La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1398)
Lesclave salope au Château
Cela fait deux semaines que je nai pas joui. Jai quelques fois la chance de voir Monsieur le Marquis en vidéo, ou de parler avec Lui, mais il ne ma jamais autorisée à retirer la ceinture de chasteté quIl ma imposée, autre que pour me doucher. Quand jai eu la chance de voir le Maitre en vidéo, cela me rend encore plus excitée et il est difficile de ne pas pouvoir se caresser. Et aujourdhui je nen peux plus, jai le sexe à bout et lincroyable envie de jouir comme jamais me tortille le bas-ventre telle une véritable femelle chienne en chaleur. Cela fait aussi deux semaines que je ne me suis pas retrouvée physiquement entre les mains du Noble. Cest donc ainsi que je prends la décision de Lui envoyer dans la soirée un mail, le suppliant d'être magnanime envers Sa chienne, et linformer que pour le moment je me rends juste au travail, en priant en moi-même réussir à me concentrer à cause de ce puissant besoin dêtre prise, pénétrée, baisée, et surtout soumise
Cest à ma pause déjeuner que jai la surprise de recevoir un message du Maitre exigeant de me voir en vidéo, mais comme cest lheure de mon déjeuner, il sera présent avec moi pendant que je mange, et de linformer que je suis installée. Cest une habitude quon avait au début de notre relation, Monsieur le Marquis mobligeait de déjeuner, et moi à chaque fois je le suppliais de me laisser rater mon repas pour ne pas rater une occasion de passer du temps avec Lui. Cest donc ainsi quil a ordonné, uniquement quand il le décidera, jaurais le bonheur de Sa présence durant mon déjeuner ou non. Une fois installée, je notifie le Maitre qui m'appelle. Le fait de ne pas pouvoir me prosterner ou être à genoux devant le Noble me perturbe toujours autant, mais je passe du temps avec le Châtelain, et pour moi cest tout ce qui compte. Pendant la vidéo, Monsieur le Marquis me parle avec un calme Dominant, avec une maîtrise parfaite dans Sa diction.
Au fil de la vidéo Monsieur le Marquis mexplique que lundi prochain soit dans 4 jours, jaurai à nouveau la chance d'être à Ses nobles pieds. Il exige aussi quà partir daujourdhui, jusquà mon arriver au Château lundi, je me masturbe au moins 2 fois par jour, et que dès que jai envie de jouir, je dois immédiatement arrêter, et remettre la cage de chasteté sur moi, et arrêter pendant au moins 3h durant avant me masturber de nouveau. Et chaque jour où je peux le faire plus de 2 fois, jai obligation de le faire. Le Châtelain a aussi étais très clair, quant au fait que chaque désobéissance, que ce soit me masturber moins de 2 fois par jour, ou de jouir, je le regrettais sévèrement par la punition qui mattendra. Le Maitre me précise aussi, que chaque soir avant daller me coucher je me dois de Lui faire un compte rendu de ma journée, et que dimanche soir par mail, je recevrai le reste des instructions concernant mon arrivée au Château lundi. Une fois mon repas fini, Monsieur le Marquis exige que jaille aux toilettes me masturber devant lui, nue et assise sur la cuvette des WC, les jambes bien écartées et bien sûr sans jouir. Il exige que jécarte largement mes lèvres intimes, tandis que je me branle mon clito si réceptif, puis que je me doigte comme une chienne en chaleur. Je me tortille sur la cuvette, car en plus de me branler ainsi, Ses mots crus et humiliants tels que souillonne, cochonne, putain, vide-couilles, garage à bites, sac à foutre, paillasson, petite merde, salope, chienne en chaleur, etc
rajoutent une forte excitation alors que linterdiction de jouir est bien ancrée dans ma tête.
Cest donc frustré et avec une envie de jouir encore plus présente que je retourne travailler alors que je dois essayer de me concentrer pour les heures de travail quil me reste à faire. Comme exigé par le Maitre, je me suis masturbée chaque jour deux fois, et parfois même plus. Ne pas jouir a été à chaque fois tellement difficile, un vrai calvaire mais jai tenu bon, j'ai plus d'une fois eu l'impression que j'y arriverais pas, mais la peur de décevoir le Maitre ma fait réussir à ne pas aller à la jouissance. J'ai quelques fois supplié Monsieur le Marquis dans mon compte rendu du soir de me laisser jouir, au moins une fois, lui expliquant ma difficulté, le fait que mon corps, mon sexe sont dans un besoin viscéral dorgasme, et aussi que rien de commencer à me masturber, lenvie de jouir se présente, je suis en chaleur, cest clair. Mes supplications ont été, bien sûr, sans grand succès
Par ailleurs, dimanche soir en ouvrant ma boite mail, pour faire mon compte-rendu, jai reçu les instructions du Noble concernant mon arrivée au Château pour le lendemain matin, lundi.
