Edna-Après La Bataille

L'après-midi est calme.
Le vent frais printanier souffle délicatement sur la plaine.

D'humeur joyeuse, Edna rentre souriante vers le campement, victorieuse d'une nouvelle bataille.
Les ennemis ayant été en sous-nombre et désorganisés, ses compagnons et elle-même ont triomphé rapidement et sans grandes pertes à déplorer.
Elle n'a elle-même qu'une petite blessure sur la cuisse : une entaille si peu profonde qu'elle la trouve plus sexy qu'inquiétante.

Ayant pris un peu de temps pour fouiller les dépouilles adverses, la charmante guerrière marche seule sur le petit sentier, quelques bijoux cliquetant dans son escarcelle.

Au détours d'une butte, Edna passe à côté d'un petit bosquet isolé traversé par un ruisseau et, assoiffée, elle décide de s'y arrêter quelques instants.
Une fois dans le petit bois, elle s'installe sur une pierre plate au bord de l'eau.

Après s'être assurée que personne ne soit encore dans les parages, elle se met à l'aise pour se détendre.

De sa main délicate, elle défait un à un les lacets de son pourpoint, libérant doucement son ample chemise qui danse gracieusement dans la brise.
Elle le retire complètement et ouvre le col de coton fin de la chemise, laissant poindre la peau de son décolleté qui frémis légèrement au contact de l'air doux.

Elle se penche ensuite sur ses jambes, se courbant élégamment pour atteindre les cordons de ses bottes.

Elle les défais et extrait ses pieds fin d'un geste sensuel pour les plonger dans l'eau douce du ruisseau.
Ses orteils sont parcouru d'un imperceptible frisson alors qu'ils embrassent le liquide cristallin.

Détendue par cet air frais qui contraste avec la chaleur étouffante de son équipement de combat, elle se masse avec application les jambes, le dos et les bras puis, après avoir humidifié ses main, se caresse le visage et la nuque.

L'eau dégouline abondamment sur son buste, rendant transparent le fin drap de coton de sa chemise et la gratifiant d'un agréable frisson qui fait poindre ses tétons.

Une insaisissable vague de chaleur parcours alors son corps, émanent de sa poitrine et courant sur son corps jusqu'à son intimité.

Sa main plonge alors vers son entre-jambe.
Elle détache le bouton, écarte un peu le tissu et glisse sa main contre pubis.
De son doigt, elle caresse sa fente avec douceur et commence à taquiner son clitoris.

La chaleur monte alors dans tout son corps.
De son autre main, elle masse doucement ses seins.

Sous le tissu, ses doigts s'activent. Elle en glisse désormais deux dans son antre, stimulant doucement l'intérieur de son sexe, puis plus énergétiquement.

Perdue dans son plaisir, elle laisse échapper de petits gémissement.

Alors qu'elle s'active énergiquement entre ses jambes, elle quitte ses seins pour prendre appuis sur le rocher.

Une soudaine sensation de froid sur sa poitrine la fait sursauter.
Ses doigts toujours en elle, elle s'arrête subitement et lève les yeux.

Derrière elle, elle découvre Avina, sa sœur d'arme.
Elle a elle aussi le haut dénudé et le pantalon défait et l'une de ses mains est au dessus de la poitrine d'Edna, dégoulinante d'eau fraîche.

Avant qu'elle n'ait le temps de réagir, Edna se retrouve avec Avina entre les jambes qui lui retire son pantalon et entreprend de lui lécher la vulve avec vigueur.

Edna se laisse aller en arrière, couchée sur le rocher, et s'abandonne au plaisir.

Les coups de langue d'Avina son sensuels et énergiques, arrachant rapidement un orgasme puissant à Edna qui se contracte dans un long gémissement de bonheur.

Une fois ses esprits repris, la langue d'Avina s'activant toujours entre ses jambes, Edna bascule son amie en arrière, la couchant sur le lit de feuilles mortes et, sans lui laisser le temps de réagir, lui retire son pantalon.

Elle profite d'avoir les effets de son amie entre les mains pour se saisir de sa dague.
Elle songeait avant à utiliser la sienne, mais celle d'Avina présente un pommeau rond superbement lisse et une poignée couverte de cuir finement cousu qui se prête parfaitement à l'usage qu'elle compte en faire

Elle s'installe doucement à califourchon sur le buste de son ami et cambre légèrement le bassin pour présenter idéalement sa vulve à la bouche de sa douce comparse.

Alors que son sexe est à nouveau pris d'asseau par la langue de sa comparse, elle saisit la lame de la dague, profitant de l'absence de tranchant de cette arme destinée à l'estoc, et, prenant appuis sur la garde, plonge avec douceur le pommeau dans l'intimité qui se présente à elle.

La boule de laiton écarte délicatement les lèvre et disparaît en Avina.

La jeune femme sursaute au contacte du métal puis, la chaleur s’emparant d'elle, se met à remuer le bassin, incitant son amie à augmenter l'intensité.

Les deux femmes sont parcourues de convulsions, s'excitant mutuellement avec puissance.
Elles finissent par exploser toutes les deux, laissant leur jouissance jaillir de leurs sexe dans un flot érotique puissant, avant de s'effondrer toutes deux, léchant avec complicité les gouttes de bonheur qui perlent encore sur leurs intimités.