Chroniques D'Un Jeune De 25 Ans Addict Au Sexe - 3
Me revoilà pour une nouvelle chronique. Vous êtes toujours plus nombreux à réagir à mes chroniques, et sachez que je suis très heureux de voir leffet quelles vous font. Appréciez donc ma troisième chronique ! Je rappelle simplement comme dhabitude que tout est réel, rien nest fantasmé.
Les histoires avec monsieur C sachèvent. En effet après deux ans de bonne baise, jai déménagé, et lui a développé certains problèmes de santé.
Mais ce fut réellement mon premier amant, celui avec qui jai commence à mouvrir à lhomosexualité, et à apprécier passer du temps avec un homme mûr. La rencontre avec monsieur J viendra plus tard, mais il faut que je vous conte une autre histoire.
Jai déménagé dans un coin assez paumé de notre beau pays, toujours dans le Sud (plus ou moins..), mais un coin bien perdu, pas de monde, pas de bar gay, pas de ours pervers à lhorizon, rien. Le problème de ce nouvel endroit, cest que tout le monde parle sur tout le monde, ce microcosme joue contre moi, gardant ma vie sexuelle assez discrète, trop sujette aux jugements divers et variés.
Alors, je me perds sur les sites de rencontres, surtout ceux à caractère sexuel. Je ne vais pas les citer ici, mais jen ai écumé des tonnes, à la recherche de mon bonheur. Au fil de mes recherches, et en écumant les profils, je reçois une réponse à une de mes annonces précédemment postées.
«Bonjour Martin, je mappelle B, jai 72 ans, et je serai ravi de taccueillir afin de passer un moment privilégié avec toi. Je suis vieux certes, mais très pervers comme tu aimes, avec une queue qui bande toujours. Jaimerai bien te souiller, si tu acceptes de me rencontrer.»
Monsieur B avait donc 72 ans, et habitait à 20 minutes de chez moi. Je navais jamais encore baisé avec un homme si vieux, mais je dois vous avouer que lidée de coucher avec un homme aussi âgé que mon grand-père mexcitait énormément.
Cette tension sexuelle, liée à un peu de me rendait fou.
Malheureusement, B doucha mes espoirs lorsquil mannonça quil avait de la famille à la maison, impossible donc de nous voir. Cependant, il me proposa de nous rencontrer sur une aire de repos, pas très loin de chez lui.
De ce quil mavait expliqué, cétait une aire très connue pour son activité homosexuelle, et beaucoup dhommes venaient, dans lespoir de baiser, ou le contraire.
Ni une ni deux, je décida dy aller, mais avec une grosse boule au ventre. En effet, je navais jamais encore fais quoi que ce soit à lextérieur, surtout pas en nature. Le scénario mexcitait, certes, mais jétais terrifié à lidée de me faire surprendre..
Arrivé à laire, quelques voitures sont déjà garés, et je prends le chemin de terre que B mavait indiqué, avant darriver vers une maison abandonnée. Quelques hommes sont déjà là, la quarantaine je dirai, et me dévisage, comme si jétais un morceau de viande.
Cétait excitant, mais malaisant en même temps. Je traverse donc la sorte de cour, sans prêter attention aux invitations très délicates de ces messieurs, avant de rejoindre une sorte dancienne cave à bois.
B était là. Un peu plus petit que moi, une belle moustache, et surtout un air extrêmement pervers
Il me dévore du regard, se lèche les lèvres, se touche lentre-jambes
«Javais hâte que tu viennes mon garçon, je suis tout excité à lidée de te baiser..»
Me baiser ? Oui, me baiser. Ce que je ne savais pas, cest que B était un actif, un actif convaincu, et aimait cracher son jus dans le cul de jeunes salopes. Sur le moment, je ne réfléchis pas, et il se jette sur moi pour commencer de fougueuses embrassades.
Je tâte son paquet et je remarque que, certes il bande sacrément pour un homme de 72 ans, mais surtout, il a un gros sexe ! Une vingtaine de centimètres, mais surtout très large. En clair, pour mon petit cul vierge, ça va être un sacré baptême.
Mais quimporte, je me mets directement à genoux pour me délecter de son précum. Il a le gland tout mouillé, sa queue sent fort, elle sent le mâle. Jadore ça. Jessaie tant bien que mal davaler lentièreté de son sexe, et les larmes me montent vite aux yeux.
Sentant que jaime sucer sa grosse queue, il commence doucement à me baiser la bouche, tout en murmurant des insanités. Que jétais une sale pute, que jadorai la queue, que javais une bouche à pipe, on ne mavait jamais insulté de la sorte, ni dominé, mais jadorais ça..
Il continuait à me défoncer la bouche lorsque je sentis une main se poser sur mon épaule, et une queue approcher de ma joue.
Jeus peur sur le moment, cétait un autre mec, voulant profiter de ma gorge souillée par la queue de B. B justement écarta lintrus, en lui faisant comprendre que jétais son vide-couilles, pas le sien. Cétait diablement excitant.
Soudain, B se retira de ma bouche. Jétais déçu, sa queue était délicieuse. Il minvita à me lever, et à me tourner contre le mur, les jambes écartées. Ca y est, il veut me souiller..
Il déboutonna mon jean, et le baissa, pour me retourner. Je plaqua mes mains contre le mur, et jécartai les jambes afin de sentir la queue de B entre mes deux fesses vierges. Malgré ma non-passivité à lépoque, jétais extrêmement à cheval sur la propreté, et donc toujours clean, par devant comme par derrière.
Il se mit alors à bouffer mon petit trou, et je me surpris à gémir sous les coups de langue de ce vieux pervers.
Sa moustache me chatouillait, et sa langue travaillait ma rondelle. Tantôt en léchant, tantôt en crachant. Il y prenait du plaisir, je le voyais continuer à se masturber frénétiquement. Après 5 bonnes minutes, il leva la tête, et posa son gland à lentrée de ma rondelle.
Il navait pas de capote, je lui fis alors remarquer que cétait très risqué. Il massura alors quil ny avait rien à craindre, quil voulait vraiment se vider dans mon cul de salope, et ma supplié de le laisser le baiser sans capote.
Des larmes me vinrent directement aux yeux, et une douleur fulgurante sempara de moi. Je voulais lui dire darrêter, de ralentir, mais il était lancé, il voulait me baiser, nen avait rien à foutre de moi.
Il continuait à me pilonner le cul, en me disant à quel point jétais bon, jétais serré, quil allait me féconder, et
je me surpris à prendre du plaisir.
La douleur sestompait, pour laisser place à une agréable sensation, et je gémissais sous ses coups de reins. B me défonçait comme une pute, en me fessant, et en continuant à me pilonner toujours plus brutalement.
B était un vrai baiseur, un homme qui aime salir de jeunes mâles, et cela se confirma lorsque je sentis son sexe se contracter, et un liquide chaud se répandre en moi, il mavait fécondé, comme il lavait dit plus tôt.
Il se retira et laissa une grande sensation de vide en moi. Il plongea deux doigts dans mon trou très dilaté, afin de me faire lécher le foutre quil eut laissé en moi, jadorais son sperme, et je lui nettoya les doigts proprement.
B se rhabilla, et parti sans demander son reste, en me laissant là, le cul souillé et ouvert par un homme de 72 ans, en pleine nature. Une sacrée première fois.
Comme dhabitude, si vous voulez me donner votre avis, ou bien même discuter de cette histoire :
jeune25@laposte.net.
Merci de mavoir lu et à très vite !
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