Vacances Et Découvertes (6)
Medhi et Ahmed
Jaimais beaucoup Medhi, après tout, cest lui qui mavait dépucelé, dans des douleurs insupportables au début, chatte de puceau de 18 ans dépucelée par aussi gros, ça fait horriblement mal, mais quel plaisir après. Je me souvenais des paroles de Dietrich qui avait perdu sa virginité avec le membre énorme de son frère, à un âge quil sétait bien gardé de me préciser, et, selon son avis, il valait mieux goûter aux gros calibres dès le début. Contrairement à ma première opinion, après avoir été pris par Medhi, il avait entièrement eu raison.
Après avoir calmé les ardeurs de mes deux mâles grâce à trois accouplements majestueux de chacun dentre eux, nous avons pu finir de déguster notre thé, froid bien sûr, mais avec tout autant de goût, menthe fraiche et sauvage de leur jardin.
Jétais affalé sur eux, humant leur arome, caressant leurs poils, orifice complètement défoncé et débordant de leurs crèmes masculines, dans un moment de calme, de sérénité quarbore souvent lhomme assouvi après un acte sexuel torride, les couilles bien vidées.
« Tu sais que tu es quand même phénoménal, Marc
!!! »
« Ah bon, Mehdi, pourquoi ça ? »
« Je tai dépucelé, avec douleur je lavoue, il y a à peine quelques jours, tu en redemandes, jusquà accepter de coucher avec mon frère et moi. »
« Cest que tu mas fait découvrir mon vrai plaisir, bel homme »
Pendant cette pause thé, nous avons pu parler un peu de leur histoire, Medhi me faisait confiance pour ça. Ahmed était nettement plus jeune que son frère, et suite à des évènements familiaux que je nai pas bien compris, sa mère est rentrée en Espagne avec Medhi, laissant Ahmed à son père, au Maroc. Les deux garçons, très liés, avaient été séparés des nombreuses années, et à la mort de leurs parents, Medhi avait tout fait pour que son frère le rejoigne, se débattant comme un diable pour quil puisse obtenir la double nationalité, comme lui.
Medhi, à Ibiza depuis plusieurs années, vivait plutôt à lespagnole, alors quAhmed, fraichement débarqué en Europe, restait encore dans la mentalité « Hassan II »
Ce que nous avions vécu, cette nuit-là, tous les trois, lui pensait inimaginable, mais après avoir constaté notre plaisir, notre complicité, et le désir de faire lamour ensemble, il sest complètement débridé, fortement encouragé par son frère.
Des heures se sont passées à profiter de nos corps, de leurs membres puissants dans moi, le plus profond possible, dans tous mes orifices, dans une jouissance absolue pour chacun de nous trois. Rien que lodeur quils dégageaient, leur poils, leurs sceptres monstrueux, il étaient originaires de lextrême Sud du Maroc, Touaregs, ouvraient ma fente à tous leurs désirs et je ne sais plus à combien de reprises, tellement jen demandais encore et encore. Jaurais voulu hasarder une double pénétration comme je lavais vu faire par Dietrich, mais du fait de leur taille, jai très vite chassé lidée de mon esprit, surtout lorsque jai senti Medhi la tenter.
Si au début Ahmed avait été très « violent » dans ses deux premières pénétrations, je pense que cétait surtout dû à son manque de sexe depuis des mois, manque insupportable pour des mâles marocains, une conversation en arabe entre les deux frères sen est suivie, assez volubile mais à laquelle je ne prêtais guère attention, ny comprenant rien, dégustant mon thé à petites gorgées, pour me remettre de leurs assauts, ma foi, plus quappréciables, me laissant la chatte bien endolorie quand même. Je repensais encore à ce que mavait dit Dietrich, cest nettement mieux de se faire dépuceler par une super grosse bite, même si ça fait hyper mal au début, après tu prends un pied denfer, ton passage est bien souple et ouvert, jaimais trop cette sensation, presque davoir un quasi-« vagin » entre les cuisses.
Je les ai laissé discuter un moment, puis je me suis mis sur le fauteuil en face deux, relevant mon T-shirt, cuisses bien écartées en me caressant la vulve, bien ouverte par leurs intromissions précédentes et suintant de leur nectar.
Au vu du spectacle que je leur offrais, leur conversation sest arrêtée net, leurs gros zobs reprenant toute leur ampleur. Cest Ahmed qui sest approché le premier pour pourfendre mon écrin, pendant que Medhi senfonçait dans ma bouche. Il avait appris à son frère que le plaisir devait se partager et quil serait aussi heureux den prendre que den donner.
En fait, si je me sentais relativement bien dans mon corps de garçon, certes peu viril avec ma petite nouille, jappréciais de plus en plus dêtre « femme » avec les hommes, dont je vénérais leurs corps, adulant ce morceau de chair qui symbolisait la puissance masculine, qui était de posséder la femelle et de lengrosser. Reflexe reptilien depuis la nuit des temps.
