Le Garage (23)

Pendant ce temps-là, j’ai rejoint les participants de l’assemblée générale annuelle du Rotary Club, organisée, comme tous les ans, au Club House du golf local. J’y retrouve mes fréquentations habituelles et me plie au jeu des mondanités auquel je me sens contraint de consentir comme figure de l’économie locale. Je bous d’impatience en attendant Paul qui n’est toujours pas là…

Au bout d’un moment qui m’a paru interminable malgré quelques conversations agréables et la qualité du buffet dressé au bord de la piscine, je vois arriver mon amant, beau comme un dieu dans un costume de soie gris perle.

Paul s’approche accompagné de sa femme

- Bonsoir Eric
- Bonsoir Maud, bonsoir Paul.

Maud, que je connais un peu pour l’avoir souvent rencontrée à ces soirées, entame la conversation :
- Nous sommes en retard, notre petit dernier avait un début de fièvre et nous avons dû attendre la baby sitter
- Rien de grave j’espère ?
- Non. Tout va bien. Vous avez vu du monde ce soir ?
- Oui. Les AG sont assez fréquentées.

Nous sommes rejoints par la femme du directeur départemental de la sureté qui prend Maud par le bras pour l’emmener à l’écart. Je me retrouve face à Paul.

- Je bande
- Moi aussi
- J’ai envie de toi
- Moi aussi
- Tu as aimé mon petit cadeau ?
- Oui. Beaucoup.
- Il faudra que nous jouions un peu ensemble.
- Maintenant si tu veux

Je manque de m’ avec ma coupe de Ruinart.

- Non !!!! tu l’as apporté ?
- Mieux que çà…

Je réfléchis une seconde et je comprends….

- Tu veux dire…..tu as le plug là ?
- Oui
- Non mais t’es dingue ?
- Oui. De toi….

Paul me dévisage et me fixant comme si nous étions seuls au bord de cette piscine pourtant bondée.

Paul est plutôt déterminé ce soir…

- Tu as l’appli ?
- Non, pas encore
- Télécharge là alors
- Maintenant ?
- Ben oui….

maintenant

Je sors mon smartphone. Paul me montre le site où télécharger l’appli un peu particulière…

- Maintenant il faut que tu te synchronises avec moi
- OK. Montre

Paul m’explique la marche à suivre avec un code numérique unique.

- Bon, là c’est bon, normalement ça marche….

Je regarde l’écran de mon smartphone, un peu troublé et surtout inquiet que quelqu’un puisse voir ce que nous sommes en train de faire. Mais, de loin, nous ne sommes que deux notables locaux en grande discussion et toute l’assemblée pensera que nous négocions des affaires…

Je me familiarise avec l’écran et comprend rapidement les fonctionnalités. Je peux contrôler le plug anal que Paul s’est mis dans le cul avant de venir à la soirée, de même, un autre jour, que le gode, plus sophistiqué, qui l’accompagnait dans le coffret que je lui ai offert.

Différentes icones permettent de le faire vibrer à différents niveaux d’intensité, de lui faire faire une rotation sur son axe et de l’allonger puisqu’il est constitué de deux parties articulées. J’ai pris le modèle haut de gamme pour mon ami.

Je joue avec la première icône, celle qui commande la vibration

- Putain !!!!!

Paul n’a pu retenir son cri et il renverse sa coupe de champagne par terre dans un geste brusque.

- Arrête !

Je le regarde dans les yeux en souriant

- C’est pas bien ?
- Arrête ! c’est trop bon, je vais jouir
- Déjà ?
- Si tu continues ce truc va me faire cracher dans mon caleçon vite fait
- …..cool… je vais aller plus doucement…

Je me concentre sur l’écran, les réglages sont sensibles et je vois les yeux de Paul se lever vers le ciel comme si’il venait d’avoir une apparition divine. J’imagine le plug connecté dans son adorable cul poilu et je bande comme un fou. Je sens mon gland humide dans mon Aussiebum.

- Eric….
- Oui ?
- C’est un truc de malade…je prends mon pied, c’est dément…. Mais je t’en supplie vas y doucement….
- N’aie pas peur

Je le regarde tendrement pour le rassurer mais j’ai bien l’intention de profiter de la situation. Je continue à piloter le plug avec mon iphone…

- Attention…je vais tester la rotation…
- Nnnnnonnnn, fais pas ça !
- Siiiii

J’appuie sur l’icône et je vois sur le visage de Paul que l’effet produit est des plus agréables. Un regard un peu averti n’aurait pas manqué de voir que quelque chose d’inhabituel se passait entre nous deux…

- Tout va bien messieurs ?

Nous sommes rejoints par le trésorier du Rotary que je n’avais pas entendu approcher.

