Collection Zone Rouge. La Jeune Bourge. Saison I (1/3)
Cest à la fin de mon adolescence que mon esprit rebelle est apparu.
Je suis la fille de monsieur et de madame, parfait bourgeois du 9e près de lOpéra.
Lui directeur de banque dans ce même arrondissement, elle femme au foyer juste bonne à aller manger des petits fours dans un salon de thé près des Tuileries, avec ses amies.
Papa a rencontré maman à Tahiti, il était là-bas dans le cadre de son service militaire existant encore dans ces années-là.
Bien sûr, sa famille sétait servi du tonton général, qui lavait pistonné pour faire le tour du monde avec la Jeanne dArc.
Il était lieutenant planqué à se tourner les pouces dans un bureau du bateau.
À ce que jai compris vers mes 12 ans, pas de service ou de corvée à bord.
Son travail réel étant dorganiser la réception du commandant sur le pont du navire-école.
À cette réception, les personnes les plus influentes du port où le bateau faisait escale venaient à ce pince-fesse rencontrer les officiers élèves.
À Tahiti, cette fête sest tenue le premier soir.
Les matelots illuminaient le navire par un réseau de projecteurs quils installaient et désinstallaient afin de le mettre en valeur.
Ils étaient tous là, maman aussi, étant fille du directeur de la banque privée de lîle.
Bien sûr, juste des regards, quelques mots et une adresse pour sécrire.
Peut-être un baiser au moment de leur séparation !
Lhomme qui ma donné ces renseignements ignorait ce qui sest passé entre eux pendant cette escale.
Ils ont correspondu pendant deux ans dun amour platonique, jusquau retour de maman avec ses parents.
Jai lu cette correspondance où à aucun moment les propos de papa sorientaient vers ses parties intimes, particulièrement sa chatte.
Jemploie ces mots orduriers, en opposition avec les vers quil lui écrivait et qui pour lui était un hymne à sa beauté.
Dès sa libération de ses obligations militaires, ma mère à distance la incité à reprendre ses études arrêtées pour faire son service.
Dans ce temps-là, il était un glandeur de première.
À bien y réfléchir, même si je fais de bonnes études, promise à remplacer mon père dans sa banque, je tiens de lui, car je suis, moi aussi une glandeuse.
Finissons de parler deux, revenue en France, ils se marièrent et eurent une seule fille, moi.
Certainement le soir où il la enfin baisé après lui avoir mis la bague au doigt.
Lorsque je compare les dates, mariage, missionnaire et accouchement, juste neuf mois.
Lhonneur de la famille, pardon de leurs familles, était sauf.
Véronique, où vas-tu dans cette tenue ?
À mon cours !
Va te changer, si tu crois que tu vas passer devant notre banque dans cette tenue, cest mal me connaître.
Je me suis changée, mais cest là que quelque chose sest cassé en moi.
Fini la petite fille à son papa, jai décidé de mémanciper.
Javais des petits copains qui bavaient devant moi.
Jen avais déjà sucé trois dans les toilettes et cest là que jai eu mal quand Michel fils dItalien aussi beau que son père ma enfoncé sa verge me faisant très mal au point davoir limpression de me punir.
Très, sélecte comme dépucelage, dès que nous avons été dans le local crasseux, il ma fait mettre lun de mes pieds sur la cuvette, venant derrière moi, écartant simplement ma culotte, menfonçant sa verge dans mon vagin.
Mais le principal, cétait dêtre devenue une femme.
Pendant des semaines, jai eu peur de ressentir cette même douleur.
Un soir sortant avec des copains de mon milieu, je me suis laissé faire par un fils à papa.
Il ma baisé, sans aucune douleur et dans les semaines qui ont suivi, je papillonnais de l'un à lautre, toujours prête à écarter les cuisses sans pour autant sentir le grand frisson lu dans de nombreux ouvrages.
Maman vivait sa vie sans remarquer les changements sétant opéré en moi.
Papa de longues heures absent, à croire quil sautait Jennifer, sa jeune secrétaire dans son bureau à quelques mètres de notre appartement.
