J'Ai Osé
Jai osé
Lors dune discussion coquine avec toi, javais évoqué mon envie de rencontre un couple, seule, mais comme souvent ce fantasme navait pas été plus loin, ce qui te mettait parfois « en rogne », en effet jétais souvent sur la réserve et je nosais pas me faire plaisir, alors que tu my encourageais. Mais afin de te prouver la réalité de mes envies, mais aussi pour me prouver que je pouvais le faire, jai pris contact, sans que tu le saches avec un couple ; tout en sachant que peut être au dernier moment, jallais faire demi-tour. Pour une fois, jai osé.
La rencontre a eu lieu dans un bar, bondé en cette période de vacance ; ils mattendaient.
Tous les deux la quarantaine, de belles prestances, ils mont accueillie les bras ouverts, déposant un bison à chaque coin de mes lèvres. Elle, grande, assez fine de corps, avec une jolie poitrine, à peine couverte par un léger corsage transparent, laissant deviner ses tétons et la vallée de sa gorge, par la large échancrure ; lui un bel homme, jovial, blagueur, et surtout faisant tout pour me détendre. Franck et Paule étant leurs prénoms.
Pour ma part, une jupe portefeuille, très courte, cachant tout juste mon fessier et un caraco recouvrant un soutien sein, bombant ma poitrine et laissant visible la pointe de mes seins. La conversation, très courtoise était difficile en raison du bruit dans la salle ; Franck nous a alors proposé daller dans un endroit plus calme,
« Surtout si nous devons parler de nos jeux préférés. ».
On se dirige alors vers un bar dans la même rue en train douvrir ; à lintérieur, cela semble un ancien cabaret avec une petite piste de dance et une scène. La patronne nous dit :
« Vous allez être tranquille car très souvent je nai personne à cette heure, donc bienvenue »
Alors que Franck commande des boissons, Paule me complimente sur mon physique :
« Vous avez le corps dune femme dà peine 50 ans et encore ; vous me plaisez beaucoup ! et je vous envie car avec mon pull et mon jean, jai vraiment trop chaud »
« Va te changer, notre hôtel est à 50 m ; je te promets de ne pas trop draguer Nicole en ton absence »
Son rire éclaire son visage ; jai de la chance, ils sont très courtois.
Marie Paule me tend la main : « vous voulez ? jai envie de danser avec vous »
Elle mattire contre elle et doucement dépose un baiser au coin de mes lèvres et en même temps, elle glisse sa main sous mon caraco et me caresse le sein. Avec un temps de retard, mes mains se posent sur ses fesses, lenserrant un peu plus ; le contact de sa main sur mon sein alors quelle me triture le téton me fait oublier toutes résistances et je comprends alors que je vais leur appartenir.
« Hé les filles pourquoi pas sur la scène, nous sommes seuls, profitez sen, faites-nous un show »
A nouveau, cest Paule qui prend linitiative et mentraine sur la scène, ouvrant mon caraco ce qui découvre totalement mes seins. Me prenant la main, elle la dépose sur ses cuisses, mencourageant à relever sa robe. Nos deux bouches se soudent en un fiévreux baiser. Cest encore elle qui ouvre ma jupe, montrant ainsi mon string blanc qui couvre à peine ma chatte, puis dégrafe mon soutien-sein. Une pirouette lui permet de faire découvrir à Franck, lenvers du décor puis elle fait deux pas en arrière pour me toiser de la tête aux pieds, alors que dans la salle, Franck émet un sifflement admiratif. Faisant un bond vers moi, elle arrache le string, laissant la vue de mon petit minou et elle le lance à son mari.
« À toi maintenant ! »
Me mettant derrière elle, prenant le bas de son teeshirt dun seul mouvement je lui enlève. Elle est nue, rien pour cacher son sexe finement rasé et la fente que lon découvre facilement.
Sa bouche sur mon téton, une main entre mes cuisses, Paule se déchaine, membrassant fougueusement, nous nous caressons jusquà en être essoufflées, en oubliant que nous donnons un spectacle ; un petit moment de pause, puis elle se déchaine ; ce ne sont plus des caresses mais de véritables explorations sexuelles, face à son mari elle écarte mes fesses, puis plonge ses doigts dans le sexe humide offert à sa vue.
« Tu comprends ce qui risque de se passer ? »
« Oui, tu veux moffrir à ton homme, et jen ai envie ! »
Je découvre alors que son mari nest pas seul dans la salle ; il semble que la patronne a fermé la porte du bar et quelle assiste avec son barman au spectacle. Un moment dhésitation mais quand je me trouve devant Franck qui arbore un sexe bien tendu ; plus rien ne compte. Alors que ses mains me plotent les seins, jembouche le vit offert. Ma langue le lèche, sintroduit dans le méat doù sécoule déjà du liquide pré séminal, avant de le gober complétement ; il memplit totalement la gorge, senfonçant profondément et je dois me retirer pour reprendre souffle avant de le pomper à nouveau.
Paule derrière moi elle a de nouveau investi mon petit bouton quelle triture pour mon plus grand plaisir, le quittant parfois pour introduire au moins deux doigts dans ma fente pleine de cyprine ; elle sait faire jouir une femme et je ne résiste pas longtemps à sa masturbation ; une première jouissance déferle, bientôt suivi dune deuxième car cest maintenant toute sa main qui me fouille, pour un fist qui me ravage les entrailles.
Alors que je récupère, Franck me retourne sur le bras dun fauteuil et puissament il sinfiltre dans ma chatte dilatée ; bien quouverte par le fist, il emplit mon conduit et quand il commence ses coups de piston, son gland vient frapper le fond de ma matrice. Paule vient de se placer face à moi sur le second bras du fauteuil et me présente sa chatte, rouge de désir, suintant de sa semence ; me prenant la tête, elle plaque ma bouche sur son abricot et cest avec délice que je la butine, souvent secouée par son mari qui me perfore. La bande sonore du blues accompagne les grognements de Franck qui me besogne hardiment et mes cris, mélange dextase et de soumission à me sentir ainsi défoncée sans répit resonnent dans la pièce.
Alors que Franck maide à me redresser et que Paule membrasse, me remerciant pour le plaisir que je lui ai donné, je constate que la patronne, la main entre ses cuisses et le barman qui se branle ont bien profité de cette séance de plaisir. Un peu honteuse de mêtre ainsi offerte, je me rhabille rapidement et je mapprête à les quitter, quand me retenant, Franck me propose de les accompagner jusquà leur hôtel ; cest finalement le regard de Paule qui ma décidé à les suivre, sans aucun doute pour une autre partie, mais cette fois sans spectateur.
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