Sasha
Sasha, je lai rencontré au sauna. Cétait un dimanche après-midi. Jy vais plutôt en fin de semaine, sinon il ny a personne. Jaime bien me promener à poil, ma serviette à la main. Avant dy aller, je me lave le cul, et me met une bonne dose de lubrifiant.
Ce jour-là, je croise un mec un peu plus grand que moi, baraqué, à peu près mon âge, qui me regarde droit dans les yeux. Aussitôt, je le sens prédateur et je me sens proie, ce qui mexcite. Je vais vers le labyrinthe, il me suit, doucement, sûr de lui. Dans le noir, je sens une main qui me caresse, une autre main me prend par la nuque et me fais descendre jusquà une queue que lon me met dans la bouche. Elle est tendue et dun calibre respectable. Jai du mal à lenfourner, mais la main presse ma nuque. Je suis pénétré jusquau fond de la gorge. Dautres mains me caressent les fesses et la queue, je laisse faire. La main qui tient ma nuque me relâche, mais me fais tourner le dos et me pencher en avant sur la banquette. Une autre main me fait relever une jambe, mon petit trou est offert. Tout excité, jattends lenculage avec impatience. Un puis deux doigts me pénètrent, ils sont enduits de gel. Jai hâte de recevoir le chibre que jai sucé. Les doigts se retirent, le gland se présente sur ma rosette, une poussée, il rentre jusquau couilles, et sans attendre, se met en mouvement. Rapidement, je suis défoncé, enculé, démonté
pour mon grand plaisir. En même temps, il me claque les fesses de temps en temps. Je finis par couiner sous lassaut de mon mâle.
Mais il se retire, et me remet son chibre, tout trempé de mon jus, à sucer, ce que je fais goulûment.
Finalement, il se retire, matt par la nuque, et sans me laisser le temps de remettre ma serviette autour de la taille, me traine jusquà une cabine. Nous entrons, il laisse la porte grande ouverte, sassoit sur le lit, et me plante sa queue dans la bouche, et me fait aller et venir en me tenant par les oreilles.
Après un moment, il me fait mettre à quatre pattes sur le lit, et se plante derrière moi. Jai juste le temps de voir queffectivement, le spectacle fait recette : une dizaine de gars mattent
mais aussitôt, il me prend, et se met à me limer, de toute sa puissance et avec toute sa science. « Ca te plait, ma salope, elle te plait ma queue ? , tu aimes te la prendre ? Hein ? réponds, salope ! » le tout ponctué de claques sur les fesses. « oui, baise moi longtemps, elle est bonne ta queue, tu sais ten servir ! » mentends je dire, un peu stupéfié
Il décule, me redonne sa queue à sucer
. Puis mallonge sur le dos, matt par les hanches, me replie les jambes, et enfonce à nouveau son chibre dans mon petit illet damour offert et bien exposé. Et là, je suis pris, comme jamais. Je sens sa queue me défoncer, la sensation est incroyable. Jai envie que ça dure. Des gars entrent dans la cabine pour voir de près comment je me fais baiser. Cest sûr, ça doit faire envie. Et puis dun coup, il se plante tout au fond et je sens les spasmes le prendre, il jouit en râlant, je ressens les jets de sperme chaud dans mon cul, cest trop bon. Is se retire et me donne sa queue à nettoyer : suce bien ma salope, taime ça ! je mexécute
puis : « on se reverra, tes une bonne salope, il reste juste un peu de dressage
à bientôt » et il quitta la pièce.
Jétais super chaud, et quelques mecs qui avaient vu mont baisé à leur tour, et jai fini par jouir. Je ne lai pas revu ce jour là et je suis rentré chez moi apaisé et soulagé.
Quelques jours plus tard, ma secrétaire mamène le téléphone et me dit : un certain Sasha, cest personnel
avec un air entendu
« salut ma salope, tu te rappelles de moi ? »
Je sens mon sang se glacer dans mes veines. « oui, je vois, je crois, »
« Cest bien, je viens de niquer ce soir à ton bureau à quelle heure ? »
« Non, aujourdhui à mon bureau, cest pas possible ! »
« je ne te demande pas si cest possible, je te demande à quelle heure.
« ok, ok, dis-je, alors dans ce cas, après 19 h ! »
« Cest mieux, me dit-il. Tu seras propre, et tu mattendras avec le jockstrap qui est dans ton tiroir, je tenverrai un texto, et tu mattendras dans ton bureau à 4 pattes
»
« compris » répondis-je, abasourdi de me rendre compte quil connait non seulement mon nom et ladresse de mon bureau, mais en plus le contenu secret de mon tiroir ! et en même temps, lidée dêtre à sa merci, et dêtre à nouveau baisé me fait bander
A SUIVRE
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