Si Mehdi paraissait content, le bonheur total suintait par tous les pores de la peau dAhmed. Il semblait ne jamais parvenir à débander et seule la promesse de lui donner ma chatte quand il en aurait envie la un peu calmé. Medhi connaissait les usages du club dont la Direction nappréciait pas trop de trouver des résidents dans leur chambre en compagnie dextérieurs au petit matin. Cétait un secret de Polichinelle, mais les « apparences » se devaient dêtre respectées, et il mont quitté au petit matin.
Bien incapable de me lever pour aller au buffet, cest Luis qui ma apporté mon plateau, les yeux rivés sur ma chatte béante et dévastée, ajoutant son commentaire.
« La nuit a dû être excellente, Marc » Souvent, les serveurs appelaient les jeunes clients par leur prénom, sachant que le « Monsieur » nous gênait, tout en gardant le vouvoiement et un respect certain.
Je voyais sa poutre grossir, comprimée dans son pantalon, que, par réflexe, je nai pu mempêcher de caresser, pendant que ses doigts caressaient mes lèvres anales.
« Le passage est tellement fait que ce serait dommage de ne pas en profiter. »
Ouvert comme je létais, il a pu me baiser avec force, coulissant avec facilité. Je contractais mon muscle anal du plus que je le pouvais, masturbant sa bite dans moi, jusquà le sentir se déverser au plus profond de mon antre. Jai utilisé le plug de Dietrich pour conserver dans mon intérieur, toutes ces semences, même sous la douche.
Revigoré, jai rejoint assez tardivement le restaurant pour le déjeuner. Cet abus de sexe maffamait, croisant Dietrich qui venait de terminer son repas, mais qui est resté avec moi pour me tenir compagnie.
Comme on avait décidé, par un pacte commun, de ne rien se cacher, je lui ai raconté ma nuit avec mes deux arabes et la dernière cartouche que mavait mise Luis.
« Putain mec
Pour un récent puceau, tu assures un max
!!! »
« Jai honte, mais jarrive pas à résister à une bite, surtout bien grosse. »
« Tu sais quen quelques jours, tu tes fait une réputation de mec hyper facile à baiser ? »
« Ma foi
. Cest vrai ? Cest flatteur
et je lassume totalement. »
Nous sommes partis à la plage, nous faire dorer au soleil, avec des maillots hyper minimalistes, le nu intégral était encore interdit, mais ces petits bouts de tissus étaient encore davantage suggestifs, surtout que mon plug se voyait parfaitement. Une fois dans leau, je lai quand même enlevé et une cascade de foutre est sortie de mon intérieur.
« Jai envie de te demander un truc, mais jose pas trop. »
« Vas-y Mensch, je te dirais ce que jen pense. »
« Tu aimerais participer à une tournante ? » Je ne connaissais pas le mot allemand mais il avait utilisé aussi « gang bang » dont javais entendu parler sans trop savoir à quoi ça correspondait.
« Cest quoi ça ? »
« Cest une soirée sexe où, en général il ny a quun ou deux passifs, qui se font prendre à la chaine par plusieurs actifs, par tous les trous et plusieurs fois.
« Tu las déjà fait ? »
« Oui
Une fois en Allemagne avec mon frère, et trois fois ici. »
« Attends, jamais entendu parler de ça ici
!!! »
« Normal
Ca reste assez confidentiel, mais le club dispose dun local pour ça, réservé aux meilleurs clients, et crois-moi, ils le payent assez cher. »
« Et tu veux my faire participer ? »
« Seulement si tu en as envie. Mais après toutes les bites que tu tes prises depuis ton arrivée, je pense que tu devrais aimer ça. Règle imposée
Pas de violence et pas de crade. »
Après nous être rincés, nous avons rejoint le Club, dévoré le buffet, et fini la soirée au bord de la piscine, comme deux potes, discutant avec dautres mecs, mais sans plus. Assez fatigué par mes excès de la veille, jai rejoint mon bungalow assez tôt, seul pour une fois, javais trop besoin de repos.
Lidée avait germé dans mon esprit avec lambivalence de la crainte et du plaisir à la fois, mais Mehdi devait venir me chercher le matin pour me montrer leur ferme, et passer la journée avec eux. Normalement, on ne devait pas sortir de la résidence, sauf pour des excursions organisées, mais il avait obtenu lautorisation du responsable qui lui faisait une entière confiance.
Levé tôt, buffet petit déjeuner tôt, cest avec plaisir que je lai vu arriver me chercher dans une espèce de camionnette à trois roues, brinquebalante, mais la propriété nétait quà quelques kilomètres.
Déjà, quand je suis entré dans ce petit habitacle du véhicule, lodeur condensée de mâle me rendait dingue. Surtout quil avait pris soin de ne porter quun Marcel hyper échancré laissant apparaitre tous ses poils et un short assez court, large, exhibant ses jambes hyper velues, une partie de sa touffe de poils du sexe dépassant lorsquil sest assis sur le siège, ainsi quune bonne longueur de sa bite.
Je pense que jallais visiter la propriété
Mais pas que
!!!
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