Défloraisons

« DEFLORAISONS »

A 60 ans, il faut s’entretenir, intellectuellement, physiquement, moralement et bien sûr sexuellement. Pour le physique et le sexe, je pense que le sport m’apporte beaucoup. Je vais vous conter mon histoire.
J’effectuais mes tours de stade en footing et depuis quelques tours, j’avais remarqué, une très jeune fille aux abords de la piste, appuyée sur la main courante. D’abord, j’avais pensé à une fille qui attendait quelqu’un et plus les tours s’écoulaient je remarquai qu’elle me regardait.
Elle commença par me sourire, je prétextais de la gentillesse eu égard à mon âge, aux tours suivants, elle me fit des signes de la main pour me faire « coucou ». Je ne la connaissais pas, me confondait-elle avec une de ses connaissances ? Autant de questions que je me posais.
A la fin de séance, je décidai de m’arrêter à sa hauteur et de l’interroger sur son attitude et que cherchait-elle ?
Elle m’avoua que depuis un certain temps, elle m’avait remarqué et qu’elle voulait faire plus ample connaissance. Je l’invitais à se mettre plutôt en relation avec des jeunes de son âge, elle me fit non de la tête et rougit fortement.
- « Ce n’est pas cela que je cherche » me dit-elle,
- Mais alors quoi ? répondis-je !
Elle était gênée par la requête qu’elle s’apprêtait à faire, je lui demandai d’activer car, je commençais à refroidir.
- Je veux connaître l’amour.
- Mais c’est impossible, je pourrais être ton père, voire ton grand-père, quel âge as-tu ?
- Je viens de fêter mes 18 ans, je n’ai jamais fait l’amour et sachant que la 1 ère fois est très importante pour ma vie sexuelle, je veux quelqu’un d’expérimenté et physiquement athlétique.
- Certes, mes 35 années de sport m’ont conservé mais moralement, je ne peux pas !
- Je m’en fou, c’est vous que je veux et je vous aurai !
-
Déterminée, je n’osais pas la contredire. Etant divorcé, seul dans mon studio, rien ne m’interdisait cette aventure inespérée et inavouée et pour le moins très singulière.



Seule condition, m’assurer de son âge réel.

- Je dis ok, mais je veux une pièce d’identité, je ne veux pas enfreindre la loi.
- Aucun problème, je comprends.
- Etes- vous libre, ce jour ?
- Evidemment, je ne serais pas là répondit-elle de façon un peu arrogante, dû à sa jeunesse et à son stress. Je ne m’en offusquai pas, bien au contraire, j’adore les filles avec du caractère.
Nous partîmes à quelques centaines de mètres du stade et arrivés devant la porte de mon immeuble, je lui redemandai si, elle était toujours consentante. Sa réponse a été de me brandir sa pièce d’identité toute récente devant le nez. Je compris le message… .
Une fois dans l’appartement, je lui ai demandé de m’attendre dans le salon, devant prendre une douche après ma séance de sport.
- Puis-je venir avec vous ?
J’étais comme dans un rêve, je n’y croyais pas, la situation m’échappait, il fallait la reprendre.
On va commencer par se tutoyer, je ne connais même pas ton prénom, moi c’est Mike et toi ?
- Mélanie, mais on m’appelle « Mel ».

Je m’inquiétais, je me demandais si ce n’était pas un piège pour me faire chanter, me soutirer de l’argent. J’ai passé un peignoir et nous nous sommes expliqués dans le salon. Mel m’avouait qu’elle avait eu une enfance difficile entre une mère dépressive et un père très souvent absent de plus autoritaire. Le sexe était tabou et n’a jamais été évoqué à la maison. Ses camarades de classe l’avaient mise de côté de par son ignorance ainsi que pour sa timidité.

Rassuré, je comprenais mieux cette situation et nous nous rendîmes sous la douche à l’italienne. Je l’initiai sur les différentes parties anatomiques de mon corps et du sien avec les zones érogènes à ne pas négliger. J’insistai également sur la nécessité d’une bonne hygiène corporelle avant de faire l’amour.

Nous nous sommes lavés individuellement, nous ne voulions pas trop nous exciter. Je l’invitai à bien laver les partie intimes, ‘sexe, anus et poplités des membres.
Sur le rebord de la douche, elle remarqua la présence d’une poire à lavement. Je lui ai expliqué le fonctionnement et le but de l’utiliser. Elle sourit et alla aussitôt dans les toilettes. Elle voulait vraiment TOUT essayer.

