Isabelle 2 Ma Femme Se Soumet Aussi
Isabelle et Rose
***
Depuis quelques temps donc, Isabelle ma pris sous sa coupe. Cette femme a un charisme si fort, que, quelques instants suffisent avec certaines personnes, pour que celles-ci acceptent ses désirs. Cest ainsi quelle a agit avec moi. Je nétais pas attiré par elle, mais il lui a suffit de deux minutes, peut-être moins, pour me transformer en « petit chien » dévoué et docile.
Certes, quelques séances supplémentaires ont été nécessaires pour que je devienne parfaitement soumis à ses désirs, mais, dès le premier jour, ou plutôt la première nuit, elle dirigeait ma vie. Tout en se gardant dempiéter sur la partie « publique ».
Je devais la prévenir par « sms » lorsque jétais disponible, sans possibilité de mentir, car elle avait quelques moyens de surveillance. Jai dû lui communiquer un véritable planning avec les dates de congés et les week-end de disponibilité.
Depuis plus de trois mois, je rejoins sa maison, soit avant darriver chez mon amie, soit après mon départ, que, sous prétexte de lhiver, javance régulièrement, à la demande bien sûr de celle qui ma désormais pris en main.
Un dimanche matin, je ne sais pourquoi, mais navais-je pas promis de signaler ma disponibilité - cest du moins le prétexte que je me suis octroyé - je lui signale être libre pendant une heure. Aussitôt je reçois un message laconique « arrive »
Cinq minutes plus tard je me présente à sa porte. Elle mouvre entièrement nue, elle ne porte que ses mules à talon, me fais entrer et repart vers lintérieur sans un mot, me permettant dadmirer sa démarche chaloupée et sa silhouette sculpturale.
Jai maintenant lhabitude, lorsque jarrive chez elle, daccrocher mes clés, premier signe de ma soumission, puis de me déshabiller dans lentrée. Il mest arrivé plusieurs fois, en arrivant au salon entièrement nu, de me retrouver face à un, ou une inconnue. Aujourdhui, personne nest là.
«Je ne suis pas encore lavée, alors, cest toi qui va me nettoyer.
Tu as bien travaillé. Jai passé la nuit seule et javais vraiment très envie de me faire plaisir. Tu as appelé au bon moment. Maintenant rince-toi et lave moi bien partout. »
Je ne me fais pas prier. Cest pour moi loccasion de caresser ce corps adoré en le couvrant de mousse, ses seins bien sûr, mais ses jambes, son dos, ses fesses et son entrejambes ont droit à tous mes égards. Elle se détend, sans être dupe des mes caresses, me laissant tout loisir dadmirer et toucher sa peau dans les moindres recoins. Je la rince enfin, prenant plaisir à diriger le jet sur ses tétons dardés, lui provoquant manifestement un plaisir supplémentaire. Je la sèche enfin, lenveloppant dun long peignoir, qui me cache malheureusement son corps, essuyant ses cheveux, quelle porte courts ainsi que ses jambes et ses pieds, pour lesquels jai plaisir à me mettre à genoux devant elle, ne résistant pas au plaisir de les embrasser.
Nous nous retrouvons ensuite au salon, après que je me sois rapidement séché à mon tour. Je veux prendre la position dattente lorsquelle me demande de venir me coucher à ses pieds. Elle caresse ma tête comme elle caresserait un petit chien, ce qui menchante car cest vraiment ce que je ressens pour elle.
« Cest une bonne surprise que tu ma faite ce matin, quarrive-t-il ?
Mon amie, est partie faire des courses, comme tous les dimanches matins, alors jai pensé à vous avertir.
Tu dis tous les dimanches ? Donc les autres fois cétait le cas aussi ?
Oui ! pardon Madame, je ny avais pas pensé avant, mais ce matin, jai eu envie de vous le dire.
Je devrais te punir pour ne mavoir rien dit, mais ton « envie » daujourdhui me fait plaisir, même si ce nest pas TON envie qui compte, mais la mienne.
Oui ! Pardon Madame, je ne suis pas encore bien dressé, punissez-moi !
Je punis quand jen ai envie. Je ne dis pas que je nen aurais pas envie dici ton départ, cela dépendra de mon bon vouloir.
Bien sûr Madame ! Cest vous qui commandez !
Donc, si je comprends bien tous les dimanches matins, Rose Marie part seule faire des courses ?
Oui, vers neuf ou dix heures, mais parfois je laccompagne.
Très bien ! La prochaine fois, tu me préviendras et me diras où vous allez.
Oh cest simple, cest toujours au Leader Price. Il y a moins de monde ce jour là. » Sans men rendre compte jai donné les clés à Isabelle pour mener à bien son projet, que je découvrirai plus tard.
Bien, lorsque vous vous préparerez, tu mavertiras »
Je ne comprends pas encore pourquoi, mais nose poser aucune question. Je dois repartir, je le signale à Isabelle qui me dit « à ce soir, je tattends »
Oui Madame, bien sûr »
Le soir venu, jai retrouvé ma maîtresse que jai dû lécher longuement. Elle avait fait un jogging en fin daprès midi et navais pas pris de douche, car il a fallu bien sûr que ma langue sattarde sur toutes les parties de son corps et spécialement sous les aisselles, sous les seins et bien sûr sur son entrejambes et entre ses fesses où son odeur était particulièrement forte. Jai adoré ce moment, ce dont elle sest rendu compte, me promettant de nouvelles séances odorantes. Pour me remercier, elle a utilisé son gode-ceinture, pour menculer, couché sur le dos sur la table, dans la position où elle sait dorénavant que je prends le plus de plaisir, ce qui ma valu une jouissance énorme du cul.
