Chapitre 14 : La Rébellion Du Soumis

Nous nous sommes quittés à la fin du Chapitre 13, après notre séjour des 15 et 16 aout passé au manoir de Claude-Yves, en compagnie du propriétaire des lieux et de son ami Gérard, âgés respectivement de 62 et 56 ans, pour rappel Marie mon épouse vient d’avoir 32 ans et en ce qui me concerne je vais avoir prochainement 35 ans.
Donc sur le trajet du retour, Marie est satisfaite, elle a passé de bons moments d’échanges avec « nos deux amis », et puis elle est satisfaite d’elle d’avoir pu se lâcher, de prendre beaucoup de plaisir, de m’en donner en l’observant dans les bras des autres hommes, de les avoir inspirés, d’avoir aussi assurée avec trois hommes, en clair elle assume totalement maintenant « ses envies », elle aime l’amour en groupe mais pas avec n’importe qui, maintenant elle le sait, grâce à moi, elle assume parfaitement son goût pour cette pratique, cela l’excite follement.
Elle a dépassé le fait de passer pour une fille facile ou même une salope…Et puis elle rencontre et fréquente des personnages importants qui ont des moyens lui permettant de fréquenter des endroits inaccessibles pour elle, pour nous. C’est important pour elle, elle aime le luxe. Nous sommes vraiment complices, car cela m’excite de l’offrir comme ça !!!
Elle est heureuse, épanouie, cela lui procure du plaisir et un profond sentiment de puissance. Elle ne cherche plus à ne pas dépasser les frontières de la sexualité jugée « acceptable par notre société » par sa maman et notre entourage…Mais elle veut surtout être discrète et toujours passer pour l’épouse modèle.
- Tu vois chéri, eh bien nous recommencerons si tu es d’accord quand l’envie reviendra…
- Quand tu veux, Marie…
- Oui, chéri, c’est quand je veux, avec qui je veux, où je veux et à mes conditions, tu comprends !!!
Marie fait une petite allusion aux enveloppes données par Claude-Yves et Gérard, elle a reçue en plus de sa montre, de son foulard et de son sac Hermès la somme de 20 000 Francs soit l’équivalent d’un peu plus de 3 000 Euros, c’était à peu près ce qu’elle avait négocié avec eux.


Les jours suivants, Marie est très câline et coquine, nous reprenons notre vie de couple comme avant. Puis Denis revient des Etats-Unis, il souhaite organiser une rencontre avec Marie et moi pour notre anniversaire, nous sommes nés l’un et l’autre le 5 septembre, mais c’est un jeudi, il nous propose le vendredi soir du 6 septembre et le samedi… Il n’a pas rencontré Marie depuis le 11 juin, et il me fait comprendre que sa présence serait souhaitable.
Mais Marie refuse, elle n’a pas envie, elle veut rester sur son séjour du 15 aout, et de toute façon, même si elle en avait envie, la prestation serait tarifée !!! Denis n’est pas un cas à part, mais pour l’instant c’est non. Marie tient à conserver une vie sexuelle à deux, tout aussi riche que celle en groupe, donc dorénavant, ce sera simplement quand elle en éprouvera l’envie.
Denis comprend mal la réaction de Marie, nous avions déjà constaté qu’il n’aimait pas être contredit, qu’il appréciait toujours les situations qu’il maîtrisait…Mais cette fois ci, il est furieux, pourquoi Marie a eu des relations très débridées et fougueuses avec nos amis et qu’elle se refuse à lui maintenant, sa fierté en prend un coup, lui le mâle dominant, habitué à dominer sans qu’on lui résiste…
De mon côté j’ai très envie de retrouver seul Denis, j’ai ce besoin physique inexplicable, j’ai besoin d’être soumis à ses désirs, pour être honnête j’ai besoin de son sexe…
Nous nous mettons d’accord avec Denis pour nous retrouver le vendredi 6 septembre après midi, (lendemain de notre anniversaire commun) près de Bernay, pour que nous puissions discuter…Denis apparemment ne prévoit pas d’hôtel, signe de son mécontentement…
Après nos retrouvailles, je monte dans la voiture de Denis, l’endroit est un peu isolé, mais il y quelques passage de voitures et camions. Nous nous expliquons, je lui confirme que Marie dans notre couple fait ce qu’elle veut et que je ne peux l’obliger à avoir des rapports non consentis, que l’envie reviendra avec une certaine régularité, j’en suis certain… Que ces rendez-vous lui permettent d'assouvir son fantasme de faire l'amour à plusieurs.
