Collection Puceau - Pucelle. Le Professeur De Piano Et La Pucelle (1/4)

• Bonjour, monsieur Christian, puis-je vous demandez un service !
• Sans problème madame Jeanne, si je peux vous rendre ce service, je le ferai volontiers.
Vous savez l’estime que j’ai pour vous et votre mari.
• Merci, monsieur Christian.
Alors voilà, puis-je vous confier Valentine, le temps de sa leçon de piano ?
• Vous avez une urgence, ce sera la première fois que vous la laisserez seule avec moi !
• Mieux que cela monsieur Christian, vous serez le premier avec lequel je laisserai ma fille tout cours, c’est dire la confiance que j’ai en vous.
Depuis sa naissance, Valentine a toujours été accompagnée par ma sœur ou par moi chaque fois qu’elle sort.
Agnès, ma sœur lui a fait l’école dès qu’elle a été en âge.
Mon mari et moi la préservons en vue du mariage que nous allons conclure avec un garçon de la meilleure lignée possible.
Cela a été le cas pour moi, j’ai été élevée dans les meilleurs préceptes pour qu’une jeune femme devienne une épouse parfaite.
On m’a présenté Félix et après notre nuit de noces, nous avons eu Valentine.
Il est banquier, mais nous espérons trouver pour notre fille un jeune mari avec particule.
Vicomte, nous osons espérer Comte, Duc, ce serait le sommet de notre réussite avec elle.
• Reine, elle est si jolie qu’elle pourrait épouser le roi !
• Vous avez raison, monsieur Christian, regardez ce cou gracile et délié, il est fait pour porter les joyaux de la couronne, mais des soudards nous ont privés de notre roi, il y a bien trop longtemps.

Une royaliste, cette grande femme brune dans son tailleur strict rêve du retour du roi.
Se verrait-elle courtisane, mieux favorite d’un roi à se faire baiser alors que son mari le saurait et fermerait les yeux à ses escapades.

• Mais je divague, ces révolutionnaires nous ont privés de ces plaisirs au détriment d’un nouveau monarque qu’ils élisent tous les...
Je l’ignore d’ailleurs, je refuse de participer à cette mascarade.


Voilà ce que j’ai à vous demander, Mère est en maison de retraite à dix minutes d’ici.
Depuis les restrictions des visites, après cette sale épidémie, il était interdit de voir nos proches en tête à tête.
Nous faisions des emplettes avec Valentine avant de venir à sa leçon quand Agathe m’a appelée, elle a reçu un coup de téléphone de la maison où se trouve Mère.
Les visites dans la chambre de Mère sont de nouveau autorisées trois heures par semaine depuis que tous les résidents ont été vaccinés.
Ma sœur m’attend, il nous est possible de la voir aujourd’hui.
Vous savez à 89 ans, nous savons que le temps nous est compté.
Pour une fois, si vous êtes d’accord, je laisse ma fille sous votre protection et je vais rejoindre ma sœur qui est donc dans l’impossibilité de garder Valentine.
• Partez sans crainte, chère madame, votre fille est dans de bonnes mains.
• Mère, embrassez votre Mère pour moi, j’espère la voir bientôt même derrière une vitre.

Pour être en de bonnes mains, celle dont je découvre la virginité tellement improbable à notre époque, vient d’être confié à un sérial niqueur.
Si la chaste madame Jeanne savait le nombre de femmes, souvent mariées que j’ai sautées sur le canapé derrière elle, elle aurait bien moins confiance en monsieur Christian.
Mais, bref, elle nous quitte.

• Mademoiselle Valentine qu’allons-nous travailler aujourd’hui ?
Je vous suggère, de reprendre « Jeux d’s » de Bizet que vous avez travaillé seule jusqu’à maintenant.
Savez-vous pourquoi devant un piano, il y a un tabouret aussi grand alors que la plupart du temps nous jouons seuls ?
• C’est pour ces morceaux à quatre mains que nous nous en servons.
Tante Agathe en plus d’être mon professeur en joue avec moi.
Nous avons travaillé ce morceau.
Avec vous je vais progresser.

Nous nous installons, nous commençons, je reste sage, au moins cinq minutes.
Je bande simplement à la regarder du coin de l’œil tout en jouant.

Une des quatre mains quitte le clavier et descend vers sa cuisse.
Une vierge, nul doute qu’elle est vierge s’il est exact que depuis toute petite elle est toujours restée avec une adulte.
Un regard, aucune réaction.
Sans hésiter, je la pose sur sa cuisse.
Elle s’arrête de jouer, moi aussi.
Ce petit jeu, à quatre mains, je le pratique souvent avec des femmes voulant se perfectionner avec un prof de piano.
Ça fait trente ans que j’exerce, ce canapé ou j’espère bien conduire ma nouvelle tourterelle, en a vu en moyenne une par semaine.
Trente fois cinquante, je prends des congés au cap, je suis naturiste même à 50 ans.
Piano et abdos sans oublier la salle de sport trois fois par semaine.
Merde 1 500, bon, soyons plus réaliste, certaines semaines, aucune femme infidèle à me mettre sous la dent.
Allez, je vous les fais à 1 200, qui sont passés dans mon lit ou sur mon canapé.

