Je Veux Me Faire Ma Voisine. 3
Je veux me faire ma voisine. 3
-Je te baise le cul ! Tu aimes ça ou tu ne préfèrerais pas une belle pine pour te ramoner le fion ?
Carole prend le manche sans même réagir comme si cétait naturel pour elle, et mouillant de plus belle. Françoise sent que le moment est venu quand Carole vocifère :
-Aaahhh ! Je jouiiisss ! Ouuuiii ! Nooonnn !
Ses cris étouffent le bruit de la sonnette. Le déchainement oral de Carole déclenchant la jouissance de Françoise qui lui promet :
-Va ! Jouis autant que tu peux ! Tu nas pas répondu à ma question, tu te tortilles sur ce manche que je tai mis dans le cul, mais je vais bientôt avoir ma réponse
Suite :
Bon
Revenons enfin à la première personne du singulier, et à mon récit...
On dirait que le piège de Françoise a fonctionné
Quand jouvre la porte de la salle de bains, je trouve les deux gouines en plein exercice. Je suis arrivé pilepoil au bon moment.
-Dites-donc, les filles, on dirait que vous vous donnez du bon temps, et regardant Carole, bonjour chère amie, vous vous rappelez de moi ? Nicolas ?
Carole est très gênée, ne sachant quelle attitude prendre. Je ramasse ses habits et sors de la pièce.
Elle me suit et essaie de récupérer ses frusques. Je la saisis par le bras et la jette violemment dans le divan. Elle a lair en colère. Je la nargue :
-Vous maviez caché vos talents, lautre jour. Si javais su que vous aimiez être enculée, je vous aurais proposé mon aide.
Carole est furibonde, je ne sais pas si elle se rend compte quelle est toujours en tenue dEve, une vraie statue débène magnifique aux obus arrogants. Avant quelle ne se rebiffe et reprenne trop ses esprits, je déboutonne lentement mon pantalon et le retire ainsi que mon slip.
Carole, malgré sa colère, ne peut empêcher son regard de se fixer sur mon dard qui pointe, dont le prépuce laisse entrevoir le gland.
On dirait quelle se trouve fascinée par le spectacle de cette queue de mâle braquée vers elle.
Je vois son vagin toujours animé de lentes contractions, elle continue de mouiller.
Je retire mon tee-shirt et me mets à genoux sur le divan en haranguant Carole.
-Viens me pomper, salope !
Françoise, faisant la coquine derrière mon dos, lui rappelle mes exploits et lui demande si elle est partante pour un plan à trois. Mais le comble, c'est que Carole veuille vérifier mes talents de juteur.
Pour linstant, elle ne réagit pas mais je vois bien que son regard sest animé quand jai libéré ma teub et que mon mandrin sest braqué vers elle.
Elle commence à se détendre, je tends le bras, empoigne ses cheveux et approche de force son visage vers mon sexe dressé au milieu de mes poils pubiens. Elle est tellement surprise quelle entrouvre sa bouche et jen profite pour faire pénétrer ma bite entre ses dents.
Je lui maintiens fermement les cheveux pour quelle ait le maximum de ma tige dans la bouche.
Vu la taille de ma verge, je sens mon dard lui titiller la glotte, entrainant de sa part des haut-le-cur.
Je relâche la pression sur sa tête pour éviter quelle me vomisse dessus. Carole, plus libre de ses mouvements, continue seule, faisant aller et venir mon vit entre ses dents.
Mon manche, à ce rythme, finit de gonfler et se niche entre le palais et la langue de Carole quelle sapplique à entortiller autour de mon gland qui glisse parfaitement dans sa bouche.
Jai beau être costaud, il ne lui faudra que quelques minutes pour mamener au point de rupture.
Un filet de salive relie ses lèvres entrouvertes à ma teub à quelle prend en bouche et suce avec avidité et un plaisir évident. On dirait quelle adore la sentir dans sa bouche, faisant passer sa langue le long de ma hampe et sentant mon gland venir appuyer contre le fond de sa gorge.
-Aaahh ! Tes une sacrée suceuse
Je vais cracher ! Avale tout, salope !
En bonne fille, Carole déglutit pour absorber mes expectorations séminales. Elle ne veut pas abandonner ma lance et des dégoulinades de foutre maculent le coin de ses lèvres. Bien que jai fini de jouir, elle ne veut plus abandonner ma pine et continue pour légoutter, bien que je ne la force plus à me sucer.
Une fois quelle a terminé de méponger le gland, Carole retire ma teub de sa bouche et descend vers mes couilles pour y récupérer quelques traces de foutre qui ont fuitées.
Je mallonge pour plus de facilité. Carole reprend sa caresse, allant des couilles à la hampe, du ventre aux cuisses. Sur ses seins, elle sent mes doigts qui pincent ses tétons, qui descendent ensuite vers ses fesses. Elle se tourne même pour faciliter la pénétration de quelques phalanges dans son anus.
Je reste immobile, attendant que ma verge finisse de reprendre une consistance plus apte à la suite en lui ramonant le cul. Quand elle comprend que mon engin est de nouveau prêt, elle mordonne :
-Encule-moi ! Tu es un sacré loustic, toi ! Mais putain que jaime ta belle teub !...