- Très bien Pierre, et vous ? tout est prêt pour l’assemblé générale ?
- Tout est prêt
- Vous vous représentez je crois ?
- Oui…c’est du travail mais il faut que quelqu’un le fasse
- Bien sur…nous voterons pour vous

Je cherche à me débarrasser de cet archétype du bourgeois de province qui se donne de l’importance à briguer des postes et des titres dans toutes les associations qui passent à sa portée.

- A tout à l’heure…
- A tout à l’heure

Paul est à la fois gêné et aux anges

- Ça va mon amour ?
- On ne peut pas rester ici
- Pourquoi ?
- Fais pas l’idiot. Tu veux vraiment que je jouisse là devant tout le monde ?
- Moi je veux que tu jouisses avec moi à chaque fois que tu en auras envie. Tu n’as pas envie…
- J’en meurs d’envie…c’est pour ça que nous ne pouvons pas rester ici

Je regarde l’écran de l’application et sélectionne la fonction « allongement ». Je plonge les yeux dans ceux de Paul pendant qu’il ressent l’objet magique prendre du volume dans son anus.

- Ohhhhhhh….nonnn……

Il est presque en train de perdre l’équilibre et je le saisis par le bras pour le retenir et lui éviter de trop nous faire remarquer…

- Viens à l’étage….je veux que tu me baises
- Tu connais le bâtiment ?
- Oui… viens

Paul semble effectivement très à l’aise pour nous éloigner de la foule et nous nous retrouvons seul à l’étage d’une aile du club house assez peu meublée et qui ne doit pas servir souvent.

Paul trouve un local technique ouvert et nous y pénétrons, la queue en feu sous nos beaux costumes de marque. Dès la porte fermée, Paul se retourne et nous nous embrassons comme si nous ne pouvions plus jamais respirer l’un sans l’autre.

- Je t’aime
- Je t’aime

Paul enlève sa veste, dégrafe sa ceinture, ouvre son pantalon et le fait tomber sur ses chevilles. Il me tourne alors le dos et se penche en s’appuyant sur une table pour m’offrir son cul velu.

Je le regarde, je le bouffe des yeux et commence à retirer le plug interactif de sa chatte poilue. Il l’a bien lubrifié et le bel objet chromé sort tout seul pour me laisser le champ libre. Je défais moi aussi ma ceinture, fais tomber mon pantalon Armani, baisse mon caleçon sur mes cuisses et, d’une main décidée, dirige mon gland vers l’anus brillant de gel de mon ami.

L’assemblée générale nous attend et nous ne pouvons pas prendre trop de temps pour les préliminaires

- Baise moi ma chatte mon amour
- J’y suis

Un coup de reins et mon gland disparaît déjà dans son petit trou de gentil père de famille bien sous tous rapports.

- Oh putain qu’est-ce que c’est bon
- Tu aimes mon amour ?
- Ouiiii, baise moi bien à fond….

Je ne me fais pas prier. Comme Paul m’a totalement excité avec ses petits jeux connectés et que j’ai envie de baiser avec lui depuis ce matin sans avoir eu cinq minutes pour me masturber, je sens que cet assaut sera un peu sauvage, comme ces accouplements animaux qui ne s’embarrassent pas de détails.

- Viens mon amour
- Je viens….je vais jouir….
- Ouiiiii, remplis moi le cul Eric !
- Ouiiiiiiiiiii !!!!!!!!

Ca y est, j’ai explosé dans sa chatte douce, chaude et humide. L’endroit que je préfère à tout autre au monde désormais.

- Faut pas qu’on traine…
- Ok mais….

Je souris. Il faut effectivement que Paul se vide du jus épais et généreux que j’ai généreusement éjaculé au fond de lui. Je me colle à ses fesses et à son dos pour l’embrasser dans le cou pendant que mon sperme coule de son anus.

En regardant autour de moi je trouve une pile de serviette et celle du dessus me sert à lui essuyer les cuisses et l’anus. Une fois que son sublime cul est à peu près sec je réintroduis le plug dans sa chatte. Paul sursaute.

- Tu ne le voulais plus ?
- Si, si… mais j’ai peur que tu ne sois pas sage….
- Fais moi confiance….
- Justement….

J’aime son humour et le ton complice et décalé de nos échanges.

- Il faut qu’on redescende. On va nous chercher.
- OK

Nous nous rhabillons, vérifions que nous sommes irréprochables, cravates parfaitement nouées et nous descendons prendre place dans les rangs de chaises prévus pour l’assemblée générale qui commence deux minutes à peine après notre arrivée dans la salle.

Je pense au cul de Paul, à sa chatte et à ses fesses poilues qui me rendent dingue, et au joli jouet que j’y ai introduit. Je sens que cette année je vais m’ennuyer un peu moins pendant les délibérations…