L'Auberge Des Confessions (Alain)
Comme toutes les années depuis maintenant cinq ans, moi et quelques collègues dînons ensemble dans une auberge de la région. Cela pour fêter dignement notre amitié. Nous sommes encore six ce soir. Six comme à notre premier rendez-vous. Il y a Mauricette, la quarantaine passée, brune avec des mèches aux cheveux courts, vêtue dun pull et dune mini, avec des bottes. Yves, un peu plus âgé aux cheveux gris, bien habillé, corpulent, le regard vif, des poches sous les yeux. Isabelle, la trentaine, grande et mince, les cheveux courts encadrant un visage très pâle, où la bouche rouge éclate comme un fruit, une silhouette élancée, soulignée par un haut de soie blanche, ras du cou, et un pantalon de cuir noir très ajusté qui met en valeur dinterminables jambes. Avec ses escarpins, elle mesure un mètre soixante-quinze. Véronique, la plus jeune du groupe, resplendissante dans un tailleur strict de couleur claire sous lequel elle ne porte pas grand-chose. Pour finir Judith. Brune frisé, et maquillée à ravir. Superbe poitrine à la silhouette robuste, avec un charme particulier. Un cul rond est moelleux. Elle sait le mettre en valeur dans des fuseaux moulant, comme celui quelle portait ce soir là, de couleur. Elle portait aux pieds de grandes bottes. Elle était nue sous son pull à col roulé. Ses seins sagitaient, caressés par la douceur de la laine. On distingue nettement leurs pointes dressées. Voilà jai fait le tour des convives. Enfin ! Et, bien sûr, ma personne.
Lendroit est très agréable, les tables suffisamment éloignées les unes des autres pour avoir un peu dintimité. Lambiance est déjà très joyeuse entre nos trois couples.
La soirée se réchauffe. Un je ne sais quoi nous a incités à venir parler sexe, lalcool aidant sans doute. Chacun se sentant suffisamment libéré de tout préjugé, pour vivre une aventure immorale gardée pour la plupart secrète tout au fond de sa mémoire. Mais ce soir nous avons décidé de briser la barrière du silence, et de partager avec les autres convives, une confession.
Je prends tout de suite la parole, racontant le plus naturellement possible mon histoire.
Ma première femme était une femme brune. Ses yeux noirs étaient en amande, une belle poitrine qui se tenait bien droite. Elle pouvait, sans doute, se passer de soutien-gorge, mais elle était bien trop pudique pour cela. Ses petites fesses menues formaient un adorable derrière rebondi. Sa vulve bombée était gracieusement fournie de poils crépus.
Après un moment de déprime suite à une rupture. Alexandre, un ami, était venu partager une soirée, en notre compagnie, dans un restaurant. Le repas fut très copieux. Lalcool aidant, Cathy, mon épouse devenait moins timide. Elle ne prenait même pas le soin de remonter la bretelle de sa longue robe noire, qui avait glissé sur son bras. Alexandre, lami qui était assis en face, en était ravi. Ses grands yeux plongeaient directement dans léchancrure du corsage de mon épouse. Je nosais rien dire.
Le café but, Cathy, se disant en forme comme jamais, me demanda de les conduire en boîte. Je fus surpris de sa demande, elle qui naimait pas ces endroits. Je soupçonnais lalcool dy être pour quelque chose. Comme si je voulais me rassurer
mais de quoi ? Javais un drôle de pressentiment.
Arrivée dans la seule discothèque branchée des environs. La piste était noire de monde. Cathy voulut mentraîner sur la piste, mais je refusai. Je ne savais pas danser, ce qui ne la pas empêchée dy aller, en entraînant Alexandre.
Assis sur une banquette, je sirotais un whisky-coca. Dans la foule qui sagitait sur la piste, mon épouse était la seule à porter un vêtement sombre. Les jeunes filles portaient des tenues claires. Les corps se trémoussaient, dégoulinants de sueur. Sur les tissus, commençaient à se dessiner de larges auréoles de transpiration. Une odeur acide mêlée de tabac froid avait envahi latmosphère. Les projecteurs et les lasers donnaient une image psychédélique de la piste.
Je me sentais très seul dans mon coin. Cathy semblait mavoir oublié. Elle dansait dans les bras de notre ami. Le temps de commander un autre verre et je me retournai en direction de la piste. Tout en sirotant mon alcool, je navais dyeux que pour mon épouse qui se prêtait de plus en plus volontiers aux mouvements de son partenaire. Suspendue à son cou, elle dansait lascivement. Son ventre était plaqué contre celui dAlexandre.
