Toujours Plus Loin.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les jours qui suivent, je récupère tant bien que mal. Cédric ne se rend pas compte de mon humeur maussade et de ma déprime davoir été utilisée comme un objet. Ces temps, lambiance nest de toutes façons pas au mieux entre nous. Néanmoins, il me semble quil multiplie les efforts pour se rapprocher de moi. Jessaie de mon côté doublier ce que jai vécu. Je veux tirer un trait là-dessus. Avec le temps, je pense pouvoir y arriver et me rapprocher de mon mari. Il ne saura jamais rien et nous pourrons construire la vie dont nous rêvions.
Zoé a bien-sûr été curieuse du déroulement de ma soirée. Je lui en ai servi une version romantique. Le deuxième type nest jamais apparu dans mon récit et nos étreintes furent passionnées. Je lui ai bien fait comprendre aussi que cette expérience sarrêtait là et que je nen parlerai plus jamais, à personne. Je ne sais pas si elle ma cru mais elle a au moins eu la délicatesse de ne rien en laisser paraître.
Un mois sest écoulé. Les jours grandissent et la chaleur de lété me fait du bien. Je narrive pas à oublier. Cest impossible je crois. Je me sens toujours humiliée par ce quil sest passé. Je pensais ne plus pouvoir avoir envie dun homme. Pourtant, mon corps doit avoir développé dautres souvenirs que mon esprit. Il a envie de faire lamour.
Cédric qui commence à me refaire des avances, bien maladroites, entrouvre une porte que je vais explorer. Jai maintenant, quoiquelle vaille, une expérience qui me permettra de briser ce tabou entre nous. Ce soir, nous avons prévu un diner aux chandelles.
Petite nape brodée, sauvignon et sushis sont de la partie. La chandelle se consume entre nous et le vin libère nos paroles qui à leur tour rapprochent nos corps.
Je prends les devant et embrasse Cédric. Il me rend mon baiser comme un forcené.
- On a le temps. Doucement. Laisse-toi faire.
- Cest que je
pardon.
Il se recule et se renfrogne. Notre passé nous ratt. Non ! Je ne laisserai pas faire. Pas cette fois. Je me rapproche de lui, le prends par les mains et lembrasse à mon tour. Il se détend. Jouvre sa chemise, bouton par bouton et lui mordille le torse en multipliant mes baisers. Il est encore crispé mais se laisse faire. Assis sur sa chaise il me regarde descendre jusquà son nombril. Jouvre son pantalon. Je vois à la bosse dans son caleçon que mes caresses produisent leur effet. Je sors doucement son sexe et dépose mes lèvres dessus. Il veut men empêcher mais ma langue loblige à lâcher prise. Il est dans ma bouche. Cette sensation est délicieuse. Cest dur et doux à nouveau. Je lembrasse à peine quelques secondes et je sens déjà une explosion dans ma bouche. A nouveau, ce goût salé, plutôt doux, crémeux. Il se tortille un peu en gémissant sur sa chaise. Javale tout. Je nai pas de nausée cette fois-ci. Jaime ça.
Je me retire et le regarde dans les yeux. Il les a mi-clos. Il semble être ailleurs. Puis petit à petit il revient à nous. Je me suis assise sur ses genoux, face à lui.
- Excuse-moi. Je nai pas pu me retenir. Je ne voulais pas.
- Chut
Arrête. Jai aimé ça.
Il rougit. Semble confus. Je lembrasse.
Les jours qui suivent nous offrent une belle différence. Nous nous rapprochons lun de lautre. Il nous faut deux jours pour remettre ça. Nous le faisons dans notre chambre dans une semi pénombre. Cest aussi court que la première fois mais il vient en moi cette fois-ci. Il ne se rend même pas compte que je ne suis plus pucelle.
Puis, petit à petit, nos ébats deviennent plus longs, plus passionnés ; tendre aussi. Cest merveilleux. Nous nageons en plein bonheur.
