Chez La Soeur De Ma Copine À Annecy.

Il y a une bonne dizaine d'années de cela, j'avais une copine dans le midi. On ne vivais pas ensemble car on avait chacun notre appartement et c'était très bien comme ça. On se voyait régulièrement pour les sorties, les vacances et pour tous les plaisirs qu'offre la vie: l'amour, les bringues car elle aimait beaucoup faire la fête et tout ce qui s'en suit. C'était vraiment le top.
Puis un jour, alors que j'étais chez moi, le téléphone se mit à sonner, c'était elle.
Elle me demanda si je pouvais lui rendre un grand service, l'amener à Annecy chez sa soeur car leur tante était décédée et elle aurait aimé aller à son enterrement. Je lui ai dit: mais ta soeur qu'est-ce quelle va dire en me voyant débarquer chez elle? Elle me dit qu'elle avait tout arrangé au téléphone et que sa soeur était d'accord pour me recevoir et qu'elle brulait d'envie de me connaître.
Etant rassuré, j'acceptai de la conduire car elle ne pouvait pas conduire sur des longues distances.
On est partit le samedi matin de bonne heure et on est arrivé vers 17 heures car on s'est arrêté à Gap pour déjeuner et on a prit notre temps.

Arrivés chez sa soeur et après les présentations, elle nous a montré notre chambre qu'elle avait préparé avant notre arrivée et nous a laissé nous installer.
Puis on s'est retrouvé tous au salon et elle nous a servit l'apéro.
Elle était très jolie, grande 1,76 m, mince et avait un très joli sourire qui était éclairée par ses jolies dents. Blonde, yeux bleus et quand elle se baissait un peu pour servir, elle avait ce qui fallait là ou il faut avec une jolie paire de seins que sculptait son tee short. Elle avait un pantacourt fin qui lui moulait son joli petit cul que je n'hésitais pas à reluquer très discrètement quand l'occasion se présentait. Il faut dire que c'était plus facile car nous étions en Août et il faisait vraiment très très chaud d'autant plus que par ici, avec les montagnes aux alentours cela formait une cuvette et quand il n'y avait pas de vent, on se croyait dans une étuve comme à Grenoble pour ceux qui connaissent.

donc les gens étaient très peu habillés ce qui rendait le voyeurisme très sympa.
Elle faisait des allés et retours car elle surveillait en même temps le repas car elle avait une cuisine américaine donc ouverte sur la salle à manger et sur le salon. C'était bien agréable car on pouvait continuer à discuter même quand elle se rendait dans sa cuisine.
Elle me regardait discrètement et il faut dire que j'étais bronzé venant du midi et je portais une chemisette très fine et presque transparente qui faisait ressortir mon bronzage et un pantalon très fin en lin blanc aussi.
Elle était veuve depuis trois ans environ et son mari était décédé d'un cancer et elle avait trois s, trois ados dont elle s'occupait très bien car elle avait mis sa vie de femme de côté pour se consacrer à ses s, c'était tout à son honneur.
Quand elle était dans sa cuisine, elle me regardait et j'avais comme l'impression qu'elle m'épiait, elle me dévisageait et comme ma copine lui tournait le dos, elle ne pouvait pas voir. Au début, j'étais mal à l'aise, j'étais gêné puis au bout d'un moment, je me suis dit: c'est pas moi qui la regarde, c'est elle qui me dévisage alors donnons lui ce plaisir. Je me suis mis sur le fauteuil de façon à ce que mon pantalon emprisonne davantage mon sexe afin de lui donner toute sa forme. Il faut dire que je suis bien outillé car j'ai deux grosses boules et une bite d'une bonne vingtaine de centimètres et très épaisse. Ce qui m'est vraiment difficile de cacher cette grosse bosse à travers mon pantalon fin. Elle regardait discrètement ma braguette et baissait les yeux quand je la regardais. Puis après le repas et une bonne petite soirée sympa, tout le monde a rejoint sa chambre.

