Ma Première Pose (Troisième Séance)
Toute la semaine, je repensais sans arrêt à ce qui sétait passé lors de cette seconde séance.
Mon retour à la maison déjà, à lissue de cette session si particulière, encore couverte de souillures, malgré mon nettoyage sommaire (je navais pu, sous la pression de David, quenlever avec mes doigts que javais ensuite léchée à la hâte, le plus gros du sperme étalé dans les cheveux ou coulant de mon visage). La honte de marcher ainsi dans la rue sans oser fixer les passants, louverture angoissée de la porte de la maison familiale, mon passage en trombe dans le couloir et les escaliers, puis enfin un nettoyage plus sérieux sous la douche de la salle de bain.
Heureusement, personne ne semblait avoir remarqué mon entrée piteuse et mon empressement à me cacher. Même si, au diner et pendant toute la soirée, javais limpression - ment fausse vu la quantité de shampoing, de gel douche et de dentifrice que javais utilisée - de sentir encore le sperme de tous ces pervers, lodeur sur ma peau et le relent en bouche.
Pendant les nuits qui suivirent, cela me revenait sans cesse en mémoire, entre cauchemar et rêve érotique. Je men voulais à chaque fois de ressentir ce trouble et cette excitation au fon de moi en repensant à ce qui était arrivé. Je me tançais intérieurement « Allons Caroline, tu as
sucer la moitié de ces pervers pendant que les autres te dessinaient, te regardait en commentant grassement ! Ils ont tous des petits films de cette horreur en plus, tu ne peux pas éprouver autre chose que de la honte et du dégout ! ». Mais malgré mes admonestations intérieures, je ne pouvais mempêcher de finir par ressentir une excitation si aigue que je finissais inexorablement par me masturber, honteuse, jusquau plaisir, tout en me promettant que cétait la dernière fois.
Tous les jours aussi, je repensais aux dernières paroles de David (prononcés tandis que sel avec moi, apes le départ des autres participants, il se faisait sucer a son tour) : « jai oublié de te dire Caroline, chaque participant télécharge sur notre espace les clichés et films souvenir.
Je croisais parfois dans la rue ou un commerce, un des « dessinateurs » amateurs des environs, qui avaient participé à la dernière séance. Toujours je répondais en bafouillant et rougissante, à leurs salutations, à la fois étrangement polies mais pleines de sourires en coins ou de sous-entendus. Dautant que ces échanges se terminaient invariablement de leur part par un « A mercredi prochain alors
» appuyé. Mon collègue qui avait eu « lhonneur » de participer aussi continuait tous les jours où nous travaillions ensemble, à me saluer, sans rien mentionner explicitement, mais toujours avec un sourire que je trouvais pervers ou de petites allusions « tu as bien digéré lapéritif de mercredi ?... Tu nas pas ta queue de cheval aujourdhui ? » qui suscitaient à ma grande honte des regards interrogatifs du reste de léquipe. Je me demandais en permanence sil en avait parler aux autres, ou qui sais sil leur avait montré son film souvenir. Bien sûr je me contentais dun sourire en retour et de dire que tout allait bien.
Laffichage de mes « performances » à venir, que javais pu apercevoir à lespace communale, et lévocation par David dune autre affichette à la boulangerie, me taraudaient aussi. Si bien que je fini le dimanche matin (cétait à moi daller chercher les viennoiseries pour la famille) par me rendre à cette fameuse boulangerie, ou je nétais pas repassée depuis (mes parent ou mon frère ramenant le pain en général sur leur trajet de retour à la maison).
Jen ressenti un frisson dhorreur et de trouble intense, et tandis que je sortais précipitamment après avoir payée les croissants, sous linévitable « à mercredi alors. » goguenard, je réalisais pleinement que le bourg entier pour peu quil soit client de ce commerce, (nous navons que deux boulangeries ici), était susceptible de venir participer pour quelques euros aux « réjouissances ».
Le mercredi venu, a défaut avoir trouver une échappatoire satisfaisante qui me permettrait de ne pas y aller sans risquer la diffusion de la session précédente, je me résolu la mort dans lâme mais le feu au fond du ventre, à aller faire ma troisième séance de pose. Je respectai scrupuleusement encore une fois les instructions : Aucun dessous plusieurs heures avant pour éviter toute marque, mes escarpins les plus haut, et mes cheveux longs rassemblés en queue de cheval, pour, comme David lavait prétendu la fois précédente, « dégager mon beau visage », mais comme je le savais aussi depuis lors, permettre quil soit bien visible sur toutes les prises de vue et permettre à ces pervers
davoir une bonne prise pour me tenir immobile.
