Terma 101: En Vacances À Quatre, En Pension Et Chambre Communes (3) :

Dès qu’elle s’est suffisamment éloignée, je l’ai suivie comme hier et effectivement l’homme l’attendait à la limite de la zone des résidences. Ils s’enlacèrent, s’embrassèrent, le gars lui caressant et tapotant les fesses, la femme lui touchant à travers le short, son zeb déjà lourd de désir. Et ils rejoignirent l’hôtel et la chambre rapidement. Ils étaient déjà aux prémisses quant j’ai collé mon oreille à leur porte. D’après les bruits, leurs paroles et leurs gémissements de plaisir, ils ont commencé par une baise normale. Malgré la porte, j’entendais tout, assez bien, leurs bruits de plaisirs et même les chocs des deux bas ventres lors des coups de reins énergiques des vas et viens du zeb dans la chatte. J’entendais même les bruits de sussions et clapotis des deux sexes dans leurs glissements l’un dans l’autre. Dans le silence complice du couloir, cela m’excitait car j’avais une image en tête, celle d’hier soir, et mon zeb se réveilla. Mais c’était un mauvais endroit et un mauvais moment, alors que j’étais trop excité, surtout que c’était ma femme nue et cuisses écartées, chatte ouverte et offerte à un autre zeb que le mien, qu’on baisait là derrière cette porte. Je l’entendais gémir toute à son aise sans crainte d’être entendue. J’ai dégagé ma bite du short et je l’ai empoignée pour me branler, mais elle était encore sèche, alors je l’ai lubrifiée en crachant largement dans ma main. Je me branlais doucement quant, soudain, j’entendis un long cri, une sorte de longue plainte « Ahhhh » bruyante et continue de ma femme, j’étais sûr qu’elle venait d’avoir son premier grand orgasme. Cela m’a fouetté le zeb et j’ai accéléré ma branle et je haletais autant qu’eux, là derrière. J’avais l’image de la chatte de ma chère femme, bien ouverte et remplie du gros zeb de l’homme et qui éjectait sa mouille et sa jouissance en abondance. Les chocs vas et viens continuaient en vitesse et moi aussi dans ma branle. Quelques instants plus tard, juste au moment où je commençais à ressentir les débuts de mon plaisir, un second « Ahhhh » de ma femme, continue et bruyant m’informe de son deuxième orgasme.

Brusquement mon zeb a éjaculé contre la porte. C’est le cri de ma chère femme qui a provoqué mon éjaculation brutale. Elle devait être superbement échaudée et excitée par le gros zeb super gonflé pour avoir eu deux orgasmes violents si près l’un de l’autre, un plaisir presque continu, jamais elle n’en a eu autant avec moi. Mon sperme était sur la porte et un peu sur le sol et ma main était entièrement pleine et polluée et mon zeb se couchait épuisé par ma violence éjaculation brutale. Alors je me suis prudemment éloigné de la porte vers un coin assez discret sous les marches des escaliers. Rapidement, mon zeb s’est calmé, alors je me suis essuyé avec mon mouchoir de poche, puis j’ai remis mon zeb dans sa cage. Ensuite, la tête toujours pleine de fantasmes, je suis revenu à la porte. Et à ma chance, c’était juste au moment où l’homme hurlait nettement « zébi ! zébi ! » car il arrivait à son plaisir. Il a du sortir son zeb de la chatte car Je l’entendais accélérer les bruits de clapotis de sa branle et de ses halètements. Rapidement il arriva à la jouissance avec de longs souffles rauques de délivrance et il termina, apparemment, par au moins trois jets ponctués par des hurlements prolongés « 3amarha ya zébi ! 3amarha ! » (rempli la ô mon zeb ! rempli la), il parlait de la chatte de ma femme. Puis il y eu un moment de calme dans la chambre. Je pense qu’ils sont allés dans la salle de bain.
