Terma 101: En Vacances À Quatre, En Pension Et Chambre Communes (3) :
Dès quelle sest suffisamment éloignée, je lai suivie comme hier et effectivement lhomme lattendait à la limite de la zone des résidences. Ils senlacèrent, sembrassèrent, le gars lui caressant et tapotant les fesses, la femme lui touchant à travers le short, son zeb déjà lourd de désir. Et ils rejoignirent lhôtel et la chambre rapidement. Ils étaient déjà aux prémisses quant jai collé mon oreille à leur porte. Daprès les bruits, leurs paroles et leurs gémissements de plaisir, ils ont commencé par une baise normale. Malgré la porte, jentendais tout, assez bien, leurs bruits de plaisirs et même les chocs des deux bas ventres lors des coups de reins énergiques des vas et viens du zeb dans la chatte. Jentendais même les bruits de sussions et clapotis des deux sexes dans leurs glissements lun dans lautre. Dans le silence complice du couloir, cela mexcitait car javais une image en tête, celle dhier soir, et mon zeb se réveilla. Mais cétait un mauvais endroit et un mauvais moment, alors que jétais trop excité, surtout que cétait ma femme nue et cuisses écartées, chatte ouverte et offerte à un autre zeb que le mien, quon baisait là derrière cette porte. Je lentendais gémir toute à son aise sans crainte dêtre entendue. Jai dégagé ma bite du short et je lai empoignée pour me branler, mais elle était encore sèche, alors je lai lubrifiée en crachant largement dans ma main. Je me branlais doucement quant, soudain, jentendis un long cri, une sorte de longue plainte « Ahhhh » bruyante et continue de ma femme, jétais sûr quelle venait davoir son premier grand orgasme. Cela ma fouetté le zeb et jai accéléré ma branle et je haletais autant queux, là derrière. Javais limage de la chatte de ma chère femme, bien ouverte et remplie du gros zeb de lhomme et qui éjectait sa mouille et sa jouissance en abondance. Les chocs vas et viens continuaient en vitesse et moi aussi dans ma branle. Quelques instants plus tard, juste au moment où je commençais à ressentir les débuts de mon plaisir, un second « Ahhhh » de ma femme, continue et bruyant minforme de son deuxième orgasme.
Ensuite ils ont du revenir car je les ai entendus discuter. Jai cru distinguer quelques mots comme « pommade, lubrifiant, facile » de la part de lhomme et « mal, zeb, gros » de ma femme. Je nai pas bien saisi ce qui se passait mais lhomme a ajouté nettement quil avait déjà fait cela plusieurs fois avec succès. Mais ma femme semblait encore réticente car elle répondait, avec une faible voix hésitante et entrecoupée, quelle navait jamais fait cela avec mon mari et quétait encore vierge et elle avait peur davoir mal. Cest alors que jai compris quil sagissait de la virginité de son cul, de sa Terma et que lhomme avait lintention de la dépuceler.
Loreille collée à la porte, jétais bien arrivé, car maintenant, cétait clair, cétait fini, ma femme a déjà été dépucelée depuis un moment. En effet, jentendais nettement les bruits des halètements rythmés de lhomme, et des claquements de son bas ventre sur les fesses de ma femme que jentendais gémir, semble t-il, de plaisir. Pire, elle semblait rire et gémir en même temps, cétait nouveau, étonnant et bizarre pour moi. Les bruits de clapotis mouillés du zeb qui faisait ses vas et viens dans le cul dépucelé et bien ouvert, je les entendais, aussi nettement que les gémissements et halètements de ma femme. Tout en la sodomisant, jentendais lhomme flatter la Terma de ma femme, il disait quelle était large, douce et profonde et quelle avait un cul profond et chaud et que son zeb y trouvait sa place bien comme il faut.