Deux semaines plus tard, jarrive tôt dans laprès-midi chez Isabelle, layant bien sûr prévenue. Après une séance de léchage, devenue habituelle, elle entreprend de me « féminiser » comme elle dit. Dans sa chambre, que je découvre pour la première fois, elle menfile des bas, tenus par un porte-jarretelles, enfile un string, un soutien-gorge rembourré par des prothèses en silicone, me pose une perruque longue en me maquillant les yeux et les lèvres. Pour finir, elle menfile des chaussures à talon, pas trop hauts, afin que je mhabitue, ce qui se révèle difficile pour marcher avec. Enfin, me faisant pencher en avant, elle écarte la ficelle du string pour menfoncer un plug dans le cul.
Je dois déambuler dans la chambre, manquant de me tordre les chevilles. Alors que je me trouve face à larmoire, elle ouvre une porte et dans la glace intérieure, je me découvre. Les poils et la barbe ne laissent aucun doute sur le sexe. Celui-ci dailleurs pointe au dessus du minuscule string. Mais limage renvoyée montre une femelle, un peu bizarre. Jen suis retourné.
« Voilà une petit pute qui signore ! Lance Isabelle. Je crois que tu va plaire à mes invités, je jour où jen aurais !
Oh non ! Pas çà, sil vous plait !
Tu sais que tu nas rien à dire, espèce de salope. Puisque cest ainsi, jai été trop gentille avec toi. Ce coup-ci tu va recevoir une punition !
Oui Madame, mais je vous en prie, pas devant dautres personnes !
Ah cest çà qui te dérange ! Tu nétais pas gêné quand tu as sucé mon amant et quil ta enculé !
Cest vrai, mais je ne sais si
Nous verrons bien, en attendant va au salon et penche toi sur la table, je vais chercher de quoi te punir »
Penaud, je rejoins le salon, perché sur mes chaussures à talon, vêtu de ces dessous sexy.
Jai cru que ma docilité me vaudrait de la mansuétude, mais les paroles dIsabelle me glacent.
« Je vois que tu as bien pris position et que cela texcite ! Enlève ta culotte, il faut que ta raie soit bien dégagée ! »
Jobéis aussitôt et me repositionne, attendant la correction. Je ne sais quel instrument elle va utiliser. Jai peur que ce ne soit la cravache ? Jai chaud, mais jai la chair de poule.
« Tu vas avoir une leçon de punition. Linconvénient pour toi, cest que tu seras aux premières loges. Tu en sentiras immédiatement les effets. Je commence avec la main, car il faut bien échauffer la peau. » Les coups tombent régulièrement, alternés sur chaque fesse, ma peau commencer à brûler au fur et à mesure. Je ne sais combien jen reçois, lorsquelle passe sa main pour constater létat de mes fesses. « Cest bien ! la température est bonne ! On va passer à la deuxième étape ! » Cest le martinet, quelle a choisi. Après deux ou trois coups elle dit « Regarde la télé ! » Tournant la tête, je vois quelle a branché un caméscope et je me contemple dans cette position obscène, ma maîtresse derrière moi me frappant régulièrement
Oh non !
Encore tu rechignes ! Ne tinquiète pas, cest pour ma vidéothèque personnelle ! De toute façon on ne peut te reconnaître. Mais puisque tu nas pas encore compris, on va passer à la 3ème étape et jexige que tu regardes lécran pendant tout le temps. Tu verras comme tu couines sous la cravache ! »
Je suis à la limite de réagir, mais je me retiens à temps. Je fais connaissance avec la cravache. Ma maîtresse manipule son instrument avec efficacité, je parviens non sans mal à ne pas crier. Je pleure en regardant lécran à travers les larmes. Je vois une femme en bas porte jarretelles noirs, penchée en avant avec derrière elle une autre femme, vêtue de la même manière, lui administrant une volée de coups. Je vois aussi que cette deuxième femme présente au bas de son ventre, une excroissance qui laisse à penser que la femelle punie va bientôt recevoir autre chose que des coups.
La volée me semble durer une éternité. Jai limpression que mes fesses sont déchirées, lorsque enfin ma tortionnaire cesse de frapper je transpire, je tremble, je pleure, mais je bande. Je men rends compte en baissant la tête et en regardant entre mes jambes. Maintenant que les frappes sont finies, la tension douloureuse de mon sexe se fait sentir. A son habitude, Isabelle passe sa main sur ma peau endolorie. Connaissant sûrement les effets de la cravache, elle tâte mes couilles et ma bite.
« Tu as mal ?
O
Oui Madame. Dis-je en sanglotant
Mais tu bandes Je sens ton clito tout dûr !
O.. Oui.
Maintenant je vais te prendre la chatte, mais ne compte pas que je lubrifie. Je veux que tu la sente bien passer ! »
Jessaie malgré tout de me décontracter car je suis maté et ne cherche pas à attendrir mon bourreau, qui de toute façon ne tiendra pas compte de ma demande. Lattente est peut-être pire car je ne sais pas quand elle décidera. Je regarde lécran où je me « voies » en fait, les cheveux de la perruque cachent mon visage cest la femme en soutien gorge et porte-jarretelles penchée sur la table. Derrière, lépée redoutable est proche des fesses. Ma maîtresse se rend compte que je regarde la télévision.
« Ah tu veux voir comment je vais te prendre ! Tu es une sacrée salope ma belle ! Puisque tu en a envie de te faire baiser, demande-le !
