Visite Chez La Psy

Quand vous apprenez que votre femme vous trompe depuis plus d'un an et que vous comprenez d'un coup pourquoi elle est si distante et ne veut plus baiser avec vous, vous avez tendance à le prendre plutôt mal. C'est ce qui m'arriva en ce jour de mai. J'aurais pu évidemment devenir violent et cogner Valérie jusqu'à ce qu'elle comprenne qu'elle s'était mal comportée, mais comme je suis plutôt du genre faible et gentil je me contentai d'encaisser en me lamentant sans essayer de comprendre où j'avais merdé. Néanmoins après deux journées particulièrement stressantes je me dis qu'il était temps de réagir pour ne pas sombrer irrémédiablement dans une dépression définitive. Je me mis donc à sortir après le boulot et à écumer les bars du centre de Paris espérant rencontrer des noctambules qui pourraient me changer les idées. J'oscillais entre l'abattement et l'espoir que mon épouse mette fin à sa liaison jusqu'au jour où excédée par mon comportement cyclothymique Valérie décide de faire sa valise pour se tirer chez son amant. Évidemment cet événement ne m'aida guère à reprendre le dessus et je finis par me résoudre à consulter espérant que le corps médical pourrait m'aider d'une manière ou d'une autre à surmonter ma dépression. Je suppose que dans ce genre de situation on n'a pas ment envie d'aller tout raconter au médecin de famille. C'est pourquoi je pris rendez-vous avec un autre généraliste du quartier pour lui faire part de mon infortune. Après m'avoir patiemment ecouté il me prescrivit un certain nombre de molécules censées m'aider à retrouver le sommeil et un niveau de moral satisfaisant. Malheureusement toute cette chimie s'avéra plutôt inefficace et je constatai surtout les effets secondaires indésirables liés à leur utilisation sur mon organisme. Je dus subir notamment des érections défaillantes qui m'empêchaient de me masturber sereinement. Je me retrouvai donc avec la triple peine: non seulement j'étais toujours aussi déprimé, mon sommeil était toujours pourri et j'avais du mal à bander.

Je passai donc à l'étape supérieure et pris rendez-vous avec la psychiatre que m'avait recommandé le généraliste au cas où son traitement n'aurait pas fonctionné. C'était une femme efficace d'un certain âge qui m'ecouta consciencieusement lui exposer mon problème et qui sut rapidement me prescrire le somnifère qui me permit de retrouver le sommeil sans que je me réveille le matin avec la bite molle et la gueule dans le cul jusqu'au soir. Après quelques séances complémentaires qui lui permirent de constater que mon état psychique s'améliorait significativement la psychiatre estima sa mission terminée et me suggéra de rencontrer une de ses amies psychologues au cas où j'aurais eu besoin d'être accompagné pour reprendre contact avec la gente féminine. Elle prit néanmoins garde à me préciser que les consultations de son amie n'étaient ni données ni prises en charge par la sécurité sociale.
Après réflexion je décidai néanmoins de prendre rendez-vous avec Anne-Laure S. qui officiait dans un cabinet de psychologie installé dans un luxueux Immeuble situé non loin de Montparnasse. Je gagnais confortablement ma vie et jusqu'alors ma femme n'avait pas manifesté le désir de récupérer ses parts du patrimoine familial. Je me dis donc que dans le pire des cas, cette coûteuse visite allait au moins m'apprendre en quoi consistait une consultation chez un psychologue. Alors que j'étais assis depuis une vingtaine de minutes dans un confortable fauteuil de la salle d'attente, je vis une sublime blonde se diriger vers moi. "Bonjour Monsieur B. Veuillez me suivre" Me dit la bombe en me tendant la main alors que je me levai en essayant de rester le plus stoïque possible pour la saluer. J'estimai l'âge d'Anne Laure à un peu plus de 35 ans. Elle avait un visage angélique, de longs cheveux maintenus par un chignon soigné, un corps mince aux formes bien marquées et des jambes à damner un Saint. Vêtue d'un chemisier blanc tendu sur ses seins arrogants et fièrement dressés, d'une jupe noire fendue qui découvrait ses genoux et moulait idéalement son cul ferme et rond , de collants noirs et de luxueux escarpins noirs à talons de 12 cms, elle aurait filé la trique à un eunuque tétraplégique. Ajoutez à cela une paire de lunettes à la monture discrète qui pouvait évoquer aussi bien la scientifique frigide que la secrétaire cochonne et je me dis que 150 balles, c'était finalement pas cher payé pour raconter ses malheurs à un canon pareil.
Aprés m'avoir salué, Anne Laure me conduisit donc dans son cabinet où elle me fit d'abord asseoir à son Bureau pour collecter les informations nécessaires à la constitution de mon dossier avant de me demander d'aller m'étendre sur le divan installé au milieu de la pièce. Je vous écoute X expliquez moi ce qui vous amène ici commença t-elle après s'être levée et installée debout à un endroit stratégique qui lui permettrait ,du moins c'est ce que j'imaginais, de se concentrer sur ce que j'allais lui raconter. J'avais en effet hâte de connaître son opinion sur ma capacité à affronter le monde extérieur et notamment à établir des relations apaisées avec les femmes sans son aide ou celle d'un de ses confrères.