Après m’être essuyé, je me suis allongé sur mon lit « XXL », j’étais nu, couché sur le dos attendant le beau fruit à déguster. Elle réapparu dans le chambranle de la porte et stoppa sa progression. Quelle beauté, fraîche comme une rose, cheveux cours blond paille, de taille moyenne, 1,60 m environ, allure sportive, jambes galbées, des seins très petits mais se terminant par de beaux bouts proéminents. Des yeux noisette, des oreilles biens collées sans artifices, pas de maquillage, seul du verni rouge vif sur les ongles des mains et des pieds.

Elle s’allongeât à mes côtés, souriante, rosée par la chaleur de la douche. Je lui dis qu’il était encore temps de refuser.
- Mike, apprends moi et dis moi ce que je dois faire, voilà sa réponse.
- Tu veux tout apprendre ?
- TOUT !!!! Ce sera la première et dernière fois que nous nous voyons, la seconde fois, je ferai l’amour avec celui que je choisirai, je veux que tu comprennes que je ne veux pas être déçue, pour recommencer tout au long de ma vie.
Je me suis pencher vers elle, et j’ai commencé à l’embrasser sur une joue, sur l’autre joue, sur le front, sur le lobe de l’oreille, des petits baisers délicats, doux, langoureux, je lui ai mis un petit coup de langue dans l’oreille provoquant chez Mel un petit frisson de plaisir. Je plaquai mes lèvres sur les siennes, bécotant leurs commissures. Ma langue légèrement sortie, je lui lissais les lèvres tel un tube de rouge à lèvres. Je commençais à avoir un début d’érection.
Elle n’ouvrait pas la bouche, j’ai le passage avec ma langue, butant sur ses dents, enfin elle comprit mon message, elle entrouvrit sa bouche et ma langue commença à jouer avec la sienne. Elle frissonnait, son souffle se faisait entendre, et je le sentais sur mes lèvres mouillées.