Il la tenait par la taille. Ses grands bras lenlaçaient. Je sentis le sang me monter au visage, quand ses mains se glissèrent sur les fesses de mon épouse. Il fit disparaitre entièrement le petit cul de ma femme dans ses larges paumes. Je reprenais espoir quand elle les repoussa avec un regard chargé de reproches.
Une femme vint alors sasseoir près de moi, et se mit à me causer. Javais du mal à me concentrer sur ce quelle me disait. Elle se fâcha aussitôt de mon impolitesse. Elle aussi avait pas mal bu. Je dus faire semblant de mintéresser à ce quelle me disait pour la calmer. Discrètement, je regardais la piste du coin de lil. La lumière rendait Cathy encore plus blanche, mais ses joues rougissaient. Il me semblait que sa robe avait disparu, et que des ombres dansaient lentement autour delle. Subitement, les formes qui lentouraient me la dissimulèrent. Je la cherchais éperdument, mais en vain. Je remarquai avec effroi quAlexandre, lui aussi avait disparu.
Et cette femme qui continuait à me débiter ses conneries. Une angoisse terrible me serrait la poitrine. Je me levai dun bond et me dirigeai vers les toilettes. Jouvris la porte des sanitaires sans réfléchir davantage. Des jeunes femmes sursautaient en me voyant, et cessaient de se remaquiller pour me jeter carrément dehors en minsultant. Je me rendis alors dans les toilettes des hommes.
Des images horribles défilaient dans ma tête. Je voyais ma petite biche à genoux, en train de sucer la queue dAlexandre. Il la tenait par la nuque, il se branlait carrément dans sa bouche. Mon épouse ne se rebellait pas. Au contraire, elle ouvrait grand la bouche pour que lautre salaud senfonce profondément dans sa gorge.
Je devais ressembler à un fou, quand je pénétrai dans les W-C des hommes. Jen inspectais le moindre recoin, loreille aux aguets. Je devais me rendre à lévidence, il ny avait personne. Sur la piste, une musique plus rythmée éclata. Je retournai précipitamment à ma place, pour voir avec soulagement mon épouse assise à ma place, Alexandre à ses côtés
Cathy était essoufflée. Elle transpirait abondamment. Son visage était rouge et échevelé, sa longue robe du soir était toute froissée. Les bretelles pendaient, dévoilant un peu plus sa poitrine. Les boutons, sur le côté de sa robe, étaient dégrafés jusquà la hanche. La chair blanche et luisante de la cuisse était visible et elle ne cherchait pas à la masquer. Ses yeux fixes brillaient dune étrange lueur. Cétait sûrement les effets de la danse et de lalcool conjugués qui avaient mis ma femme dans cet état.
Un peu plus tard, jétais allongé sur le lit de notre chambre, complètement nu, attendant Cathy qui terminait de se laver dans la salle de bains. Je navais aucune certitude quil sétait vraiment passé quelque chose dans les toilettes, je ne voulais pas gâcher la fin de notre nuit.
La porte de la salle deau, en claquant, me fit revenir à la réalité. Je jetai un il sur mon sexe. Jétais en train de bander comme jamais. Cathy était là, sa fine dentelle blanche épousait parfaitement ses formes. Je ne fis rien pour lui cacher mon érection. Elle me regarda, étonnée. Je la fixai. Elle dénoua lentement sa ceinture, puis éteignit la lumière. Jentendis dans lobscurité le froissement du tissu, qui glissait à ses pieds. Aussitôt, son corps vint se lover contre le mien.
Sans un mot, mon épouse enfila elle-même ma queue dans sa chatte, en me chevauchant. Elle faisait preuve dune audace peu coutumière. Elle pensait peut-être à Alexandre, pendant quelle sactivait sur ma verge. Lui qui dormait pas loin de notre chambre. Je lavais invité à passer la nuit chez nous. En tout cas, elle prenait un réel plaisir à monter et à descendre tout en ondulant des hanches. Nous étions rarement excités lun et lautre à ce point. Je profitai de ce trouble commun pour essayer de connaitre la vérité.
- Tu mas lair bien excitée ce soir.
- Je
je crois que jai trop bu
Elle haletait carrément en se tenant à mes épaules. Ses reins étaient cambrés à lextrême.
- Ce ne serait pas à cause dAlexandre ?
Elle enfouit son visage dans mon cou. Elle nosait pas répondre. Jinsistai.
