Summer Of Love 12

Sans non plus être brusque, je me risque et j'ose effec des mouvements avec mon bassin pour pénétrer Bérénice un tout petit peu plus franchement. De petits coups de reins.

Mes mains écartent les fesses de ma partenaire.

Dans le même temps, elle, elle continue de me chevaucher. Elle continue d'aller et de venir sur moi. De monter et de descendre.

- Vas-y, Bérénice... Pour moi... Tu es si belle, comme ça... , je murmure.

Mes mots lui font de l'effet, il semble... : elle pose ses deux mains sur ma poitrine. Plus précisément entre mes mamelons et mon nombril.

Elle ondule du bassin.

Elle accentue son mouvement de balancier de sorte de se pénétrer un peu plus franchement.

Je vois très distinctement Bérénice qui se penche sur moi. Limite comme si elle s'allongeait sur moi.

Je la connais de mieux en mieux, cette jolie coccinelle...

Quand elle se met à faire ça, je sais ce que ça signifie.

Elle a envie d'un baiser. De baisers. De pleins de baisers.

Elle meurt d'envie que je l'embrasse.

Elle jouit de sentir et de respirer le désir que j'ai au bout des lèvres. Et quand on y ajoute nos regards, les yeux dans les yeux... C'est palpable. Électrique. Nous allons succomber... Nous le voulons.



(...)



Bérénice est sur moi.

Je sens parfaitement son corps contre le mien.

Mon sexe dans son petit cul.

Nous ne sommes plus que sueur et sensations, mais nous aimons ça.

Son visage rencontre le mien.

Elle porte un main à ma joue et la caresse.

- Mon amour... Mon a...mour...

- À toi, Bérénice... Rien qu'à...toi.

Elle en soupire de plaisir, d'entendre mes mots.

Elle lâche prise. Sans cesser de me baiser, elle m'embrasse. Passionnément.

- C'est fini, Théo... Je suis toute à toi.

..

Nous gémissons bruyamment, simultanément.



Bérénice a le souffle court.

Mes pénétrations plus profondes et mes coups de reins plus francs y sont pour quelque chose.

Ma jolie coccinelle n'est, au fur et à mesure, plus qu'une boule de plaisir. Elle est perdue. Vaincue. Soumise à mon sexe en elle. Soumise à son bassin qui ondule. Soumise à son mouvement de balancier qui la rapproche et puis qui l'éloigne de moi.

Notre amour...

Notre désir...

Notre plaisir...

Tout ça est palpable.

Électrique.

Et nous en jouissons.

Ce matin, nous sommes à fleur de peau.

À fleur de nous.

Mais depuis quelques minutes, ma pupuce a décidé, comme ça, comme bon lui semble, de se rapprocher et de coller son corps contre le mien. Pendant que mon sexe s'enfonce de plus en plus profondément, ici, précisément, dans son petit cul, elle, elle a une folle, furieuse envie de baisers. Petit baiser... French kiss... Baiser mouillé... Baiser profond... Pelle...

Bérénice est curieuse.

Bérénice est gourmande.

Et alors même que nous faisons l'amour et que c'est notre première sodomie, elle, elle se montre gourmande, désireuse, demandeuse de baisers.

Nous n'avons plus la notion du temps.

Nous nous foutons du temps qui passe.

Nous sommes si bien, ici, maintenant, à faire l'amour, dans ce premier lit qui est à nous.

J'ai chaud, très chaud. Je transpire. Je sens la sueur que mon corps sécrète et qui me couvre de plus en plus, à mesure que nos ébats gagnent en intensité et en émotions.

Je sens que les draps sont trempés contre mon dos. Mes mains, elles, se sont posées et ont trouvé refuge sur le dos de Bérénice, elle aussi couverte de sueur.

Qu'est-ce qu'elle me fait bien coulisser, aller et venir en elle...

C'est parfait...




J'approche ma bouche du lobe de son oreille.


Je l'entoure de mes lèvres. Je le suce.

J'y place un petit bout de langue. Je le lèche.

Je me fais coquin. Je le veux. Je suis comme ça.

- Encore ! En...core... J'aime !

Bérénice gémit bruyamment.

Elle n'est désormais plus qu'une petite chose perdue.

- Tu es trempée, mon cœur... J'adore quand tu l'es... Pour moi...

- Pour...toi... Rien...que pour...toi... joli oiseau...

Nous bougeons à l'unisson.

C'est agréable. Délicieux.

Jouissif.

C'est parfait.

Elle, Bérénice, elle n'est pas non plus en reste. Non...

Elle se met à imiter mes gestes. Ce que je lui fais pour lui donner toujours plus de plaisir, et ce pour décupler ce plaisir, petit trésor, jusqu'à ce qu'elle puisse aborder en toute beauté les rivages de la jouissance.