Elle le dit dailleurs quelques moments plus tard quant elle revint des toilettes. Lhomme lui demanda de sassoir sur son zeb et de lenfoncer elle-même dans son anus, à sa convenance, pour ladapter ensuite à son cul. Et les bruits suivants expliquèrent cela. Quant ma femme sest bien positionnée, elle lui a demandé de garder son zeb bien debout et quelle allait écarter ses fesses pour mieux ouvrir son anus. Puis je lai bien entendu souffler fort et un peu gémir pendant que le zeb pénétrait son cul, à sa convenance, à sa convenance comme il disait. Quant, enfin, elle sest assise complètement, le zeb totalement enfoncé dans son cul, elle dit à lhomme quelle se sentait bien remplie, et quelle navait aucune gêne ni douleur, au contraire cétait très agréable et que son cul la chatouillait agréablement. Lhomme lui demander de bouger haut et bas et aussi à droite et à gauche comme si elle dansait. Elle éclata de rire mais elle a du obéir car sa voix sentrecoupait avec ses vas et viens sur le zeb. Javais en tête cette image de ma femme nue, assise sur gros zeb vertical de lhomme et qui se niquait elle-même le cul, en dansant, offrant toute sa féminité sans gêne. Ces pensées me faisaient honte mais elles mexcitaient en même temps, mon zeb sest réveillé de nouveau et sallongeait à pousser et déformer mon short. Et encore une fois, jai préféré méloigner, mais cette fois définitivement. Que pouvais apprendre dautre, javais tout entendu et tout compris, comme si jétais présent avec eux, dans la chambre. Lhomme a baisé la chatte de ma femme mais il a éjaculé sur son corps, puis il dépucelé son cul et la enculée, sodomisée et éjaculé à lintérieur de son corps, et enfin il la initié à ce plaisir inédit en la faisant remuer et danser elle-même du cul sur son gros zeb. Il ny avait plus rien dautre dinédit à savoir. Et comme ma montre donnait déjà presque 18h30, il était inutile de retourner à la plage mais jai préféré aller massoir dehors, mais pas très loin de lhôtel.
A 19h pile, Si Amar, après avoir bien sodomisé ma femme Malika, sortit de lhôtel et se dirigea du coté des plages, certainement pour aller chercher sa femme Feriel. Jai encore attendu un quart dheure ou plus avant de monter à la chambre où, jai frappé à la porte et appelé ma femme avant dentrer. Une minute plus tard elle me laissa entrer. Elle était drapée dans son peignoir, les cheveux ébouriffés, et le grand lit était encore défait. Jai immédiatement été surpris des odeurs fades des sucs des sexes et surtout celle du sperme de lhomme, la chambre en était remplie. Ma femme se diriger vers la salle de bain, mais elle semblait avoir quelques difficultés en marchant. Javais compris que son dépucelage et sa sodomie trop récents lui rendaient la marche difficile car elle doit encore avoir quelques douleurs au cul, à lanus et aux fesses. Elle écartait ses jambes en marchant et pour sexcuser, elle me dit que cétait les restes de ses douleurs ventrales qui agissaient sur ses jambes et la gênaient encore. Ayant décidé de tout accepter, je lai même aidé à rejoindre les toilettes. Elle y resta un long moment puis se doucha et revint enfin dans la chambre toujours en peignoir. Elle se déplaçait déjà mieux. Elle allait sallongea mais je lui ai conseillé de continuer à marcher encore un moment pour écarter définitivement ses douleurs. Elle mobéit et fit plusieurs aller et retours dans la chambre, puis sallongea de nouveau à plat ventre sur le lit. Mais je luis ai rappelé que cétait lheure du diner, alors elle se releva, shabilla, rejoint de nouveau la salle de bain pour sarranger, ensuite on est descendu au restaurant. Après le diner et une petite marche du coté des plages, nous sommes retournés à lhôtel vers 23h.
