Je Veux Me Faire Ma Voisine. 1
Je veux me faire ma voisine.
Lorsque je me présente ce beau jour dété à la porte de sa maison, le cur me manque, je reste statufié, incapable de faire fonctionner le moindre de mes muscles. Quelque chose dindéfinissable, un sentiment dangoisse que rien ne justifie, me paralyse.
Mon cur battant à tout rompre, les tempes bourdonnantes, mes jambes se dérobant presque sous moi, jen suis à penser rebrousser chemin. Mais un reste de volonté et damour propre me décide à sonner. Jentends une porte claquer
Mais il faut que je vous explique quand même un peu pourquoi jen suis là.
Jai une voisine qui s'appelle Françoise, la soixantaine. Jai toujours été attiré par elle depuis mes quinze ans, et maintenant jen ai quarante. Je fantasme sur elle, elle mesure 1m70 environ et les cheveux blonds demi longs, poitrine normale, beau cul et un joli corps souvent bronzé.
Moi, je nai rien dun apollon mais je ne suis pas moche non plus, cheveux rasé, 1m80.
On est voisin depuis longtemps, mais je nai jamais osé lui avouer ma flamme
Je suis également très copain avec son fils Manu qui a le même âge que moi et vit à cinq km.
Je suis allé lui filer un coup de main dans sa maison, et au cours de la journée, il ma dit que cétait l'anniversaire de sa maman pour ses soixante ans quelques jours plus tard, et que si je voulais venir
Je ne pouvais refuser bien évidement, et me voilà, bien habillé et un beau bouquet de fleurs pour elle, ainsi quune bonne bouteille de vin.
La soirée sest déroulée sans accroc, il y a quelques invités et je fais aussi la connaissance dune de ses collègues, Carole. Elles sont infirmières dans le même service, une vraie bombasse africaine dà peu près mon âge. On a bien sympathisés.
Françoise est en talons haut, un tailleur assez sexy pour l'occasion. Lors de la soirée, je jette des coups d'il assez fréquent à Françoise et peut-être un peu trop appuyés.
La conversation dé un peu car nous avons pas mal bus, mais, à mon grand étonnement, elle ne se rebiffe pas, je dirais même que ça la fait plutôt sourire. En buvant, installé dans le divan un dernier verre qui fait sauter mes dernières inhibitions, je commence à lui avouer mes fantasmes depuis mes quinze ans avec elle.
Françoise se dit très surprise mais plutôt flattée quun jeune la regarde comme si la différence dâge navait pas dimportance. Au moment de partir, jessaie de lembrasser et surprise, aucun recul de sa part. Elle me dit quelle est fatiguée et me demande de revenir demain matin, quelle veut me faire voir quelque chose et me demander ce que jen pense, si cest en assez bon état pour pouvoir encore servir, et (quon reparlera de tout ça)
Françoise vient mouvrir, elle est en bikini car elle était en train de bronzer seule au bord de la piscine. Elle minvite à prendre un café à la cuisine, je suis assis et ai une vue sur sa belle chute de reins pendant quelle sactive sur le plan de travail.
Elle me sert une tasse, se penchant au dessus de moi, exposant à ma vue sa magnifique poitrine, à peine dissimulée par son haut assez lâche. Je lui avoue ce que je ressens et nos conversations reprennent vite sur le sujet dhier. Ses yeux brillent, elle mavoue du bout des lèvres que ça fait quelques années quelle na plus connu d'homme et quelle aimerait revivre les plaisirs de la chair. Elle me demande alors, retirant son haut :
-Je tavais dit hier que javais quelque chose à te faire voir et si tu pensais que ça pouvait encore servir, alors, quen penses-tu ?
Jai sous les yeux ses seins aux aréoles roses doù pointent deux tétons bien développés. Pour son âge, sa poitrine est encore assez ferme et elle fait rouler ses tétons entre ses doigts.
Tout heureux de démontrer mon savoir-faire, je m'empresse de masser les mamelons à l'aide de mes paumes, étonné de constater combien les tétons sont déjà durs et fermes.
Elle sen aperçoit et découvre en quelques gestes précis ma morphologie, très troublée par mon sexe. Elle le couve du regard avec tendresse.
- Tu es bien monté, mon salaud ! Ton sexe est impressionnant, il est majestueux, une vraie merveille, Il me ferait presque peur, tu sais
Allez, déshabille-toi ! Tu seras mieux.
Elle est attentionnée, délicate, et maide à me dévêtir. Ma bouche est sèche et mon cur saccélère. Une main caressante se saisit de mon sexe dressé à la verticale et de mes bourses. Elle me complimente :
- Ta verge est dune dureté à toute épreuve, on dirait une matraque de gendarme.
Tout en parlant, elle passe une jambe par-dessus moi. Sa main monte à ses lèvres, elle lhumecte de salive avant de la passer prestement entre ses cuisses en écartant le bas de son maillot.
Françoise passe ses doigts avec un mouvement de balancier sur cet endroit resté blanc.
Elle saccroupit, une main toujours sactivant entre les cuisses, lautre se saisissant de ma teub.
- Tu es vraiment bien équipé, jai rarement vu ça ! Mais tu connais le proverbe : « Ce nest pas parce que cest une belle bite, quil ny a pas de virus qui lhabite ». Je vais taider, glousse-t-elle.
Une capote apparait comme par miracle dans sa main, on dirait quelle avait tout prévu...
