un vrai plaisir que d’avoir une jeune femme dévergondée pour satisfaire leurs vices. Pour Marie, c’est le début d’un cycle, qui va durer pendant trois ans, elle a beaucoup aimé baiser comme la pire des salopes avec des hommes très âgés et fortunés. Ces vieux l’excitent beaucoup, ça l’excite, ça ne s’explique pas. L’atmosphère de perversion, ce côté un peu malsain, ses rémunérations, elle n’aime pas ce mot, mais sa façon de « se prosti », cette petite honte qu’elle ressent intérieurement décuple son plaisir et je ne vais pas vous mentir, le mien également.
Après une douche collective, où les mains se sont beaucoup baladées et les langues mélangées, nous retournons au manoir pour déjeuner.
Pour la suite de nos aventures de ce 15 août, vous devez encore patienter et attendre le chapitre 13.

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