« Bonsoir Ma belle petite chienne esclave, tu te présenteras demain matin à l'entrée de Mon Château, à 9h. Tu te mettras en robe courte, sans rien en dessous, à part ta cage de chasteté. Avant de prendre la route, tu retireras ta cage, mettras un plug dans ton cul de salope, et tu te branleras aussi ta chatte de chienne, SANS JOUIR. Puis, tu remettras ta cage tout de suite après. Tu repartiras du Château mercredi quand je le déciderai. A demain Mon esclave salope, chienne en chaleur »
Cest donc ainsi que lundi matin à 8h50, je me suis garée à lentrée du Château comme exigé par le Maitre, je nai rien dautre sur moi quune robe courte en cuir noir et sexy avec en dessous ma ceinture de chasteté. Jattends derrière le volant 9h00, pour aller frapper à la massive double-porte du Château et signaler ainsi ma présence. Comme toujours, je suis arrivée en avance, et comme à chaque fois, jobserve cette magnifique et imposante Demeure ancestrale devant moi, qui mimpressionne toujours autant par ses façades majestueuses aux hautes fenêtres.
Je descends de la voiture et commence à avancer vers lentrée, pour frapper à la massive porte en vieux chêne verni. Et derrière elle, jai la chance enfin de voir Monsieur le Marquis. Et à cet instant instinctivement je me mets à ma place, et magenouille devant Lui tout en baissant la tête, et en glissant un timide « Bonjour Maitre ». Je sens Son regard Dominant sur moi quand il me répond un laconique « Bonjour Mon esclave salope ». Je sens quIl me regarde avec attention, pendant jattends Son bon vouloir. Cest quand je sens la main du Noble commencer à me caresser la tête, que je sais quil va me mettre mon collier, et ça ne tarde pas, quelques secondes plus tard, cest avec toujours la même délicatesse que Monsieur le Marquis me caresse la joue et doucement descendre sur mon cou où je sens mon collier sy poser et jentends le petit clic qui laccroche. Jai beau vivre cet instant à chaque fois, je men lasse jamais, il reste toujours autant magique que la première fois. Cette sensation de sentir les mains du Noble autour de mon cou à serrer mon collier, pour après y attacher ma laisse, je me sens tellement bien, tellement à ma place, je me sens entière, avoir enfin la possibilité d'être entièrement moi-même, sans artifice, être juste naturelle.
Jentends Monsieur le Marquis retourner à Son bureau, et recommencer Son travail sans s'intéresser à moi, le Maitre le sait, je déteste être ignorée, mais petit à petit comme beaucoup dautres choses, il ma appris à accepter cette situation, à accepter quon ne s'intéresse pas à moi, et à accepter linverse uniquement quand le Châtelain le décide et pas avant. Jai passé des heures ainsi à attendre avant darriver à accepter cette réalité. Jessayais très souvent dattire lattention du Noble, mais je nai eu en retour que des punitions et les fesses bien rougies, avec l'impossibilité de masseoir pendant quelques jours. Cest une des nombreuses choses que jai appris avec Lui, autres que d'être une esclave soumise, une bonne esclave soumise, jai aussi appris à devenir une meilleure personne. Je ne sais pendant combien de temps jai attendu ainsi, mais mes jambes nen peuvent plus, et mes bras aussi, je commence à trembler, mais fait tout mon possible pour continuer à garder la position. Jai entièrement confiance en le Maitre, il sait ce que mon corps peux supporter, il ne la jamais poussé plus loin. Et comme je le pensais juste quand mes jambes allaient lâcher, que jallais les soulager en posant mes fesses sur mes talons, je reçois la permission de masseoir, sans pour autant recevoir lattention de Monsieur le Marquis, même si je sais quil mobserve
Cest une fois le dossier du Maitre fini, du moins je pense, que je lentends se lever et sapprocher de moi, il me tourne d'abord autour, doucement, mobservant, avant de sarrêter et de poser Sa main sur ma tête et de commencer à me la caresser délicatement sur ma chevelure. Mais cette douceur ne dure pas longtemps car sans my attendre, je sens la main ferme du Noble empoigner mes cheveux, fortement pour coller mon visage à Son sexe à travers son pantalon.
- Regarde, salope, comme tu me fais bander Ma chienne, te voir comme ça à ta place de soumise, ça me fait bander. Jai beau avoir un large Cheptel, je savoure toujours, en une excitation Dominante, une chienne en chaleur docile et soumise. Maintenant, je vais ouvrir Mon pantalon et avec ta bouche de salope, tu me l'enlèveras ainsi que Mon caleçon, et tu vas toccuper de Mon érection, tu vas Me sucer, et je ne veux pas voir tes mains sortir de ton dos, tu as interdiction de ten servir ! Et tu as intérêt à tappliquer, au travail Ma putain de chienne en chaleur.