Nous prévoyons de partir quelques jours en Sardaigne lors de nos prochaines vacances. Nous nous installerons dans un petit hôtel romantique sur la plage. Ce sera magnifique.
Au travail, tout va pour le mieux. Je rayonne. Mes collègues le remarquent.
Je me suis bien sûre assurée que je navais contracté aucune MST pendant cette mésaventure. Heureusement aussi, je ne suis pas tombée enceinte. Quelle chance. Quelle naïveté aussi et quelle imprudence. Dieu soit loué de mavoir épargnée.
Je ne risque plus rien à présent. Je suis avec Cédric, je laime et je ne le quitterai plus.
Mais mon destin a dû en décider autrement. Ou alors je dois payer mon inconscience.
Ce matin, en partant pour le travail, Stéphane se trouve devant mon immeuble. Deux autres hommes sont avec lui. Je reconnais vaguement à ses cheveux roux et à son air bedonnant le type qui était chez lui lautre fois.
Ils sapprochent de moi.
- Bonjour Claire, me lance Stéphane. Tu vas bien je vois. Ton mari est parti travailler il y a dix minutes. Tu nous invites à monter ?
- Je
espèce de salaud. Laisse moi tranquille. Je nai rien à te dire.
Je suis outrée de sa présence ici ; inquiète aussi.
- Allons, ne pars pas. Ton travail peut attendre et puis tu seras certainement intéressée de voir ceci.
Il tient une enveloppe dans sa main. Il en sort une pile de photos.
- Tu vois ! Jai conservé quelques souvenirs de notre dernière soirée.
Le porc immonde. Jai envie de le . Une boule me monte au ventre. Je suis paniquée.
- Donne-moi ça ! crie-je.
- Si tu veux. Jai des doubles.
Jai une furieuse envie de déchirer ces photos et de les lui jeter au visage mais je me retiens. Je regarde celle du dessus. On me voit avec son sexe dans la bouche. Aucun doute possible. Cest bien moi. Je me décompose littéralement.
- Bien ! Tu vois comme tu es mignonne. Maintenant tu vas nous inviter à prendre le café. Nest-ce pas Claire ?
Trois secondes dhésitation me semblent une éternité. Je lutte pour savoir que faire. Je suis prise, ferrée mais mon instinct les envoie balader.
- Allez vous faire foutre !
- Allons ! Ne le prends pas comme ça ! Je te donne ces photos et fais disparaître les doubles définitivement si tu nous accordes ta matinée. Après tu nentendras plus jamais parler de nous.
Je serre les dents à men faire sauter la mâchoire. Puis, je baisse les yeux.
- Daccord.
Devant ma porte dentrée, je marque une hésitation. Jai la clé en main. Je passe le pas et lintroduis dans la serrure. Jai peur de ce quil va arriver. Je me convaincs que je le fais pour le bien de mon couple.
Nous entrons. Stéphane se jette sur le sofa. Le type roux bedonnant sassied à côté de lui. Lautre reste debout, derrière eux. Il est petit. Chatain. Les cheveux très courts avec une barbe de la même taille. Je naime pas ses petits yeux derrière ses lunettes rondes.
Je reste debout devant eux. Près de la table à manger.
- Alors ? quest-ce que tu attends ? Dit le petit aux lunettes. Déshabille-toi. Lentement.
Je manque de m. Jamais on ne ma parlé comme ça, en plus pour me donner un tel ordre. Pourtant je mexécute.
Jenlève dabord mon chemisier noir, puis mes pantalons de la même couleur. Je suis en culotte et soutien-gorge, face à eux ; les mains jointes devant mon sexe.
- Continue, lance Stéphane.
Jenlève le haut, puis le bas. Je suis nue devant ces trois types qui me regardent en souriant. Je suis rouge comme une tomate.
- Elle est pas mal, lance le roux.