Nos amis étaient déjà dans la chambre, exactement comme hier soir. Mais je savais que cette nuit allait être sexuellement plus importante que les précédentes, car maintenant, ma femme avait ses deux orifices sexuels prêts pour les plaisirs et les jouissances. Une heure plus tard, tout le monde était, soi disant, endormis, en réalité le seul qui dormait et ronflait réellement cétait Amar. Cest alors que sa femme, complètement nue, se leva pour aller, comme chaque soir, baiser avec son mari. Alors, elle le réveilla, se mit à genoux à coté de son lit, lui ôta rapidement son short et empoigna son zeb encore à moitié endormi. Mais cette fois, elle fut rejointe par ma femme qui sagenouilla, elle aussi, de lautre coté de lhomme. Et toutes deux, elles se partagèrent les branles et sussions du zeb de lhomme. Très rapidement, la queue se releva, grossit et se tint debout verticalement, elle était prête à satisfaire les désirs des deux femmes. Cest lhomme qui décida de commencer par sa femme quil baisa, face à face, durant presque un quart dheure et éjacula en elle. Ensuite, elle partit vers la salle de bain. Alors lhomme attira ma femme vers lui pour la positionner, à genoux devant lui, la face sur le matelas et la Terma tendue en lair et largement offerte. Un tableau érotique face à moi et qui a réveillé ma queue. Dans le silence de la chambre, jentendais bien Amar murmurer à ma femme que cest la vue de sa belle Terma qui stimulait maintenant son zeb et elle gloussa de cette flatterie. Alors il empoigna son zeb, le glissa par-dessous, entre les cuisses de ma femme, et lenfonça dans sa chatte avec un coup de rein violent et un «Han » de victoire. Elle le reçut en poussant elle aussi un long gémissement rauque. Ma queue sest gonflée à ces bruits et jai glissé ma main pour me branler doucement. Puis, pendant presque autant de temps quil a fait pour sa femme, il a baisé la mienne avec vigueur et gémissements réciproques communs, mais néjacula pas. Il préféra retirer son zeb brillant de suc féminin et éjaculer dehors sur les fesses de ma femme. Je voyais ses jets de sperme et entendais son « Ahhhh » de victoire et ce tableau provoqua léjaculation de ma queue, dans ma main et mon pyjama. Il est vrai que cet homme a des capacités sexuelles importantes et les dispense normalement. Il a bien baisé les deux femmes, sans se gêner, avec de grands coups de reins et de vas et viens vigoureux dans leurs chattes accompagnés de gémissements réciproques bien nets, il a même réussi à leur a donner, à chacune, deux à trois orgasmes abondamment mouillés et bruyants, il a éjaculé dans la chatte de sa femme, mais pour la mienne, prudent, et avisé, il a éjaculé abondamment sur ses fesses.
Ensuite, il a étalé son sperme sur le sillon des fesses et sur lanus de ma femme pour les lubrifier. Puis il a nettement enfoncé ses doigts dans le cul de ma femme. Ensuite il a, encore une fois, empoigné son zeb qui restait debout, gonflé et certainement dur, et il la enfoncé dans le cul de ma chère épouse dont la Terma était levée, tendue et bien offerte. Puis, tout naturellement, comme si cétait de leur habitude, il a commencé à enculer ma femme. Il sest un peu relevé, se tenant maintenant presque debout, les deux pieds sur le lit, et enfonçait bien profondément son zeb à lintérieur du cul de la femme qui criait presque de plaisir et des mots que je nai pas saisis. Sa femme était revenue des toilettes et restait debout, sur le coté, comme pour ne pas le déranger. Dans cette position accroupi au dessus de la Terma de ma femme et après plusieurs vas et viens vigoureux, presque verticaux dans le cul offert, il a changé de position. Il sest agenouillé de nouveau derrière ma femme, a mieux positionné sa Terma, vers le bas, pour avoir toujours accès à son cul. Puis il a enfoncé de nouveau son gros zeb monstrueux dans le cul ouvert et a reprit sa cavalcade sexuelle qui faisait gémir ma femme en continue. Mais il semble quil voulait niquer et jouer non seulement avec le cul mais aussi avec la chatte de ma femme. En effet, il avait, maintenant, accès aux deux sexes et son zeb semble toujours debout et bien gonflé. Il enfonçait son zeb à fond dans le cul de