Comme la fois précédente, je mentionnais rapidement en partant, que je buvais un pot avec des amies. Le regard mi-critique mi-amusé de mon père et mon frère sur mes seins qui pointaient sous ma robe, me firent me demander avec angoisse sils étaient passé cette semaine à la fameuse boulangerie.
Cette fois encore, jeu limpression pendant tout le trajet que ma déchéance était écrite sur mon visage.
A ma vue, me regardant de bas en haut comme un objet, il sexclama « Ha mais moi qui croyais tavoir inculqué les bonne manières la semaine dernière, je constate que pour la ponctualité, il va falloir sévir encore. » David surgit à cet instant, et après quelques secondes de réflexion, minvita sans préambule et en tenant la main vers moi à retirer ma robe et à la lui la donner. Je tentais de protester, en bafouillant, que je le ferais dès que je serais dans la salle réservée, mais me barrant la route il lâcha un péremptoire « allez, à poil ne fais pas ta mijaurée, ou nous pourrions bien faire la séance dehors sur la place ! ». Paniquée, et ne sachant pas sil plaisantait ou non je me hâtais de retirer ma petite robe et de la lui tendre, bien que nous ne soyons que dans le hall dentrée de la maison communale.
Il me larracha presque es mains, et cette fois encore la lança en boule par-dessus son épaule et je la vis disparaitre de main en main jusquà la perdre totalement de vue. Avec Mr Dupin, ils jouèrent encore à me faire peur, faisant mine dhésiter en regardant le soleil extérieur, à faire vraiment la séance dehors. Mais après quelques minutes de ce manège, et tandis que toutes les personnes traversant le hall sarrêtaient pour me regarder, il finit par me ire en me donnant une claque sonore sur les fesses « Allez file dans la salle, nous sommes vraiment trop gentils avec toi, il va falloir que ça change ! ».
Jentrais, suivi des participants qui mavaient accueillie, sous les murmures approbateurs de tous ceux déjà présents, saluant mon entrée nue. Je vis immédiatement quils étaient aussi nombreux que la fois précédente, les pupitres serrés tout autour de lestrade. Je reconnu hélas certains visages que jaurais préférée ne pas voir, de voisins proches, de collègues et amis, déjà présents la fois précédentes ou nouveaux attirés par la rumeur
Certains nattendirent même pas comme les fois précédentes les instructions de David pour extirper leurs portables de leurs poches et immortaliser linstant.
Au moment ou je montais résignée sur le petit estrade, David vint vers moi et me jeta un petit tas de tissus que je n identifiais pas immédiatement. Presque heureuse en pensant que jallais cette foi un peu vêtue, je déchantai vite en me rendant compte quil ne sagissait que de lingerie, plus destinée à rendre encore plus suggestive ma nudité. Et pendant que je déroulais les bas noirs assortis au porte jarretelle qui les accompagnait, David mintima de les passer promptement, précisant que cette « bonne idée » avait été suggéré par Mr Dupin.
Sous les regards, les objectifs et les commentaires de la salle, je fus donc contrainte de me déchausser pour passer ces accessoires, puis de renfiler mes talons. Je me sentais encore pire que nue, mon intimité toujours aussi exposée, les bas noirs soulignant juste le coté sexuel. Je pensais : « Me voilà en tenue de pute, cest la totale ». David valida ma tenue en me faisant tourner sur place, tandis que jentendis ce gros pervers de Dupin, jamais a cours dun mauvais tour, lancer à mes collègues du restaurant présent « Vous ne trouvez pas que ça ferait un joli uniforme de service ? ». La réponse se mon collègue tandis quil me prenait en photo ne me rassura pas : « bonne idée on en parlera au chef ».
Sous les rires gras de la salle à cette évocation, David me fit me replacer à 4 pattes comme les fois précédentes, toujours en insistant avec ses mains pour exagérer le coté humiliant et sexuel de ma posture : Cambrure exagérée fesses tenues, genoux et mains au sol écartées. Une fois « placée », jattendis une minute, résignée, ne doutant pas que jallais cette fois encore devoir prendre en bouche et recevoir le sperme dune bonne partie de lassemblée.
Bien sûr, Mr Dupin tint à ouvrir le bal
et ma bouche par la même occasion. Cela devait être déjà négocié entre eux car il sapprocha de moi et jeu rapidement la vision en gros plan de son vieux sexe violacé et très raide sous les yeux. Après lavoir de nouveau intimé douvrir la bouche, il me fourra sans hésitation la totalité de son membre au fond de la gorge, puis alors que je peinais a respirer, resta immobile devisant à nouveau avec lassistance de mon mauvais comportement au lycée des années avant, et du fait quil était vraiment temps que mon éducation soit reprise en main et complétée. Je crois quil adorait vraiment m humilier ainsi, alors quincapable bien sûr de dire un mot je devais subir à mon tour, écarlate tant de honte que du manque dair ses moqueries. Les soubresauts excités de son sexe contre la glotte me confirmaient le plaisir quil prenait à prendre sa revanche.