Oui, Madame, baisez-moi ! Baisez votre salope que vous avez bien punie ! Ma chatte est à vous ! Prenez-moi !
Tu es une pute !
Oui, je suis une pute ! Votre putain Madame ! Je ferai tout ce que vous voudrez, mais sil vous plaît, baisez votre salope, votre putain ! » Cest presque en criant que je prononce ma dernière phrase. Lorsque je reverrai plus tard cette cassette et ne me reconnaîtrai pas. Jaurai honte de mêtre comporté comme çà !
Tiens salope !» Elle ne prend aucune précaution et me pénètre dun coup, marrachant un cri de douleur, ce quelle cherchait à faire. Je hurle à nouveau, mais elle nen tient pas compte « Puisque tu aimes souffrir, je vais te péter la rondelle, mais salope comme tu es tu en redemanderas ! » Effectivement, alors quIsabelle ne mépargne pas, la douleur fait place à une douce chaleur, qui augmente rapidement. Ma « tortionnaire » se rend compte du changement, mes gémissements ayant changé de gamme et surtout, mes fesses vont maintenant à la rencontre de son sexe factice. « Déjà tu y prends goût ! Tu es vraiment une salope qui aime la bite ! Allez ! Dis-le !
Oui, Madame, jaime la bite ! Jaime que vous me baisiez ! J'aime que vous m'enculiez ! Mon cul est à vous ! Baisez-moi fort ! » Elle accélère alors et nous partons ensemble pour un plaisir partagé, qui me laisse complètement groggy pendant de longues minutes.
Isabelle sest débarrassé de son appendice et avachie sur le canapé, se donne du plaisir en frottant son bouton. Elle a face à elle le spectacle de cette femelle quelle vient de baiser et la télévision où le caméscope filme toujours lensemble de la scène où on la voit se caresser, somptueuse dans sa tenue. Elle me renvoie à la salle de bain pour quitter ma tenue de pute, comme elle dit. Je découvre, dans la glace, mon visage dont le maquillage est ravagé par les larmes, la perruque de travers. En me tournant je vois les traces laissées par la cravache et celles des mains dIsabelle lorsquelle se cramponnait à mes hanches en me baisant.
Je me débarrasse de ces dessous, enlève la perruque et file sous la douche, me demandant comme me débarrasser ou cacher les marques sur mon corps. Je profite encore de leau qui coule sur mon corps, lorsque Isabelle entre dans la cabine.
-« Ma chérie, dit-elle, tu as été magnifique. Jai adoré te fesser et te baiser. Il va falloir soigner tout çà maintenant. Ta peau et ton cul, en attendant lave moi bien partout. » Je profite de ce moment pour savonner le corps ferme et sculptural de ma maîtresse. Elle me domine dune tête, mimpressionne, mais cest avec grand plaisir que jaccomplis ma tâche.
Cest elle qui alors soccupe de moi, elle me passe une crème spéciale, daprès elle, qui va gommer toutes les marques. Je ny crois pas trop, mais après un long moment, très agréable dailleurs, je peux constater dans la glace que plus rien ne paraît. Mon anus endolori ayant subit le même traitement, moccasionnant une nouvelle érection, plus aucun stigmate de mon après midi nest visible. Avant de la quitter, je lui demande une faveur.
« Puis-je vous demander quelque chose, Madame ?
Que veux-tu ?
Je voudrais vous remercier de cet après midi, à la fois douloureuse et agréable. Jaimerais vous lécher et si vous le désirez aussi, vous boire.
Il me semble que ce remerciement est aussi un plaisir pour toi. Mais, tu as été un bon soumis, ou une bonne soumise et tu mérites aussi une récompense et puisque cest ton désir, tu peux toccuper de moi. Nattends rien en retour.
Ce nest pas ce que je veux, je ne désire que vous apporter du plaisir. »
Nous rentrons dans la douche, qui sera donc dorée pour moi. A genoux je me glisse entre les jambes dIsabelle qui moffre sa vulve déjà humide. Je me régale de sa fragrance. Son jus intime coule dans ma bouche. Isabelle gémit et mencourage, prenant son pied en se tenant aux parois de la cabine. Ses jambes tremblent. Je ne relâche pas mon effort car je veux lui donner un maximum de plaisir. Trois fois, quatre fois elle se lâche en criant. Ma bouche est alors remplie de son foutre que javale avec gourmandise. Finalement elle se relève un peu, le temps de récupérer et elle mannonce la suite. Tout doucement, elle se laisse aller. Le goût du liquide est plus âcre, mais jy suis habitué. Isabelle laisse son urine sécouler lentement en maîtrisant son jet, autant pour que je puisse labsorber au fur et à mesure, que pour son propre plaisir, car en contrôlant ses muscles elle prolonge sa jouissance dune manière douce.
La miction dure ainsi longtemps, mais je ne laisse rien échapper, finissant même par un nettoyage en règle de sa vulve. Enfin, elle se dégage, sort de la douche, enfile un peignoir et me donne congé.
« Jattends ton message dimanche matin, lance-t-elle avant mon départ
Bien Madame »
Le soir même, ma chérie a droit à mes ardeurs, dautant plus quelle a eu la bonne idée de mettre des bas et davoir rasé sa chatte.
