Chapitre 13 : Marie, Le Manoir Et Ses Vieux Amants.

Voici un rappel de la fin du chapitre 12 : Après une prestation largement appréciée par Gérard et Claude-Yves, dans cette première partie de journée, ou elle a beaucoup aimé baiser comme la pire des salopes avec des hommes très âgés et fortunés.
Ces vieux l’excitent beaucoup et ça ne s’explique pas. Peut-être, L’atmosphère de perversion, ou ce côté un peu malsain, ou encore, le fait d’être rémunérée, qui me fait lui remarquer, qu’elle se prostitue en prenant certes du plaisir… ou bien encore, cette petite honte qu’elle ressent intérieurement et qui décuple son plaisir et je ne vais pas vous mentir, le mien également.
Après une douche collective, où les mains se sont beaucoup baladées et les langues mélangées, nous retournons au manoir pour déjeuner. Amélia la cuisinière portugaise du manoir, s’est encore surpassée, elle est très agréable avec nous et en particulier avec Marie.
Après un somptueux déjeuner, petit café dans le salon, ou ces messieurs souhaitent la fête de Marie, avec cadeaux, une très belle montre d’un horloger suisse pour Claude-Yves et un foulard et un petit sac Hermès pour Gérard.
Echange de bisous, et bien évidemment de caresses, Marie est ravie, et n’est pas avare de « French-Kiss » surtout avec Gérard, qui n’hésite pas de lui effleurer longuement les seins.
Nous continuons de discuter, l’ambiance est joyeuse, Gérard et Claude-Yves semblent ravis et d’humeur à plaisanter, encore à complimenter Marie, pour son talent à les satisfaire, elle a su créer une complicité unique en s’abandonnant dans leurs bras, mais aussi en partageant des fous rires, elle a surtout trouvé le moyen de les inspirer.
- Vous êtes merveilleuse, Marie, ne changez rien, vous êtes un bien précieux pour votre complice Éric, qui a beaucoup de chance de partager votre vie. Lui dit Gérard.
- Merci Gérard, vous êtes charmant, mais j’ai également beaucoup de chance…d’avoir Éric, et puis sans lui, nous ne serions pas là aujourd’hui !!!
- C’est vrai, vous avez raison…
Marie, continue son petit manège, elle croise et décroise ses jambes, les « pauvres » placés en face d’elle, profitent de cette vue… les jambes écartées, soit un signe d’ouverture ? Une invitation sexuelle directe ? Elle les regarde droit dans les yeux avec son joli sourire !!!
A-t-elle vraiment envie, maintenant, ou joue-t-elle avec eux pour les émoustillés…Ils sont en tous les cas sous le charme de Marie, qui à cet instant peut leur demander n’importe quoi.


Claude-Yves, nous propose de nous détendre à la piscine avant de partir pour Deauville. Nos deux « grands patrons » se comportent comme des gamins dans cette piscine, ils sont très heureux, détendus, enfin peut être pas partout, car Marie est en maillot de bains une pièce très échancré, couleur flashy qui valorise bien ses formes. Elle est splendide, même quand elle se repose, car Marie a besoin de repos après sa matinée bien agitée. Et puis, le temps passe, Gérard demande si l’on souhaite se mettre à l’aise…
Marie est la première à se dévêtir et à rejoindre nos amis dans la piscine…pour jouer avec eux, c’est surtout un jeu de mains...
L’heure passant, Claude-Yves, nous propose de nous préparer pour la soirée à Deauville, ou il a réservé une table. Nous regagnons notre chambre, Gérard s’installe dans la chambre en face de la nôtre.
Douche, maquillage, coiffure, Marie veut être la plus belle possible, Marie passe la robe offerte par Denis à Trébeurden, c’est une robe longue noire dos nu, fendu sur le côté avec décolleté pigeonnant. Mais elle ne peut porter son soutien-gorge, elle laisse apparaitre ses seins de chaque côté de sa robe, et ne parlons pas du dos nu jusqu’au haut des fesses, elle ne peut porter également son string qui marque trop sous cette robe sculptante. Marie est magnifique dans cette robe indécente car fendue sur le côté, c’est vraiment très osé.