- Ouai, jolie croupe. Elle se rase pas la chatte cette conne. Ça mexcite.
Ces paroles sont choquantes. Il se servent dans mon intimité. Jamais je ne me suis sentie si nue, cest le moins que je puisse dire ; ni humiliée.
- Cest bien. Tu es une brave chienne, me dit Stéphane. Maintenant tu vas te retourner et te pencher en avant, puis tu écarteras tes fesses quon puisse voir ton trou de cul.
Devant mon hésitation, il sévente avec les photos quil tient en main. Jobéis.
- Ouah ! Elle a même un peu de poil au cul.
- Ça vous donne pas envie dy goûter les mecs ? Dit-il. Mais avant tu vas venir nous enlever nos habits aussi.
Rouge de honte, je mexécute. Ils sont nus tous les trois dans mon salon. Le roux regarde les photos que nous avons encadrées avec Cédric. Il y celle de notre mariage. Il la tient dune main et commence à se masturber avec lautre en la regardant. Jai envie de le gifler.
- Quest-ce que tu attends ? Je vais pas me sucer tout seul. Dit-il.
Japproche de lui, il mappuie sur lépaule pour que je me mette à genoux. Son sexe obèse est devant mon visage. La pression de ses mains se fait plus forte. Je le prends dans la bouche.
Etonnement, je nai pas de haut le cur. Malgré le tourbillon dans ma tête, je le suce en essayant de ne penser à rien.
Le petit aux lunettes se lève. Il sinstalle derrière moi. Je sais ce qui va arriver. Cest une question de secondes. Il crache dans sa main. Je sens son sexe me pénétrer. Je nai pas mal. Une sensation de chaleur me remplit le ventre. Il pousse des grognements de plus en plus fort.
- Eh, Oh ! Attends Thierry. Tu vas pas déjà lâcher la purée. Cest la voix de Stéphane.
Sur ce, Stéphane matt par les cheveux et me relève.
- Tu fais chier Stéphane, dit le roux. Encore quelques secondes et je lâchais tout dans sa bouche.
- Vous êtes des imbéciles. Vous ne savez pas profiter.
Il me mène vers la table à manger et me bascule dessus. Sans hésitation, il écarte mes jambes et me pénètre. Jose à peine lavouer mais je suis soulagée de savoir que cest lui plutôt quun autre qui me prenne comme ça.
Mon soulagement est de courte durée. Je vois un sexe apparaître au-dessus de moi. Je suis couchée sur le dos sur ma table, Stéphane entre mes jambes. Le petit aux lunettes me fourre alors son pénis dans la bouche. Je manque de m. Je ne le suce pas, il se masturbe carrément dans ma gorge.
A cet instant, je ne suis plus capable de penser. Je ressens malgré moi une chaleur délicieuse dans mon ventre. Par contre, le sexe qui tape le fond de ma gorge me donne envie de vomir. Cette sensation saccentue fortement lorsque dun coup, sans prévenir, ma bouche se remplit de sperme. Jai des haut le cur. Jessaie de recracher. Malheureusement, le liquide chaud me coule sur les joues. Jen ai dans les yeux.
Stéphane se retire.
- Bon ! On la laisse respirer trois minutes puis on la finit.
Je tombe à genoux à côté de la table. Par reflexe je veux me servir de la nappe pour messuyer le visage. Une main ferme me retient aussitôt.
- Reste comme ça ! Tu es très bien, me dit le type aux lunettes.
Ces trois minutes me permettent de prendre conscience de ce qui marrive. Jai le ventre en feu, un sale goût dans la bouche et lil gauche à moitié collé qui pique un peu. Ces sales types profitent de moi. Jamais je naurais crû quune chose pareille puisse marriver. Jen suis bouleversée, choquée. Jai un nud au ventre. Pourtant, je ne sais trop sil me prépare à une nausée fulgurante ou si, au contraire, il espère ressentir la chaleur du sexe de Stéphane au fond de lui. A nouveau mon esprit et mon corps me lancent des signaux contradictoires.