Le lendemain matin, Je me suis réveillé très tôt et il y avait déjà quelqu'un debout car j'entendais un peu de bruit dans la cuisine. Ma copine dormait à point fermé, je me suis levé doucement et après avoir enfilé un tee short et un short, je suis sorti de la chambre et me suis dirigé dans la salle à mangé. Elle était déjà réveillée et préparait le petit déjeuner. Elle m'a demandé si je voulais un café, je lui ai dis avec plaisir merci, elle a apporté dans le salon deux tasses et elle s'est assise en face de moi.
On s'est mis à discuter de tout et de rien mais j'étais content, ravi car le courant passait très très bien entre nous. De temps en temps, elle bougeait pour prendre quelque chose et elle écartait légèrement les cuisses et je pouvais voir sa petite culotte verte. Elle regardait très discrètement vers mon sexe et je ne sais pas si elle voyait quelque chose car je n'avais pas de slip en dessous des fois mon gland ou une couille pointait légèrement sur le côté. En tout cas, elle avait l'air d'apprécier car je voyais son visage rosir un peu.
Puis elle me dit: je te laisse car je vais prendre ma douche, je profite qu'il y a encore personne.
Elle partit dans la salle de bain.
Ma copine étant réveillée, elle m'a rejoint dans le salon et je lui ai servi une tasse de café.
Au bout d'un moment, sa soeur est sortie de la salle de bain, Elle était toute fraîche, toute pimpante, elle avait une petite jupe courte et un chemisier presque transparent ou on pouvais voir son joli soutien-gorge. Elle s'est assise et je lui ai servi un café.
Quand elle écartait légèrement ses belles cuisses, je pouvais voir discrètement sa petite culote qui était assorti à son soutien-gorge.
Ensuite on a déjeuné et après je suis allé dans la salle de bain prendre ma douche.
Il y avait le panier en osier pour le linge sale et en soulevant le couvercle, je pu voir sa petite culotte verte qu'elle portait. Je l'ai pris et je l'ai humé, elle sentait bon la femme et les taches au fond étaient encore fraîches. J'ai passé ma langue dessus et j'ai enfoncé le fond de sa petite culotte dans ma bouche. Je ne peux pas décrire ce que j'ai ressenti à ce moment-là!
Je bandais tellement à la partie que j'avais dans ma bouche était encore, il y a quelques minutes à l'entrée de sa chatte, de son vagin et toute sa cyprine répandue était peut-être du à la bosse que formait mon short en emprisonnant mon sexe ou une boule qui était sortie ou mon gland???
J'ai sorti sa petite culotte de ma bouche et le fond était tout trempé par ma salive.
Puis je l'ai remis dans la panière et j'ai fait ma toilette.
La journée s'est passée normalement en faisant ce qu'on avait à faire puis le soir tout le monde a regagné son lit.
Après avoir fait l'amour à ma copine, dans le noir, j'ai repensé à toute cette journée, à tout ce qui s'était passé: la petite culote etc... Je me suis mis à rebander mais comme ma copine s'était endormie, je ne voulais pas la réveiller.
Le lendemain matin, je me suis réveillé de bonne heure en espérant la voir seule. Je restais allongé dans le lit car je n'entendais pas de bruit dans la cuisine. Au bout d'un petit moment, j'entendis un peu de bruit et j'allais à mon tour me lever mais elle s'est enfermée dans la salle de bain et j'entendais les jets d'eau de la douche.
J'ai attendu un moment puis la porte de la salle de bain s'ouvrit et je me suis levé tout doucement car ma copine dormait profondément et me suis dirigé dans la salle de bain.
J'ai soulevé le couvercle et sa petite culotte qu'elle venait de quitter se trouvait là!!! je l'ai pris et l'ai porté à mon nez pour la humer, elle sentait bon, j'aimais son odeur hummmm!!!!! puis j'ai regardé et il y avait des taches au fond et comme la veille j'ai léché les taches de cyprine qui avait coulé de sa chatte et enfonça le fond de sa culotte dans ma bouche. Je fermais les yeux et commençais à me branler tout doucement. Dans mon excitation, je n'ai rien entendu, ni des bruits ou autre mais quand j'ai ouvert les yeux, elle était là, à la porte, immobile, elle me regardait me masturber et sucer sa petite culotte qu'elle venait de quitter...
J'avais oublié de fermer le verrou de la porte.

Ce fut un grand moment de solitude et de honte et qu'est-ce qu'elle allait penser de moi, elle qui m'avait accueillit, qui m'avait hébergé??? Elle m'a sourit et a refermé la porte tout doucement.
Je l'entendais s'éloigner dans le couloir. J'ai pris ma douche après avoir remis la culotte dans la panière et j'entendais ma copine qui venait de se réveiller, sortir de la chambre pour se diriger dans la cuisine ou était sa soeur... Et si elle lui racontait??? je ne savais plus quoi penser, j'étais vraiment mal. Puis au bout d'un moment, ma copine est venue frapper à la porte pour me dire qu'elle voulais aussi prendre sa douche. J'ouvris la porte et sortis et ma copine me fit un gros baiser en souriant et entra et ferma la porte. Oufff!!! elle n'avait rien dit...

