La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1397)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode précédent N°1396) -
Ensuite Chloris sécroula, épuisée certes, mais tellement heureuse davoir reçu la Noble semence des deux hommes, les plus importants de sa vie à ses yeux, et davoir elle aussi eu droit au plaisir
. Le lendemain, le Seigneur dEvans se trouvait avec Antonin et Messire Léon pour discuter et décider de la punition de lesclave Matthieu. Il fut décidé lors de cet entretien quil resterait minimum un mois au cachot au pain sec et à leau. Et quensuite durant le mois suivant, il serait exposé dans le couloir le plus fréquenté du Château avec une cravache à proximité. Ainsi il recevrait des coups, des insultes et des crachats même de la part des soumis ou soumises qui en auraient envie. Par la suite pour tenir la promesse faite à Denis, il ne quitterait pas les murs du Château sauf pour son affectation au jardin. Le Seigneur dEvans décida également de lui retirer son titre desclave récemment acquis pour redevenir un simple chien à lessai. Cest ce qui fut fait.
Un jour, la jeune et nouvelle soumise du nom dEmilie qui venait dun village proche avait été acceptée dabord comme servante et au vues de ses dispositions à la soumission, commençait son parcours de soumise. Ses parents cultivaient des terres et avaient quelques bêtes agricoles. Depuis toujours Emilie sen était occupé aves ses frères et surs, elle aimait particulièrement les chevaux. Elle passait beaucoup de temps à les soigner dans lécurie. Ce jour-là, elle était seule car Valentin (voir le procès dAmélie) avait dû se rendre sans sa famille car sa mère était souffrante. Elle était occupée à changer la paille dans un box lorsque le Seigneur dEvans rentrait de sa promenade matinale à cheval. Entendant le bruit des sabots sur les pavés, elle sortit et alla à Sa rencontre, pour du moins cest ce quelle pensait, prendre le cheval par la bride et sen occuper.
- Bonjour Maître, Votre promenade a-t-elle été agréable ?
- Très bien, laisse mon cheval pour le moment. Que faisais- tu ?
- Jai nettoyé et changé la paille des box, les chevaux sont dans la prairie.
Le Seigneur dEvans fit mine dinspecter son travail, quand devant un box, Il lui caressa les fesses avec une claques sur chacune delles. Emilie comprit que le reste du travail attendrait. Ils entrèrent alors dans un box fraichement nettoyé avec de la paille propre fraîchement déposée.
- Suce-Moi salope, fait Moi bander.
Emilie se mit alors à genoux et prit délicatement dans ses mains lépaisse queue à moitié ramollie du Maître et commença sa fellation. Elle était habile de sa bouche et de sa langue et cette dernière passa de bas en haut et de haut en bas, lenroulant tout autour, jouant de cette queue tendue tout en sattardant autour et sur le gland le suçotant et titillant le méat urinaire du bout de sa langue baladeuse, ce qui le rapidement durcir.
- Debout, salope, tu suces bien, toi
Le Seigneur dEvans la prit dans Ses bras et lembrassa dun long baiser Dominant, la faisant doucement reculer. Mais elle trébucha et ils tombèrent tous les deux dans la paille sans le vouloir car il voulut simplement la retenir. Et bien malgré eux, ils partirent dun grand éclat de rire complice. Emilie sen voulait malgré tout davoir entrainé le Maître dans sa chute mais alors quelle allait Lui présenter ses excuses, le Seigneur dEvans dit.
- Quoi de mieux quune chute pour faire connaissance, nest pas ?
- Je suis désolée Maître, je ne voulais pas Vous faire tomber, mais il est vrai quil y a plus désagréable comme chute que de tomber dans la paille et dans Vos bras.
- Coucher la chienne, sur le dos.
Le Seigneur dEvans lattrapa par les hanches et les tira à lui pour lui relever la partie inférieure des jambes afin quelle se positionne en levrette. Et Il la pénétra dun coup de reins puissant, profond et précis.
- Tu as encore la chatte bien serrée, comme une jeunette, jadore ça.