Comme exigé par le Maitre, je fais descendre Son pantalon, ainsi que Son caleçon avec mes dents, tout en essayant d'être la plus délicate possible envers Monsieur le Marquis. Et tout comme un chien qui se jette sur sa friandise, je me jette sur la grosse Verge du Châtelain, étant encore débutante à la fellation, jai rarement lhonneur davoir le sexe du Maitre en bouche, ainsi quand ça arrive, jessaye de mappliquer le plus possible. Je fais des va-et-vient avec le Vit du Noble en bouche, je salive le plus possible, parfois je descends et je lui lèche les couilles avant de retourner à Sa verge, remontant avec ma langue sur toute Sa hampe dressée que je sens grossir petit à petit dans ma bouche, et jai de plus en plus de mal à lenfoncer par Sa taille. Cest ce moment que Monsieur le Marquis choisit pour reprendre en main la fellation. Cest dune pression sur l'arrière de mon crâne par mes cheveux, quil me guide dans des va-et-vient rapides, cadencés et imposés selon le rythme quIl a décidé. Ainsi, Il menfonce Son Vit en gorge profonde et me maintient la tête durant quelques secondes avec Son sexe épais et gonflés jusquau fond de ma gorge, avant de me le retirer pour me laisser respirer quelques secondes. Et de recommencer ainsi de suite, jaime quand le Maitre contrôle la fellation, ça me ramène encore plus à ma place de soumise, de chienne soumise à Son bon vouloir. Je continue à essayer de produire le plus de salive. Jessaie aussi d'être la plus docile possible et de relâche ma tête au maximum, dans lespoir de donner à Monsieur le Marquis le plus de plaisirs.
Le Maitre continue ainsi à prendre, à baiser, à user et r de ma bouche, telle juste un trou à bite. De temps en temps, je lentends de nouveau minsulter, de chienne en chaleur, de vide couilles, de pute, et encore beaucoup, et jen suis de plus en plus excitée. Jai les cuisses trempées de ma mouille. Le Châtelain sort Sa grosse queue de ma cavité buccale et Il commence à me gifler avec son sexe dur, donnant des petits coups de bite sur mes joues. Il me relève la tête par les cheveux, me forçant à le regarder quand Il me crache ainsi à la figure. Avant de menfoncer Son sexe en bouche à nouveau. Je me sens tellement humiliée, et cette humiliation mexcite tant
Après de longs va-et-vient en ma bouche, le Maitre finit par éjaculer sur mon visage et par étaler Son sperme partout sur mes joues et mon front tout en faisant un mélange avec quelques crachats de Sa salive, ce qui donne une sorte de bouillie gluante
Je suis toute colleuse et Monsieur le Marquis mordonne de laisser sécher Sa semence et Sa salive crachée sur mon visage. Ensuite, le Châtelain empoigne mes cheveux et me tire par ma chevelure jusquà une vaste salle de bain attenante. Jai un peu de mal à le suivre, penchant la tête sur le côté car Il tire ma tignasse fermement. Une immense baignoire trône au milieu de la pièce entièrement carrelée. Le Noble exige que je magenouille sur la surface froide à lintérieur de la baignoire et douvrir en grand ma bouche aux lèvres pulpeuses. Je mexécute sans attendre quand je lentends dire :
- Eh bien, voilà une sale chienne bien puante de sperme !
Répète après Moi, espèce de souillonne
Je ne suis quune cochonne souillonne et je sers de vide-couilles
Humiliée mais je lavoue, aussi très excitée, jobéis à lexigence du Maître en balbutiant un peu et dune voix faible :
- Je
je ne suis quune
quune cochonne souillonne et je
je sers de
de vide-couilles
- Parle plus fort, salope et plus distinctement sans balbutier sur tes mots.