Le dimanche matin, au réveil, je suis anxieux car il faut que jenvoie le message à Isabelle. Alors que Rose Marie se prépare jenvoie rapidement « nous partons dans dix minutes » Pendant le trajet, je roule assez lentement et mon estomac se noue au fur et à mesure que nous approchons du magasin. Dès lentrée, jessaye de repérer Isabelle au milieu des clients. Après quelques minutes je laperçois entre les rayons. Mon cur saccélère. Je marrange pour ne pas regarder vers elle. Faisant semblant de me concentrer sur les produits. Après tout ce nest pas à moi de faire quelque chose.
Notre caddy se rempli. Au détour dune gondole, Isabelle est là, en train de regarder les produits. Heureusement, Rose Marie est devant moi et ne peut voir mon trouble. Il faut que ce soit elle qui la découvre. Elle est à côté delle sans sen rendre compte, Isabelle est obligée de bouger pour que leurs bras se touchent.
« Pardon ! Oh ! Bonjour Isabelle quelle surprise !
Pardon
Tiens ! Bonjour Rose Marie comédienne elles se font la bise. Que fais-tu là ?
Eh bien comme toi. Il faut bien se ravitailler ! Tu connais Jean ?
Oui, bien sûr, elle savance pour membrasser. Je dois être rouge tomate. Le contact de son corps mélectrise.
Tu es venue depuis chez toi jusquici ?
Oui. Mais en fait, jai trouvé une maison pas loin depuis deux semaines et je viens ici le dimanche matin car cest calme et pas cher. Ce qui est rigolo cest que jhabite en face dun Leclerc.
Ah bon ? Lequel ?
Léognan
Mais tu es à côté de chez moi !
Cest vrai que tu es du côté de Chambéry, cest çà ?
Oui. Mais, il y a des maisons en face de Leclerc ?
Il y a la mienne, on ne la voit pas depuis la route. Il faut prendre un chemin. Mais, venez boire le café tout à lheure, vous verrez comment je suis installé.
Daccord ! » Elle nous indique alors litinéraire. Je fais semblant de réfléchir
« Tu vas ten rappeler ? Me dit-elle mutine.
Je pense que oui » Nous continuons les courses ensemble. Les deux femmes discutent entre-elles alors que volontairement je reste à lécart. Je vois Isabelle prenant peu à peu lascendant sur ma chérie, la frôlant, la faisant rire. Une véritable drague sous mes yeux. Nous nous séparons sur le parking par un « à tout à lheure » !
Cest marrant quelle ait trouvé une maison à côté. Çà lui change la vie, plus de long trajet ! Dire que lan dernier je ne la trouvais pas sympa, finalement, elle gagne à être connue. »
De retour à la maison, contrairement à lhabitude, nous déjeunons tôt, nous avons tout de même notre petite « sieste » à faire, celle-ci dailleurs est bien coquine.
Nous avions rendez-vous vers quinze heures et peu avant nous partons. Je fais semblant de chercher un peu lentrée du chemin, my engage.
« Je ne sais pas si çà mène quelque part, si ce nest dans la forêt. Çà doit être lugubre la nuit, dis-je.
Çà doit être par-là je nai pas vu dautre chemin avant. Il faut dire que je navais jamais fais attention à celui-ci non plus.
Tiens ! Une maison !
Cest la grange quelle a signalé. Jen rajoute un peu, car je sais quaprès nous découvrirons celle dIsabelle.
Ah la voilà ! Cest mignon ! On ne penserait pas trouver çà ici. »
Je marrête à côté de la voiture dIsabelle, qui apparaît aussitôt sur sa porte. Elle a changé de tenue, pour une robe assez courte qui la moule. Fendue sur le côté elle laisse apparaître une jambe. Elle est super sexy, dautant que je pense quelle na rien dessous. Elle nous reçoit avec des bises, prétexte à sentir son parfum, son corps déjà chaud qui pour moi au moins, me provoque une poussée de désir. Un bref instant elle a plongé son regard dans le mien, y voyant mon émotion. Elle nous invite à rentrer, faisant passer Rose Marie devant, me repoussant derrière elle, première marque de ma condition de soumis, mais discrète, pour que ma compagne ne le voit pas.
Pour une fois, je ne dépose pas mes clés et ne me déshabille pas dans lentrée ce qui bizarrement me paraît incongru. Nous arrivons au salon, où Isabelle commente la visite. La cuisine que je ne connaissais pas les chambres, la salle de bain où la vue de la douche me mets en transes, puis les autres pièces, cellier, garage
Rose Marie se déclare enchantée de la maison, surtout devant la grande baie du salon qui donne sur le bois. Celle-ci est ouverte laissant passer le chant des oiseaux.
Isabelle nous invite à nous asseoir, ou plutôt, invite ma compagne à prendre place sur le canapé et me désigne dun geste, le fauteuil en face. Elle nous laisse pour aller chercher le café tout frais. Connaissant le goût de ma chérie pour ce breuvage, elle savait que linvitation serait bien acceptée. Elle sert Rose Marie et néglige de me demander. Cette dernière, déjà prise dans les filets ne fait plus attention à moi qui me retrouve isolé des deux femmes assises côte à côte dans le profond canapé que je connais bien.
Isabelle déploie tous ses talents pour subjuguer ma chérie. Un spectateur la connaissant peu, ne verrait rien, mais, en observateur avisé, je remarque les détails qui font que peu à peu, elle « prend possession » de sa voisine, comme une araignée tisse sa toile autour de sa proie. Je suis à la fois, effrayé et excité de sa conduite. Je ressens très bien où elle veut en venir, je le redoute, mais, conditionné, je ne dis rien. Isabelle va soumettre ma chérie, comme elle ma soumis. En même temps, mon excitation augmente et je suis à létroit dans mon pantalon. Je ne peux détacher mes yeux du couple sur le canapé.