Donc, il faut qu’il soit patient et compréhensif.
A ce moment-là je me fais plus osé, je lui prends la main, je m’approche de lui et je l’embrasse sur la bouche, il répond à mon baiser et aussitôt je dirige ma main sur son pantalon, j’y sens son gros sexe en érection.
Je remonte ma main et la glisse sous sa chemise, je redescends pour déboucler sa ceinture et le déboutonner, il redresse les fesses quand je lui retire son pantalon et seul son slip me sépare de l’énorme bosse que je suis en train de caresser, nous positionnons nos sièges en couchette et je m’attaque avec la bouche à sa queue en érection.
Je lui masse le ventre en le pompant puis je lui caresse les bourses, lui déboutonne et enlève sa chemise, et j’enlève ce qui lui reste de vêtements, l’endroit n’est pas parfaitement isolé, il est complètement nu, visible si les personnes du parking s’approchent, mais cela m’excite encore plus.
Tout en le pompant je fouille avec mes doigts la profondeur de son cul, il se tortille un peu et je sens qu’il aime quand je le pénètre du bout des doigts pendant que je lui lèche son gros sexe et ses couilles. Lui le dominant en colère, j’ai très envie de lui faire sa fête.
Lui commence aussi à me caresser le dos, sa main descend sur mes fesses et essaie de gagner ma queue, ce qui n’est pas facile dans la position ou je suis.
Je me redresse et m’allonge sur mon siège, il me caresse alors à son tour, se glisse à moitié sur moi, il descend doucement vers ma queue, ouvre mon pantalon et la prend en bouche.
J’adore la chaude humidité qui entoure mon sexe, je me déshabille à mon tour, j’enlève tout pour me trouver comme lui entièrement nu, à la vue des automobilistes de passage sur le parking.
Nous nous retrouvons tous deux sur le siège passager, je suis en dessous de lui et il continue à me tailler une pipe mémorable. Pour une fois, je ne suis pas soumis…
Je lui masse le corps pendant qu’il me suce, je suis excité, je bande dur comme fer et lui aussi, il se redresse et se frotte sur moi en m’embrassant goulûment, son sexe se frotte tantôt entre mes jambes, tantôt contre le mien, je le prends dans ma main et le frotte, il est toujours énorme et franchement très dur, Denis est franchement très bien équipé, c’est le plus gros sexe que je n’ai vu de toute ma vie.

L’endroit, les circonstances et mes privations récentes (entres hommes) font que le désir monte en moi.
Je suis principalement passif, même vraiment passif, mais j’ai envie de le prendre, de l’enculer et le posséder et lui procurer du plaisir, après de nombreux préliminaires je l’invite à se placer au-dessus de moi, je suis allongé au maximum sur le dos, il s’appuie en arrière sur le tableau de bord (à la vue de tous) et présente son cul juste au-dessus de ma queue, je prends de la salive et lui dilate l’anus avec les doigts.
Dès que je sens l’excitation de son sphincter je lubrifie ma queue avec ma salive et la tient dressée en direction de son troufignard, il se met en position et descend progressivement pendant que je tends ma bite et soulève mon corps pendant que lui redescends, je sens mon gland le pénétrer.
Il s’enfonce de plus en plus jusqu’à ce qu’elle soit entièrement dans son cul, dans cette position pas un centimètre n’est resté dehors, mes 15 centimètres sont entièrement rentrés dans son cul et il commence à se balancer sur moi, nous bougeons tous les deux dans des sens inverses pour que la pénétration soit mieux ressentie à chacun de nos mouvements.