Je lui relatai donc docilement les divers événements survenus depuis que j'avais découvert mon infortune. Elle comprit rapidement que j'étais toujours épris de ma femme et me confia sans fioritures son ressenti sur ce que je lui avais raconté : selon elle, après avoir encaissé difficilement le premier choc je gérais pas trop mal la situation; il était fort probable que mon épouse finisse par regagner le domicile conjugal si j'étais prêt à faire quelques concessions et enfin il était important que je m'amuse un peu moi aussi et que je rencontre d'autres femmes en attendant. "Votre niveau de stress est correct. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire qu'on se revoie" conclut elle avant de me demander de la rejoindre à son Bureau. Une fois assis en face d'elle elle me déclara d'un ton détaché: voilà c'est terminé. Merci de me régler les 150 euros de la consultation. J'accepte les chèques et les espèces comme paiement. J'étais un peu sur le cul d'avoir été expédié ainsi et je le lui fis savoir: "c'est bien gentil ce que vous me racontez lui dis-je avec une colère retenue et c'est sans doute facile pour un canon comme vous de s'amuser quand elle n'a pas le moral mais moi je ne suis ni Brad Pitt ni Rocco siffredi alors je sais bien que les nanas ne vont pas me tomber toutes crues dans les bras". Ma réaction me surprit car ce n'est pas vraiment mon genre de m'insurger contre les pratiques parfois abusives du corps médical mais je suppose qu'à un moment donné la tension nerveuse accumulée depuis que j'avais appris que j'étais cocu devait finir par se libérer. Anne Laure ne put masquer sa surprise devant ma réaction avant de me considérer avec un certain intérêt. "Et vous espériez quoi mon cher X. Lâcha t-elle d'un ton cassant. Que je vous présente mes amies célibataires ou divorcées pour vous divertir ? Évidemment elle ne manquait pas d'aplomb et je savais bien que le pauvre cocu aurait mieux fait de faire profil bas plutôt que de s'emporter bêtement. Mais j'étais vraiment furieux et je ne pus m'empêcher de lâcher une insanité: "Eh bien vous n'avez qu'à me sucer et si vous me parvenez à me faire jouir je vous paierai le double " Elle ne put s'empêcher de rougir et je m'attendis à recevoir une claque magistrale au mieux et plus probablement à ce qu'elle appelle ses collègues pour me foutre dehors avant de déposer plainte. Mais elle se contenta de se lever et de me demander d'aller m'allonger à nouveau sur le divan. Je me dis alors que mon coup de sang avait finalement porté et que nous allions pouvoir reprendre la consultation sur de meilleures bases mais Anne Laure resta silencieuse. Au bout de quelques secondes elle se déplaça sur le côté du divan de manière à être bien visible puis toujours debout elle me défia du regard. Elle se mit ensuite à défaire les boutons de son chemisier afin de l'ouvrir complètement pour me dévoiler son magnifique soutien gorge blanc en dentelles. Ensuite elle s'accroupit au niveau de ma taille et commença à défaire lentement ma ceinture. Je me mis à bander aussitôt malgré l'état de sidération dans lequel je me trouvais. Bien vite je me retrouvai avec le pantalon et le slip aux genoux juste avant qu'Anne Laure embouche ma queue raide à en être douloureuse. Me croyant en train de rêver je fermai les yeux pour profiter au mieux de la caresse prodiguée par la Psy. Non seulement cette nana était gaulée comme une déesse mais en plus elle suçait comme une reine. Il lui fallut à peine deux minutes pour me faire jouir dans sa bouche et me procurer un orgasme incroyable. Elle s'appliqua à bien me nettoyer la queue avant de remonter mon slip et mon pantalon. Je l'arrêtai d'un geste avant qu'elle referme ma braguette: 150 balles de plus si tu me laisses te rendre la pareille déclarai je simplement en la regardant dans les yeux. Toujours silencieuse, Elle interrompit son mouvement et se remit debout. Je me levai à mon tour et me déplaçai dans son dos pour lui retirer sa jupe. Après avoir défait le crochet je baissai la fermeture éclair et fis coulisser la jupe le long de ses jambes dévoilant son string Tanga et le haut de ses dim up. Je m'accroupis alors pour descendre son slip avant d'embrasser son cul magnifique. Elle souleva les pieds avec grâce pour se débarasser de la jupe et du sous vêtement qu'elle envoya voler à l'autre bout de la pièce. Tout en couvrant ses fesses de mes baisers je faisais coulisser mes doigts le long de sa fente anormalement humide. Je me relevai alors et pris anne Laure par la taille pour la conduire vers le Bureau Massif où je la fis asseoir en la soulevant d'un mouvement rapide au risque de me faire un tour de reins. J'agrripai alors ses cuisses et les écartai pour pouvoir m'agenouiller au milieu. Puis je plongeai ma tête en direction du triangle blond soigneusement entretenu et me mis à lécher et sucer délicatement ses lèvres et son clitoris turgescent tout en explorant son vagin avec mes doigts. Anne Laure soupirait bruyamment faisant des efforts pour ne pas gémir mais elle ne put un cri de plaisir lorsque l'orgasme la rattrapa et qu'elle arrosa copieusement mon visage de son jus intime en maintenant avec force ma tête collée contre son sexe. Le nez planté dans sa fente trempée j'attendis patiemment qu'elle reprenne ses esprits et qu'elle libère mon visage avant de me relever et de m'écarter du Bureau. Je lui tendis ensuite la main pour l'aider à descendre. Sans se soucier que son cul magnifique était à l'air, Anne Laure retourna s'asseoir à sa place de prédilection puis sans prononcer un mot, elle remplit une feuille de son bloc avant de l'arracher et de me la tendre. "Merci de me régler les 450 euros et de fermer la porte de la pièce derrière vous en partant" Pus je lire sur le papier. Je sortis alors 300 euros en espèces de mon portefeuille et payai le solde avec un chèque à son nom avant de remettre ma chemise dans mon pantalon, de récupérer ma veste et de disparaître en silence.