Petit à petit, Isabelle sest rapprochée de Rose Marie. Sa voix a mué et est devenue plus grave, plus chaude, mais moins forte. Sa main, commence à toucher, un bras, une main sans aucune réaction de sa voisine, déjà sous le charme sans sen rendre compte. De son bras, sous prétexte de prendre la tasse de café, Isabelle frôle un sein qui ne se dérobe pas. Elle ne sy attarde pas, mais maintenant sa hanche est collée à celle de Rose Marie. La main qui tout à lheure touchait le bras, se pose sur un genou. Là non plus, pas de réaction.
Les têtes sont très proches, Isabelle murmure, plus quelle ne parle, jai du mal à suivre une conversation qui est en fait à sens unique. Cest toute la jambe maintenant qui est collée à celle de sa voisine. Les yeux dIsabelle plongent dans ceux de Rose Marie. La main quitte le genou pour remonter lentement sur la cuisse tout en relevant le bas de la robe.
Les visages sont tout proches. Isabelle ne lâche plus sa proie. Elle sait déjà quelle a gagné, mais fait durer le plaisir. Elle joui déjà de la victime quelle va déguster et ces moments-là, pour elle, sont magiques à vivre.
Enfin, elle pose ses lèvres sur celles de Rose Marie qui ne fait rien pour se dégager. Dans mon fauteuil, je bande comme un fou de voir ma chérie embrasser une femme. Je naurais pas cru cela possible, mais rien ne résiste à Isabelle. Sa langue pénètre les lèvres de ma compagne qui peu à peu, répond au baiser profond. De son côté, Isabelle ne reste pas inactive, maintenant quelle a pris possession de la bouche, sa main remonte sur la cuisse jusquà la fourche, quelle atteint sans réaction hostile. Elle labandonne un moment pour finir de déboutonner sa robe, prendre la main de Rose Marie et la poser sur ses seins. Elle repart aussitôt entre les cuisses et masse maintenant par-dessus la culotte, qui sûrement doit être bien humide.
La main de Rose Marie un moment immobile, masse le sein dIsabelle soupèse la masse et titille le bout érigé. Je suis serré dans mon slip mais ne fais rien. Jattends les ordres de « notre » maîtresse. Pour linstant, elle se consacre toute entière à son travail de sape envers celle qui normalement est sa supérieure. Ceci doit être aussi pour elle une jubilation supplémentaire. Sa main a pris possession de la chatte de Rose Marie et, experte en la matière la branle doucement. Cachée par la culotte je ne peux voir ses doigts à luvre, mais les soupirs de ma compagne prouvent que le travail dIsabelle est efficace. Le bassin se soulève pour aller à la rencontre de cette main qui la fouille, puis elle se cambre et joui, son cri étouffé par les lèvres de sa complice. Celle-ci reprend aussitôt la caresse malgré la main de Rose Marie qui trente de la dégager. La lutte est inégale. Isabelle est plus forte et rapidement, elle reprend le contrôle pour amener Rose Marie vers un deuxième, puis un troisième orgasme.
Là elle est anéantie. Etalée sur le canapé elle na plus la force déchanger de baisers ni de caresses. Isabelle, elle, continue les siennes, mais doucement, pour ramener lentement le calme dans ce corps quelle a véritablement possédé durant quelques minutes.
Rose Marie est abandonnée aux caresses de sa maîtresse. Lorsquelle ouvre les yeux, cest pour lui sourire, lembrasser et la caresser en remerciement. Plus rien nexiste autour delle et surtout pas moi. Elle est dans la bulle qua formé Isabelle qui a maintenant le contrôle total sur sa complice. Elle se lève, entraînant Rose Marie avec elle. Dans le mouvement elle fait glisser sa robe et se retrouve nue, juchée sur ses mules à talon qui lui donnent une supériorité supplémentaire. Ma compagne nest pas très grande et sa tête se trouve au niveau de la poitrine dIsabelle. Celle-ci lui plaque le visage contre son sein et entreprend de la déshabiller. Rapidement Rose Marie se retrouve nue contre cette femme qui la dépasse de deux bonnes têtes, qui la caresse alors quelle-même suce alternativement les deux seins de sa collaboratrice.
Je suis tétanisé dans mon fauteuil, lorsque Isabelle me fait signe de prendre la position « dinspection » en la prenant elle-même, les mains derrière la tête, elle offre sa poitrine en se cambrant. Je ne discute même pas, tellement notre maîtresse domine la situation, pour ma part de façon consciente, pour ma compagne, pas encore.
Je me déshabille rapidement et face aux deux femmes qui échangent des caresses, je ne peux cacher lérection qui pointe en avant. Isabelle reprend les baisers sur les lèvres, les mains parcourent les corps, se glissant entre creux et rondeurs, ce qui ne fait rien pour me calmer, quand Isabelle, prenant Rose Marie par les épaules, la retourne face à moi, lui enveloppant la poitrine dans ses bras. Celle-ci me découvre alors, ouvrant de grands yeux et la bouche de surprise.
« Tu vois, dit Isabelle, ton homme semble bien excité, le tableau à lair de lui plaire !
Oui, cest un vicieux ! Mais que fait-t-il dans cette position ?
Çà, ma jolie, cest moi qui lui ai demandé de se mettre en inspection !
En inspection ?