Je me dirigeai vers la cuisine et elle me proposa un café.
Elle vint à côté de moi car elle voyait bien que j'étais mal, que j'étais gêné, que j'étais mal à l'aise, elle me dit en me regardant avec ses grands yeux bleus: merci car quand je t'ai vu, tu m'as redonné l'envie d'être à nouveau une femme.
Après le décès de mon mari, j'ai mis de côté ma féminité pour me consacrer à mes s et toi, quand je t'ai vu dans la salle de bain avec ma culotte dans ta bouche, j'ai été d'abord surprise car je ne m'attendais pas à tel spectacle mais tu m'as rendu tellement heureuse. Je ne pensais plus plaire à un homme. Je t'en remercie, puis elle a pris mes mains et m'a relevé et s'est collé complètement contre moi et je pouvais sentir son coeur battre la chamade et elle écrasait ses seins durs contre ma poitrine. Je me suis mis à bander tellement fort que mon sexe vibrait contre son ventre.
Elle m'a embrassé sur les joues puis dans le cou. Je ne voulais jamais que ça s'arrête, j'étais trop bien.
On ne risquait rien car on entendait l'eau coulée dans la douche. Elle s'est dégagée difficilement car elle souhaitait aussi qu'on reste comme ça puis elle est partie dans sa cuisine. J'étais rassuré, soulagé et très heureux malgré toutes ces émotions.
Après le repas, elles sont allées à Annecy car elles avaient rendez-vous chez la coiffeuse. Je n'ai pas voulu les accompagner car il fallait attendre au-moins une bonne heure.
Elles sont parties et au bout d'un moment, comme il n'y avait rien, comme d'habitude, à la télé, j'ai voulu m'allonger un peu sur le lit et en passant devant sa chambre, j'ai ouvert la porte et suis entré. J'ai regardé un peu partout sans trop toucher pour ne pas qu'elle s'en aperçoive à son retour, puis machinalement, j'ai soulevé un oreiller et quelle ne fut ma surprise de voir dessous, tout un attirail sexuel.
Il y avait deux gods dont un vibrant et à rotation, deux plugs anal, un vibrant et l'autre qui se gonflait avec une poire et un vibromasseur pour clito???
Elle aimait la sodomie? et elle se remplissait ses deux orifices tout en massant son clito hummmm!!!!!
J'avais honte car je violais son intimité mais j'étais tellement heureux de cette découverte que je m'imaginais en train de lui remplir tous ses orifices. Je me suis branlé et ai joui dans ma main puis j'ai enduit de sperme tous les ustensiles en les badigeonnant. Puis j'ai replacé tout sous son oreiller.
Elles sont revenues quelque tempsaprès, toutes belles et pimpantes. Ma copine était châtain foncé et sa soeur très blonde presque couleur paille et toutes les deux avaient des grands yeux très bleus.
La soirée s'est très bien passée et on a beaucoup ri mais surtout beaucoup bu, c'était super...
Le lendemain, c'était le jour de l'enterrement donc normale sans extravagance...
Le petit matin suivant, ma copine étant passée à la salle de bain la première, chose exceptionnelle pour le signaler. Elle proposa d'aller chercher le pain frais et des croissants. elle prit la voiture et partit à la boulangerie qui se trouvait quand même à deux kilomètres de la maison.
Sa soeur qui était restée avec moi me dit en me regardant droit dans les yeux: Moi aussi j'ai fait comme toi, je suis allée dans le panier à linge et j'ai pris ton caleçon que tu venais de quitter et je l'ai humé et l'ai léché. Je n'en revenais pas, je me suis mis à bander tellement fort que ma liqueur sortait du gland et tachait mon caleçon. Je lui dis et ni une, ni deux, elle baissa mon pantalon et se mit accroupie et lécha mon gland tout en récupérant la liqueur répandue dans mon caleçon avec ses doigts puis elle commença à me sucer merveilleusement à tel point que j'étais sur le point de jouir. Elle gobait mes boules remplies de sperme et me caressait les fesses en même temps. C'était magique et l'ayant relevée, je l'embrassai très fougueusement mais avec beaucoup d'amour. Je passai mes mains dans son pantalon et atteignis ses belles fesses très fermes que je m'empressais de pétrir tout en les écartant pour atteindre son oeillet car je savais qu'elle aimait la sodomise. Je baissai son pantalon et sa petite culotte, on était caché derrière les meubles de la cuisine qui servaient également de séparation entre la cuisine et le salon. On était hors de la vue des baies vitrées et de l'entrée, on ne sait jamais!!!. Je m'accroupis à mon tour et tout en écartant sa chatte, je dégageai son clito, le décalottai doucement et en humectant ma lange et mes lèvres, je le pris entre mes lèvres tout en tournoyant autour avec ma langue bien lubrifiée.
Elle se tordait dans tous les sens et gémissait tellement que je du me relever pour mettre ma main sur sa bouche. Elle avait les yeux révulsés tellement elle prenait son pied et sa respiration avait accéléré, je voyais sa belle poitrine se soulever à une allure folle.
On entendit la voiture de ma copine arrivée, on se rhabilla et elle alla préparer le café et ma copine apparut avec le pain et les croissants. Elle nous dit: j'espère que je n'ai pas été trop longue car il y avait beaucoup de monde. On la rassura et on passa à table.

