Gaëlle Et Régis - C'Était Un Jeudi
Cétait un jeudi. Je men rappelle très bien. Ma vie a changé ce jour-là.
Il y a, bien sûr, eut des signes annonciateurs mais je ne les ai compris quà cette date.
Nous sommes mariés depuis huit ans. Gaëlle est gynécologue et exerce dans un grand hôpital de notre ville de province où jenseigne les sciences dans un collège catholique. Nous nous sommes rencontrés par pur hasard à loccasion de la naissance dun dun couple de connaissances. Après six mois nous avons aménagés dans une belle villa proche de nos lieux de travail. Deux ans plus tard, nous nous sommes mariés, discrètement.
Gaëlle a toujours été, sexuellement, plus délurée que moi. Je la suivais avec beaucoup de plaisir dans ses jeux et fantaisies sans jamais prendre dinitiatives de crainte de la brusquer. Et cette routine me convenait car rares étaient les jours où nous navions pas dactivités sexuelles ludiques et particulièrement agréables.
Gaëlle ma forgé suivant ses désirs. Habillement, alimentation, sport
sont entrés dans ma vie. De grand maigre je suis passé au gabarit grand molosse. Mes élèves sen amusent et organisent des défis avec les professeurs déducation physique. Défis que je remporte. Moi qui ai toujours été nul en sports.
Elle ma aussi appris à retenir mon éjaculation. Pour ce faire, journellement, elle me prodiguait une masturbation lente. Je devais la laisser mamener au bord de léjaculation sans y accéder. Après quelques mois de son traitement, je pouvais prolonger nos rapports sexuels aussi longtemps quelle le souhaitait. Quand elle était satisfaite, javais droit à sa phrase : « Tu peux éjaculer, maintenant. »
Déjà là, jaurais dû comprendre à quel point elle me dominait. Mais, non. Je nai rien vu venir.
Puis, il y a eu les pornos. Je métonnai quune femme regarde des pornos. De plus, elle ne les regardait que si jétais à ses côtés. Elle me disait chercher des idées amusantes.
Ensuite, elle est passée aux vidéos BDSM quelle visionnait toujours avec moi. De généralités, elle sest dirigée vers le bondage et les dominatrices. Curieusement, elle ne passait pas à la pratique sur ce sujet.
Et je nai toujours rien vu venir. Ou, plutôt, je me demandais à quoi bon visionner ces vidéos si ce nétait pour en retirer quel quinspirations.
Il y a bien eu quelques questions du style : « Tu ferais cela pour moi ? » Je dois dire que javais un peu peur mais jai répondu : « Oui. Si cela tamuse. » Mais il ny avait pas de suite à ces questions et je nai plus accordé dattention à ces occupations.
Ah oui. Jallais oublier. Il y a eu ce samedi après-midi. Elle était allée faire du shopping avec une de ses amies denfance. Elles sont rentrées et ont papoter dans le canapé pendant que je corrigeais des copies dexamens. Au début, ne nai pas suivi la conversation mais après quelques temps, jai compris quelles parlaient sexe, positions, orgasmes, pratiques BDSM. Jétais surpris de les entendre parler aussi librement.
Et je nai rien compris.
Puis, je me souviens, cétait un jeudi.
A la fin dun cours, je jette un il sur mon smartphone. Jai un message WathsApp : « Ce soir, tu seras sodomisé ! » Le message était accompagné dun Gif où un homme se faisait sodomiser, un long filet de sperme balançant au bout de son sexe au rythme des saillies de sa partenaire.
Je ny croyais pas. Cétait une plaisanterie. Jen ai même oublié le message.
17H00. Je rentre, range mes documents et préparé le dîner que je ne mettrai à cuire quaprès avoir reçu le SMS de Gaëlle mavertissant quelle allait quitter lhôpital.
18H00. Lheure habituelle. Rien. Je pense à un accouchement imprévu. Jattends.
18H30.