Mes baisers se firent plus pressants, je les dirigeais alors vers ses aisselles, ses flancs, Elle ne bougeait toujours pas. Mes mains caressaient cette peau satinée, elles parcouraient le moindre centimètre carré. Je la respirais, son odeur corporelle m’enivrait. Je m’attelai à ses petits seins terminés par de grands tétons roses. Je les suçais, les léchais, les mordillais à tour de rôle. De mes mains je les pelotais, les caressais, les malaxais, les pétrissais. Elle découvrait ces attouchements et ça lui plaisait.
Je l’ai retournée sur le ventre, je me suis coucher sur elle pour pouvoir lui lécher les épaules, les flancs, elle frissonnait. D’elle-même elle écarta les jambes pour laisser apparaître sa vulve sans poil et son anus. Mon érection était presque à son apogée. Je continuai mes coups de langue en les dirigeant sur ses fesses, je les pétrissais également, à l’instar des ses seins.
- Je continue ? lui demandais-je,
- C’est trop bon, j’adore, continue ! rétorquât-elle.
Je lui relevai sa croupe pour pouvoir accéder à ses parties intimes. Ma main caressait ses mollets, ses genoux, ses poplités, ses cuisses et maintenant, le moment tant attendu arrivait. Je voyais son abricot perler de cyprine, le plaisir de Mel était patent. Je passai un doigt sur sa vulve et comme par enchantement, celle-ci s’ouvrit laissant apparaître son hymen intact. Je me devais de respecter cet instant solennel, pour elle. Je ne devais pas la trahir sur son choix.
Je posai le bout de ma langue sur son antre, son clitoris faisait saillie, il était gonflé de sang. Mon sexe me faisait mal, tellement je bandais du au scénario qui allait suivre. Je voulais aller en elle, je voulais la pénétrer, lui lécher l’anus ainsi que sa chatte dilatée, j’étais fou à la vue de ces images. Je me ressaisis rapidement et je me calmai.
Maintenant ma bouche broutait sa chatte dégoulinante de fluide chaud et gluant. Je mangeais ce fruit mur plein de jus, comme une pêche blanche d’été gorgée de pulpe.
Je me délectais de son odeur de sexe mouillant, transpirant d’envie. Son clitoris subissait les mêmes s de plaisirs. Je lui léchais le cul qui avait été bien lavé au préalable. Mes lèvres, mon nez, mon menton suintait de sa mouille. Elle agrippait les draps, ses mains tordaient l’oreiller dans lequel, elle étouffait ses cris et ses gémissements.
- Es-tu prête Mel ?
- Je n’en peux plus, j’ai top envie de ton sexe dans ma chatte et dans mon cul !
Je la retournai sur le dos pour pouvoir m’accoupler en position du missionnaire. Je mis mon gland sur son clitoris, elle tremblait de peur et de plaisir, elle me regardait en m’implorant de la prendre. Sans attendre, je positionnai le casque de ma queux sur l’entrée de son vagin et je poussai doucement, sans arrêter, déchirant concomitamment son hymen. Quelques gouttes de sang perlèrent, mélangées à son jus.
Elle poussa un petit cri de douleur mais, les gémissements et les râles de jouissance ont vite pris le dessus. J’étais presque à la garde, elle était très étroite. Je sentais ma tige frotter ses parois ruisselantes.
Mes vas et viens engendrait un plaisir partagé. Je lui caressais les seins, mon pouce s’activait sur son clito érigé. Elle jouissait de plus en plus fort, ne retenait plus ses cris et ses gémissements. Je me retirai avant que l’orgasme éjaculatoire ne se produise. Je ne voulais pas la mettre enceinte. L’alternative, la sodomie.
Je lui demandai de se mettre en levrette, à quatre pattes, pour qu’elle comprenne. A l’aide de mon gel spécial anal « EROS », je lui ai enduit l’anus ainsi que ma verge. Je la préparai avec une succession de doigts dans le cul, pour la dilater. Une fois les préliminaires terminés, je m’enfonçai dans son cul, progressivement avant d’activer mes allers et venus. D’abord très doucement puis doucement et enfin en la tamponnant de façon soutenue mais pas brutalement.
Son cul était trempé comme sa chatte, ce lubrifiant est extra, aucune douleur, ça glisse, je l’enculais comme dans du beurre. Elle était en état second, orgasmique. Elle jouissait par le cul et mes doigts fouillant sa chatte et son clito la faisaient jouir vaginalement. Je crachai mon sperme au plus profond d’elle, fécondant son cul sans retenue et sans crainte. Je me retirai enfin et je suis parti à la salle de bain me laver le sexe.
Quelques minutes passèrent et je suis revenu dans la chambre, je retrouvai Mel, moitié endormie, ivre de fatigue et de jouissance.
- Tu as jouis à plusieurs reprises, moi une seule fois, il me reste encore un joker. Je veux jouir dans ta bouche, pour que tu connaisses le goût du sperme.
Elle me prit le sexe aussitôt en bouche, elle me branlait et je lui demandais de me masser les couilles ainsi que l’anus, sans oublier le périnée. Elle était très obéissante et s’appliquait à me donner du plaisir. Je me mis en levrette, pour qu’elle puisse me lécher le cul tout en me branlant.
Elle était vraiment docile, elle me pompait, me léchait le prépuce, m’astiquait le gland avec sa langue qui s’enroulait sur ma tige. Je pressais sa tête pour qu’elle me fasse une gorge profonde et l’exciter à nouveau. Je lui demandais de me doigter le cul et de me masser la prostate, cette petite noix près de ma vessie. Elle s’exécutait sans broncher, sans renâcler. Je la doigtais également pour maintenir son excitation extrême. Ca fonctionnait très bien, je sentais venir la jouissance, j’allais éjaculer dans sa bouche. Je la préviens.
- Je vais jouir…
- Vas-y donne moi ta semence !!!
- Avale et continue à me branler et de me sucer, doigte moi plus vite le cul.
Je lui déversai mon sperme dans sa bouche, elle a avalé toute mes giclées, certes moins abondantes vu, que j’avais déjà éjaculé dans son cul.
- Tu es prête maintenant, Mel, tu es formidable, tes amants seront heureux avec toi au lit, je te le garanti.
- Alors quelle est la chose que tu n’as pas aimée ?
- D’ARRETER, je continuerais bien volontiers, c’est tellement bon de jouir !!!! On se revoit quand ?
- Jamais, tu me l’as dit au début de nos ébats mais, si tu as des amies ou connaissances qui désirent la même leçon je suis preneur.
C’est ainsi que nous nous quittâmes fatigués mais comblés.

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