Je saisis son sexe en main et le branle, puis je lui caresse les couilles, le ventre, il se penche en avant, sans arrêter le mouvement, avoir ma bite dans son cul, ma langue contre la sienne, c’est simplement super bon, Denis avait une grande expérience en tout cas il appréciait d’être ainsi enculé.
Je l’invite à se retourner, je suis toujours en dessous et maintenant il se place au-dessus de moi en me tournant le dos, les pieds cette fois sur le tableau de bord il a les fesses bien écartées et se place à bonne hauteur, je saisis de nouveau mon sexe et le lui remets dans le cul, pendant que je l’encule dans cette position je lui masse la poitrine.
Le soumis, le passif, le « petit cocu » encule le dominant qui prend un pied énorme…
Je continue de jouer avec sa queue, je lui embrasse le cou, parfois il se tourne pour me donner sa bouche, à chaque coup de queue que je lui mets je sens mon envie grandir, je le caresse fermement et j’augmente en intensité mes pénétrations, lui exprime son plaisir sans retenue, il apprécie vraiment et mon plaisir à moi n’en est que plus grand.

Changement de position, je suis actif et dominant, je le fais poser sur le ventre et je me mets au-dessus de lui, je m’appuie sur le haut du dossier, je distingue des personnes à quelques mètres de nous, mais je continue, sans m’en occuper, cela m’excite encore en plus.
Heureusement ses sièges se mettent en position tout à fait plate, il dresse un peu son cul au moment où je présente ma bite entre ses fesses et je recommence à le bourrer, cette fois je suis libre de mouvements et je n’hésite pas à la sortir et bien m’élancer pour la rentrer encore plus fort à chaque fois. Je le défonce, à mon tour je lui défonce le cul, je prends du plaisir à défoncer Denis
La voiture doit certainement bouger, cela doit être bien visible, nous aurions pu choisir un endroit plus isolé, mais Denis n’avait pas prévu de se faire enculer de la sorte dans un endroit vraiment passager.
Lui n’arrête pas de crier de plaisir, il me saisit les fesses par moment et se retourne pour me rouler des patins de première, je pousse vers le haut en m’accrochant au siège, j’ai envie de baiser Denis très longtemps.
Je tiens déjà depuis un bon moment mais je sens que je ne tiendrai plus bien longtemps, je décide de m’enlever un peu pour laisser retomber un peu la pression, il se tourne sur le ventre et en me propose de m’enculer à son tour.
- Tu baises super bien Éric, je t’assure, j’ai vraiment senti ta bite à fond, pour un soumis…dis donc !!!
- Attends tu vas voir je n’ai pas fini, tu vas en reprendre, ma petite salope !!! C’est la première fois que j’appelle Denis ainsi.
- Euh attends, laisse un peu mon cul se reposer parce que là tu m’en as mis pas mal déjà
- Prépares toi, salope, tu vas voir après
- Assez plaisanté, tu vas voir, moi aussi je vais t’enculer ma petite pute, tu vas prendre pour ta salope qui a des états d’âmes !!!
- Laisse Marie en dehors de ça, prends ton pieds et encule moi !!!
- Ok mais tu m’as tellement bien bourré que je tiendrai jamais autant que toi…Tu assures et tu ne m’as pas raté, tu la veux comment ? Petite pute…
Je m’allonge sur ventre, il se pose entre mes jambes, mouille sa bite et mon cul et présente son gland à l’entrée de mon anus,
Son sexe est énorme, je sais qu’il est hors norme, mais j’ai l’impression qu’il me déchire au moment où il me pénètre, Denis est en forme et assure franchement bien, chaque coup de bite me fait de l’effet, je la sens vraiment bien me fouiller de l’intérieur, ses mouvements répétés avec force et en profondeur sont un pur régal.
Je sens Denis m’enculer comme un chef, moi aussi je laisse échapper quelques cris de plaisirs tellement c’est bon, je sens mon cul en feu, sa lance allume l’incendie au lieu de l’éteindre, il me procure un immense plaisir. Il se déchaine, devient plus bestial…
- La prochaine fois, c’est ta salope de Marie que j’encule…
- Oui, Denis, si tu veux !!!
- Tu vois, toi aussi tu veux que je l’encule ta pute ?