- Je suis sûr quil bandait, quand tu dansais avec lui. Avoue
- Oui
oui, répondit-elle dans un souffle.
Je crus que jallais éjaculer.
- Il doit en avoir une grosse ? Comment elle est ?
- Très longue, surtout. Il se frottait contre mon ventre. Oh, pardonne-moi, ça ma trop excitée.
Elle se mit à donner des coups de cul de plus en plus rapides. Jétais au bord de lorgasme. Cétait fou, jallais jouir parce que ma femme avait été troublée par un autre homme. Je voulus vraiment savoir.
- Dis-moi tout ! Il ta suivie dans les toilettes et il ta baisée ? Tu las sucé ? Raconte-moi, ça mexcite !
- Non
non ! Je te jure. Nous navons rien fait. Il ma suivie, cest tout !
- Mais tu aurais bien voulu quil te baise ?
- Non ! Oui ! Oh oui ! Jaurais voulu sa queue dans ma chatte ! Dans ma bouche ! Oh, je
je jouis !
- Moi aussi, salope ! Tiens, prends tout ! Tu mas trop fait bander, ce soir. Je ne peux plus me retenir !
Nous nous retrouvâmes, le corps inondé de sueur, honteux à présent de ce que nous avions dit. Je me tournai sur le côté pour mendormir. Un malaise oppressant mavait gagné une fois lexcitation retombée.
Dans la nuit, je me réveillai en sursaut. Quelque chose nallait pas. Je tâtai les draps. Cathy nétait plus dans le lit, à mes côtés. Jallumai la lumière, jallai voir dans la salle de bains, puis aux toilettes, le salon. Personne, tout était calme. Je ne comprenais pas. Cest en revenant dans ma chambre que japerçus une raie de lumière, sous la porte de la chambre dami. Là justement où était installé Alexandre. Je mavançai lentement. Mon cur battait à tout rompre dans ma poitrine. La sensation dangoisse était revenue, plus forte que jamais. Je collai mon oreille contre le battant et perçus des soupirs étouffés, des gémissements. II ny avait aucun autre bruit à cette heure avancée de la nuit.
Je me penchai pour coller mon il dans la fente de la serrure. Ce que je vis me glaça.
Cathy était à genoux devant la glace de larmoire. Ses lèvres étaient affreusement déformées par le gland enflé et rouge de notre ami. Ils étaient nus tous les deux. Elle suçait le long membre en hochant la tête, comme je lavais imaginé, quelques heures plus tôt. Il gonflait les joues de mon épouse.
Pendant quelle aspirait la hampe, Cathy palpait en même temps les testicules dAlexandre. Deux grosses couilles lisses qui ballotaient dans ses paumes. Ses fesses se crispaient à chaque fois quil lui enfonçait sa queue un peu plus loin dans la bouche. Ma femme, à moitié étouffée, continuait sans relâche à pomper, comme si sa vie en dépendait.
Je nen revenais pas. À moi, elle donnait rarement sa bouche, sauf pour me faire bander, quand elle avait vraiment envie de faire lamour, et toujours dans lobscurité. Là, elle se comportait sans aucune pudeur. Elle était prête à tout pour se faire bourrer par cette grosse bite.
Soudain, je réalisai que je navais aucune envie dintervenir. Pire, je bandais terriblement. Mon sexe nétait pas celui dAlexandre, mais dressé entre les pans de ma robe de chambre, il semblait avoir grandi. Sans plus attendre, je me branlai comme un fou, pendant que ma femme se mettait à quatre pattes. Alexandre sempressa de limiter, se plaçant derrière elle. Dun seul coup, il lui planta sa queue dans le vagin.
Sous la brutale poussée, mon épouse, si menue, tomba le nez en avant. Le salaud nen fit même pas cas. II en profita au contraire pour lui défoncer carrément la chatte. Cathy ne protesta pas. Elle soffrait même davantage, tendant ses fesses, le cul en lair. Il la limait de plus en plus vite. Elle était aux anges, ses joues toutes rouges de plaisir. Un bonheur total se reflétait sur son visage. Elle jouissait comme je ne lavais jamais vue. Cette vision me fit décharger contre la porte.
Dès que lexcitation sestompa, je menfuis comme un voleur. Ce nest quau petit matin que jentendis ma femme rentrer. Je navais pas fermé lil de la nuit, et elle non plus sans doute. Dès quelle se coucha près de moi, je la serrai dans mes bras, mallongeant sur elle. Aussitôt, je me remis à bander, sans pouvoir men empêcher. Sa chatte était encore pleine de foutre.