Ensuite ils ont du revenir car je les ai entendus discuter. J’ai cru distinguer quelques mots comme « pommade, lubrifiant, facile » de la part de l’homme et « mal, zeb, gros » de ma femme. Je n’ai pas bien saisi ce qui se passait mais l’homme a ajouté nettement qu’il avait déjà fait cela plusieurs fois avec succès. Mais ma femme semblait encore réticente car elle répondait, avec une faible voix hésitante et entrecoupée, qu’elle n’avait jamais fait cela avec mon mari et qu’était encore vierge et elle avait peur d’avoir mal. C’est alors que j’ai compris qu’il s’agissait de la virginité de son cul, de sa Terma et que l’homme avait l’intention de la dépuceler.
Il avait donc apporté de la pommade lubrifiante et la rassurait d’avoir déjà réussi cela avec d’autres culs vierges. Son intention était donc de sodomiser ma femme comme il le faisait chaque nuit avec la sienne. Mon épouse allait donc devenir sa deuxième femme à baiser sa chatte et niquer son cul en présence de son cocu de mari qui dormait. Un instant, ces pensées m’ont fait réagir et je commençais à me fâcher un peu. Je pensais que cet homme viril et au gros zeb puissant et si librement exposé pouvait baiser ma femme trop excitée me paraissait une situation presque normale, comme le font beaucoup de femmes infidèles. Mais, que ma femme lui offre aussi son cul, que je n’ai jamais osé caresser de peur de blesser son honneur, cela était vraiment inadmissible, c’est d’une infidélité suprême et j’étais touché. Mais que pouvais-je faire, j’avais laissé les choses aller trop loin pour reculer maintenant. De plus, je les entendais encore discuter calmement et faire bouger le lit qui grinçait sur leurs poids. Ce n’était pas très distinct et leurs propos étaient entrecoupés, mais je pouvais imaginer la suite. Ma femme, à genoux sur le lit, la tête sur le matelas et la Terma en l’air, ses fesses, son cul et son anus bien offerts à l’homme, à sa pommade pour les lubrifier et les préparer à la pénétration du gros zeb, lubrifié lui aussi. Il doit certainement aussi utiliser un ou plusieurs doigts bien lubrifiés pour lui ouvrir l’anus pour pénétrer et élargir son cul. Et en effet, je commençais à distinguer quelques gémissements et même quelques cris de faibles protestations. Ma femme disait que la pommade était froide et que les doigts lui faisaient mal, mais elle parlait faiblement. L’homme savait y faire, ce n’était pas sa première proie dans le genre. Soudain un cri plus haut, il est certain quant les doigts ont trop élargi son anus avec douleur et pénétré son cul, mais suivi d’un long souffle, presque un gémissement plaintif. Soudain, j’ai entendu un claquement et un cri de douleur de ma femme.
C’était clair, il lui avait donné une claque sur les fesses pour la faire obéir et elle s’est tu par la suite. Maintenant, je savais ce qu’il allait se passer, et que dans quelques minutes, ma femme sera dépucelée du cul par le gros zeb de l’homme et qu’ensuite, il pourra la sodomisera à son aise et la préparer pour leur fête commune de la nuit. Dans ma tête, je me sentais tout à la fois fâché, gêné et même bizarrement excité. Assister, pratiquement en direct et presque avec mon consentement de cocu, au dépucelage de la blanche et dodue Terma de ma chère femme, semblait me plaire et un fort sentiment de honte et d’excitation montait en moi. Alors j’ai préféré fuir, quitter la scène, ne rien entendre, ne rien ressentir. Je suis descendu au salon pour me calmer, mais ça ne marchait pas, j’étais toujours excité et même mon zeb s’était réveillé et me taraudait. Je voulais partir à la plage, mais j’étais hésitant. Et ainsi, je suis resté plus d’une demi-heure, dans la rue, à errer sans but, la tête et les pensées vers la chambre où on enculait ma femme. Mais cette marche a calmé mon zeb, alors j’ai faibli, j’avais encore envie d’aller coller mon oreille à la porte et j’ai presque couru vers l’hôtel, cocu vaincu qui aime entendre sa femme se faire baiser et enculer par un homme au gros zeb viril.
