Le Temps Du Renouveau Chapitre 3
Quand je repense à cette scène, je me la repasse au ralenti, je vois son corps en chair vibrer, balloter et des perles de sueurs émaner de sa peau. Je me refais les odeurs, comme un fumet, un mélange de nos corps, cest le matin et cest animal, musqué
Ainsi face à elle, angle ouvert sur laction, le moindre petit pincement de visage quoccasionne chaque coup de queue asséné est gravé dans ma mémoire. Chaque petit gémissement : elle essayait vainement de communiqué mais prise avec force, elle ne pouvait qu ses mots dans son souffle saccadé et ses cris étouffés. Je la baisais durement, je déployais toutes mes forces dans la pénétration comme quand on hésite à y aller et que finalement on se lance, sans retenue, cétait permis, excitant et jouissif bien sûr. Je sais quelle nétait pas loin, et moi non plus, ça aurait durer deux ou trois minutes au plus, si je navais pas poser mon attention sur ses imperfections. Nelly est sur ces coudes et tente de me faire fasse. Les efforts quelle entreprend pour contrebalancer mes assauts sont énormes, elle a le visage déformé, comme si elle sentais une douleur. Je commence à penser que ça ne lui plait pas, mais je continue à battre mon bassin contre sa croupe, et ses cuisses offertes. Son ventre est plié et ses seins volumineux balancent en tout sens en un mouvement désordonné. La grâce avec laquelle elle mavait fait jouir la veille avait disparu. Je me retenais plus facilement. Puis la perte de linterdit, de toute frustration
Je ne voulais plus
Bien sûr que je voulais mais je voulais de la résistance, des circonstances bancales, du jeu, du danger
Je me perdais mais elle
elle lorgasme la gagnait, comme jamplifiais mes effort pour la pénétrer de plus en plus profondément, en vain car ma morphologie a ses limites et la sienne aussi, elle laissa ses bras le long de son corps, sétalant sur la table sur son dos, tête en arrière, gonflant sa poitrine et lissant son ventre, déployant sa gorge, la grâce de retour
Je le savais, le sentais, sous mes doigts, là
Sa peau la trahissait, respiration retenue et chair de poule, elle y était
puis sa voix : « OOhhhhh OUUUAIIII PUUUTAIIINNNNN » et le soupire de soulagement, les jambes se crispent et se ferment, et moi je bloque à lintérieur, mon membre enfoncer dans son vagin, je maintiens fermement ma position, je cri à mon tour et me retiens encore, ma voix maide à mon instinct me dit que je dois être dur encore pour longtemps
Elle écarte les jambes, son orgasme est passé et je me laisse doucement sortir de sa chatte pour la laissé reprendre ses esprits et faisant mes plans, cherchant la prochaine position ou le prochain exploit à accomplir.
Je braque ma queue devant son corps, elle pose une main sur sa chatte, elle relève la tête, je suis debout, elle me sourit
un soupir languissant : « hmmmmmm cétait trop bon
» Cette voix
Puis elle me dit :" tu as jouis ?"
Moi : « Non
» Le sourire au lèvre bien sûr. Je me dis que je limpressionne
Nelly : « Putain mais tes con ou quoi ? tavais pas envie ? »
Moi (interdit) : « Bien sûr
»
Nelly : « Et tu tes retenu ?! Les mecs je te jure, tes bien comme ton pote »
La comparaison ne me plait quà moitié, les imaginer dans la même situation me gêne quand même un peu
Et sa réaction me surprend
Nelly : « Tu aurais pu jouir en même temps, çaurait été trop bon
Tas rien à prouver tu sais ? »
Puis elle sagenouille devant moi, me prend la queue à deux main, commence à me branler avec force, je sens mes genoux faiblir
Nelly : « Allez vas-y putain ! Je veux te voir gicler ! Tu préfères venir dans ma bouche, sur mon visage ? Mes seins ?! »
Sans me laisser répondre elle me pompe, me suce et me branle avec une grande force, comme si elle me rendait la puissance de mes coups de bite. Et je regarde au premier plan sa bouche, ses cheveux, ses yeux, jécoute ses gémissements, et au second plan ses seins coincés entre ses bras
a mon tour, je ne peux plus parler
je vais jouir
et comme je nai rien décidé
Elle écarte sa bouche, me masturbe avec ses deux mains, de sa forte poigne, me regardant et serrant les dents
Une forte contraction saisit mon corps, mon ventre mes couilles et ma queue et un puissant jet de sperme blanc éclabousse le visage blanc et les cheveux argents de ma partenaire, la meuf dEric
Je souffle en silence et expulse mon foutre au visage bientôt maculé de Nelly. Et cest elle qui pousse les cris de soulagement pour moi. Pourtant lorgasme est fort et je manque de fléchir dangereusement tant mes jambes sont en coton
« Hmmmm ça fait du bien non ? »
Regarder son visage que je viens de souiller tout comme son souvenir memplit dexcitation.
Nelly se lève doucement, sourire aux lèvres entre autre
Elle se contentera de se rincer le visage au lavabo et de me rejoindre dans le canapé de leur salon, nue comme moi, nous avions envie de nous connaître mieux.
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