Le cri du cur, elle na pas froid aux yeux, la coquine, prête à sauter les étapes
Françoise la rassure :
-Il est clean, tu peux y aller sans risque !
Elle sarrache de mes doigts, se tortille sur moi sans toutefois lâcher mon mandrin qui glisse rythmiquement dans sa bouche, salivant abondamment pour lubrifier mon dard. Puis Carole se place à croupetons sur mon ventre. Elle met mon défonce-cul juste en face de son objectif et sempale brutalement sur mon obélisque dressé.
Ma verge plie sous leffort avant de finir par forcer la porte. Elle mécrase les couilles.
-Aïe !... Putain de salope ! Tu me casses la pine.
-Wouaouh ! Quel morceau ! Crie-t-elle encore plus fort que moi. Ça cest de la bite !!!
Elle est mal placée et doit sappuyer sur ses mains pour se soulever, permettant à mon pieu de mieux se replacer et elle se poignarde aussitôt loignon.
Pendant ce temps, Françoise jouant à la mouche du coche, tire sur le corps de Carole, comme pour tenter de soulager la pression des fesses tendres de son amie sur ma pine, comme si elle voulait protéger son jouet dun accident malencontreux.
Mais les contorsions de Carole accroissent mon envie de tenir tout contre moi son corps souple et frais qui, tel une liane, roule sous mes mains. Soudain, Françoise change de comportement et me supplie:
-Laisse-là maintenant ! Tu las eu, cela devrait te suffire, je suis là, moi !...
Ma parole
Est-elle devenue soudain jalouse ? Mais quest-ce quil lui arrive ?
Plus elle essaie de nous séparer, plus je resserre Carole à la peau débène chaude et luisante de sueur, envahie par une sorte divresse qui atteint son bas-ventre et ses seins avant de sétendre jusquaux extrémités de ses quatre membres. Suivant les mouvements, sa chatte souvre et se referme au rythme des contractions de son bas-ventre pendant que son anus sassouplit et sélargit pour faciliter la pénétration de mon pieu joufflu et gluant. Je vois ses obus aux tétons énormes suivre la danse en se déformant sous les coups de boutoir que son corps absorbe. Elle soupire daise de se sentir envahie par la chaleur de ma poutre.
Mais Françoise revient à la charge et veut nous séparer, envahie par une jalousie mal placée. Elle voudrait libérer son amie, mais Carole ne songe nullement à se séparer de moi, oubliant totalement les gesticulations folles de Françoise pour ne plus penser quau plaisir qui la fait frissonner.
Je prends des coups et doit repousser Françoise, allongée tout près de nos corps imbriqués.
-Mais laisse-nous tranquille, Françoise ! Quest-ce qui tarrives ? Cest bien ce que tu voulais en me piégeant de cette façon, non ?! Hurle Carole.
Je me redresse, emportant Carole embrochée sur mon rostre et me dirige vers la chambre sous les coups redoublés de Françoise sur mon dos. Je rugis :
-Tu vas nous foutre la paix, oui !
-Fais de moi ce que tu voudras, me coupe Françoise, mais laisse-là tranquille !
-Tu es ridicule, Françoise !
Linterrompt Carole, qui remue du popotin contre mon sexe depuis que je lai jeté sur le lit, appréciant de sentir mon manche lui entrer entre les fesses, au niveau de la fourchette de la vulve séchappe un filet de mouille qui goûte sur le lit de Françoise. Je laisse ma queue se faire décalotter et recalotter au rythme des coups de reins lents et appuyés de Carole.
Je sens que mon foutre monte à nouveau de mes couilles vers le sommet de ma lance comme leau dans un puits artésien.
Je décule et ma verge se redresse entre nos deux corps, je la prends dune main pour guider ma baïonnette vers lorifice des entrailles offert. Carole maide à représenter mon pieu entre ses fesses et le contact de sa main délicate contre la peau hypersensible de ma pine la fait bander plus encore si cest possible.
A genoux derrière elle, après avoir humecté avec ma salive déposée sur mes doigts son sphincter, javance doucement entre ses fesses jusquà sentir mon gland forcer sur la collerette qui garnit lanus. Carole entrouvre la raie de ses fesses avec ses mains séparant les deux belles meules, mimant déjà les mouvements de son corps comme une invite.
Je mattarde quand même autour de lorifice pour épargner mon dard qui sécorche encore aux petits muscles serrés, ne me préoccupant plus des jérémiades de Françoise que je vois soudain aller farfouiller dans un tiroir.
Carole guide ma verge vers ses entrailles, remontrant le chemin à mon gros paf qui lui chatouille lanus quand soudain Françoise se jette sur moi. Elle me cingle le dos avec un fouet et, sous la douleur, je me cabre nerveusement.
Heureusement que ma teub était sur la bonne voie car mon dard entre dun seul coup dans les boyaux de Carole qui pousse un hurlement de joie, de douleur et de plaisir confondus.
-Aaaaaah ! Aaaaaah ! Quelle défonce ! Putain ce que tu me bourres bien ! Merci Françoise !
A suivre
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