Eh oui ! Ton chéri est un soumis que jai dressé ! Il est à moi ! Ne tinquiètes pas, je ne veux pas te le prendre. Simplement, il est à mes ordres, parfois à mes pieds, dans tous les cas, à ma botte ! »
Rose Marie est abasourdie. Surtout que je ne bouge pas, si ce nest ma queue qui baisse inexorablement. Isabelle continue de caresser le corps et les seins de sa complice, toujours nichée entre ses bras. Elle lui embrasse le cou, derrière loreille, la faisant frémir.
« Vois-tu, ma chérie, ton homme mest complètement dévoué ! Çà ne te dérange pas au moins ?
Non ! Pas du tout ! Je trouve quil en a besoin répond ma chérie en me fixant. Je serais même heureuse de voir comment tu ty prends » Je suis estomaqué ! Rose Marie est rentrée immédiatement dans le jeu dIsabelle et je nai plus rien à dire. Maintenant que ma situation est connue, je deviens lobjet de ces deux femmes.
« Puisque nous sommes daccord, je vais tenseigner comment le prendre en main et en faire ton soumis. En revanche, lorsquil est avec moi, il est mon soumis à moi! Daccord ?
Oui, daccord !
Bien ! Et toi aussi !
Co
Comment ?
Avec lui, tu es la maîtresse, mais avec moi, tu obéis, en fin, VOUS obéissez ! Ou tu es daccord, ou vous partez. Dailleurs vous partez quand vous voulez, ce sera le signe que vous renoncez à me revoir. Il va te montrer comment il fait dhabitude » Je repars vers lentrée pour y déposer mes vêtements et accrocher la clé, puis je reviens prendre ma place et ma position « Pour ta gouverne, je peux te dire que lui restera. Il ne peut déjà plus se passer dêtre à mon service personnel !
M
Mais, cest quoi, être à ton service ?
Tu le découvriras, si tu restes. Tu apprendras beaucoup de choses. Tu subiras beaucoup de choses, dans le respect de ta vie privée et professionnelle bien sûr. En dehors dici, tu ne me connais que comme une collègue tout à fait normalement. Mais lorsque tu es ici avec moi tu es comme lui. Tu vas accrocher tes habits et éventuellement tes clés de voiture. Ce nest quensuite que tu viens prendre ta position ici. Allez ! A toi de choisir ! »
Rose Marie semble hésiter. Toujours dans les bras dIsabelle elle me regarde intensément. Partagée entre lenvie de fuir et le besoin de poursuivre cette expérience. Je vois ses tétons se dresser. De mon côté, ma verge reprend de la vigueur. Ma chérie respire un grand coup, se dégage dentre les bras dIsabelle, se retourne, lembrasse sur les lèvres et se hissant sur la pointe des pieds. Dit « daccord », vient vers moi et membrasse, puis ramassant ses affaires, va les suspendre dans lentrée. Elle revient rapidement et se positionne à mes côtés, prenant la position dinspection en frissonnant.
« Bien ! Déclare alors notre « maîtresse » A partir de cet instant et jusquà que je ne veuille plus de toi où que tu reprennes un jour tes clés sans ma permission, tu es à moi ! Est-ce que tu es toujours partante ?
Oui !
Oui qui ?
Oui Isabelle !
Il ny a plus dIsabelle ici, tu mappelle Madame !
Oui
Madame !
Précise un peu !
Oui Madame, je suis à vous !
Très bien, jai maintenant un couple de soumis. Cest la première fois que jai un vrai couple et je compte bien en profiter. Toi, me dit-elle, tourne-toi et penche-toi sur la table tu na pas le droit de voir. Toi ma belle, à genoux et viens me bouffer la chatte. »
Je ne peux quentendre les clapotis de la langue dans la vulve que je connais juteuse. Ma chérie mavait pourtant dit quelle navait pas de goût pour les lesbiennes, mais elle doit bien se débrouiller car Isabelle ne tarde pas à gémir. Dans le reflet de la télévision, je devine plus que je ne vois, la tête de Rose Marie entre les cuisses de notre maîtresse qui lui tient la tête. Va-t-elle aller aussi loin quavec moi ? Pas pour cette première, mais nul doute quelle lui fera aussi goûter son urine comme elle aime à le faire avec moi.
Isabelle pousse deux ou trois petits cris, symptôme de son plaisir, puis retire la tête de sa soumise.
« Cest bien salope ! Maintenant, va toccuper de ton homme. Non ! A genoux ! Intervient-elle alors que ma chérie se relevait. Tu es une chienne. Tu auras bientôt ton collier et ta laisse, en attendant reste à quatre pattes. Et comme tu es une chienne tu vas lécher le cul de ce chien
Mais
Elle prend une gifle sonore.
Tu discutes déjà ?
Non mais ! Deuxième gifle.
Non qui ?
Non Madame ! Pardon Madame !
Voilà qui est mieux ! écarte bien ses fesses et enfonce bien ta langue dans son cul. Graisse-le bien car il va servir
Oh oui !
Tu as envie de le voir se faire enculer ?
Oh oui !
Tu lui mets un doigt quelques fois ?
Oui, je lai même pris une fois, à sa demande !
Mais ils sont coquins ces deux là ! Et bien tu vas voir comment je men occupe ! »
Isabelle récupère le gode-ceinture qui nest jamais très loin, sharnache avec, puis demande à Rose Marie de venir le sucer. Celle-ci se rend compte alors que le calibre de lengin nest pas anodin. Une fois fait, Isabelle lui dit de se mettre à mes côtés et de mécarter les fesses. Elle positionne le gland sur mon trou et senfonce dun trait au fond de mes entrailles.