- Oui !!!
- Tu veux que l‘on change de position ? Sinon je ne vais pas tenir très longtemps.
- J’aime comme ça, c’est tellement bon, vas-y continues
- Ok, c’est tellement bon que je….que….
- Oh oui, défonce moi et surtout te retire pas, mets moi tout, je veux que tu décharges dans mon cul.
- Je,….je vais,…..salope que c’est bon !!!
A ce moment je sens dans mon cul un jet puissant et chaud, bien plus puissant que ce que j’avais connu auparavant, il me sert entre ses deux mains, il se cramponne à moi pour ne pas tomber, il fit encore quelques mouvements pour éjecter le reste de son jus, jusqu’à la dernière goutte dans mon cul.
Tous les deux on est au septième ciel, à poil dans une voiture, sur un parking finalement passager, mais peu importe, on se fout des autres, nous pensons simplement à notre plaisir…
il s’est ensuite retiré, nous nous sommes caressés et embrassés, il s’occupe de ma bite en la caressant, celle-ci est toujours raide et j’ai encore envie de le pénétrer, j’ouvre la portière sur le côté droit moins visible et je l’invite à venir à l’arrière, il avance son corps, les jambes restées au dehors pendant qu’il est penché à l’avant, je me suis mis derrière lui, j’ai lubrifié ma queue et l’ai mise entre ses fesses qui sont à la hauteur idéale, je saisi son bassin entre mes mains et je commence à donner des coups de reins saccadés.
Je vois ma queue entrer et sortir de son cul, la vue m’excite encore plus, nous sommes certainement visible… Mais peu importe je le pénètre de plus en plus fort, de plus en plus profond, je pousse si fort vers l’avant qu’il se retrouve presque à plat à chacune de mes poussées, je prends de la vitesse, lui recommence à pousser des cris de jouissance.
- Tu veux changer de position ? Il y a mec qui vient vers nous !!!
- Non s’il te plaît, j’aime bien cette position, on s’en fout du mec !!! Mon cul est en feu tellement tu m’as bourré, je tiens plus…
- Tu veux que je me retire ? Car il nous regarde… Le mec…
- Non, continues, vas-y et mets tout dedans, moi aussi j’ai envie de sentir ta décharge, je veux être ta salope, défonce moi…
Là ça m’excite à fond, le mec s’est encore rapproché, je donne des coups de reins si fort que ses cris ont poussé un peu plus haut, je l’a sort à plusieurs reprises et la rentre tout aussitôt, je sens en moi une poussée chauffante, je sens mon essence pousser pour se libérer, j’ai le temps de la pousser juste à fond au moment d’éjaculer.
Mon jus s’est répandu dans son cul et je sens qu’il doit y en avoir une belle quantité, je ne me suis arrêté qu’après avoir éjecté la dernière goutte, nous sommes sortis de la voiture à poil et nous nous sommes embrassés en nous frottant mutuellement nos queues devant le voyeur qui devait « se caresser ». Nous reprenons vite contact avec le monde humain, car nous nous apercevons très vite que finalement le parking est très peu isolé…Surtout à cette heure-là…
Nous nous quittons relativement vite, Denis très étonné d’avoir pris autant de plaisir en changeant de rôle, lui le mâle dominant, être pris comme ça dans sa propre voiture par son « soumis » qui en plus lui offre de temps en temps son épouse…Et à propos de Marie…
- Tu peux proposer à Marie de m’appeler, j’ai très envie de lui organiser une soirée « spéciale » !!! Me demande Denis.
- Je ne préfère pas, tu vois…Vois directement avec elle !!!
- Mais elle ne me répond jamais…Je ne comprends vraiment pas…
- C’est qu’elle n’en a pas envie !!! Ne t’inquiètes pas quand elle va avoir envie de…Enfin tu vois… Tu sais, je ne lui demande rien.
- Oui, mais elle aime baiser à plusieurs, quand même !!!
- Oui, mais c’est quand elle veut, et avec qui elle veut !!!
Pour la suite de nos aventures, je vous invite à nous rejoindre au chapitre 15 où nous devrions être nombreux.

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