L'après-midi, je décidai de passer un coup de tondeuse dans la pelouse car l'herbe était un peu haute et sa soeur prit le rotofil pour les bordures.
Vers 17 heures, son fils qui travaillait comme apprenti cuisinier dans un restaurant à Genève arriva et après avoir salué tout le monde alla dans sa chambre pour vider son sac de voyage.
Alors qu'on était en train de s'occuper dans le jardin, elle appela ma copine et lui demanda si elle pouvait aller chez son boucher-charcutier pour aller chercher la commande prise le matin par téléphone. Elle accepta mais comme elle ne savait pas ou s'était, elle appela son fils pour lui demander de l'accompagner afin de lui montrer le chemin. Il accepta et partit avec sa tante.

Je venais tout juste de finir de tondre, elle rangea son rotofil dans le sous-sol et la tondeuse, me prit par la main et m'amena dans sa chambre. On se déshabilla, on avait une heure en gros devant nous. Elle me fit allonger sur son lit et se mit en 69 et commença à me sucer goulument et à ma grande surprise, elle arrivait à avaler complètement ma bite et je sentais mon gland écarter le fond de sa gorge er s'enfoncer. Ses lèvres arrivaient contre mon pubis, je n'en revenais pas car ma copine n'y arrivait pas. Je lui bouffais sa chatte en enfonçant le plus loin possible ma langue pour récupérer et avaler sa liqueur et j'écartais en même temps ses fesses et en enduisant mes doigts de salive, je lui titillais son anus qui s'ouvrait et j'enfonçais un doigt puis deux et même trois dans son petit trou en faisant des va et vient, elle gémissait tout et se tortillait.
Puis elle s'est mise sur le dos et après s'être longuement embrassé, je l'ai pénétré d'un coup et je peux dire que sa chatte était tellement trempée que ce n'était pas la peine de lubrifier mon gland.
Il est entré sans difficulté et a disparut en elle. Je lui embrassait et léchait ses magnifiques seins en forme de poire avec ses mamelons gonflés.
Cela faisait trois ans qu'elle n'avait pas eu de rapport, qu'elle n'avait pas eu de vraies bites en elle, à part ses gods. Je la baisais tellement qu'elle hurlait de bonheur, elle pleurait c'était des larmes de bonheur. Puis je l'ai retourné et je l'ai prise en levrette, mes couilles tapaient contre son clito, ça la rendait folle, elle hurlait encore plus fort.
Pendant ce temps, je massais son oeillet et j'enfonçais mes doigts dans son petit trou, puis au bout d'un moment, je me suis retiré de sa chatte toute dégoulinante de cyprine et me suis enfoncé sans difficulté dans son anus qui était sollicité par les plugs. Ma colonne disparue dans son cul.
Je n'en pouvais plus et au bout d'un moment, je me suis retiré et me suis enfoncé le plus profondément possible dans sa chatte dégoulinante de cyprine et après quelques va et vient, en m'arc-boutant et dans un râle, j'éjaculais en elle par de long jets et j'avais l'impression que ça ne s'arrêtais plus tellement j'avais accumulé de sperme dans mes bourses. On resta un moment comme ça, sans bouger, pour reprendre nos esprit, puis je me suis retiré à contre coeur car j'étais tellement bien en elle.
Mon sperme coulait le long de ses cuisses et elle s'empressait de tout récupérer avec ses doigts et de les lécher pour avaler ma semence.Il y en avait beaucoup,..., beaucoup..
On est allé dans la salle de bain pour se nettoyer et on s'est rhabillé.
Quelques minutes plus tard, ils sont arrivés et entre temps, on a eu le temps de préparer l'apéro.
C'était magique...