Lorsquil retira enfin après quelques minutes son sexe de ma bouche, je respirais enfin à grandes goulées, tout en me méfiant des jets qui ne tarderaient sans doute pas à jaillir sur moi.
Mais contre toute attente, il recula pour laisser la place, sans avoir joui. Comme je my attendais il fut immédiatement remplacé par un autre. Un voisin cette fois ci, trop content de pouvoir à son tour vérifier la rumeur « la fille Martin suce qui veut tous les mercredis au club de dessin ». Il cru bon de me gratifier un sourire et dun merci déplacé au moment même ou il me fourrait à son tour son membre déjà bien raide entre les lèvres. Timide au départ, et se contentant de faire de légers vas et vient en silence ans ma bouche, il senhardi vite sous les encouragements de la salle à plaisanter sur mon caractère « accueillant », sans doute de famille sous entendait il en évoquant ma mère sous les approbations dautres voisins, ajoutant la encore a mon humiliation. Au bout de peu de temps plus du tout gêné il empoignant ma queue de cheval pour maintenir fermement ma tête pendant quil se faisait plaisir.
Cest à ce moment même, complètement immobilisée par ce salaud que je sentis un mouvement et un frôlement derrière moi. Une main alterna bientôt entre tapes et caresses sur mon dos, mes fesses et mes cuisses jusquà la lisière des bas. Impuissante jémis jusque quelques « mhhhh mhhhh » dérisoires et étouffés par la queue dans ma bouche, alors même son propriétaire affermissait sa prise sur mes cheveux, me faisant comprendre que tout mouvement me ferait souffrir.
Je sentis une la main passer entre mes cuisses ouvertes et caresser sans ménagement cette fois ma vulve. Un doigt sintroduit dun coup entre mes lèvres intimes et poussa inexorablement jusquà me pénétrer en entier. Je le sentie cambrée faire quelques allers-retours en moi puis se retirer. Cest à ce moment que je reconnus à nouveau la voix graveleuse de Mr Dupin résonner derrière moi et annoncer satisfait « elle mouille comme une salope ! jen étais sûr, elle en veut plus ». Sans pouvoir le voir jimaginais bien quil devait lever triomphalement lindex ou le majeur (je navais pas pu reconnaitre !) luisant à la salle. Car oui, je ne peux pas nier que à cet instant, jétais largement trempée. Même si javais pu parler, mes dénégations mensongères nauraient convaincue personne. Malgré ma situation et lhumiliation énorme que je ressentais, jétais excitée comme jamais. Les cris émanant de la salle et les quelques noms peu flatteurs fusant autour de moi achevèrent de me faire prendre conscience que ma réputation était faite ici.
Je pensais mon infortune à son comble, mais alors que je pensais que ça nirait pas plus loin, je sentis à nouveau quelquun (Mr Dupin pensai- je immédiatement) se positionner entre mes genoux, et alors que deux mains mempoignaient fermement les hanches, je sentis un gland appuyer contre ma vulve et la pénétrer immédiatement. « Pas besoin de préliminaires ! » clama la voix réjouie dans mon dos tandis que son sexe mouvrait la chatte, me confirmant au passage que mon tortionnaire était bien mon ancien professeur.
La honte me submergeait dautant plus que je sentais dans mon bas ventre croitre les signes avant-coureurs de mon propre plaisir. Je résistais le plus que je pouvais pendant quil me prenait la chatte sans ménagement, essayant de visualiser son gros visage bouffis et son ventre répugnant pour me calmer. Chaque mouvement violent quil faisait en moi faisait claquer son gros ventre contre mes fesses et je lentendais souffler, toujours en se moquant de moi. Sa main gauche venait régulièrement claquer mes fesses sèchement, tandis que la droite agrippait ma hanche, ajoutant à la douleur de mon cuir chevelu, toujours tiraillé par ma queue de cheval fermement tenue. Je ne voulais pas lui donner le plaisir davoir raison alors quil m abreuvais de « alors, tu aimes ça ? Avoue-le, montre à tous la petite chienne que tu es ! » Mais, malgré la position inconfortable la honte a ma volonté de résister, compte tenu de mon excitation, de la vigueur inattendue et de la taille imposante de son sexe, mes efforts furent bientôt vains, et malgré toutes mes résistances je sentis ma jouissance approcher. Il dut sentir le bon moment, car alors même quexposait au fond de mon ventre un orgasme comme jan avait rarement connu, il demanda à lautre homme de libérer ma bouche, ce qui eu pour effet de me laisser exprimer ma jouissance bruyamment.