La main ferme de Stéphane me tire de cette brume, il mentraine vers ma chambre.
- Tu vas nous faire découvrir le lit nuptial maintenant. Nest-ce pas ma petite Claire ?
Sans attendre de réponse nous nous retrouvons tous les quatre devant le lit quhabituellement je partage avec Cédric.
- Couche toi ! Sur le ventre, ordonne t-il.
Je mexécute. Privée de toute énergie de révolte.
Il place sous mon ventre le coussin de mon mari ; ce qui a pour effet de surélever mes fesses. Puis, il mécarte les jambes. Je sens une lanière me serrer la cheville gauche, puis la droite. Il est en train de mattacher au lit.
- Non ! Non ! Pas ça. Je ferai ce que vous voudrez, les supplie-je.
- Tu fais déjà ce que nous voulons, pauvre sotte, me répond Stéphane.
Ils tendent ensuite mes bras et me lient les mains. Je me retrouve les membres en croix, les fesses en lair.
Lorsque japerçois Stéphane se pencher sur mon dos, je ressens malgré moi un frisson délicieux. Je men veux dun pareil sentiment à cet instant. Une sensation sublime minonde lorsque je sens sa langue passer sur mon anus. Il va et vient. Il tourne dessus puis doucement y introduit le bout de sa langue.
Il se relève.
- Regardez ça comme elle tortille son cul. On dirait quelle aime ça, lance-t-il à lintention de ses compagnons.
- Elle a même la chatte toute mouillée. On va y entrer comme dans du beurre, rajoute le roux bedonnant.
- Pas sûr, dit Stéphane.
La seconde suivante, je sens son sexe appuyer sur mon anus. Il commence à me pénétrer.
- Aïe ! Non
pas là ! Hurle-je.
Cest peine perdue. Son sexe déchire mon anus et y pénètre totalement. Une douleur fulgurante me traverse et fait tressaillir mon corps. Je ne peux pas bouger. Il pose ses mains sur mes hanches et commence un interminable va et vient entre mes fesses.
La douleur sest estompée. Absorbée par ce que Stéphane me fait subir, je nai pas réalisé que le gros type roux est en train de se branler au-dessus de mon visage. Il appuye son sexe sur mes lèvres et moblige en me pinçant le nez à les entrouvrir. Il en profite pour sintroduire. Je sens tout le poids de son ventre sappuyer sur ma joue et mon oreille.
Il se retire finalement, reprend son sexe en main et recommence à se branler. Pas longtemps.
Son sperme jaillit sur ma joue exposée. Cest tiède. Lentement, je le sens couler pour finalement arriver à ma bouche, que je referme aussitôt. Mes lèvres sont couvertes de sa semence. Il me regarde en riant.
- Trop bonne !
Stéphane ne sest pas arrêté et je lentends pousser un grognement de plaisir. Il est en train de jouir. Il se retire. Avoir le cul en feu ne mempêche pas de sentir son sperme ressortir de mon anus et couler sur mon sexe.
- Tas raison Thierry ! Elle est bonne. Mais elle sait pas baiser. Puis il rajoute :
- Tu pourrais nous remercier de tapprendre. Cest ton mari qui va être content.
A cette évocation, un sentiment terrible de haine mêlé de honte monte en moi.
- Espèces de salauds ! Détachez-moi et partez. Jai fait ce que vous vouliez.
- En effet ! Tu nentendras bientôt plus jamais parler de nous, comme promis. Mais on te trouve très bien comme ça, avec du sperme qui te coule du cul et sur le visage. On va juste prendre un ou deux clichés pour notre collection et on partira. Ton joli petit mari te détachera quand il rentrera. On va lui envoyer un message avec ton téléphone pour quil rentre plus tôt en lui disant que tu as une surprise pour lui.
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