Jy enfonçai ma queue et je maperçus que je nageais carrément dedans. Cathy se laissait manipuler comme une poupée. Josai profiter de sa docilité. Ma main glissa sous ses fesses, lautre sempara dun de ses nichons, le pressant comme si javais voulu le remodeler. Pendant ce temps, mon index sinsinuait dans son cul. Jy trouvai, avec stupeur et émoi, autant de sperme que dans son vagin. Alors, je retirai ma bite de son con pour la placer plus bas, entre ses fesses. Il ne me fallut quun seul coup de reins, pour menfoncer dans son cul.
Mon épouse devait se sentir indigne et sale, pour se laisser malmener comme une pute. De façon obscène, elle offrit son ventre en frétillant de la croupe sous mes coups de queue.
- Vas-y, encule-moi ! Je ne veux jouir que comme ça, maintenant ! dit-elle dans un murmure.
Ce furent ses seules paroles. Elle se mit à haleter et la jouissance nous emporta tous les deux en même temps.
Quelques heures plus tard, une sourde excitation recommençait à me gagner, comme la première fois. Je dus me rendre à lévidence, Cathy avec dautres hommes mexcitait. Il avait vraiment fallu quun mâle vienne faire son entrée dans notre couple pour le découvrir. Mon sexe était dressé, jamais je navais bandé aussi fermement.
En fin de journée, nous nous retrouvâmes tous les trois, autour de notre piscine. Cathy me prit la main et mentraîna dans leau. Au bout de quelques brasses, ma femme et moi revînmes nous étendre près dAlexandre, sur les bains de soleil. Cathy se prélassait en sétirant. Je la regardais faire, amusé. Cest alors que lami se leva et plongea à son tour dans la piscine. Quelques allers et retours et le voilà qui remontait par lescalier. Mais surprise, son maillot lourdement trempé avait glissé au plus bas sur son anatomie très en forme. Cathy lobservait discrètement. Je recommençais à être excité, et elle aussi, car une auréole était en train de se former sur le devant de son maillot.
Jétais sûr quelle mouillait autant que je bandais, sous ma serviette, que javais préalablement glissée au centre de mon corps, cachant mon excitation. Je mapprochai lentement pour lui parler dans le creux de loreille, pendant quAlexandre sallongeait sur la margelle de la piscine, après sêtre rajusté.
- Tas vu sa queue, comme elle est grosse ?
Je la sentis frissonner tout contre moi. Elle tremblait même un peu.
- Pourquoi tu me dis cela, ça texcite ?
- Ce qui mexcite, cest la façon dont tu las regardé !
Elle se figea, détourna la tête pour me regarder droit dans les yeux.
- Quest-ce qui tarrive, Alain ? Dhabitude, tu es jaloux
- Ça me fait bander de savoir quun autre texcite. Et toi, tu mouilles, hein ?
Mon épouse sétait redressée sur son bain de soleil. Elle baissa le regard en cherchant ses mots.
- Oui, je mouille, dit-elle dans un chuchotement.
Pendant ce temps, Alexandre bronzait, le maillot déformé par son érection. Jen avertis ma femme.
- Regarde, il bande le salaud !
Cathy fixa lami. Elle mavoua alors.
- Je me sens toute drôle
- Tu aimerais lavoir dans ta chatte ?
- Je
oui. Et toi, ça te plairait de le voir me la mettre ?
Je compris quelle était toujours soucieuse de ma jalousie, mais je la rassurai.
- Si tu te faisais ce malheureux, je banderais encore plus que maintenant. Regarde !
Je tirai la serviette et lélastique de mon maillot. Ma queue douloureusement comprimée se tendit dun seul coup vers mon nombril. Les yeux de ma femme se mirent à briller. Elle voulait être certaine de mon consentement.
- Ça ne te fera rien, vraiment ?
- Je tai dit que oui.
Ma queue tressautait sur mon ventre.
- Et si je tai déjà trompé ?
Nous nous regardions. Je lui cachai que je lavais vue. Je voulais lentendre de sa bouche.
- Raconte-moi ! Ça mexcite encore plus, lui dis-je.
Elle parlait bas, en tripotant lentement ses cuisses lune contre lautre. Je ne pus mempêcher de me branler en lécoutant.