L’oreille collée à la porte, j’étais bien arrivé, car maintenant, c’était clair, c’était fini, ma femme a déjà été dépucelée depuis un moment. En effet, j’entendais nettement les bruits des halètements rythmés de l’homme, et des claquements de son bas ventre sur les fesses de ma femme que j’entendais gémir, semble t-il, de plaisir. Pire, elle semblait rire et gémir en même temps, c’était nouveau, étonnant et bizarre pour moi. Les bruits de clapotis mouillés du zeb qui faisait ses vas et viens dans le cul dépucelé et bien ouvert, je les entendais, aussi nettement que les gémissements et halètements de ma femme. Tout en la sodomisant, j’entendais l’homme flatter la Terma de ma femme, il disait qu’elle était large, douce et profonde et qu’elle avait un cul profond et chaud et que son zeb y trouvait sa place bien comme il faut.
Ma femme rirait bruyamment à ces flatteries. Il lui disait que son cul était maintenant d’une souplesse formidable, qu’il s’ouvrait largement et facilement et qu’il mangeait son gros zeb avec délices. Il ajoutait, en haletant, qu’elle pouvait maintenant accueillir d’autres zeb comme le sien et bien plus gros, surtout comme ceux des hommes de couleurs qui ont des zeb énormes, très gros, très longs et pénétraient les culs jusqu’au ventre. Par ces mots et ces images, il excitait encore plus ma femme en lui demandant ce qu’elle en pensait et elle grommelait quelque chose comme un oui étouffé. J’étais abasourdi des détails que l’homme lui donnait pour lui faire accepter facilement son zeb dans son cul, pour rendre ma femme ouverte à l’accès d’autres zeb et la préparer à un futur d’accroc aux sodomies. Par ses rires et pouffes, ma femme semblait accepter cela normalement, accessible à ce futur d’infidélités par sa Terma. J’étais dépassé par les évènements, ma femme aussi certainement. Cet homme est un sorcier du zeb mais aussi du désir sexuel. Et c’est ainsi que je suis resté, collé à la porte et étonné, jusqu’à ce que j’ai entendu l’homme arriver à son top et éjaculer. Et cette fois aussi, durant ses derniers coups de reins et ses éjaculations, il n’oublia pas de hurler « zébi ! zebi ! » et «3amarha ! 3amarha ! » (rempli la ! rempli la), il ne parlait plus de la chatte mais cette fois de la Terma de ma femme. C’était une issue normale de la sodomie, mais ce qui m’a touché le plus, ce furent les cris de plaisir et de jouissances de ma femme pendant qu’il lui remplissait le cul de sa semence. Elle jouissait par ce nouvel orifice de son corps, chose que j’ai loupé durant touts nos années de mariage. De ces nouvelles et inédites jouissances, elle semblait être entièrement consentante et heureuse Et ne serait ce que pour ces nouvelles jouissances, elle doit trouver excuse complète pour se pardonner de ses infidélités. Avec cet homme qui la baisait si bien mais qui l’a aussi initié à de nouveaux plaisirs du cul, elle acceptait son infidélité comme un droit de jouissances pour son corps. Et quant l’homme s’est retiré ma femme a encore crié, je croyais de douleur, mais non, elle ajouta qu’elle désirait garder le zeb dans son cul, elle en voulait encore. L’homme, expérimenté, lui a conseillé d’attendre un moment avant que son anus ne se calme et reprenne sa forme de repos. Il ajouta qu’on reprendra ensuite encore mieux que la première fois et j’entendis le rire éclatant de ma femme, heureuse des suites sexuelles que l’homme lui promettait. Elle avait donc dompté son cul après avoir gouté la pénétration du zeb en elle.