« Regarde-le ton chéri, comme il se fait enculer ! Et il aime çà en plus. Tu vas voir ! » Isabelle me ramone un bon moment ? Je suis honteux dêtre ainsi exposé à ma chérie, mais aussi fier de montrer à notre maîtresse toute ma dévotion. Connaissant mon goût pour la position du missionnaire, Isabelle me retourne et me couche sur la table, les jambes en lair. « Tu vas voir comment il joui ce chien ! dit-elle en relevant mes jambes et en me pilonnant. Suce-le ! tu vas tout avaler !» Javais un jour dit à Isabelle que Rose Marie naimais pas le sperme. Il faut dire que je ne jute pas vite ni souvent, mais lorsque jai voulu quelle me boive elle a refusé. Là elle ne peut se soustraire à la volonté de notre maîtresse dautant que celle-ci a empoigné ses cheveux et lui maintient la tête, tout en continuant à me défoncer le cul. A ce rythme, je sais quIsabelle doit prendre son pied avant que je ne puisse me lâcher. Aujourdhui elle doit être particulièrement excitée car elle joui en quelques minutes, mordonnant alors de me laisser aller. Heureusement car dans cette position et pompé par ma compagne, je nen pouvais plus et jexplose aussitôt. Par laction conjuguée du sexe factice et de la bouche de Rose Marie, jai limpression que mes couilles éclatent et je joui autant du cul que du sexe. Cest énorme ! Ma chérie reçoit tout dans la bouche, ne laissant rien tomber. Je perds un peu les pédales mais dans une sorte de brouillard je distingue Isabelle qui relève la tête de Rose Marie et lembrasse sur la bouche, partageant mon sperme.
Les deux femmes mabandonnent et se dirigent vers le canapé pendant que je récupère. Malheureusement pour elle, Rose Marie qui croyait se retrouver dans les bras dIsabelle, à la demande de celle-ci, doit sagenouiller et sucer le sexe qui sort de mon cul. Elle ne doit pas le faire suffisamment vite au gré de notre maîtresse, car Isabelle gifle sa poitrine à toute volée. En fureur quon lui résiste, puis, la tirant par les cheveux ordonne :
« Suce salope, et nettoie bien ma bite. Dis-toi que tu as de la chance car ton chéri a dû se laver le cul, il pensait bien en venant ici que je men occuperais, comme souvent ! »
Lorsque Rose Marie a terminé son ouvrage, Isabelle reprend un ton plus cajoleur prenant sa complice par les épaules, elle lembrasse sur la bouche et la caresse comme on félicite un animal pour le remercier. Elle nous donne ensuite congé. Nous nous rhabillons en silence, évitant de nous regarder et quittons la maison.
Au bout du chemin, avant de reprendre la route, Rose Marie minterpelle
« Tu ne crois pas que tu me dois des explications ?
Je
Depuis combien de temps çà dure cette histoire ? Et moi je suis une conne qui ne voit rien !
Pas du tout ! Mais tu as vu comment elle prenait lascendant sur les gens ? Je te rappelle que toi aussi tu viens dêtre « prise en main » comme moi je lai été
Je
Oui
Bon
Mais répond-moi, depuis quand ?
Le soir de lanniversaire. Je nai rien vu venir. Je croyais vraiment quelle voulait que je la ramène. Ce que je ne savais pas cest que cétait ici. Cette femme fait faire ce quelle veut, tu ne ten rends pas compte, et tu te retrouve dans ses filets. Elle en impose.
M
Mais comment as-tu pu participer à ce piège daujourdhui ?
Jai laissé échapper un jour que tu allais dans ce magasin et elle ma demandé de lavertir. Tu as vu que lon ne peut rien lui refuser. Dailleurs toi, tu es vite tombée dans ses filets, je ne ten blâme pas, je sais de quoi elle est capable. Je lai vue faire, mais en parallèle je nai rien fait pour larrêter.
Mais que va-t-on devenir ? Quest qui nous attend ?
Cest à nous de décider, nous pouvons choisir de ne plus venir. Je suivrais ce que tu me diras
Cest vrai quelle doit mapprendre à te dominer ! Dit-elle dun ton malicieux
Oui ! Et çà à lair de te plaire. Donc cest toi qui décideras et tu verras que ce nest pas le plus facile.
Daccord, mais puisquil y a trois mois que tu es son
comment on dit ?
Son soumis
Puisquil y a trois mois que tu es son soumis donc, qua-t-elle exigé de toi ?
Je propose que lon rentre à la maison et quon en discute, on sera mieux quici.
Daccord »
Après un bref parcours sans parole, je raconte tout à ma chérie qui mécoute intensément. Le récit dure longtemps, mais, au fur et à mesure, ses yeux brillent, parfois de tristesse, mais, plus javance, plus ils brillent dexcitation. Je suis presque à la fin de mon récit lorsque mon téléphone sonne. Me tournant vers Rose Marie je dis :
« Cest elle
Que veut-elle
Que je passe en partant
Passe-moi ton téléphone »
Rose Marie rappelle le numéro et échange avec Isabelle, lui disant, que, étant chez elle je suis pour le moment, son soumis. Que ce soir elle désire me garder un peu pour mettre les choses au point et pour profiter de ce nouvel état. La discussion change de ton sans que je sache pourquoi. Rose Marie semble plus détendue et écoute en approuvant ce que lui dit Isabelle à lautre bout du fil. Tout à coup, elle sadresse à moi en disant :
« Monte dans la chambre et en position dinspection, jarrive ! »
Sans attendre, elle reprend la conversation avec Isabelle. Une conversation qui dure. Mon forfait va en prend un coup, mais je nai plus rien à dire, ma vie a encore basculée en peu de temps. Lorsque je lentends monter je reprends la pose que javais un peu abandonnée. Passant devant moi, elle flatte ma queue dressée, me regardant dun il gourmand, se déshabille et me demande de me coucher sur le dos. Elle menjambe et pose son sexe sur ma bouche pour que je lèche, ce quelle sait que jadore. Son sexe est trempé et de plus elle le frotte bien sur mes lèvres, preuve de son excitation. Alors que je pense quelle va se mettre en soixante neuf, elle att mes jambes et les relève. Une sensation de froid entre mes fesses précède lintroduction dun doigt dans mon anus.
