Pas Banale. Gilles 56 Ans Quitte Sa Femme Pour Émilie, Une Jeune Fille De 23 Ans.
Chef dentreprise à la recherche dune employée de service polyvalente, pouvant faire du rangement, de la préparation de commande ou de faire quelques travaux ménager, javais épluché toutes les réponses en ma possession. Elles nétaient pas bien nombreuses à avoir répondu à mon annonce et daprès les photos agrafées à leur CV, très peu me plaisaient physiquement. Ce fut la raison pour laquelle mon choix sarrêta sur Delphine une très jeune fille dont sa jolie poitrine me fit la choisir, dautant plus quelle nhabitait quà quelques kilomètres de mes bureaux et proche de chez-moi.
Il faut dire quétant marié à une femme ayant pris beaucoup de poids depuis nos 30 ans de mariage, je nétais pas très satisfait côté sexe. Jétais aujourdhui à 55 ans obligé de me masturber souvent devant des films X mettant en scène de jeunes soubrettes à forte poitrine, vêtues dune jupe noire très courtes arrivant au raz des fesses, dun chemisier blanc à large décolleté et dun petit tablier qui ne cachait rien. Cétait mon fantasme et je prenais beaucoup de plaisir de les voir se faire prendre sans ménagement.
Ce matin-là, javais convoqué Delphine de bonne heure pour lentretien dembauche car je devais rentrer chez-moi immédiatement après afin de préparer ma valise pour prendre le TGV pour Paris. En effet, javais un rendez-vous important dans la soirée avec un négociant. Dès mon arrivée dans mes locaux, je fus agréablement surpris de voir que cette charmante jeune fille était déjà présente et mattendais assise dans le hall dentrée. Je me présentai à elle et lui demanda de me suivre.
Installée sur le siège devant moi, elle répondit timidement pendant plus dune vingtaine de minutes, à toutes mes questions. Elle fut assez gênée lorsque je lui dis quelle navait aucune expérience, si ce nétait que deux stages en entreprise et quelle ne ferait sans doute pas laffaire. Je me préparais donc à la faire sortir de mon bureau courtoisement lorsque celle-ci me répondis avec un peu plus dhardiesse :
Vous savez Monsieur, je madapte à toutes les situations et je suis prête à tout pour obtenir ce poste.
En disant cela, elle était restée assise alors jétais déjà debout, près à quitter la pièce, je me dirigeai vers son fauteuil et passa derrière elle. Sa poitrine dont le décolleté était plongeant me fascina, des pensées malsaines tournèrent dans mon cerveau. Je posai mes mains sur ses épaules et regardai à lintérieur de son chemisier largement ouvert :
Prête à tout vous dites, cest-à-dire. Dis-je en lui massant délicatement ses clavicules du bout des doigts.
Au contact de sa peau nue et voyant ses seins remués à chacune de ses respirations, une érection brutale vint remplir mon entre jambe, incontestablement, Delphine était bandante et je pensais quelle le savait. Elle décala légèrement sa tête vers le haut et posa son regard sur moi et enchaina :
Vous savez Monsieur, je serai capable de vous satisfaire. Me dit-elle en me prenant les mains pour les descendre un peu plus bas dans son décolleté.
Je vois que tu nes pas farouche.
Si cest le prix à payer pour mon embauche
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase, javais très envie de la peloter, de lui triturer ses nibards qui étaient quà quelques millimètres de mes mains mais je savais que cela pouvait mêtre fatale avec toutes les accusations dharcèlement sexuel, je me devais dêtre très attentif. Je retirai mes mains et lui dit :
Bon ! Mademoiselle, je vous ferai connaitre ma décision lorsque je reviendrai de Paris demain dans la soirée.
Je lavais raccompagnée jusquau hall dentrée et machinalement, devant nos locaux, je lui demandai comment elle était venue. Elle répondit « Avec mon copain et je rentre en stop, je nhabite pas très loin. »
Vous savez, ce nest pas très prudent de nos jours, voulez-vous que je vous dépose, cest sur mon chemin. Montez donc avec moi, ma voiture est juste là.
Je roulais tranquillement sur cette petite départementale déserte pour rentrer à la maison, Delphine à mes côtés.
Jai 22 ans. Si Monsieur mon copain vit chez ses parents. Je vous remercie de mavoir prise avec vous, vous me rendez là un grand service.