Elle le dit d’ailleurs quelques moments plus tard quant elle revint des toilettes. L’homme lui demanda de s’assoir sur son zeb et de l’enfoncer elle-même dans son anus, à sa convenance, pour l’adapter ensuite à son cul. Et les bruits suivants expliquèrent cela. Quant ma femme s’est bien positionnée, elle lui a demandé de garder son zeb bien debout et qu’elle allait écarter ses fesses pour mieux ouvrir son anus. Puis je l’ai bien entendu souffler fort et un peu gémir pendant que le zeb pénétrait son cul, à sa convenance, à sa convenance comme il disait. Quant, enfin, elle s’est assise complètement, le zeb totalement enfoncé dans son cul, elle dit à l’homme qu’elle se sentait bien remplie, et qu’elle n’avait aucune gêne ni douleur, au contraire c’était très agréable et que son cul la chatouillait agréablement. L’homme lui demander de bouger haut et bas et aussi à droite et à gauche comme si elle dansait. Elle éclata de rire mais elle a du obéir car sa voix s’entrecoupait avec ses vas et viens sur le zeb. J’avais en tête cette image de ma femme nue, assise sur gros zeb vertical de l’homme et qui se niquait elle-même le cul, en dansant, offrant toute sa féminité sans gêne. Ces pensées me faisaient honte mais elles m’excitaient en même temps, mon zeb s’est réveillé de nouveau et s’allongeait à pousser et déformer mon short. Et encore une fois, j’ai préféré m’éloigner, mais cette fois définitivement. Que pouvais apprendre d’autre, j’avais tout entendu et tout compris, comme si j’étais présent avec eux, dans la chambre. L’homme a baisé la chatte de ma femme mais il a éjaculé sur son corps, puis il dépucelé son cul et la enculée, sodomisée et éjaculé à l’intérieur de son corps, et enfin il l’a initié à ce plaisir inédit en la faisant remuer et danser elle-même du cul sur son gros zeb. Il n’y avait plus rien d’autre d’inédit à savoir. Et comme ma montre donnait déjà presque 18h30, il était inutile de retourner à la plage mais j’ai préféré aller m’assoir dehors, mais pas très loin de l’hôtel.
A 19h pile, Si Amar, après avoir bien sodomisé ma femme Malika, sortit de l’hôtel et se dirigea du coté des plages, certainement pour aller chercher sa femme Feriel. J’ai encore attendu un quart d’heure ou plus avant de monter à la chambre où, j’ai frappé à la porte et appelé ma femme avant d’entrer. Une minute plus tard elle me laissa entrer. Elle était drapée dans son peignoir, les cheveux ébouriffés, et le grand lit était encore défait. J’ai immédiatement été surpris des odeurs fades des sucs des sexes et surtout celle du sperme de l’homme, la chambre en était remplie. Ma femme se diriger vers la salle de bain, mais elle semblait avoir quelques difficultés en marchant. J’avais compris que son dépucelage et sa sodomie trop récents lui rendaient la marche difficile car elle doit encore avoir quelques douleurs au cul, à l’anus et aux fesses. Elle écartait ses jambes en marchant et pour s’excuser, elle me dit que c’était les restes de ses douleurs ventrales qui agissaient sur ses jambes et la gênaient encore. Ayant décidé de tout accepter, je l’ai même aidé à rejoindre les toilettes. Elle y resta un long moment puis se doucha et revint enfin dans la chambre toujours en peignoir. Elle se déplaçait déjà mieux. Elle allait s’allongea mais je lui ai conseillé de continuer à marcher encore un moment pour écarter définitivement ses douleurs. Elle m’obéit et fit plusieurs aller et retours dans la chambre, puis s’allongea de nouveau à plat ventre sur le lit. Mais je luis ai rappelé que c’était l’heure du diner, alors elle se releva, s’habilla, rejoint de nouveau la salle de bain pour s’arranger, ensuite on est descendu au restaurant. Après le diner et une petite marche du coté des plages, nous sommes retournés à l’hôtel vers 23h.