Le Seigneur dEvans la besogna encore et durant un long, très long moment. Emilie savait très bien retenir son plaisir et ses orgasmes, ce qui était loin de déplaire au Seigneur dEvans qui Lui aussi fit durer Son plaisir. Mais après un bon moment de cette torride copulation quasi bestiale, elle se permit de demander
- Maî
Maître
pi
pitiéeeeeeeee, puis je
.jouir ?
- Bientôt, salope, retient-toi encore, je lexige, la chienne
Et après quelques coups de reins profonds et cadencés.
- Jouit salope, maintenant, je le veux.
Emilie jouit alors dans de longs cris orgasmiques puissants et le Maître se déversa également en elle en de longs jets saccadés de sperme au plus profond de sa chatte. Puis il se retira et présenta sa verge encore un peu dure
- Nettoie-Moi salope et retourne au travail. Mon cheval attend.
Emilie nettoya consciencieusement la queue mollissant du Maître, verge souillée de Son sperme et de ses sécrétions à elle. Ensuite, Il se rhabilla et sortit de lécurie. En retournant vers le Château, Il croisa Antonin et Chloris qui se promenaient main dans la main.
- Eh bien mon cher Charles, il me semble que ta balade sest prolongée. On venait justement voir après toi.
- Certes, elle sest prolongée dans les écuries. Jai pris cette petite salope de chienne dEmilie dans la paille et crois-moi, elle est douée, la jeunette. Elle fera une bonne femelle à soumettre
- Ah, tu te souviens, ma belle, quand nous étions jeunes dans les écuries de ma grand-mère ? dit Antonin à Chloris
- Comment que je men souviens, des moments mémorables, cest là que jai été ta soumise pour la première fois.
- Bien, allons manger, je meurs de faim et je sens le bon fumet qui monte des cuisines, enchaîna le Seigneur0.
Après le petit déjeuner, chacun vaqua à ses occupations respectives. Quand, en milieu de matinée, Marion apporta au Maître les missives du jour quun messager (lancêtre du facteur) venait dapporter.
- Bonjour Maître, voici les missives daujourdhui, il ny en pas beaucoup.
- Très bien, alors je vais les lire maintenant.
Le Seigneur dEvans claqua des doigts, Marion se mit aussitôt à genoux sous la table de travail du Maître pour Le sucer, comme souvent lorsquIl prenait connaissance du courrier. Ce jour-là, il ny avait pas grand-chose dexceptionnelle si ce nest deux missives dAdam, une destinée à Louise et une autre au Seigneur dEvans. Elles nétaient pas très différentes, sauf que celle adressée au Seigneur dEvans contenait quelques informations complémentaires. Adam comme convenu invitait Louise à venir passer quelques jours au manoir de Maisondieu, précisant quil était conscient quelle appartenait au Seigneur dEvans et que son seul but était de mieux la connaitre, et cela sans arrières pensées ou mauvaises intentions de sa part. Marion continuait son exquise fellation alors le Maître décida de savourer pleinement appréciant de sentir ses lèvres changer de pression et de vitesse, sa langue sur toute la hauteur ou sattardant sur le gland. Elle Le connaissait si bien quelle savait pratiquement quand et comment Le faire jouir, ce quelle fit quand elle sentit quIl ny tenait plus. Après quIl ait jouit dans la bouche chaude et accueillante de Marion, elle attendit un claquement de doigt signifiant quelle pouvait avaler le tout avec délice. Puis Marion nettoya consciencieusement le sexe mollissant du Maître, et attendit à genoux, Ses exigences suivantes, après quIl eut repris Ses esprits :
- Va Me chercher Louise, jai à lui parler. Pendant ce temps, toi tu iras nettoyer et préparer Ma chambre.
- Bien Maître, jy vais de suite.
Louise arriva peu de temps après, frappa et entra quand Il daigna répondre dentrer. Louise se mit à genoux à quelque distance de la table de travail du Maître, plus ou moins au centre de la pièce. Le Seigneur dEvans lui dit quelle avait reçu une missive dAdam quIl lui lut et que Lui aussi en avait reçu une :
- Louise, je veux savoir quelle est exactement la nature de tes sentiments ? Ont- ils évolué depuis son départ ?