Je relis le message. Janalyse les mots, la syntaxe, la ponctuation
»
Bon. Une soirée sexe en vue. Jarrête mes cuissons et jobéis.
Oui. Cest cela. Jobéis ! Je ne lai compris que plus tard mais jobéissais à ma femme. Elle avait pris le contrôle sans que je men rende compte.
19H15. Je suis, comme elle me la demandé, nu, dans le canapé.
La clé dans la serrure. Gaëlle rentre et me rejoint. Elle mordonne : « Debout
tourne. » Je mexécute je crois être dans un de ses jeux habituels quand je me rappelle le SMS. Jai un instant de panique. Nouvel ordre : « Penche-toi
les mains sur la table basse
écarte les pieds. » Comme je nécarte pas assez ou pas assez vite les pieds, elle me donne quelques coups sur lintérieur des chevilles jusquà ce que la position lui convienne. Elle me saisit les couilles et à ce moment, je comprends quelle pourra mimposer tout ce quelle veut : « Ouais. Jaimerais quelles pendent un peu. Ce serait plus facile pour poigner dedans. Jarrangerai cela. Réponds-moi oui Madame. » Et comme je tarde, elle me serre les couilles et les tirant vers le bas. Jaccompagne son mouvement et me retrouve à genoux pour souffler au travers de la douleur un « Oui Madame. » « Je vais me préparer. Reste ici. Je viendrai te chercher. »
Jentends la douche puis des vas et viens et enfin elle apparait dans son peignoir blanc qui fait ressortir sa peu bronzée. Ma queue se dresse
Elle sort de sa poche deux disques à démaquiller et un rouleau se collant large. Les disques sont posés sur mes yeux et fixés par deux tours de collant. « Ouvre la bouche ! » Elle y place un objet bizarre puis je la sens attacher quelque chose qui mentoure le cou. « Parle un peu.
Gaëlle me guide vers notre chambre. « A genoux ! A quatre pattes ! » Je suis sur le bord du lit dans la position demandée. Elle me fixe des menottes et mattache celles-ci derrière le dos. Je suis sur les genoux la tête sur le matelas. Je sens quelle me fixe quelque chose aux chevilles. Puis, celles-ci sont écartées. Je suis maintenant le cul largement ouvert. Elle fixe les menottes à quelque chose qui me tire les bras vers le haut. Je tente de prévenir de ma douleur mais rien ne sort de ma bouche. Je sens quelle menduit le cul de ce que je suppose être du lubrifiant. Elle menfonce quelque chose au plus profond de moi. Cest inconfortable mais pas douloureux. Elle le retire et recommence une deuxième puis une troisième fois. « Bon. Te voilà bien lubrifiée, grosse salope. Maintenant, je vais laisser le plug te dilater. Ce sera plus confortable pour toi. » A ce moment, je comprends quelle va réellement me sodomiser. Puis, plus rien. Je reste ainsi à souffrir. Après plusieurs minutes et essais pour essayer de trouver une position plus confortable, je renonce et accepte mon sort. Le temps passe. Gaëlle revient enfin. Elle menlève le gode dont je ne sentais plus la présence. Elle pose ses mes sur mes hanches et je sens quelque chose sur ma rondelle que me pénètre sans effort et sans douleur. Elle commence par de petits vas et viens et alterne avec des retraits quasi complets. Ceux-ci sont plus difficiles à supporter. Je comprends vite que je ne pourrai pas me contrôler. Je ne sais pas ce qui va marriver. Je vais, au mieux, éjaculer, voire me pisser ou me chier dessus.
Gaëlle comprend vite ce qui me fait perdre le contrôle et en use et en . Elle se retire complètement avant de me reprendre dun seul coup, ample, rapide, brutal. Jentends quelle y prend du plaisir et comprends quelle sest équipée dune gode strapless et quelle va me défoncer jusquà son orgasme. Je fais tout ce que je peux pour me contenir puis je renonce. Jaccepte dêtre sa chose. Bizarrement, une fois que jai accepté ma condition, le désagrément sest mué en une forme de plaisir angoissant car inconnu et non maitrisable. Elle me ramonera ainsi pendant une demi-heure avant dexprimer son orgasme dans un long râle de plaisir. Elle effectue encore de petits mouvements pendant un certain temps avant de se retirer.