Avant daller manger ses petits fours, le principal travail de maman était de regarder les feux de lamour suivis depuis le premier épisode et de passer des heures devant sa table de maquillage.
Pour lété, papa a souhaité me faire apprendre ce quétait le travail.
Je devais travailler à laccueil de notre banque.
Je me suis habillée avec ma mini et mes chaussures à talons très hauts mettant en valeur la courbe de mes reins.
Agrémenté dun chemisier blanc assez transparent pour montrer la pointe de mes seins.
Hélas, mon père avait pour habitude de faire le tour de sa banque chaque matin pour saluer notre personnel, lorsquil ma vu.
Il y a quelques mois, je tai interdit daller au lycée dans une tenue aussi provocante !
Va te changer immédiatement, les gens vont dire que ma fille est une pute.
Papa, je sais que tu mas fait surveiller et que tu sais que je suis loin dêtre vierge.
Je suis majeure et jirais bien travailler dans la tenue que je trouve adéquate pour lemploi que tu me fais faire.
Disant ça, je tourne les talons, saisi mon boléro allant avec ma tenue, mon sac et je sors, toute la journée.
Je me promène, allant au cinéma sur les champs et rentrant le soir à la maison où papa tient une réunion de famille.
Véronique, ta mère et moi, nous sommes daccord pour constater que tu as la tête dure refusant de te soumettre au travail que je te confis.
Nous avons décidé de te couper les vives, aucun euro de nous tous les mois, jusquà ce que tu comprennes que la vie, ça se gagne.
Je fais demi-tour et je rejoins un bar où je connais quelquun étant susceptible de maider.
Par chance, il est là.
Salut Fred, ta proposition tient toujours !
Bien sûr, 500 pour passer la nuit avec toi.
Tu s, 1 000 la nuit, on va chez toi, payable davance bien sûr.
Je savais que tu finirais par faire la pute, tu as la mentalité pour ça, même si tu es fille de bourge.
Cest daccord 1 000 , mais il faut que je passe au distributeur de la banque voisine, il me manque un peu de liquide.
À moins que tu prennes des chèques.
Te fou pas de ma gueule.
Ironie due sort, ou sachant qui je suis, le fait-il exprès, mais cest au distributeur de la banque de mon père quil arrête sa voiture pour prendre de largent.
Toute la nuit, trois fois, il me baise.
Il faut dire que je comprends pourquoi il paye, la nature layant desservi.
Petit, bouboule, un visage ingrat avec une grosse verrue près du nez.
Évitons de parler de la longueur de sa verge.
Merci, tu es la première, jaimerais te voir régulièrement, en payant bien sûr.
Jaime faire la pute, mais jai comme principe un client une seule fois, avec toi, cest fait adieu.
Ce garçon est loin de mapporter du plaisir, mais dès que la banque est ouverte, je demande à voir mon père qui me reçoit.
Je vois que son regard est inquiet, il a appris à connaître mon imprévisibilité.
Papa, voilà, tu mas coupé les vives me traitant de pute.
Tient il ma été facile avec le petit cul que tu mas fait den devenir une.
Cette nuit jai gagné ça !
Cadeau.
Je lui jette les billets de 100 et 200 à la figure et fièrement je quitte son bureau.
Le soir, il brille par son absence.
Je cherche désespérément, comment me faire reconnaître par cette famille.
Je le sais, il avait prévu de mamener au bal des débutantes pour que jy trouve un mari me faisant des chiés de mômes tous dans leurs normes.
La nuit, une idée extravagante me vient.
Je décide de retourner à laccueil de la banque.
Pour ce faire, je vais acheter un tailleur bon chic noir gardant seulement mon chemisier transparent, avec une veste, qui me permet dêtre présentable aux yeux de mon père.
Dès quil fait sa tournée du matin, il remarque le changement et savance vers moi.
Je vois que tu as décidé de rentrer dans le rang.
Jai passé sous silence, ce que tu as fait pour me narguer auprès de ta mère.
Continue jusquà la fin du mois à être sérieuse et je reverrais ma position concernant ton argent de poche.
