Summer Of Love 14

- Mais quelle gourmande tu es!

- Quand il s'agit de toi, mon Théo... Je suis insatiable... J'ai toujours faim... De toi!

- Tu les aimes, mes doigts ? Tu aimes quand ils honorent tes trois orifices ?

- Je les adore ! Tes doigts... Tes lèvres... Ta langue... Ton sexe...

- Et en plus d'être gourmande voire insatiable, tu es coquine... Mais tu es bonne à marier, toi, dis-moi !

- Ma bouche... Mon vagin... Mon anus...

- Arrête ! Je bande déjà ! Si tu continues comme ça, je serai tout dur jusqu'à ce que j'en aie mal.

- Ça me plaît que tu sois un étalon... MON étalon... Rien qu'à moi ! Parce que... comme ça... tu vas pouvoir me reprendre par le cul... Tu vas pouvoir continuer de me baiser... Et en levrette, tu n'as pas oublié, j'espère...

- J'adore que la femme que j'aime est insatiable... J'ai tellement envie de toi, Bérénice. Maintenant. Dans notre lit. Juste toi et moi. Sois mienne.

À peine ai-je prononcé ces mots, Bérénice m'embrasse sur la joue. Puis, elle se détache de notre étreinte. Cependant, elle reste dans le même sens du lit. Elle se positionne à quatre pattes. Elle cambre son dos.

De là où je me trouve, j'arrive à apercevoir ses seins lourds qui ballottent, tressautent.

- Tu vois comment je suis, mon chat ? Je veux que tu me prennes comme ça.

- Bien.

- Laisse-moi me coller à toi, mon joli oiseau...

- Ma jolie coccinelle...

- Je n'attends plus que ça, a...mour... Que tu me prennes...

- Ma jolie petite femme insatiable... Tout ce que tu veux... Je te le donnerai. Je t'appartiens. Corps et âme.

- Tu...es...à...moi...

- À...toi...

Et, mon érection bien en main, je m'approche de son anus dilaté, tout mouillé, éclos. Je pousse tout doucement, et j'entre en elle. Bérénice pousse un cri libérateur.

- Ché.

..ri ! Thé...o!

- Bérénice...

- Baise...moi!

- Hmmm... Oui...

- Tu sens comme je suis... accueillante ?

En guise de réponse, je grogne de satisfaction et je donne des coups de rein plus vigoureux. Je le fais parce que je sais que Bérénice est bien lubrifiée à présent. Bien dilatée. Du coup... Je m'en donne un peu plus à cœur joie.

- Ton petit cul est très accueillant, ma chérie... Ce n'est que pur plaisir d'être en toi... Au plus profond de toi...

- Au plus profond de moi...

- Toi... Tout entière... Pour moi...

- Moi... Tout entière... Pour toi, mon amour...

Mes mains sont posées sur ses fesses et elles s'agrippent à elles fermement. Je remue des fesses afin de varier mes pénétrations. Je veux faire en sorte de procurer à la femme que j'aime des plaisirs divers et variés.

- Ché...ri ! Que c'est bon... Que c'est...bon... J'a...doré quand tu bouges tes fesses comme ça... T'arrêtes pas...

- Oh...non. Jolie coccinelle..

Ça, il n'en est pas question...

- T'arrêtes pas...

- Tu te rappelles, chérie ?

- Tu me donneras tout ce que je veux...

- E-xacte-ment...

- Et si je te demande de me le baiser bien plus fort, mon petit cul ?

- Bérénice...

- Qu'est-ce qu'il y a, chéri ?

- Je ne voudrais pas...

Mais Bérénice ne me laisse pas finir ma phrase.

- Ché...ri... Mon petit cul est lubrifié, dilaté comme il faut, et tu l'aimes... Je ne risque rien. T'inquiètes pas. Et... Avoue-le... Avoue-moi que tu as déjà rêvé que tu me baisais très fort... Que tu me...defonçais...

Soupir.

Bérénice lit en moi comme dans un livre ouvert.

Elle me connaît bien.

Elle m'aime.

C'est aussi simple que ça.



- Théo... Écoute... J'ai plus que confiance en toi.
Et si j'ai voulu que l'on essaie la sodomie aujourd'hui, c'est qu'il y a une raison. Je t'aime, Théo. Et je te désire. Et là, c'est un beau cadeau que j'ai voulu te faire. Mon petit cul... Tout à toi... Rien qu'à toi...

- Bérénice... Mon amour... Ma princesse... Non... Ma reine...

- Tu ne m'avais jamais appelée ainsi, Théo...

- C'est parce que...

- Parce que...?

- Tout a du sens aujourd'hui, Bérénice.

- Que veux-tu dire, amour ?

- C'est toi. Et pas une autre. Pour toujours. Je le veux. Mais je viens seulement de le comprendre.

- Mon joli oiseau...