Nos amis étaient déjà dans la chambre, exactement comme hier soir. Mais je savais que cette nuit allait être sexuellement plus importante que les précédentes, car maintenant, ma femme avait ses deux orifices sexuels prêts pour les plaisirs et les jouissances. Une heure plus tard, tout le monde était, soi disant, endormis, en réalité le seul qui dormait et ronflait réellement c’était Amar. C’est alors que sa femme, complètement nue, se leva pour aller, comme chaque soir, baiser avec son mari. Alors, elle le réveilla, se mit à genoux à coté de son lit, lui ôta rapidement son short et empoigna son zeb encore à moitié endormi. Mais cette fois, elle fut rejointe par ma femme qui s’agenouilla, elle aussi, de l’autre coté de l’homme. Et toutes deux, elles se partagèrent les branles et sussions du zeb de l’homme. Très rapidement, la queue se releva, grossit et se tint debout verticalement, elle était prête à satisfaire les désirs des deux femmes. C’est l’homme qui décida de commencer par sa femme qu’il baisa, face à face, durant presque un quart d’heure et éjacula en elle. Ensuite, elle partit vers la salle de bain. Alors l’homme attira ma femme vers lui pour la positionner, à genoux devant lui, la face sur le matelas et la Terma tendue en l’air et largement offerte. Un tableau érotique face à moi et qui a réveillé ma queue. Dans le silence de la chambre, j’entendais bien Amar murmurer à ma femme que c’est la vue de sa belle Terma qui stimulait maintenant son zeb et elle gloussa de cette flatterie. Alors il empoigna son zeb, le glissa par-dessous, entre les cuisses de ma femme, et l’enfonça dans sa chatte avec un coup de rein violent et un «Han » de victoire. Elle le reçut en poussant elle aussi un long gémissement rauque. Ma queue s’est gonflée à ces bruits et j’ai glissé ma main pour me branler doucement. Puis, pendant presque autant de temps qu’il a fait pour sa femme, il a baisé la mienne avec vigueur et gémissements réciproques communs, mais n’éjacula pas. Il préféra retirer son zeb brillant de suc féminin et éjaculer dehors sur les fesses de ma femme. Je voyais ses jets de sperme et entendais son « Ahhhh » de victoire et ce tableau provoqua l’éjaculation de ma queue, dans ma main et mon pyjama. Il est vrai que cet homme a des capacités sexuelles importantes et les dispense normalement. Il a bien baisé les deux femmes, sans se gêner, avec de grands coups de reins et de vas et viens vigoureux dans leurs chattes accompagnés de gémissements réciproques bien nets, il a même réussi à leur a donner, à chacune, deux à trois orgasmes abondamment mouillés et bruyants, il a éjaculé dans la chatte de sa femme, mais pour la mienne, prudent, et avisé, il a éjaculé abondamment sur ses fesses.
Ensuite, il a étalé son sperme sur le sillon des fesses et sur l’anus de ma femme pour les lubrifier. Puis il a nettement enfoncé ses doigts dans le cul de ma femme. Ensuite il a, encore une fois, empoigné son zeb qui restait debout, gonflé et certainement dur, et il l’a enfoncé dans le cul de ma chère épouse dont la Terma était levée, tendue et bien offerte. Puis, tout naturellement, comme si c’était de leur habitude, il a commencé à enculer ma femme. Il s’est un peu relevé, se tenant maintenant presque debout, les deux pieds sur le lit, et enfonçait bien profondément son zeb à l’intérieur du cul de la femme qui criait presque de plaisir et des mots que je n’ai pas saisis. Sa femme était revenue des toilettes et restait debout, sur le coté, comme pour ne pas le déranger. Dans cette position accroupi au dessus de la Terma de ma femme et après plusieurs vas et viens vigoureux, presque verticaux dans le cul offert, il a changé de position. Il s’est agenouillé de nouveau derrière ma femme, a mieux positionné sa Terma, vers le bas, pour avoir toujours accès à son cul. Puis il a enfoncé de nouveau son gros zeb monstrueux dans le cul ouvert et a reprit sa cavalcade sexuelle qui faisait gémir ma femme en continue. Mais il semble qu’il voulait niquer et jouer non seulement avec le cul mais aussi avec la chatte de ma femme. En effet, il avait, maintenant, accès aux deux sexes et son zeb semble toujours debout et bien gonflé. Il enfonçait son zeb à fond dans le cul de ma femme, faisait actionner plusieurs vas et viens vigoureux qui la faisaient toujours gémir bruyamment de plaisir, puis il retirait son zeb pour la pénétrer, par-dessous, dans