Nous descendons, Claude-Yves et Gérard, nous attendent dans le hall d’entrée du manoir, ils sont éblouis par la beauté de Marie dans cette robe très sexy
- Oh, Marie, vous êtes ravissante, vraiment. Lui dit Gérard.
- Merci, Gérard.
- Eh, bien moi, je n’ai pas de mot, je suis ébloui. Lui dit Claude-Yves.
- Merci, vous êtes des amours !!! Répond Marie, en défilant comme un mannequin dans le hall, en laissant bien apparaitre son haut de cuisse gauche à chaque pas.
Puis direction « le musée », la Ferrari 348 cabriolet est sortie, et comme promis, Claude-Yves propose à Marie de la conduire, nous lui ouvrons la portière du bolide, sa tenue n’est pas adaptée, elle a abandonné ses escarpins pour des baskets pour conduire, mais la robe fendue, dans le baquet de la Ferrari, lui pose quelques soucis…Gérard profite de la situation pour bien effleurer l’ensemble du corps de mon épouse, il faut bien rendre service à une femme en difficulté…Après quelques recommandations de Claude-Yves, la « belle » démarre la mythique voiture, le V8 à une belle sonorité, Marie, est heureuse, radieuse, elle qui aime les belles voitures et qui adore conduire, elle vit un rêve…
- Tu vois Éric, faisons de notre vie un rêve, et d'un rêve une réalité.
Merci, merci chéri, je t’aime…Me lance Marie en partant.
Nous partons Gérard et moi dans sa voiture, nous suivons Marie, qui met peu de temps pour prendre la mesure du bolide, nous voyons au loin, sa chevelure blonde, voltigeant au vent, débordant régulièrement de la carrosserie rouge feu de la Ferrari, il y a une trentaine de kilomètres à parcourir, mais le rythme de Marie au volant est plutôt soutenu, nous arrivons très vite à Deauville, ou Marie et la Ferrari ne passent pas inaperçues. Nous allons au Normandy, « notre hôtel » des rendez-vous précédents. La descente du bolide de Marie est aussi un grand moment, les badauds postés devant ce magnifique palace, doivent se rappeler de ce moment ou Marie pour pouvoir descendre de la voiture à du bien relever sa robe fendue…
Dîner excellent, champagne à volonté, ambiance très détendue entre nous quatre, Marie est très à l’aise, joyeuse, coquine, elle est tout simplement heureuse, dans son élément, le luxe, les belles choses.
Pour le retour au manoir, nous décidons de laisser la Ferrari au ‘Normandy », et de revenir avec la voiture de Gérard, je prends le volant, avec mes côtés Claude-Yves, laissant Marie et Gérard derrière commençant à « coquiner » joyeusement.
Il est très tard, environ, 1h00 du matin, nos amis semblent pressés de jouer de nouveau avec ma belle, nous regagnons tous les quatre notre chambre, passage par la douche, nous sommes tous les quatre nus, les choses se précipitent…
Dans notre lit d’un soir, je la vois faire l’amour devant moi, ouvrant après de longues caresses de Gérard et Claude-Yves, son sexe avec sa petite coupe « bikini », elle s’ouvre au membre impressionnant de Gérard, le « dominant » des deux amis.
Je la vois nue, ouverte sous un homme nu qui souffle bruyamment pour la posséder.
Le lit grince légèrement, elle gémit presque timidement, respirant fort.
Gérard grogne soudain en se crispant, expulsant son sperme dans le précieux vagin de ma petite femme chérie qui sert fortement Gérard contre elle, relevant soudain les jambes qu’elle a gardées tendues.

Gérard sort d’elle et est aussitôt remplacé par Claude-Yves.
A nouveau, un membre, moins impressionnant que celui de Gérard, se glisse dans le sexe « Brésilien » de Marie qui gémit à nouveau et se laisse posséder jambes tendues, écartées, bras tendus et mains sur les épaules de son second partenaires qui souffle sur elle.
Je vois à son regard que Marie « va » venir, ses yeux se révulsent, elle se crispe, relevant ses jambes pour les serrer avec force contre les flancs de Claude-Yves, un son rauque sort de sa gorge et accompagne l’orgasme qui déferle en elle et l’a fait trembler.
