Chroniques D'Un Jeune De 25 Ans Addict Au Sexe - 4
Bonjour à tous, voici ma 4eme chronique ! Merci dêtre toujours plus nombreux à me lire, cela me touche beaucoup.
Nhésitez pas à utiliser mon mail afin de communiquer à propos de mes chroniques, je vous répondrai avec plaisir.
Lors de la dernière chronique, la troisième donc, nous nous étions arrêté à ma rencontre avec B.
Monsieur B mavait littéralement baisé comme une chienne, et le plus surprenant, cest que javais aimé cela.
Sentir sa grosse queue raide dans mon cul vierge mavait excité au plus haut point.
Lentendre minsulter, me fesser, me baiser comme si jétais son vide-couilles préféré
bref, jaimais appartenir à un homme mûr, que ce dernier me salisse sans ménagement.
Après cette expérience, je resta quelques temps dans la région, et le tableau nétait pas glorieux.
Je crois avoir vidé la moitié des couilles des mecs de mon village, alors quils se revendiquent hétéros et détestent les pédés bien évidemment, jessayais tant bien que mal de mamuser un peu.
Mais ce nétait guère transcendants. Des plans rapides, et des queues qui gonflaient aussi vite quelles dégonflaient, cela ne tarissait pas mon envie de queues.
Si je baisais avec B assez souvent, javais aussi envie de nouveauté, et de voir autre chose. Et la chance décida alors de me sourire.
Je faisais défiler les profils lorsquun profil me tapa dans loeil. Lannonce était assez explicite.
« Homme mûr cherche petite salope pour lui vider les couilles sans blabla.»
Monsieur F correspondait à mes critères, 50 ans, plutôt costaud, une grosse queue avec un joli gland, une belle paire de couilles, des poils, viril, dominateur, cétait ce que je voulais.
Il ne voulait pas de blabla, donc je lui ai direct demandé sil était dispo, et il menvoya son adresse.
Je fus chez lui très rapidement, et je sonna. Il vint mouvrir, et il correspondait aux attentes, encore plus viril que dans ma tête.
Très vite il mamène vers le salon, sassoit, défais son pantalon et garde son slip gris, les jambes écartées.
«Commence par lécher mon paquet à travers mon slip petite pute.»
Je mexécuta rapidement. Jaimais son attitude, son aura de mâle dominant. Je me mis à genoux et je commença alors à lécher timidement son sexe, qui gonflait rapidement sous mes coups de langue.
Son slip devenait humide, je prenais un malin plaisir à baver dessus, pour lui montrer à quel point jaimais sa queue.
Il me poussa alors pour enlever brutalement son slip et me laisser faire montre de mes talents de suceur.
«Jaime quand ma queue sent fort, jespère que tu aimes.»
Sa queue sentait très fort, un mélange durine et de sperme. Je le soupçonnais davoir pissé et de sêtre branlé juste avant.
Et le pire dans tout cela ? Cest que jadorais cette odeur. Jai longtemps reniflé sa queue et ses couilles, avant daccueillir le tout dans ma bouche.
La queue de Monsieur F était honorable, un bon 17 centimètres, mais large avec un gros gland.
Jadore les gros glands qui jutent beaucoup. Je commença alors à lécher le bout de son gland, avant davaler son sexe sur toute la longueur. F commença alors à pilloner mon gosier.
Il baisait ma bouche, son gland tapait sur ma glotte, javais les larmes aux yeux mais jadorais ça.
Il minsultait copieusement, et je tentais de lui procurer le plus de sensations en serrant mes lèvres autour de son sexe, tout en faisant tournoyer ma langue sur son gland humide.
Son liquide pré-séminal était un délice, je le buvais avec plaisir, et F continuait à baiser ma bouche avec vigueur.
Je pris aussi ses couilles dans la bouche, et son paquet me remplissait totalement.
Ses couilles puaient le mâle, lhomme mûr qui aime la baise, et je les suçais puis bavait dessus avec envie, jaimais appartenir à cet homme, il dégageait beaucoup de choses.
Jarrivais au bout de quelques temps à avaler son sexe entièrement sans aucun problème, je léchais lentièreté de sa queue avant de lavaler et denchaîner les vas-et-viens afin de procurer un maximum de plaisir à ce mâle dominant.
Soudain, F retira son sexe et me retourna. Il baissa mon pantalon et me fessa violemment, avant de pousser son gland en moi sans aucune tendresse.
Il me déchira le cul. Littéralement. Je cria, et F mintima de fermer ma gueule de salope. Je me tus alors, et ce dernier commença à enfoncer lentièreté de son sexe dans mon cul.
Il me salissait de lintérieur, me souillait, et encore une fois jen était fan, jadorais lui appartenir. Il continuait à me démonter sans faiblir, tout en crachant de temps à autre sur sa queue.
F pouvait maintenant entrer et sortir sa queue de mon cul sans problème tellement jétais dilaté, cest dire à quel point il mavait écarté la rondelle. F continuait à minsulter, à me fesser, à me baiser.
Jétais littéralement son vide-couilles. Il me baisa en levrette, et ses couilles claquaient contre mon cul, je gémissais de plaisir sous ses coups de reins, jaimais me faire baiser par sa queue de mâle.
Sa queue quitta alors mon cul, et il mattrapa par les cheveux pour me retourner et menfoncer sa queue dans ma bouche, jusquà la garde.
Avant que je comprenne ce quil marrivait, 4 gros jet de sperme chaud vinrent sécraser sur ma glotte, et javalai le tout avec difficulté.
Je me surpris à aimer sucer cette queue venant tout droit de mon fondement, je suçais ce sexe humide mayant fouillé pendant une quinzaine de minutes, sans broncher, et en y prenant du plaisir.
F finit par sortir sa queue après un bon nettoyage, se rhabilla et me laissa 5 minutes avant de me remettre de mes émotions, avant de mindiquer le chemin de la sortie.
Cétait bien ce quil avait expliqué, pas de blabla, un vide-couilles et au revoir. Et je crois que cest ce que je préfère.
Merci de mavoir lu. Encore une fois, si vous voulez réagir : jeune25@laposte.net
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