Vacances Et Découvertes (7)
La propriété
Et la Nuit
!!!
Ahmed nous attendait sur le seuil de leur petite maison, vêtu comme son frère, avec, on va dire, le strict minimum, tout en exhibant sa virilité avec fierté. Le thé était prêt, fumant sur la table basse accompagné de simples petits gâteaux quils avaient dû confectionner eux-mêmes. Cétait un délice, et même si javais remarqué leur désir plus que voyant, je restais de marbre, javais décidé de résister à leur désir immédiat pour faire le tour de leur petit domaine, pas si petit que ça finalement.
Cest avec leurs bosses indécentes quils mont fait visiter leur propriété. Oliviers, orangers, arbres fruitiers, quelques parcelles de légumes, avec des superbes tomates, poivrons, et autres, à foison, le tout, entretenu parfaitement. Ils vendaient la quasi-totalité de leur récolte au Club, se réservant une journée au marché local et les olives, à la coopérative régionale.
Je voyais Ahmed trépigner et il na pas pu sempêcher de me courber contre un arbre et denfoncer sa queue dans ma chatte, si accessible, puisque je ne portais rien sous mon short quil a vite fait de baisser. Mehdi nest pas demeuré en reste en me donnant sa bite à sucer. Quel plaisir de se faire défoncer dans ses senteurs maraîchères entouré par tous ces poils et cette testostérone.
Une fois sêtre vidé chacun a deux reprises, nous avons pu reprendre notre visite, même si je marchais un peu en canard, quen tant que petit-fils de paysan, je trouvais fort belle. Ahmed a fait sa cueillette pour nous préparer le déjeuner, pendant que je continuais le tour avec Mehdi.
« Tu sais ce que tu devrais faire Marc, après la fin de ton séjour au club ? »
« Aucune idée
Dis-moi ? »
« Rester avec nous à la ferme jusquà la fin de tes vacances, tu aurais deux maris pour toi tout seul. »
« Tu es complètement fou
!!! »
Si cette idée me semblait complètement farfelue et loufoque, au fur et à mesure de notre promenade, jai commencé à y réfléchir.
Nous sommes rentrés à la maison où Ahmed nous avait gâté pendant notre absence, Toute la pièce embaumait dun fumet, dun arome, que je ne reconnaissais pas. Tajine dagneau aux épices et aux légumes, accompagné de sa semoule avec son confit doignons rouges, une fine salade doranges à la cannelle pour dessert puis lincontournable thé à la menthe. Bas-ventre encore bien plein de leur semence, merci Dietrich pour le plug, cette nourriture si savoureuse allait, quant à elle, remplir mon estomac. Un vrai délice, dont la plupart des mets restaient encore inconnus pour moi. Je comprenais maintenant doù provenait lodeur si suave quexsudait leur corps et le goût si particulier de leur nectar.
Je me sentais fier, heureux de toute leur attention envers moi, comprenant, par leur geste, que je nétais pas quun simple vide-couilles pour eux, même si notre plaisir était intense et quils me défonçaient comme de vrais mâles hyper dominants. Cétait leur nature que jadorais, mais une vraie complicité et une complémentarité sinstauraient entre nous.
La question de la prolongation de mon séjour est revenue sur la table, ne sachant pas trop comment la réaliser et certes, ce nétait pas lenvie qui men manquait. Après avoir abordé le sujet sous différentes manières, quelques idées me sont venues en tête. Par chance, pour mes parents, jétais un ado bien sage, sérieux et studieux. Il est vrai que javais beaucoup appris à Ibiza, mais peut-être pas dans les domaines auxquels ils pouvaient songer. Et dun coup
la lumière
!!!
Pourquoi ne pas leur dire que je métais lié damitié avec un couple de fermiers, espagnols bien sûr, qui avait besoin dun coup de main pour la pleine saison en échange du gîte et du couvert.
Pas con lidée
A réfléchir et à approfondir.
Mais ce dont javais envie dapprofondir, ce nétait pas lidée, mais plutôt lorifice entre mes cuisses, surtout quand jai su que Francesco, le maître juteur, devait passer dans laprès-midi leur apporter des semences
Rien quen entendant le mot, jai hurlé de rire, Medhi savait déjà que son canal à foutre avait traversé et rempli mon corps à plusieurs reprises ainsi que labondance de sa semence, justement. Jétais sûr quil essayait de me faire comprendre que si je restais, je serais comblé, et pas ment que par eux.
Dès que Francesco est arrivé, nous sommes allés au jardin tous ensemble pour repérer où tout devait être planté, avec le choix des graines et des boutures. Que je reste ou non, javais dans lidée de demander à mes parents de menvoyer des graines de courgettes de Nice, que lon ne trouvait que dans notre région, rondes et longues, hyper fermes, fines et pratiquement sans pépins, hyper gouteuses, avec de magnifiques fleurs comestibles, farcies ou en beignet, ce que je savais cuisiner. Mon grand-père mavait appris comment les mettre en pousse, et cela serait une exclusivité pour eux.