Une minute plus tard, elle reprend sa position initiale, Claude-Yves la besognant toujours avec force. Il finit par exploser lui aussi, expulsant sans précaution sa semence dans le vagin accueillant de ma belle épouse, tout en l’embrassant à pleine bouche.
J’attends le moment où il finit par « sortir » de Marie, mon épouse, pour me laisser la place toute chaude. Marie est luisante de sueur, ses tétons érigés, sa petite toison « bikini » engluée de sperme que son sexe laisse déborder abondamment.
Je m’allonge sur elle, elle m‘enlace, m’embrasse avec fougue, en chuchotant « mon cocu chéri ».
Cela m’excite encore plus, je bande très fort, je glisse à mon tour mon membre dressé dans son vagin inondé et je la pistonne avec fougue. Elle est si engluée que le va et vient puissant de ma bite en elle provoque un étrange bruit de clapotis. Les coups de piston achèvent d’expulser le sperme de nos amis qui souille nos ventres et nos cuisses.
Pendant ce temps, Gérard, s’est refait une santé, présente son sexe à Marie, elle le caresse du bout des doigts délicatement, elle le caresse toujours, elle avance son visage pour enfoncer la queue de Gérard au fond de sa gorge et commence son récital de « pipeuse ».
Elle le pompe littéralement, reprenant sa respiration régulièrement, pendant que je continue de la défoncer.
Puis Claude-Yves pose ses mains sur mes fesses et s'approche de mon anus doucement.
Il me lèche très profondément l’anus. En déclarant :
- Ma chère Marie, pouvez-vous nous autoriser une petite entorse à notre accord ?
- Oooooh oui !!! Répond-elle, très occupée avec le sexe de Gérard, et bien pilonnée par moi-même.
- Donc Gérard, je te prépare un petit dessert !!! Dit Claude-Yves.
Claude-Yves continue de me lécher, bien profondément l’anus, sa langue est douce et me fait du bien, puis il demande à Marie de se mettre à quatre pattes, après nous avoir remis en position, je glisse de nouveau mon membre bien dressé dans le vagin détrempé de Marie, Claude-Yves reprend ses léchouilles. Sa langue me fait partir, je suis là, offert, je n’attends qu’une chose, absorber une « grosse bite ».
Il passe du lubrifiant entre mes fesses, puis passe le « relais » à Gérard qui commence à me doigter doucement, il me met un deuxième puis un troisième doigt, c'est très agréable.
Puis Gérard m'écarte vigoureusement un peu plus les jambes, il me caresse les fesses, je suis à sa merci à attendre la pénétration. Enfin, il me pénètre doucement, je sens son gland rentrer, mon anus s'ouvre, il rentre en moi, m'écarte un peu plus les jambes avec les siennes et commence les va-et-vient. Nous essayons de synchroniser nos va-et-vient, ce que nous arrivons à faire rapidement, je défonce Marie, en me faisant moi-même défoncer par Gérard, c’est l’extase, Marie me confiera après, ressentir les coups de boutoir puissants de Gérard.
Ces trois rapports à la file offre à Marie un nouvel orgasme violent qui la fait hurler juste avant que j’éjacule. Gérard continue de me défoncer, et éjacule une deuxième fois en très peu de temps. Gérard a de la ressource, car il a peu l’occasion de s’envoyer en l’air…
Quand j’ai repris mes esprits, Claude-Yves avait disparu, Gérard sous la douche de notre chambre, nous laissant savourer tous les deux ce moment de pure extase. Je suis surexcité, et Marie aussi…
- Tu es fou complètement fou Éric, de me laisser…Enfin de m’offrir comme ça !!! Dit-elle en se jetant dans mes bras.
- Tu sais que cela m’excite follement…Ma chérie.
- Oui, je sais, je sais et moi alors, tu ne peux t’imaginer, c’est inavouable, mais grâce à toi, j’assume parfaitement mon goût pour cette pratique. Reprend-elle.
- Nous sommes complices, tu es très heureuse, c’est le plus important et j’aime te voir dans les bras d’autres hommes, que veux-tu !!!!