Le soleil était filtré par mes vitres teintées, les vitres étaient légèrement ouvertes, le vent caressait ses cheveux et jouait avec le tissu fin de son corsage, ouvrant un peu plus son décolleté. Je maperçus vite quelle ne portait pas de soutien-gorge, elle semblait être à laise et me donnait limpression que cela lui faisait plaisir. La brise faisait durcir ses tétons qui semblaient vouloir déchirer le tissu. Assise à côté de moi, je la regardais furtivement et admirais sa beauté, mes yeux allaient de ses seins, à ses cuisses quelles avaient savamment dégagées de tout obstacle lorsquelle avait remonté sa jupe courte.
Jétais sur une longue ligne droite de plus de sept kilomètres, mes yeux ne la quittèrent pas. Je me demandais pourquoi elle regardait par la fenêtre, et non pas dans ma direction et cela mintriguait. Je ralentis encore la vitesse au fur et à mesure que je la contemplais. Je me permis de prendre sa main pour la poser sur ma jambe droite. Delphine ne disait toujours rien et ne retira pas sa main et bougeait légèrement les doigts. Ils étaient restés bien à la même place à quelques centimètres de mon entre jambe. Cette situation mexcita et mon sexe recommença à faire des siennes, jétais très à létroit dans mon pantalon en toile légère.
Nous étions à quelques pas de chez elle, lorsquelle tourna la tête vers moi, je fis semblant de rien, mais mon sourire lui en disait long car depuis un bon moment, elle me voyait dans la fenêtre me pinçant les lèvres. Sa main changea de place pour se poser sur la mienne qui se trouvait sur le pommeau du levier de vitesses, elle se redressa, tira dune main sa ceinture de sécurité et vint membrasser sur la joue.
Elle me dit alors :
Regarde devant toi, nous risquons un accident. Me dit-elle en me souriant sensuellement.
Malgré que je sois surpris par ce tutoiement, je ne pus répondre, car sa main avait enserré mon sexe et en me la tâtant poursuivi :
Je crois que ta décision est prise, je suis embauchée nest-ce pas ?
Bien sûr Delphine lui répondis-je en garant ma voiture devant sa porte dentrée.
Elle était descendue de la voiture toujours avec son magnifique sourire et passa du côté de ma vitre que je baissai entièrement. Elle me déposa un petit baiser sur les lèvres cette fois en me disant : « À demain soir » tout en séloignant. Je restai là immobile, je jetai un il sur la montre, jallais être en retard si je mattarde encore. Elle franchissait le seuil et je sautai de la voiture en criant :
Attends Delphine. Lui dis-je devant sa porte. Tu as prévu quelques choses ? Je temmène avec moi à Paris tu veux ?
Oui ! Si cest compté dans mes heures.
Bien entendu, tu commences ton boulot maintenant. Prépare-toi ! Je passe te chercher dans trois quart dheure.
Jétais heureux comme un gosse, cette fille me rendait déjà fou, jétais entièrement tombé sous son charme. Assise à côté de moi dans le TGV, elle sétait blottie dans mes bras et avait pratiquement dormi la moitié du voyage. Après son réveil, nous nous sommes embrassés longuement, elle me caressa intimement et sapercevant de mon énorme érection, elle me demanda de la suivre dans les toilettes du train. Elle navait pas attendu avant de me prendre la bite dans la bouche puis elle me demanda de la lécher, elle était trempée dexcitation. Après quelques minutes, nen pouvant plus, elle se pencha, releva sa jupe et me dit : « Viens ! Prends-moi tout de suite »
Heureusement quelle avait tout prévu, elle avait ouvert le sachet avec ses dents et menfila le préservatif avec la bouche, tout en le déroulant entre ses lèvres pincées.
Pendant le reste du trajet, elle mavait posé un tas de questions sur ma vie et mon couple, je métais laissé emporter, jétais déjà tombé amoureux de Delphine et lui racontai tout, sans tabou, jusquà mes fantasmes les fous et celui de la soubrette, bien entendu :
Nous allons ce soir le mettre en scène celui-là, tu prends quune chambre dhôtel, je serai à la hauteur, tu verras.
Mon rendez-vous nétant quen début daprès-midi, jemmenai Delphine faire les boutiques, la carte bleue de lentreprise avait chauffé. Elle était aux anges, elle sétait renouvelée sa garde-robe, elle avait pu se faire payer tout ce quelle aimait porter. Lors de mon rendez-vous, après le déjeuner prit en tête à tête dans une petite brasserie sympa, je la présentai comme ma secrétaire. Elle fut à la hauteur, elle était incroyablement intelligente et sut se faire discrète quand il le fallait. En fin daprès-midi, avant de regagner notre hôtel, nous étions passé dans un sexshop pour acheter une nouvelle tenue, mais cette fois-ci à ma convenance.