« Puisque tu aimes te faire travailler le cul, tu vas être servi ! » Je sens alors le contact plus large dun gode quelle menfonce sans hésiter. Après plusieurs allers et retours, elle met en marche le vibreur et les sensations augmentent. Elle coule maintenant dans ma bouche et je me régale de son jus. Elle a repris ses mouvements avec le gode qui, couplés avec les vibrations, me font atteindre des sommets. Ma prostate est sollicitée. Je gémis et me contracte mais continue mon léchage. Nous partons tous les deux vers des sommets. Sa mouille est de plus en plus abondante. A un moment, elle cesse tout mouvement et son vagin se contracte, puis elle reprend. Par trois fois, chose extraordinaire, elle va se lâcher. Je nen peux plus de la position et du besoin de jouir. Ma bite est douloureuse. Lorsque enfin elle retire lengin de mon fondement et me relâche. Je suis anéanti.
Eh bien mon salaud ! Je crois que jai trouvé le moyen de te faire jouir comme il faut. En effet, après quelle se soit couchée sur le côté pour elle aussi récupérer, je me rends compte que mon ventre est couvert de sperme. Jai joui du cul, sans men rendre compte, sans être touché, mon sexe à lâché sa semence. Une fois de plus, la position sur le dos, comme avec Isabelle, ma apporté une jouissance extrême.
A partir de maintenant, tu auras ton cul régulièrement occupé, mon petit pédé. Isabelle a raison. Il te faut quelquun qui te domine. Maintenant, cest moi qui commanderai !
Oh oui, ma chérie ! Je taime ! Demande moi tout ce que tu veux, je suis à toi !
Cest bien ! Je veux tout savoir de ce que tu fais. Tu vas aller chez Isabelle en partant, puisquelle veut que tu passes, et une fois rentré chez toi tu mappelleras pour me raconter, en attendant, tu thabilles et tu me laisses me reposer. » Alors que je vais vers la salle deau pour me nettoyer, elle me retient. « Je ne tai pas dis daller te laver, tu restes comme çà, enfile tes habits et va-t-en »
Penaud, je rassemble mes affaires, dépose un baiser sur ses lèvres et reprends la voiture pour arriver quelques minutes plus tard chez Isabelle. Celle-ci, contrairement à lhabitude prise, maccueille sur le pas de la porte. Je mattends à ce quelle me demande de la lécher sur place mais elle me demande de rentrer.
« Inutile de te déshabiller aujourdhui, il ny en a pas pour très longtemps. Suis-moi ! Sur le canapé du salon un homme noir, entièrement nu, est allongé. Mon amant vient de me baiser, alors tu vas le remettre en forme, jai envie quil me la remette, alors suce et fait en sorte quil soit vite opérationnel ! »
Je ne me le fait pas répéter et magenouillant jembouche le sexe, mon premier noir, couvert de la mouille dIsabelle et de sperme de lhomme. Même flapi, lengin est déjà imposant. Lhomme pose une main sur ma tête commentant « le bien que lui fait cette salope de blanc » Rapidement, preuve que mon travail est bien fait, la colonne de chair sagrandit entre mes lèvres, pour prendre des proportions imposantes. Ma main parvient à peine à en faire le tour et qui dire de ma bouche distendue. Je ne relâche pas malgré tout mes efforts mattardant sur le gland rose que je cajole de la langue.
Quand le sceptre atteint sa taille maximum, Isabelle minterrompt, enjambe lhomme et me demande de guider la verge dans sa chatte ruisselante. Je suis aux premières loges pour admirer son sexe sélargir sur la puissante colonne ébène et labsorber entièrement. Elle doit faire presque vingt cinq centimètres de long et bien cinq ou six de diamètre. Après plusieurs aller et retours, Isabelle me congédie sans plus de forme et je quitte la maison alors que ces gémissements emplissent le salon, preuve du plaisir que lui apporte le terrible engin.
De retour à la maison jappelle ma chérie comme promis pour lui raconter mon passage chez Isabelle. Elle est stupéfaite que jai sucé lamant dIsabelle. »
« Et tu suces souvent les mecs ?
Isabelle ma plusieurs fois à sucer ses amants !
Et cest tout ?
N
Non ils mont aussi
Enculé ?
O
Oui
Et bien sûr tu aimes çà !
Quelques fois
Oui, mais
Mais quoi ?
Ne crois pas y échapper si tu continues avec elle
Cest pas vrai ?
Si tu lui es soumise, cest pour tout. Elle dispose de toi et de ton corps comme il lui plaît
Jamais !
Tu verras ! »
La discussion sarrête ensuite et lorsque plus tard, après quelques séances chez Isabelle, parfois en ma présence, Rose Marie subira lassaut damants ou de maîtresses de notre dominatrice commune, elle saura ce que soumission veut dire. Lorsque cela se produira devant moi, au retour entre nous, elle me fera payer lhumiliation.
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