sa chatte où il faisait, aussi, autant de vas et viens puissants. Et tous les deux y trouvaient, semble t-il, des jouissances communes, car ils haletaient, soufflaient fort et gémissaient ensemble au rythme des coups de reins. Après avoir bien ramoné les deux sexes de ma femme, il semble avoir une autre idée. En effet, il retirait totalement son zeb, se releva pour aller se mettre debout devant ma femme et lui présenter son gros zeb, luisant des sucs des deux sexes féminins, et le lui offrait en le secouant érotiquement. Ma femme avait nettement compris et, approchant sa tête et sa main, elle empoigna le zeb et le goba dans sa bouche pour le sucer et le branler autant de temps que l’homme le désirait. Ensuite, c’est lui décida de reprendre son zeb superbement gonflé et allongé, luisant de la salive de ma femme, et il se remit en position, à genoux, derrière ma femme. Et il reprenait ses jeux de vas et viens alternatifs de son gros zeb dans le cul et dans la chatte de ma femme, totalement soumise à ses désirs. Elle a eu sa large part de plaisirs et de jouissances par ses deux sexes car elle a obtenu plusieurs orgasmes que j’ai entendus, bruyants et abondamment humides. L’homme aussi haletait de plaisir et même lançait parfois un rire hystérique en donnant ses coups de reins vigoureux. Ils s’amusaient, contents et heureux des jouissances que leurs sexes leur procuraient, sans interdit ni gêne. Sa femme semblait être en accord avec lui et moi, pour eux, il semble que j’étais absent de la chambre. Ma femme continuait à gémir et riait aussi parfois avec un fond de gorge haletant et parfois elle hurlait presque. Elle avait totalement abandonné ses deux trésors sexuels à l’homme au zeb si gros, si habile, si réjouissant. Enfin, quant il ressentit son plaisir arriver, il feula un bon coup, et préféra enfoncer son zeb dans le cul de ma femme et y éjaculer plusieurs fois avec toujours ses cris « zébi ! zébi ! Terma 7louwa » (mon zeb ! mon zeb ! succulente Terma). Ensuite, les mains accrochées aux hanches de ma femme, il resta collé un moment le ventre collé à ses fesses, puis il se retira et se redressa. Ensuite il se remit comme auparavant, devant ma femme, empoignant son gros zeb monstrueux et luisant de sperme et de sucs féminins, et il lui demanda de lui nettoyer le zeb. Elle gloussa avec bruit et se tourna vers lui, puis empoigna le zeb, elle l’engloutit encore une fois dans sa bouche. Elle le nettoya en le léchant haut en bas sans oublier les couilles, le suçant et aspirant pour recueillir son sperme restant, et le branlant en peu mécaniquement. Enfin, c’est lui qui se libéra et rejoignit la salle da bain. Ma femme se mit debout et Feriel l’a prise entre ses bras, l’enlaçant étroitement. Elles riaient, heureuses d’avoir été saillies par le même homme vigoureux et ensemencées par sa liqueur de ce mâle vigoureux. Une image, devant moi, très érotique mais traduisant nettement ma défaite de cocu. Ma main et mon pyjama me gênaient, pollués de mon sperme et j’attendais, avec impatience, que tout cela finisse. Quant l’homme sortit des toilettes, il s’effondra le dos sur son lit, son zeb pointait assez en l’air, engageant, attirant le désir sexuel des deux femmes insatiables de jouissances, mais l’homme leur fit un non de ses doigts et se tourna de l’autre coté du lit. Alors les deux femmes, encore nues, rejoignirent la salle de bain car Feriel décida d’accompagner la mienne pour l’aider à se nettoyer et se doucher. En réalité, j’étais certain que Feriel, qui avait déjà manifesté de l’intérêt pour le corps de ma femme, désirait encore en profiter sous la douche. Je les entendais discuter en rigolant et sans tenir compte du bruit qui risquait de me réveiller. On dirait qu’elles savaient ou devinaient que je n’étais pas en réalité endormi pendant les séances de sexe, mais que je faisais semblant pour laisser les choses se dérouler à leurs guises. Elles sont intuitives, les femmes. Quant elles finirent leur bain, elles se couchèrent enlacés et nues sous le drap commun. Ce soir, contrairement aux autres fois, et même quant j’avais l’oreille collé à la porte, ma queue se réveillait toute seule et même éjaculait. Mais ce soir, on dirait que je savais tout ce qu’il allait se passer, alors mon zeb resta calme. J’ai beau le secouer, le branler, il resta inerte. Alors, je me suis endormi après un long moment.