Tout fut parfait, je vivais un rêve, je navais pas débandé de toute laprès-midi, sous ses petites allusions dites sensuellement dans mon oreille ou par ses petites caresses discrètes et précises sur mon entre jambe. Avec elle, je retrouvais une seconde jeunesse. Et que dire de la soirée à lhôtel, elle fut géante dans son rôle de servante sexy, je lui avais éjaculé comme dans un film entre ses deux seins quelle maintenait serré contre ma queue. Après le diner, au lit, elle fut gigantesque, je lui refis lamour trois fois dans la nuit et le matin elle mavait une nouvelle fois redonné de la vigueur dans une fellation parfaite avant que je la sodomise. Cela faisait plus de vingt-cinq, voire même trente ans que je navais pas baisé de la sorte.
Dans le TGV, ce fut moi qui, épuisé, métait blotti dans ses bras, javais dormi pendant les deux heures de trajet. Jeus droit un baiser sur la bouche en guise de réveil, jouvris les yeux et vis son visage radieux et souriant devant moi. Je ne pus mempêcher de lui dire :
Delphine, je taime. Je suis amoureux comme à mes 15 ans.
Allez-allez Gilles, descendons du train. Nous en reparlerons plus tard.
Je lavais déposée chez elle avant de me rendre dans mes locaux. Tout le restant de laprès-midi, elle mavait déjà terriblement manquée. Javais hâte de la retrouver avant de rentrer chez moi. Cette nuit-là je navais pas dormi dans le lit conjugal. Delphine mavait préparé un petit repas, nous avions fait lamour avant de manger et deux autres fois avant de nous endormir vers minuit enlacés dans son lit.
Notre relation secrète dura plus dun an, elle me connaissait par cur et sexuellement parlant, elle faisait tout ce que je désirais. Sachant que dans mon fantasme le plus fou, je désirais être à la merci dun homme, nayant jamais connu cette pratique, elle me prépara avec un plug anal. Lorsquelle sétait aperçue que jétais enfin prêt, elle avait organisé un trio avec un ami à elle. Nous faisions un soixante-neuf, ma tête entre ses cuisses ma bouche et mes doigts lui faisaient monter son désir. Elle de son côté, me suçait goulument pendant que son ami prenait possession de mon rectum. Delphine cria son plaisir lorsque jéjaculais abondamment dans sa bouche et que M se vidait sur mes fesses. Je navais jamais connu un pied pareil.
Si Delphine faisait suivant mes désirs sexuels, je cédais à tous ses caprices, jétais entièrement accroc de ma jeune princesse, je ladorais et jaurais fait nimporte quoi pour elle. Jusquau jour où elle me demanda de divorcer :
Écoute Gilles, jen ai marre de me cacher. Tu sais comme moi que tu naimes plus ta femme, alors sil te plait dit lui ce soir en rentrant.
Elle avait su y faire, javais eu limpression quelle navait jamais été aussi amoureuse de moi, lorsque nous avions fait lamour avant que je rentre chez moi. Il métait impossible de me séparer delle, Delphine avait raison, je naimais plus Élise et je devais lui annoncer ma décision de divorcer. Nayant pas de part dans ma société, nous avions simplement réalisé une séparation à lamiable.
Tout ne sétait pas passé comme sur des roulettes, mais un an plus tard notre divorce fut prononcé. Deux mois plus tard, Delphine avait su me convaincre, je me remariais avec ma princesse. Depuis, je ne vois plus mes deux s qui prirent le parti de leur mère, nayant jamais compris ce quil métait arrivé. Jétais tout simplement aveuglé par ma déesse que jaimais de tout mon cur.
Sept ans plus tard, jétais toujours fou amoureux, Delphine dirigeait lentreprise avec moi mais malheureusement pour moi, avec mon problème de prostate, je ne peux plus la contenter à moi seul, même si nous baisons toujours régulièrement. Ayant trente ans, je compris que Delphine avait besoin de sexe que je ne pouvais plus lui donner, elle ne mavait rien caché et me demanda de prendre des amants lorsque le besoin se ferait sentir. Jamais je ne lui refusai et pour me remercier, elle avait tenu à faire ses galipettes sexuelles en ma présence. Ce qui mexcitait fortement, après quelle atteignait lorgasme et que son amant lui éjaculé dans la bouche, elle venait sur moi et membrassait laissant couler le sperme dans ma bouche pendant quelle me masturbait.
Aujourdhui, elle a trouvé un amant régulier qui vit pratiquement à la maison. jen prend énormément de plaisir et je ne suis pas prêt de vouloir stopper ce ménage à trois, même si cela fait jaser autour de moi.
Chères lectrices et chers lecteurs, nhésitez pas à laisser votre commentaire. Je vous en remercie par avance, je compte sur vous.
Si comme Gilles, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!