- Eh bien Maître, pour être honnête en ce qui me concerne, mes sentiments nont pas changé. Certes, je lapprécie beaucoup mais je le considère plus comme un ami, car on a grandi ensemble. Mais on est encore jeune et même si lui semble certain de ses sentiments, ce nest pas mon cas. Et je ne veux en aucun cas lui faire croire le contraire ou lui donner de faux espoirs. Je pensais avoir été claire avec lui à ce sujet. En revanche, ce dont je suis sûre et certaine, cest que je Vous appartiens et que rien ni personne, à part Vous, ny changera quoi que ce soit pour le moment.
- Tu es une bonne petite chienne fidèle, Ma Louise et ta réponse Me satisfait et Me rassure sur tes intentions. Aussi je vais te laisser le choix, tu feras ta réponse à Adam avec Chloris. Mais si tes sentiments devaient changer, je veux que tu Men informes et saches que jamais je ne ten voudrai car cest humain ce que tu ressens ou ressentiras.
- Merci Maître, je vais réfléchir à son invitation.
- Sache que si tu acceptes, je ferai toutes les recommandations qui simposent à Louis-Etienne et Manon afin que tout se passe au mieux. Bien tu peux vaquer à tes occupations.
- Bien Maître, dit-elle en avant de quitter la pièce.
Quelques jours plus tard, quand Louise eut pris sa décision, elle alla voir le Seigneur dEvans :
- Maître, après avoir bien réfléchi, jai décidé daccepter linvitation de Messire Adam. Mais uniquement au nom de notre amitié et aussi pour nous expliquer de vive voix.
- Très bien, jécrirai demain à Louis-Etienne pour lui annoncer ta venue et Mes exigences te concernant. Au Manoir de MaisonDieu, tu seras reçue en invitée et pas en soumise et jinsiste sur ce point. Bien sûr, jexige que tu obéisses à Louis-Etienne comme à Moi-Même et à Lui seul, mais tu seras en permanence habillée et debout, je serais très clair sur ce point dans Ma missive. Il est hors de question quAdam se fasse des idées.
- Merci Maître, je ne sais comment Vous prouver ma gratitude.
- Tu nas pas une idée Ma chienne ? Dit-Il en claquant des doigts.
Louise sapprocha et répondit.
- Si Maître, bien sûr, mais je pensais à quelque chose de plus important.
- Comment ça ? Me contenter, nest-il pas le plus important ?
- Si Maître, cest en effet le plus important pour moi, Vous satisfaire, seul cela compte.
- Alors commence par Me sucer et Me faire gicler, pour le reste je trouverai bien.
Louise dégagea le sexe déjà tendu du Maître et commença par de douces caresses de ses mains ensuite tout en lui massant les bourses comme Il aimait. Elle couvrit cette queue majestueusement dressée de tendres baisers embrassant surtout le gland violacé et déjà gorgé denvie. Après elle le lécha sur toute la hauteur et tout autour avant de le prendre totalement en bouche avec des va-et-vient tantôt rapides tantôt très lents et modifiant la pression de ses lèvres, nouvrant la bouche que pour reprendre de lair. Soudain le Maître attrapa ses cheveux pour lui imposer Son propre rythme, celui qui Le ferait jouir. Il plaqua le visage de Louise contre Son bas-ventre, en gorge profonde et se déversa dans sa bouche létouffant presque par dabondants jets de sperme chauds et délicieux.
- Ha Ma bonne chienne, cela Me manquera quand tu seras au Manoir de MaisonDieu. Mais quimporte à ton retour je ne Me priverai pas duser et dr de toi à Ma guise, Ma chienne.
Louise était terriblement excitée :
- Merci Maître de mavoir accordé lhonneur davaler Votre Noble nectar.
- Allons va maintenant, tu as du travail...
Un peu plus tard dans la bibliothèque lors de sa leçon, Louise était soucieuse ce qui néchappa pas à Chloris.
- Louise, veux tu me dire ce qui te tracasse ?
- On a écrit la lettre à Adam, ensemble, tu sais que jai accepté linvitation dAdam et comme je serai reçue en invitée, je me demandais si tu aurais une ou deux toilettes à me prêter ?
Chloris emmena Louise dans sa chambre pour lui montrer les robes auxquelles elle pensait. Quelques jours plus tard Louise était partie
(A suivre
)
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