- Oui, je suis heureuse, épanouie avec ses hommes, leurs pouvoirs, leurs moyens financiers, je suis bien dans leur monde, tu sais...Je n’ai plus peur de me faire traiter de salope, de nympho ou de fille facile, finalement j’aime l'amour en groupe, mais pas avec n’importe qui…Je dépasse, nous dépassons légèrement les frontières de la sexualité jugée « acceptable par notre société »…Que veux-tu « Mon petit cocu de mari »…Dit-elle en éclatant de rire.
Nous éclatons de rire tous les deux finalement, et c’est à ce moment que Gérard réapparaît, nous l’avions oublié celui-là…
- Vous vous amusez bien tous les deux !!!
- Vous n’êtes pas fatigué Gérard ? Lui répond Marie.
- Non, je suis encore excité par ma folle journée, et je n’ai pas envie de vous quitter !!!
- Eh bien, moi, Gérard je vais dormir, vous voulez dormir avec nous ?
- Je ne veux pas vous déranger, mais j’aimerai m’endormir et me réveiller à vos côtés, vous savez il y a tellement longtemps que nous faisons « chambre à part » avec mon épouse !!! C’est un caprice…peut-être ?
Nous nous sommes couchés tous les trois, les émotions de la journée, les effets des nombreuses coupes de champagne de la journée, plus l’heure tardive, nous ont permis de très bien dormir jusqu’à 12h00.
Petits câlins à trois, Marie étant très sensible à nos caresses…Elle est vraiment très jolie, je ne me lasse pas de la regarder et de l'admirer.
Puis passage dans la grande douche à l’italienne. Je suis derrière elle et je l'enlace de mes grands bras pour me serrer contre elle. Je l'embrasse tendrement dans le cou. A ce moment, Gérard parcourt l’ensemble de son corps de ses mains douces en l’embrassant.

Nous ne résistons pas à la serrer dans nos bras pour sentir son joli corps nu contre les nôtres. Cette sensation fait monter en nous le désir et nous commençons à être en érection.
Nous commençons à faire couler l'eau. Nous sommes tous les trois mouillés, Marie prend le savon et commence à se savonner le corps. Nous faisons Gérard et moi de même et nous nous enduisons également de savon.
Puis, nous la savonnons à notre tour, nous étalons le savon sur son corps en profitant pour caresser ses seins et ses fesses. Nous savons qu’elle est très sensible à ces deux endroits et nous en jouons. Ses mains glissent elles aussi sur nos corps, caressent nos torses, nos dos, puis s’attardent sur nos sexes...
Cette savonnade mutuelle nous fait monter le désir très fort, nos respirations commencent à être plus intenses. Gérard l'embrasse à ce moment, puis ensuite c’est moi, et je sens que sa langue en dit long sur son désir car d'habitude, elle est un peu réticente à embrasser de cette façon.
Nous continuons à nous caresser tous les trois et nous embrasser pendant de longues minutes, sensuellement, que c'est bon.
Gérard s'appuie contre le mur et la prend doucement par la taille de façon à ce qu’elle soit dos à lui, contre son corps. Ses bras commencent à lui caresser les seins. Puis, je passe la pomme de douche sur le bout de ses seins, en alternant d'un côté puis de l'autre. En même temps, mes mains, nos mains lui prennent ses seins à pleine main et jouent avec ses tétons en les pinçant doucement.
Elle a l'air d'apprécier car elle commence à onduler sensuellement et elle se plaque contre Gérard. Son sexe est contre ses fesses, bien dur. Le mien aussi excité par la situation. Ensuite, je descends la pomme de douche vers son sexe que je sens très humide, et cela n'est pas uniquement dû à l'eau de la douche!
Je place le jet dirigé vers son vagin tout en continuant de lui caresser les seins. Puis, ma main droite descend vers son ventre, puis contre son petit clito. Je commence à le caresser doucement de l'extérieur. Je sens des vibrations dans ton bas ventre, je l'ai rarement vu si excitée !!!
Gérard continue de frotter son sexe contre ses fesses en l’embrassant dans le cou et en lui caressant les seins lui aussi.