- Cest au restaurant que tout a commencé. Alexandre avait retiré sa sandale. Je sentais son pied sur le mien. II glissait le long de ma cheville pour remonter entre mes cuisses. Je nosais rien dire, par peur du scandale, et à cause de lalcool qui embrumait mon esprit. Cétait si troublant que je me laissais faire. Quand son orteil toucha ma chatte, jécartai les jambes. Javais le sang aux tempes. Je sentis son autre pied accrocher mon talon pour relever ma jambe. Je compris quil voulait que je lui en fasse autant. Je me déchaussai à mon tour pour presser mon pied sur son entrejambe. La bosse énorme que je sentis me fit mouiller encore plus. Tu étais à côté de moi et je me faisais branler tout en touchant la queue de notre ami.
Cétait trop excitant. Cest pour ça quà la discothèque, je lai suivi aussitôt sur la piste. Pendant que nous dansions, je sentais sa queue contre mon ventre. Je nai pas pu résister, quand il ma entraînée dans les toilettes. Il ma baisée dans une cabine.
Je lai rejoint plus tard dans la nuit, pendant que tu dormais. Je men voulais, mais je ne pouvais pas men empêcher. Dans sa chambre, je me suis livrée à lui. Je lai sucé. Il ma enculée. Jétais comme prise dune crise de folie. Je voulais son foutre partout, dans la chatte, dans la bouche et dans le cul. Je men suis voulu, après. Pourtant, je taime, mais je ne peux pas résister.
Je nen revenais pas. Elle, toujours si pudique, se montrait à présent sous un jour différent. Elle essaya de se faire pardonner.
- Excuse-moi, jai terriblement honte
Je ne lui laissai pas le temps de reprendre ses esprits. Elle continuait toujours à comprimer son sexe entre ses cuisses.
- Je suis sûr que tu mouilles comme une salope, pas vrai ?
- Oui, tu as raison. Je suis une salope. Je suis pire quune pute et cest ça justement qui mexcite. Quelle queue il a, lui aussi !
- Elle te plaît ! Mets-toi à poil. Il va bander encore plus, je pense.
Avec des gestes lents, ma femme retira son soutien-gorge, et tendit son buste en avant. Puis elle fit glisser son slip en se trémoussant vicieusement.
- Je suis vraiment une salope, pour mexhiber ainsi.
Elle écarta les jambes, tout en séparant ses lèvres brunes et fripées. Sa corolle était luisante de mouille. Son clitoris pointait entre ses poils. Soudain elle se retourna, se mit à quatre pattes en ondulant des hanches. Je lencourageai en me branlant moi aussi.
- Montre-lui ton trou du cul !
Elle sempressa décarter la raie de ses fesses. Son anus rose et strié apparut dans létroit sillon tapissé de poils fins. Les sphincters étaient encore boursouflés des pénétrations quelle avait subies. Un peu de chair rouge sortait au bord de lanneau bistre. Je vis celui-ci gonfler. La perverse poussait sur ses sphincters pour nous exhiber lintérieur de son cul. Elle en frétillait, comme une chienne en chaleur. Je nen pouvais plus.
- Vas-y ! Tu en meurs denvie ! Tu voudrais sa queue dans ton cul ?
- Oui. Oh oui ! Partout !
Elle se releva dun bond et partit en direction dAlexandre. Arrivée devant lui, elle se figea. Ils se dévisagèrent pendant un court instant. Puis, Alexandre me jeta un bref coup dil. II voulait être sûr de mon consentement. Je me branlais trop vite, trop fort, pour quil ait des doutes. II se releva lentement, alors que ma femme venait saccroupir à sa place. Elle prit la queue quil lui tendait et lenfonça aussitôt dans sa bouche. Cathy se mit à sucer le gland violacé comme si cétait une friandise. En même temps, elle se cramponnait aux fesses dAlexandre pour quil la pénètre jusquau fond de la gorge. Au bout dun moment, elle délaissa la bite pour sagenouiller, dos tourné. Elle lui présentait son cul en le suppliant.
- Vas-y, encule-moi ! Jen ai envie !
Le jeune homme se plaça derrière ses fesses et ajusta son gland contre son anus. Elle était si excitée, et lui si lubrifié, que je vis la queue rentrer dun seul coup dans son cul. Quelques secondes après, il lenculait à toute vitesse. Cathy criait de bonheur. Ne pouvant plus me retenir, jéjaculai sur le dallage, en mécroulant.
Je mis de longues minutes avant de me décider à contempler de nouveau la scène. Ma jalousie refaisait surface, maintenant que lexcitation était passée. Je relevai les yeux. II ny avait plus personne.
Elle est revenue quelques jours plus tard pour mannoncer quelle me quittait pour Alexandre.
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