Le lendemain, c’est ma femme qui m’a réveillée pour me dire quelle devait aller en ville pour achats, avec le couple et toute la matinée. Je lui ai donné un peu d’argent pour ses courses et elle est partie. J’ai fait mes toilettes et descendu au restaurant pour le petit déjeuner, il était encore 9h. Et suivant mon habitude je suis allé à la plage. Pendant plus d’une heure, j’ai fais trempette dans l’eau et souvent allongé sur le sable. Un jeune marchand de beignets offrait sa marchandise tout le long de la plage et je l’ai appelé pour acheter car j’avais un petit creux à l’estomac, mais je n’ai pas trouvé mon porte feuille dans mon sac. J’ai du l’oublier sur le lit quant j’ai donné de l’argent à ma femme. C’était embêtant car je voulais des beignets et même quelques boissons avant midi. Alors j’ai décidé de retourner à la chambre, l’hôtel n’est pas très loin. Arrivé à la réception, la clé était absente et l’agent m’a dit que Mr Amar l’avait prise depuis le matin. Donc dès ma sortie, il est revenu et certainement avec sa femme et la mienne pour s’amuser à la bête à deux dos dans notre chambre. Alors comme d’habitude, j’ai collé mon oreille sur la porte et j’ai tout entendu. En effet, d’après leurs voix, ils étaient tous les trois dans la chambre et leurs halètements, gémissements et même cris et hurlements hystériques de ma femme étaient clairs. Ils se donnaient à fond, sans se gêner, le cocu était à la plage. D’après ce que j’ai entendu et compris, l’homme était couché sur le lit et ma femme, assise sur son bas ventre, sautait sur son zeb et haletait en faisant ses vas et viens haut et bas. Elle l’avait déjà fait l’autre nuit dans la pénombre, très peu discrètement. Mais maintenant, elles sont libres de gémir à fond, de crier parfois et même de hurler leurs jouissances. Je suis resté collé à la porte un petit moment, mais comme je savais tout ce qui se passait dans la chambre, j’ai préféré m’enfuir et retourner à la plage.
Le reste de la semaine a été presque identique, journées et nuitées et j’ai continué à jouer mon rôle d’endormi et en même temps d’observateur. Mon zeb ne se réveillait plus à cause de la routine, sans surprise. Au début de la semaine suivante, l’hôtelier m’a contacté car la chambre à coté de la notre venait d’être libérée et il me l’a proposée. J’étais d’accord mais ma femme a strictement refusée, elle m’a dit que si j’acceptais, elle n’ira pas avec moi mais qu’elle restera avec le couple, dans leur chambre. J’avais donc compris que pour l’instant et le reste des vacances, encore une vingtaine de jours, ma femme n’était mon épouse, dans sa tête et dans son corps. C’est le viril Amar qui avait maintenant une épouse légitime mais deux femmes, deux amantes totalement à sa disposition. Je ne pouvais plus continuer ainsi, alors j’ai loué la chambre d’à coté, pour moi et ma femme. Pendant toute la journée, nous sommes ensemble, ma femme et moi, promenades, photos et achats en ville ou baignades à la plage ou au repas restaurant. Ce seront vraiment nos vacances. Mais le soir, c’est différent. Ma femme se prépare pour la nuit dans notre chambre, puis je la libère pour qu’elle aille rejoindre le couple dans leur chambre à coté. Elle y passera toute la nuit ou une partie selon son aise, pour satisfaire ses besoins sexuels. Et quant elle aura fini et qu’elle se serait nettoyée et douchée chez eux, elle pourra rejoindre notre chambre, où je serais déjà endormi depuis un bon moment, dans le calme et la sérénité du cocu consentant. Et c’est ainsi que nous avons passé les vingt autres jours du reste de nos vacances.

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