Ses lèvres sur le lobe de mon oreille...

Sa langue, et hop! Un petit coup de langue, anodin, par-ci, par-là...

À ce rythme... Si elle aussi, elle veut jouer à ce jeu-là, nous allons être deux...et je ne répondrai plus de rien.

Nous sommes coquin et coquine.

C'est donnant-donnant.

Nous nous mouvons à l'unisson.

Nous nous louvons, l'un sur l'autre. L'un contre l'autre.

C'est très agréable, si plaisant, au petit matin.

- Je t'aime... Bérénice... Si...fort... Ma... jolie... coccinelle...

- Mon amour...

- Abandonne-toi... Pour moi...

Sur ces mots, elle relâche son étreinte et elle se remet à me chevaucher. Je ne sais pas si je tiendrai longtemps, à ce rythme...



Elle a reposé ses deux mains sur ma poitrine, juste en dessous de mamelons.

Mes bras se tiennent le long de mon corps.

Je ne bouge pas.

Je me laisse faire.

Je me laisse aller.

Je laisse Bérénice me chevaucher à sa guise, comme bon lui semble.


Je la laisse me baiser.

Je la laisse se faire l'amour.

Elle est belle, majestueuse quand elle se met dans la peau de l'Amazone. Ses longs cheveux châtains sont lâchés et sont libres. Du fait que nos ébats sont de plus en plus jouissifs, de plus en plus intenses, et qu'elle est en sueur, certaines mèches sont collées sur son front mais, sur elle, ça lui va bien. Oh...oui.

Bérénice me chevauche en toute impunité.

En toute sensualité, devrais-je dire.

Elle est si belle à regarder.

Il ne suffit que de la voir se pencher sur moi, et puis s'éloigner. D'avant en arrière. Elle va, et elle vient. Elle monte, et elle descend.

Je sens à présent très bien mon sexe aller et venir dans son anus.

Bérénice est parfaitement dilatée, lubrifiée.

Mon sexe va et vient en elle.

Bérénice l'Amazone le fait entrer de plus en plus profondément en elle.

Nous sommes deux. Et pourtant, nous ne faisons plus qu'un. Deux corps. Deux coeurs. Deux âmes. Deux sexes. Une seule et même créature sexuelle, hybride.

Ses mouvements sont désormais plus fluides. Plus rapides. Plus faciles. Plus intenses. Plus désespérés.

Elle accueille à merveille mon sexe dans son petit cul.

À aucun moment, nous ne nous quittons des yeux.

Notre première sodomie.

Nous nous en souviendrons.

Pour toujours.



Elle va... et puis elle vient...

Elle monte... et puis elle descend...

C'est un ballet frénétique. Incessant.

Bérénice me baise. Et à présent, c'est avec passion, avec ardeur. Elle est si belle, sexy, majestueuse, surtout comme ça, quand ses longs cheveux sont libres dans l'air, libérés quand ils virevoltent et se collent sur son front du fait qu'elle n'est plus que désir, sensations et moiteur. Surtout comme ça, quand sa poitrine voluptueuse ballotte et s'agite dans une danse qui lui est propre.


Je suis en train de faire l'amour à la femme que j'aime.

Je suis en train de l'enculer.

C'est notre première sodomie.

Et elle est et restera mémorable. On s'en souviendra pour toujours.

Nous y prenons beaucoup de plaisir, elle comme moi. Elle et moi.

C'est parfait.

Nous nous regardons, les yeux dans les yeux. Nous nous mangeons. Nous nous dévorons. Nous sommes deux. Nous ne faisons qu'un.

C'est beau.

Quand... soudain...

Je sens Bérénice subitement, brusquement accélérer le tempo et se balancer plus vite et plus fort.

Je l'encule, et pourtant...

Elle n'a pas l'air de ressentir la moindre douleur alors qu'elle fait en sorte que mon sexe la pillonne à présent.

Mes testicules claquent contre ses fesses.

Bérénice halète.

Bérénice soupire.

Bérénice gémit bruyamment.

Bérénice crie.

Bérénice hurle.

Sa voix est à présent chevrotante.

Son plaisir est intense.

Quant au mien, il est proportionnel à celui de ma jolie coccinelle. Et si elle continue comme ça, sur ce rythme, elle va me conduire à ma perte et je ne répondrai plus de rien quand je jouirai et quand j'éjaculerai en elle.

Elle se retire soudainement. Ses lèvres ne font brièvement que de glisser sur les miennes. Puis, elle se met à quatre pattes et elle cambre son dos. Sa poitrine touche le matelas. C'est comme tout à l'heure...

- Prends-moi par-derrière, Théo ! Je t'en supplie ! Baise-moi ! J'ai envie que tu m'encules comme ça à présent !

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