Gaëlle sen va me laissant ainsi. Elle revient rapidement et me détache, menlève le collant et les disques qui maveuglaient, dégonfle et me retire linflatable gag Ball. Elle me montre une grosse faque de sperme sur le drap. « Lèche. Bouffe-moi ça, salope ! » Je mexécute.
« Va laver les godes et laves-toi le cul ! » Je mexécute et Gaëlle maccompagne afin de me surveiller. Je commence par laver les instruments puis passe dans la douche. « Tu ne te lave que le cul et pas la queue ! » Une fois propre elle me dit : « Va faire le dîner ! »
Je me dirige vers la cuisine, suivi par ma femme. Je perds ici et là des gouttes de sperme. « Bien. Tu as la queue qui pleure. Il faudra que tu ty habitue car jaime te voir ainsi. »
Dun seul coup, elle redevient la femme que jai toujours connue et commence ses conversations habituelles à nos soirées. La seule différence est que je suis nu.
Alors, cela ta-t-il plu ?
Je nai quune réponse en tête cest oui. Jai compris que jattend déjà sa prochaine sodomie mais comment lui dire. Je lavoue simplement.
« Ce sera un « plus » et non un « à la place ». Nous aurons toujours des rapports sexuels comme auparavant mais quand je le désirerai, je te soumettrai comme je viens de le faire car tu as compris. La sodomie est un moyen et non une fin. La fin est de te soumettre. Accepte-tu dêtre mon soumis ? » Je réponds oui sans hésiter. « Quand nous sommes seuls, cest oui Madame ! » Je réponds « Oui Madame. »
Après notre dîner, nous avons débarrassé et mis le lave-vaisselle en marche avant de nous coucher. Je fus autorisé à uriner ce qui mis fin à ma perte de sperme goute à goute.
Le matin de lendemain, après avoir pris notre douche Gaëlle sinstalla pour un missionnaire et me dit « Au travail, esclave ! » Nous fîmes lamour dune manière très classique et après quelle eut dégusté son orgasme jattendai son autorisation pour pouvoir éjaculer quand elle me dit : « Retire-toi ! Pendant un mois, ta seule possibilité davoir un orgasme sera pendant que tu sers sodomisé. » Jobéis. Je compris une fois habillé ce quelle voulait. Son refus de me laisser éjaculer mavait mis sous pression. Javais une envie permanente de faire lamour. Et comme je savais que je ne serais délivré que par sa sodomie, je réfléchissais à ce que je pouvais faire pour obtenir celle-ci.
Je soir même, Gaëlle entrepris de me masturber. Elle me connaissait mieux que la paume de sa main et sarrêta exactement au maximum de mon excitation avant mon éjaculation. « Et maintenant, tu mon fais un bon cunni ! » Jentrepris donc ce que je savais être sa préférence. Un long cunnilingus sans hâte en prenant soin davaler régulièrement et ostensiblement ses secrétions jusquà son orgasme. Je terminai par des mouvements de langue en évitant son clitoris trop sensible à cet instant. Elle vérifia ensuite le drap avant de mordonner : « Lèche-moi le sperme que tu as perdu ! Je mexécutai. Ensuite, elle entreprit de me nettoyer la queue dans une fellation très agréable quelle arrêta juste avant que je puisse éjaculer. « Dans la mesure du possible, je pratiquerai deux edgings par jour. » Et elle tint ses promesses. Jen retirai énormément de plaisir et ne pensai plus quà une chose. Pouvoir éjaculer et donc amener ma femme à me sodomiser.
Si vous avez aimé notre récit, faites-le nous savoir car nous lavons écrit à deux, Gaëlle et moi, Régis. Dans laffirmative, nous publierons une première suite : « Une autre fille entre dans la danse ! »
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!