Cette simulation externe dure encore quelques minutes, puis Gérard commence à faire de petits mouvements avec son sexe contre ses jolies fesses rebondies. Elle aussi ondule de plaisir; Mumm… !!!
Puis, il introduit son majeur dans son vagin et caresse son clitoris de l'intérieur. Je sais qu’elle aime ça et je lui demande si ça va. Elle me dit :
- Oui, chéri, « mon petit cocu » demande à Gérard de continuer, chéri…Oooh oui…
Elle ondule de plaisir et fait des va-et-vient en même temps que son doigt, et l'incite à aller plus profondément. Il s'exécute et simule doucement la profondeur de son vagin, la pomme de douche toujours dirigée contre son sexe, de mon autre main je lui caresse les seins. Je l'embrasse sensuellement dans le cou et lui dit que je l'aime.

Cette intense séance de préliminaires très poussés terminée, nous la serrons très fort dans nos bras et l'embrassons langoureusement pendant quelques minutes, ses seins sont plaqués sur ma poitrine et nos trois corps chauds collés.
Elle a le souffle court tant son esprit est occupé par une seule pensée: se faire pénétrer profondément par une bite et accueillir en elle toute sa jouissance. Gérard lui demande de légèrement se baisser, elle se retient à mes épaules, sa bite dressée bien visible et dégagée, elle vient sans tarder enfoncer sa chatte dessus, engloutissant son engin tout entier dans les profondeurs de son sexe...
L'eau chaude continue de couler et se répand sur nos corps, je suis aveuglé par les gouttes et ferme les yeux, pour les rouvrir la tête serrée contre la sienne, à lécher chaque parcelle de sa peau douce pendant qu’elle gémit d’être si violemment pénétrée par Gérard
Elle rebondit régulièrement au rythme de leurs hanches, chaque mouvement lui procurant un intense plaisir, je joue toujours avec ses seins et Gérard accélère la baise, la pénétrant toujours plus vite et plus fort pour lui offrir un maximum de plaisir...
Elle est aux anges et sur le point de jouir, sa bite s'enfonce dans sa chatte plus dure que jamais.
Dans un seul cri étouffé par le doux baiser que l'on partage, ils jouissent ensemble et il déverse dans sa petite chatte humide tout le sperme chaud qu’il a encore à lui t'offrir...
Pendant ce temps, je caresse ma longue queue tout doucement, comme un massage. Puis j’accélère au même rythme qu’eux, je me branle fort, très fort. Puis à un moment, je me redresse précipitamment et je me mets debout à côté d’elle.
- Branle-moi, Marie…Ai-je doucement ordonné
Elle m’a pris en main, a caressé mes couilles. Après seulement quelques mouvements de poignet, je lui ai repeint tout le profil sous l’œil amusé de Gérard. Après une longue étreinte et des baisers langoureux, nos trois corps se séparent enfin pour finir notre douche, laissant apparaître peu à peu la bite comblée de Gérard qui vient de remplir de son foutre, la chatte de mon épouse adorée le sourire aux lèvres, sa jouissance s'écoulant lentement de sa chatte...
Puis, nous retrouvons Claude-Yves, qui n’est pas du tout en forme, l’abus d’alcool ? L’abus de son corps avec Marie ? Eh oui, il a 62 ans !!!
Nous décidons, Marie, Gérard et moi de prendre un petit déjeuner rapide, d’aller récupérer la belle Ferrari à l’hôtel « Normandy », puis ensuite de nous séparer au retour.
Au retour de Deauville, malgré la méforme de Claude-Yves, nous sommes tous les quatre ravis, Marie reçoit discrètement « ses petites enveloppes ». Elle remercie chaleureusement Claude-Yves pour avoir tous mis en œuvre pour que cela se passe bien. Qu’elle a découvert les choses petit-à-petit avec ses deux amants d’un jour…
Qu’ils ont été très respectueux, sensuels, qu’ils avaient respecté ses codes de bonne conduite et avaient fait de son consentement une priorité pour… Qu’elle revienne ?
La réponse à cette question, et la suite de nos aventures au prochain chapitre.
Ps : Je suis conscient des risques que nous avons pris en « baisant » sans protection, nous avons eu beaucoup de chance de passer à travers de gros problèmes possibles !!!

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