2 000 par mois, ça peut être impressionnant pour une fille normale, mais pour moi, depuis que je fais des études, ce pécule est bien utile même si jai gagné la moitié de cette somme en une nuit.
Jai aimé faire la pute, mais cest loin dêtre la réelle ambition de ma vie.
Il y a deux jours que jai repris, évitant de sortir le soir afin déviter de péter les plombs.
Cest à ce moment que jentends la sirène des pompiers et la secrétaire de mon père, Jennifer celle que je prends pour sa maîtresse, sortir paniquée de lascenseur.
Messieurs dépêchez-vous, cest au quatrième, il est tombé comme une masse, il est toujours inconscient.
Je vois que cette demoiselle Jennifer a mal reboutonné son corsage, elle a attaché lundi avec mardi comme il est dit.
Mon père aurait-il fait un malaise en la sautant sur son bureau.
Je suis le mouvement, un pompier me laisse passer.
Papa, lhomme que je déteste le plus est allongé, le médecin et un jeune pompier à son chevet tentant un massage cardiaque.
Je vois bien quil est au plus mal, voire pire au geste de désespoir du médecin.
Le ressentiment pour lui retombe dun coup.
Je me précipite pour lui dire que je laime, mais cest trop tard.
Pleure de maman, étant inconscience de ce qui lui arrive.
Suivi dune réunion de la famille pour parler succession en présence de notre notaire ouvrant le testament.
Père était resté rebelle à cette famille et nous le montre par la répartition quil faite des 51 % des parts de maman dans la banque après son mariage !
Par son travail, lui le roturier pouvait prétendre à distribuer la moitié de cette somme avec sa proche famille.
Maman étant laînée, grand-père, avait tout prévu de son vivant
Les 49 % restants étant au frère de maman.
Rebelle, car comme il en avait le droit, il partage 60 % pour ma mère et 40 % pour moi des 51 %.
Je sais, cest complexe et ça fait mal à la tête, mais cest ça les familles bourges à lheure du partage afin de sauvegarder le bien dans sa continuité.
Pour compléter les dispositions, mon oncle doit prendre la place de papa à la tête du groupe, malgré ses 49 %.
Je vois immédiatement le jeu quil sapprête à jouer.
Ma mère semble une proie facile étant dans limpossibilité de voir quil lui porte de lintérêt simplement pour régner en maître sur la banque.
Ce faisant, il me fait cocu avec mes 40 % des 51%. devenant quantité négligeable.
À la fin de la cérémonie, je mapproche de lui.
Rodolph, félicitations, jaimerais te voir demain, tu sais que je travaille à la banque et jai une proposition à te faire.
Jaimerais te rencontrer hors des heures de bureaux.
Pour la mémoire de mon père, je tiens à faire mon travail avant de venir te rencontrer.
Jaime ta fidélité à ton père, nous étions tellement proches lun lautre, cest daccord demain 17 heures.
La seule chose que je peux te dire, cest que je saurais prendre soin des intérêts de la famille et surtout ceux de ma sur.
Faux cul avec ça, jai vite calculé, comment il souhaite prendre facilement la majorité au sein de notre banque.
La journée est longue, tous viennent me présenter leurs condoléances, enfin lheure des grandes manuvres arrive.
Rodolph, je suis sûr que pour asseoir ta mainmise sur notre banque, tu vas tattaquer à la part de maman afin dêtre majoritaire.
Je te propose de tassocier avec moi dans toutes les décisions et pour seller notre alliance, je suis prête à me donner à toi, même si tu es mon tonton.
Aucune crainte pour toi, je suis majeur et jai déjà jeté mon pucelage aux orties.
Contrairement à papa qui trompait maman discrètement, je sais que Rodolphe est un queutard
Me donneras-tu tout de toi !
Tu as ma parole.
Je massieds sur ses genoux faisant pivoter le siège directorial dans lequel il est déjà assis, lui donnant ma bouche.
Jai déjà joué la pute pour déplaire à papa, le faire avec cet homme plus vieux que mon géniteur mort en sautant une jeunette.
Même si cest mon oncle, jamais un sans deux
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