La Fessée
On sétait branché sur internet. Javais mis comme CV : « salope à prendre sans ménagement ».
Il mavait proposé un trip direct chez lui, je le sucerais et il me baiserait comme javais lair de le vouloir. Il mavait demandé si jaimais être dirigé, la fessée, dautre trip SM. Javais répondu que oui être dirigé, que quelques claques sur les fesses me branchait, que le SM pas trop, mais comme il avait envie. Jaime être à la disposition des mecs, quils fassent avec moi ce quils veulent, mais des expériences SM plus marquées ne mavaient pas emballé.
Il mavait donné son adresse et javais dit que jy serais à 20 h. Il mavait précisé la tenue à porter : un slip blanc, un short et un tee-shirt. Heureusement quon était en été ! Le slip blanc aurait du me mettre la puce à loreille
Je métais exécuté et jétais parti à lheure, mais javais eu quelques difficultés à trouver et beaucoup dembouteillages, ce qui fait quà larrivée, jétais un peu en retard. Je sonnais à 20 h 15. Il mouvrit la porte et me fit entrer, mais il avait lair très fâché. Il me fit mettre debout devant lui qui était assis sur une chaise au milieu de la pièce. Il minspecta sans un mot, me fit tourner pour évaluer la marchandise, puis me plaça en face de lui.
« - tu es en retard ! » me dit-il ; « -désolé » répondis-je, « il y avait des embouteillages, et je me suis perdu »
« excuse refusée ! » dit il
Il me regarda encore un moment ; il était assez beau, baraqué, une petite barbe courte, torse nu et en jeans mais lair assez sévère. Un peu déçu, je mattendais à ce que le plan tombe à leau mais pourtant je sentais ma queue bien tendue, elle soulevait mon petit short.
Il mattira alors vers lui, et me fis coucher en travers de ses genoux. Je ne compris pas immédiatement où il voulait en venir
Me maintenant fermement, le bras replié dans mon dos, comme une clé, ce qui allait bloquer toute tentative de méchapper comme jallais rapidement men rendre compte, il me dit : « alors comme ça tu comptais me faire attendre impunément ? eh bien, tu tes trompé, et tu va déguster, et pas plus tard que maintenant
» et une première claque magistrale sabattit sur ma fesse gauche, bientôt suivie par la même, mais fesse droite.
Oui, mais le mec ny allait pas de main morte. Daccord, jétais encore habillé. Mais le resterais-je ? jen était là de mes pensée, couché en travers de ses genoux sans possibilité de bouger autre chose que mes jambes, quand il cessa, et me fit relever. Ouf, jimaginais que cétait fini. Mais, il me tenait toujours et rapidement défit la fermeture de mon short qui descendit à mes chevilles. Il caressa la bosse de mon slip, non sans un petit sifflement. « On dirait que ça ne te déplait pas ? » je ne dit rien. Rapidement, je me retrouvai allongé sur ses genoux, mais cette fois ci avec juste un slip blanc en coton pour atténuer les claques. Ouille, ouille, dis-je quand il reprit sa besogne. Jessayai dagiter les jambes sans autre succès quune accentuation du rythme des claques sur mes fesses. Ça commençait à sérieusement me chauffer le postérieur, mais impossible de se soustraire, toujours très fermement maintenu. Je finis par supplier : « arrête sil te plait, ça fait mal
je ne serais plus en retard ! »
« Cest normal que ça fasse mal : cest fait pour ça, la fessée ! Il aurait fallu y penser avant, et effectivement, quand jen aurai fini, tu ne seras plus en retard !, cest le but ! » répondit il, reprenant la fessée.
Finalement, il cessa de claquer, mais à ma déception, il ne me releva pas, et passa son doigt sous lélastique pour descendre mon petit slip jusquaux genoux. Au début, lair frais sur mes fesses me fit du bien, mais en réalité, les claques étaient beaucoup plus cuisantes. Comme je battais lair avec mes jambes, dans lespoir incertain datténuer la cuisson qui prenait mes fesses, conduisant le slip à mes chevilles, il accéléra fortement le rythme. Jessayai de négocier : « sil te plait, ca suffit !, arrête, je ten prie, sil te plait ! »
« oui me répondit-il, il me plait de tadministrer cette fessée cuisante, profite ! »
Crier napporta rien de plus, alors, comprenant que laggravais mon cas, dans cette situation dinfortune, je parvenais à reprendre mon calme, et à lâcher prise, abandonnant mes fesses à sa vindicte. Il poursuivi la fessée non sans méthode, claquant chaque centimètre carré de mes fesses et de mes cuisses, avec un rythme soutenu mais irrégulier qui ne me permettait ni de prévoir le moment de la prochaine claque, ni lendroit où elle allait tomber. Du grand art ! Je finis par subir la fessée, avec un sentiment dhumiliation délicieux, et, dans la douleur qui prenait mes fesses, un certain plaisir
Quand il cessa, javais évidemment les fesses en feu, et elles devaient être cramoisies. Je senti quelque chose de frais entre me fesses, du gel, et un puis deux doigts me pénétrèrent lentement mais surement. La sensation avait quelque chose de magique.
Puis, il me fit mettre à genoux, non sans avoir fini de me déshabiller. Jétais dans un état second, mon désir était exacerbé, et jattendais avec impatience la saillie.
Après un moment, il me dit de venir à lui, me fit magenouiller entre ses cuisses, et me montra sa queue à sucer. Elle était belle, large, bien tendue, avec un gros gland violacé. Je la pris en bouche mais avait du mal à aller jusquà la base. Il poussa alors ma nuque pour une gorge profonde et me baisa la bouche un moment.
Jallais défaillir lorsquil cria son plaisir en lâchant des giclées de sperme en moi, déclenchant ipso facto un orgasme incroyable
Cest bien ! me dit-il plus tard, tu es une bonne petite salope à fesser et à baiser. Tu reviens quand tu veux.
Nous nous revîmes effectivement quelques fois, avec des variations autour de la fessée, et il ma toujours divinement baisé.
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