Après deux heures environ de tour, nous avons rejoint la maison, pour le thé traditionnel, et je me suis retrouvé entre ces 3 monstres de virilité dont la soif ne se résumait pas au simple thé. Déjà, Mehdi avait pris ma main pour la mettre dans son short, dont je me régalais à branler le membre, quand Francesco a sorti son pieu pour lenfourner dans ma bouche. Ahmed, après avoir débarrassé la table, ma allongé dessus pour perforer mon orifice, qui nattendait que ça.
Ils me sont passés dessus pendant presque deux heures, Francesco jutant toujours des quantités phénoménales de sperme. Il métait impossible de compter le nombre daccouplements, et grâce à tout leur jus, Medhi et Ahmed ont pu enfin me prendre en double, élargissant mon vagin à lextrême, mais bien lubrifié par la jute abondante de Francesco.
Jétais fourbu, épuisé, chatte béante lorsque Medhi ma ramené au Club, croisant Dietrich, en lui faisant juste un signe pour lui signaler quon se verrait un peu plus tard. Je puais le mâle et le foutre, il en a donc très bien compris la raison. Douche profonde, salvatrice, pommade sur ma chatte explosée, et une heure de repos environ, je lai rejoint au bar, frais et dispo, le temps de prendre un verre ensemble avant de rejoindre le restaurant.
« Explosé, non ? »
« Cest rien de le dire
!!! »
Pendant le repas, je lui ai raconté mes nombreuses copulations, la venue de Francesco aussi, la double pénétration, et que ma chatte devenait un véritable gouffre, ce que jadorais. Puis, jai abordé lidée de Medhi de terminer mes vacances avec eux, à la fin de mon séjour au Club, et ce, jusquà la rentrée scolaire, début septembre.
Cet après-midi, lui sétait fait défoncer par 2 blacks qui venaient de temps en temps en bateau de lile dà coté pour baiser du minet. Et comme il nétait vraiment pas farouche, il sétait fait prendre par tous les trous, à labri dans la crique. Deux très gros morceaux, bien juteux et il sest régalé, surtout que les mecs étaient super en manque. Quel veinard
. Les noirs étaient vraiment rares aux Baléares à cette époque et jaurais bien gouté de la grosse tige débène moi aussi.
Jai réalisé, soudainement, que jétais ici depuis un peu plus dune semaine, et quaprès 2 ou 3 jours dhésitation, je métais fait prendre un nombre incalculable de fois, par des sexes dignes de « Marteau-Piqueur » et que ma vulve souvrait comme un fleur, dès lapproche dun gland.
Soirée tranquille avec Dietrich à mater au bord de la piscine, Mojitos bien frais à nos côtés et testostérone autour de nous. Nous avons reparlé de la poursuite de mon séjour sur lîle.
« Dis-moi Marc, avec tout ce que tu te prends, tu te vois retourner à Nice et revivre ta vie d sage ? »
« Non, pas vraiment. Jaurais trop de mal à supporter le manque de toutes ces grosses bites qui me défoncent allègrement ici. »
« Tes parents sont assez cools, non ? Je suis sûr que si tu leur présentes bien la chose, comme un stage, boulot et langue, ils vont accepter surtout quand tu vas leur dire, en plus que tu tes fait un ami et correspondant allemand. »
« Un stage de perfection homo ? »
« Tes con. Mais vu la manière dont tu mas expliqué la chose, je pense que ça doit être jouable. Surtout que tu nas pas à leur demander dargent supplémentaire et que tu peux changer le billet davion sans problème. » Saine époque où les contraintes avec les compagnies aériennes nétaient pas les mêmes quactuellement et il était vrai aussi que javais très peu dépensé mon argent de poche, bénéfice du « All Inclusive ».
Puis, il sest fait embarquer par deux mecs, et moi, jai rejoint tranquillement mon bungalow pour récupérer un peu.
« Pense quand même à ma proposition de partouze, je suis sûr que tu vas te régaler. »
Jai dormi comme un plomb, au point de rater le ptit déj, que Luis ma apporté vers 10 heures. Evidemment, jétais à poil, sur le ventre, fesses et chatte bien apparentes.
« Cela vous suffira Marc ? Pas besoin dautre chose ? » En avançant sa poutre en pleine forme vers moi. Reflexe acquis depuis mon arrivée, comme une vraie catin, lappel du mâle et je nai pu mempêcher de baisser sa braguette et de déguster son merveilleux membre, empli de sa bonne odeur. Ma fente était offerte, quil a investie sans trop attendre, déversant son sirop au plus profond.
Trop de plaisir, et je sentais, en moi-même que jallais suivre Dietrich et participer à cette fameuse partouze
Une première pour moi.
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