- Je ne suis quune cochonne souillonne et je sers de vide-couilles ? répète-je
- Voilà qui est mieux. Maintenant garde bien ta bouche grande ouverte, Ma chienne
Puisque tu pues le sperme, autant que tu pues encore plus. Et puisque tu es Mon vide-couilles, tu vas être aussi Mon vide-vessie, Ma chienne puante
Alors le Noble présente Sa verge ramollie et se met à muriner sur le visage, en guise de lavage de Son sperme et Sa salive. Etre lavée à la pisse à la place de leau, cest très humiliant mais si excitant. Ses derniers jets durine, le Châtelain les dirige directement dans ma bouche de salope et je suis contrainte davaler Sa liqueur dorée, ce qui est pour moi, un véritable honneur dêtre ainsi marquée de Sa noble urine. Ensuite, il me laisse ainsi le visage puant la pisse et me tire de nouveau par ma chevelure pour me sortir de la baignoire. Nous sortons de la salle de bain par une porte latérale qui donne directement dans un long couloir feutré. Etant toujours tirée par mes cheveux, je le suis péniblement, car le Maître avance dun bon pas. Nous croisons des domestiques qui nhésitent à se retourner pour me voir ainsi emmenée et leur regard sur moi me fait véritablement ressentir une grande humiliation
Nous arrivons devant le grand et principal escalier central du Château et japerçois en bas le grand hall dentrée avec limmense double-porte par laquelle je suis entrée dans la Bâtisse ancestrale. Nous descendons les escaliers et arrivés à la dernière marche, le Maître mexige de me coucher en travers sur le carrelage froid, couché sur le ventre, en parallèle et accolée à cette marche descalier. Ainsi mon dos et mes fesses regardent le haut plafond
- Tu vois, Ma souillonne salope, ici cest un lieu de grand passage et tu vas servir de paillasson, tout simplement. Je reviendrais te chercher quand je laurai décidé en attendant, je tinterdis de bouger quoiquil arrive
Et sans dire un mot, Monsieur le Marquis me laisse là ainsi, me laissant juste pour servir de paillasson. Cette nouvelle humiliation est terrible mais paradoxalement très excitante. Le carrelage froid me fait frissonner, nayant pas chaud dans ma tenue dEve
Dans les dix premières minutes rien ne se passent, cest le silence complet quand jentends la grande porte du Château souvrir de lextérieur, puis des pas résonnants. Ayant la tête posée sur le côté, je vois aisément que lon vient en ma direction. Visiblement il sagit dun couple de Dominant très bien habillé. Je me dis dans ma tête que ce couple monte à létage et quils auront la délicatesse de menjamber afin de me pas ma marcher dessus. Mais il en nest rien car cest sans faire plus attention à moi que lhomme passe devant la femme, sarrête et pose un pied sur mes fesses arrondies et commence par le frotter sur la peau de mon cul, tout en discutant de banalité avec la femme. Puis il fait la même chose avec sa deuxième chaussure quil vient essuyer aussi sur mon cul, puis il monte sur la première marche descalier quand la femme fait la même chose toujours sans faire cas de ma personne. Puis ils montent à létage et disparaissent dans un des nombreux et luxueux couloirs
Je sers ainsi de paillasson une bonne heure, ressentant de lhumiliation et de lexcitation à chaque fois quon lon vient sessuyer les pieds sur mon cul souillée sans même sintéresser à moi. Mes fesses sont emplies de terres sales et comme il sest mis à pleuvoir, les semelles étant mouillées, mon cul est dans un état très souillé. Puis japerçois le Maître qui vient enfin me chercher. Il me tire de nouveau par mes cheveux pour me relever et cest sans un seul mot quil memmène en direction de la crypte par une petite porte latérale et dérobée me faisant passer par des étroits escaliers de pierre et en colimaçon. Le sol est froid et glissant et nous descendons donc doucement. Une fois arrivés en bas, nous traversons la crypte voûtée et silencieuse pour arriver dans une pièce également toute carrelée mais cette fois juste par de grands carreaux blanc du sol au plafond. Il y a une large rigole au sol pour lévacuation de leau. Le Châtelain me fait mettre contre le mur face devant Lui. Puis, Il mordonne décarter largement les cuisses et de mettre mes mains derrière ma nuque avec linterdiction de les bouger. Il exige aussi que je me redresse un peu en arrière afin de bien faire ressortir ma poitrine, exhibant ainsi mes gros seins quIl adore.
Ensuite, Je le vois dérouler une lance à incendie comme celle des pompiers. Et quand le Maître ouvre la manette douverture, un puissant jet deau froide glacée en sort se dirigeant en une fraction de seconde sur mon corps. Je lutte pour me pas enlever mes mains de derrière ma nuque, je sautille sur place en criant car leau glacée me surprend et me glace. Monsieur le Marquis vise mes seins, lesquelles réagissent à ce traitement avec mes tétons qui se dressent sans que je le veuille. Puis Il vise mon sexe épilé et me lave de la tête aux pieds quand il exige que je me retourne pour me laver le plus sale, mon cul-paillasson. Je lentends mexiger de retirer mes mains de ma nuque de me pencher en avant et décarter, avec mes mains, mon cul afin de bien le présenter au jet deau. Je mexécute quand je ressens leau froide frapper mon anus et mon sexe
Puis le Maître exige que je me bouge plus dun iota quand le jet deau de la lance à incendie sarrête. Jessaie de rester ainsi exhibée, immobile obéissante et je lavoue bien excitée. Une minute se passe, je suis toute tremblante de froid quand je sens de fermes et puissantes mains me saisir par les hanches. Je comprends alors que le Maître a décidée de me prendre ainsi par la chatte et par derrière, moi penchée en avant, les jambes bien écartées, Son gros sexe se frottant déjà contre mes lèvres intimes
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!