• Monsieur Christian que faites-vous ?
• Je fais passer mon fluide musicien de ma main à votre cuisse Valentine.
• Oh ! votre main me chauffe, monsieur Christian.
• Eh ! là, ça vous brûle un peu plus.

Je suis au point sensible ou ça passe malgré que ce soit gros ou ça casse.
Ça semble passer, elle met simplement une main sur la mienne.
Ce qui la brûle, c’est ma main caressant son sexe au travers de sa robe légère.

• Ta robe est jolie Valentine, j’adore sa douceur.
• Nous venons de l’acheter avec Mère avant de venir, je l’ai tellement aimée que la vendeuse a enlevé les étiquettes pour que je la garde.
• Tu permets que je détache ces boutons, mon fluide passera plus facilement.

Sans attendre, son silence vaut acceptation.
Chaque fois ça marche, les salopes satisfaites de tromper leur mari sautent sur l’occasion.
Petite culotte blanche de petite fille sage, mes doigts caressent son clitoris au travers du tissu.

• Monsieur Christian, qu’est-ce que ce plaisir qui irradie mon corps, est-ce votre fluide qui est passé en moi.

• Presque ma chère Valentine, levez-vous et venez près de moi sur ce canapé, je vais vous faire découvrir des choses, qu’il me semble, on vous a caché.
• Je vous suis, mais il faut que vous sachiez que Mère dit toujours la vérité, ainsi que tante Agathe.
• Je veux bien te croire petite Valentine, mais comment pourrais-tu poser des questions sur des choses que l’on a omises de te dire.
• Si ce que vous dites est vrai, monsieur Christian, vous aurez bien un exemple à me donner.

Je viens de m’asseoir sur mon canapé.
Avec les autres femmes, à partir du moment ou elles m’ont suivi jusque-là, fini les leçons de piano.
Ces gourgandines savent très bien pourquoi elles sont à mes côtés et ce qu’elles doivent faire pour que je les satisfasse.
Avec Valentine, il faut éviter de la brusquer et l’amener là où je veux qu’elle découvre la vie réelle.
Je lui prends la main et la pose sur mon sexe, qui commence à frétiller.

• Valentine, sais-tu ce qu’il y a dans mon pantalon sous ma main !
• Oui, Christian, votre petit oiseau qui vous sert à faire pipi.
Ma tante Agathe m’a bien formé en sciences naturelles et m’a fait voir des dessins dans l’encyclopédie de ces zizis comme elle les appelait.
• Veux-tu en voir un en vrai ?
Tu vas découvrir ce qu’elle t’a caché certainement pour que tu sois pure jusqu’à ton mariage avec ton Vicomte.
• Ou le roi, elle croit que dans peu de temps, la révolution qui a décapité Louis XVI remettra le Comte de Paris sur le trône et que je pourrai l’épouser.
• Valentine, fêtes-tu Noël tous les ans ?
• Oui, bien sûr, c’est le moment où je peux faire des cadeaux aux gens que j’aime.
• Crois-tu toujours au père Noël ?
• Arrête de me prendre pour une sotte, j’avais douze ans quand Mère m’a dit que le père Noël, c’était Mère et lui ainsi que tante Agathe.
• Valentine fait une croix sur ton roi, regarde ce qu’ils te cachent.

Je défais ma ceinture et j’ouvre ma braguette.

Il y a bien longtemps que je vis sans sous-vêtement, lorsqu’une salope me tombe sous la main, mieux vaut aller vite avant qu’elle ait des remords.
Libérée de son carcan, ma verge s’érige vers le ciel et termine dans la main de ma petite pucelle.

• Oh ! mon dieu !
• Dieu a créé l’homme à son image, il a juste été là pour ça.
Ce que tu vois c’est une verge en érection qui est faite pour notre plaisir à tous les deux.
Ça s’appelle aussi un pieu, une queue.
Sur quoi jouions-nous il y a cinq minutes ?
• Un piano !
• Exact, mais encore ?
• Un piano à queue.
• Regarde sa forme, ma queue et la queue de mon piano se ressemble.
• Tu as raison, Christian, on m’a caché bien des choses, si ce que tu appelles ta queue est faite pour nous donner du plaisir, explique-moi comment ça fonctionne.
Le piano à queue, je commence à bien métriser.

J’adore le tutoiement et le monsieur ayant disparu entre nous.
J’ignore si je vais arriver à la dépuceler bien que j’ai encore un peu plus de deux heures pour cela, mais à tout moment une chose pourrait m’échapper et nos jeux s’arrêteraient.
Me faire faire une bonne fellation, ce serait déjà une première victoire.

• Première étape, prends-la dans ta main.
• Comme cela ?
• Très bien, maintenant avance ta bouche, vers son extrémité, ça s’appelle le gland ou le méat, les deux mots sont identiques.
Tu vois nous faisons un cours d’anatomie, mais aussi de grammaire, ce sont des synonymes.
• Comme cela ?...

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