Elle pose le condom sur mon gland et déroule le latex autour de ma queue dune main experte. Jai une sensation soudaine de compression car elle na pas la bonne taille, mais on fera avec... Elle en profite pour faire quelques va-et-vient de la main sur ma hampe dressée, puis immobilise mon sexe, droit comme un i, un I majuscule, bien sûr !
Françoise plie les genoux et descend, millimètre par millimètre.
-Ouah !
doucement
Cest incroyable
Mais quand le chapeau est passé
le plus gros est fait !
Elle souffle, continuant sa progression autour de ma colonne de chair comprimé dans le latex.
-Putain !!! Tu butes au fond et pourtant, il en reste encore!
Elle remonte puis redescend un peu plus loin et recommence, engloutissant un peu plus de longueur à chaque fois, son vagin retrouvant sa souplesse dantan pour sadapter à mon gourdin.
Aaahhh ! Sextasie-t-elle, se servant de mon organe comme dun sextoy en se laissant finalement pourfendre complètement sur mon sexe. Cest dingue
, je te sens partout en moi.
Elle se penche en avant, agrippe mes épaules de ses mains et commence des mouvements lents du bassin, elle remonte, remonte, et se laisse retomber en râlant. Une fois, trois, dix, vingt fois.
Malgré le latex, je sens sa cyprine dégouliner le long de mon membre, lubrifiant de mieux en mieux les deux pièces. Elle monte, descend, sempalant littéralement, puis ne bougeant plus. Les minutes sajoutent aux minutes mais elle sactive toujours, plus liquide que jamais, les cheveux trempés de sueur. Je ne pourrais dire combien de fois elle a trouvé le plaisir.
Mon gourdin, toujours aussi dur, est rythmé par ses râles, entrecoupés de profonds grognements. Soudain, elle pousse un cri plus rauque que les autres et sécroule de tout son poids sur moi, me broyant la bite.
Je ne la brusque pas en dépit de mon impatience, attendant quelle reprenne ses esprits et que son trouble passe.
Elle se love dans mes bras, câline. Mais moi, je ne suis pas rassasié du contact de son corps.
Mes doigts effleurent sa peau douce et soyeuse éveillant des frémissements. Elle réagit au moindre contact de ma main.
Je menivre du parfum sucré de sa peau, de la voir répondre ainsi, vivante à mes caresses, est un émerveillement. Elle ne retient pas ses orgasmes lorsque jagite ma main sur son clito.
Je la saisis par les cuisses et me redresse tout en lembrochant une dernière fois. Ses magnifiques seins tressautent fièrement juste devant mon visage, et jessaie den aspirer les tétons entre mes lèvres, les titillant du bout de ma langue.
Mais en bonne amante, elle ne veut pas oublier son partenaire. La couguar me met dans tous mes états, mais me fait comprendre quelle veut me remercier à sa façon du plaisir que je lui ai donné.
-Allonge-toi !
Je ne me fais pas prier, et métends sur le sol. La garce se place à nouveau sur moi, en vraie dominatrice. Elle veut contrôler le moment où jatteindrai la jouissance.
Mais alors, quand je suis sur le point de décharger mon jus dans son orifice, elle se relève, retire le préservatif et baissant la tête, pose ses lèvres à lextrémité du gland, dardant sa langue, léchant ardemment ma bite. Françoise mengloutit avec délectation, alternant les gorges profondes et les léchouilles sur le bout de mon gland, comme une vraie pro !
- J'ai envie de te sentir jouir dans ma bouche, d'avaler toute ta crème !
La tiédeur humide de sa bouche hyperactive m'amène peu à peu à la jouissance. Sous les ondes voluptueuses, de plus en plus rapprochées, qui me parcourent le bas-ventre et dans un violent effort de tout mon être, jessaie de retarder l'éjaculation que je sens poindre dans mon bas-ventre et mes couilles :
Françoise
Aaahhh !
Au son de ma voix et à la vue de mon visage crispé, Françoise a compris que je suis au bord de l'explosion orgasmique. Elle immobilise immédiatement le mouvement de ses mains sur ma verge, retire sa tête et ouvre la bouche.
Mais le flot de mon sperme est si fort que je lui obstrue les narines, lui cache les yeux sous une épaisse couche de crème, lui crépit le front et les cheveux dune semence épaisse avant denfin me tarir.
Elle tousse, renâcle, nettoyant ses yeux dun revers de main pour retrouver la vue avant denfin pouvoir reprendre la parole :
- Putain de merde !... Si je mattendais à ça !... Grosse queue et gros éjaculateur ! Si javais su ça plus tôt, je naurais pas perdu tant dannées !
Et cest comme ça que maintenant, au moins une à deux fois par semaine, une relation torride entre nous nous emporte au septième ciel. Elle adore que je la ramone, que je la fasse gicler comme une vraie fontaine. Elle est tombée amoureuse de mon « bâton magique » comme elle dit. Elle est à chaque fois surprise de mes talents et de mes éjacs démentielles, me demandant comment ça se fait que je gicle autant. Je lui dis que je suis comme la nature ma fait.
Un jour elle me demande si j'ai d'autres fantasmes et je lui réponds que j'aimerais faire ça avec deux femmes, elle me dit quelle va y réfléchir.
Quelques semaines plus tard, j'arrive chez elle et là, quelle surprise
, la belle africaine de son anniversaire est là !
A suivre
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