Et alors que ni les participant ni leurs maudits téléphones nen perdaient une miette, la bouche ouverte haletante et mon bassin et mes bras posés au sol tremblant frénétiquement, je lâchais une succession de cris et de râles sans aucune ambiguïté. Je jouissais dun orgasme puissant et non retenu qui dura trois minutes, tandis quil continuait plus lentement son vas et vient dans ma chate trempée, dont on devait entendre distinctement les clapotis.
Je reprenais à peine mon souffle la tête un peu baissée, réalisant immédiatement quà la vue des images et à lécoute de la « bande son » personne ne pourrait jamais croire que javais été e. Je sentis simultanément Mr Dupin retirer sa queue pourtant encore raide de ma chatte. « Il a renoncé a jouir ou nen peut plus « pensais-je brièvement. Mais mon répit fut hélas de courte durée, car je sentis presque aussitôt un contact à la fois dur et visqueux contre mon anus alors même que ses eux mains mécartaient les fesses. Je tentais de crier « Non ! » et déchapper a son étreinte, mais je senti immédiatement la main tenant mes cheveux se raidir relevant ma tet et empêchant tout mouvement, et le sexe qui frôlait encore mon visages engouffrer dans ma bouche ouverte pour protester, étouffant du même coup ma protestation et mes velléités de mouvement.
Ainsi livrée à mon tortionnaire, et pendant que je le lentendais sinterroger tout haut sur le caractère plus ou moins étroit de mon anus je sentis horrifiée ce gros gland encore mouillé de moi forcer mon petit orifice et son membre tout entier sintroduire à la suite, sans plus de manière. Je savais que si je serrais les fesses je risquais davoir plus mal encore, alors résignée je mefforçais de mouvrir pour accueillir au mieux les assauts de Mr Dupin. Satisfait il nhésita pas à bientôt me sodomiser avec vigueur en clamant haut et fort que je devais bien aimer ça, vu la façon dont jaidais à la manuvre.
Surexcité par ses multiples turpitudes il jouit heureusement assez vite entre mes fesses, et se retira ensuite essuyant sans élégance son gros sexe a demi mou contre mes fesses. Lautre homme également très excité de ce qui sétait passé ne tarda pas à se vider au fond de ma gorge. Mais bien sûr, il avait à peine fini de se soulager que déjà un autre sétait installé entre mes cuisses.
La séance dura eux heures comme à chaque fois, lassistance se lâchant complètement, persuadées par ma jouissance étalée à leurs yeux et par ma « collaboration active » à ma sodomie quen effet jaimais ça et que jen réclamais davantage.
Je tentais mécaniquement de tenir le compte des sexes que je suçais, de ceux qui jouissaient dans ma bouche sur moi ou simplement venaient se « chauffer » avant de passer au plat de résistance, de ceux qui me prenaient la chatte ou le cul ou les deux selon leurs envies, toujours san le moindre préservatif, mais je perdis rapidement le fil me contentant de respirer lorsque je le pouvais, méviter de m et
par trois fois encore de jouir comme jamais.
Même si mes orgasmes venaient bien sur es multiples pénétrations que je subissais et de lexcitation générale que la situation générait en moi, malgré moi, ceux qui me pénétraient au moment de ces orgasmes le prenaient avec une fierté bruyante, prenant les autres a témoins de leur performance : ils avaient faite jouir la salope ! On aurait dit un concours, encouragé tout du long par David, ravi encourager cet esprit de compétition ont je faisais es frais. Lintégralité de mes épisodes de jouissance furent bien sûr soigneusement enregistré en de multiples exemplaires
Comme la fois précédente, David se contenta dune simple fellation après le départ des participants, mindiquant méchamment que jétais bien trop souillée à son gout mais quil prendrait soin de passer en premier la prochaine fois.
Cette fois encore jeu un temps très (trop) court pour essayer tant bien que mal de me rendre une apparence présentable avant quil ne me jette dehors ma robe rendue au dernier moment a peine enfilée sur mon corp couvert de bleu et de sperme. Je rentrais donc à la maison dans un état encore pire que la fois précédente, en rasant les murs avec une démarche de zombie et ne voyant aucun moyen déchapper à la poursuite de ce que Mr Dupin avait appelé avant de partir « ma nouvelle vie enfin utile au service de la communauté »
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