- Tu es la lumière, Bérénice. MA lumière. Et je suis le papillon que tu as attiré et que tu as capturé.

- Hmm... Intéressant, chéri... Une coccinelle et un papillon...

- Nous. Nous deux. Pour toujours.

- Je... Je veux tout ça, Théo. Rien qu'avec toi.

Je marque un temps d'arrêt, mais tout en restant enfoncé dans son anus.

Bérénice en est parfaitement consciente.

Elle tourne alors la tête vers moi.

Nous nous regardons avec intensité. Avec émotion. Sans cligner une seule fois des yeux.

Nous ne nous parlons pas.

Nos yeux parlent pour nous.

Nous nous disons que nous nous aimons. Que nous nous désirons. Que nous avons envie de l'autre.

- Bérénice...

- Oui, mon chat ?

- J'aimerais... te demander... quelque chose...

- Mon amour...

- Veux-tu... devenir... ma femme ?

Le temps s'arrête.

Je voyage dans le temps.

Ma vie avant, sans Bérénice. Notre rencontre sur la plateforme d'écriture érotique.

Ce matin, notre première sodomie. Je viens de la demander en mariage.

Une vie à deux. Bérénice, ma future épouse...

Le temps semble s'être arrêté.

Je suis enfoncé en Bérénice, mais je ne bouge pas.
Je ne bouge plus.

Bérénice, elle non plus, ne bouge pas.

Elle a tourné la tête vers moi, une fois encore.

Elle me regarde.

Elle ne me quitte pas des yeux.

Je la comprends.

Je viens quand même de lui demander sa main !

Je l'ai demandée en mariage !

Un coup de folie... Sur un coup de tête, certains et certaines vont dire. Je m'en fiche.

J'aime Bérénice.

J'ai enfin à mes côtes la femme que je veux épouser. Je le sais à présent.

J'avoue que c'est atypique comme demande en mariage ! Je ne suis pas à genoux. Et je ne lui présente pas de bague de fiançailles.

C'est n'est que partie remise...

Bérénice est la femme que j'aime. Plus que tout. Et nous faisons l'amour.

Je lui fais l'amour.

Et même si je l'encule, c'est bel et bien l'amour que je lui fais.

- Bérénice... Veux-tu devenir... ma femme ?

- Mon amour...

Je me retire d'elle.

- Mets-toi... debout, jolie coccinelle.

Elle rit légèrement. Elle glousse.

- Mais tu es complètement fou, Théo !

- Je suis on-ne-peut-plus sérieux. De...bout.

C'est ainsi qu'elle se lève et que moi, je m'agenouille à ses pieds.

- Donne-moi ta main, Bérénice.

- Là voilà, mon... a...mour.

J'y dépose mes lèvres. Je ferme les yeux sur le moment. C'est si émouvant.

- Bérénice Blondeau... Acceptes-tu de... devenir... mon épouse ?

Instant de suspense, et puis sa réponse vient toute seule... Claire, limpide comme l'eau.

- Oui! Oui! OUI! Je le veux ! Et je te veux, moi aussi, Théo Lopez.



Bérénice vient de me dire oui!

Elle a accepté de me donner sa main.

- Mon a...mour!

- Je t'aime.

Elle prend mon visage entre ses mains, et elle se met à m'embrasser passionnément, comme si sa vie en dépendait.


- Je t'aime.

Nous nous laissons gagner par l'euphorie du moment...et par la passion.

Nous nous l'autorisons.

- Quand tu auras un moment de libre entre tes cours à la fac et le petit Axel que tu gardes, nous irons en ville et on s'arrêtera dans cette bijouterie où je t'ai acheté ton pendentif...

- Mon amour...

- Et tu choisiras la bague qui te plaira...

- Mon amour...

Et sur ces mots, elle sanglote et fond en larmes.

- Tu me rends si heureuse, Théo.

- C'est ce dont j'ai envie, Bérénice. Pour le restant de nos jours.

- Théo...

- Tu es la femme de ma vie, jolie coccinelle.

- Théo...

- Oui, Bérénice ?

- Pourrait-on fêter nos fiançailles avec nos parents, nos familles ? J'aimerais beaucoup...

- Bien sûr, chérie ! Et je redemanderai même ta main à ton père...

- Oh oui! Oui! Oui! Oui! Tu sais qu'il t'aime bien. Mes parents t'adorent, chéri.

- Et toi, jolie coccinelle... Tu es la femme avec qui mes parents ont toujours eu envie que je sois heureux. Tu es la belle-fille parfaite à leurs yeux. Une belle petite choupette...

- Mon amour...

- Mais tu sais quoi?

Je lui adresse un de mes plus beaux clins d'œil. Je lui souris. Je pose une main sur ma joue.

- Quoi?

- Ton premier cadeau de fiançailles, c'est ce matin que je te l'offre...

- Bébé...

- Moi...et un orgasme...

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