ma femme, faisait actionner plusieurs vas et viens vigoureux qui la faisaient toujours gémir bruyamment de plaisir, puis il retirait son zeb pour la pénétrer, par-dessous, dans sa chatte où il faisait, aussi, autant de vas et viens puissants. Et tous les deux y trouvaient, semble t-il, des jouissances communes, car ils haletaient, soufflaient fort et gémissaient ensemble au rythme des coups de reins. Après avoir bien ramoné les deux sexes de ma femme, il semble avoir une autre idée. En effet, il retirait totalement son zeb, se releva pour aller se mettre debout devant ma femme et lui présenter son gros zeb, luisant des sucs des deux sexes féminins, et le lui offrait en le secouant érotiquement. Ma femme avait nettement compris et, approchant sa tête et sa main, elle empoigna le zeb et le goba dans sa bouche pour le sucer et le branler autant de temps que lhomme le désirait. Ensuite, cest lui décida de reprendre son zeb superbement gonflé et allongé, luisant de la salive de ma femme, et il se remit en position, à genoux, derrière ma femme. Et il reprenait ses jeux de vas et viens alternatifs de son gros zeb dans le cul et dans la chatte de ma femme, totalement soumise à ses désirs. Elle a eu sa large part de plaisirs et de jouissances par ses deux sexes car elle a obtenu plusieurs orgasmes que jai entendus, bruyants et abondamment humides. Lhomme aussi haletait de plaisir et même lançait parfois un rire hystérique en donnant ses coups de reins vigoureux. Ils samusaient, contents et heureux des jouissances que leurs sexes leur procuraient, sans interdit ni gêne. Sa femme semblait être en accord avec lui et moi, pour eux, il semble que jétais absent de la chambre. Ma femme continuait à gémir et riait aussi parfois avec un fond de gorge haletant et parfois elle hurlait presque. Elle avait totalement abandonné ses deux trésors sexuels à lhomme au zeb si gros, si habile, si réjouissant. Enfin, quant il ressentit son plaisir arriver, il feula un bon coup, et préféra enfoncer son zeb dans le cul de ma femme et y éjaculer plusieurs fois avec toujours ses cris « zébi ! zébi ! Terma 7louwa » (mon zeb ! mon zeb ! succulente Terma). Ensuite, les mains accrochées aux hanches de ma femme, il resta collé un moment le ventre collé à ses fesses, puis il se retira et se redressa. Ensuite il se remit comme auparavant, devant ma femme, empoignant son gros zeb monstrueux et luisant de sperme et de sucs féminins, et il lui demanda de lui nettoyer le zeb. Elle gloussa avec bruit et se tourna vers lui, puis empoigna le zeb, elle lengloutit encore une fois dans sa bouche. Elle le nettoya en le léchant haut en bas sans oublier les couilles, le suçant et aspirant pour recueillir son sperme restant, et le branlant en peu mécaniquement. Enfin, cest lui qui se libéra et rejoignit la salle da bain. Ma femme se mit debout et Feriel la prise entre ses bras, lenlaçant étroitement. Elles riaient, heureuses davoir été saillies par le même homme vigoureux et ensemencées par sa liqueur de ce mâle vigoureux. Une image, devant moi, très érotique mais traduisant nettement ma défaite de cocu. Ma main et mon pyjama me gênaient, pollués de mon sperme et jattendais, avec impatience, que tout cela finisse. Quant lhomme sortit des toilettes, il seffondra le dos sur son lit, son zeb pointait assez en lair, engageant, attirant le désir sexuel des deux femmes insatiables de jouissances, mais lhomme leur fit un non de ses doigts et se tourna de lautre coté du lit. Alors les deux femmes, encore nues, rejoignirent la salle de bain car Feriel décida daccompagner la mienne pour laider à se nettoyer et se doucher. En réalité, jétais certain que Feriel, qui avait déjà manifesté de lintérêt pour le corps de ma femme, désirait encore en profiter sous la douche. Je les entendais discuter en rigolant et sans tenir compte du bruit qui risquait de me réveiller. On dirait quelles savaient ou devinaient que je nétais pas en réalité endormi pendant les séances de sexe, mais que je faisais semblant pour laisser les choses se dérouler à leurs guises. Elles sont intuitives, les femmes. Quant elles finirent leur bain, elles se couchèrent enlacés et nues sous le drap commun. Ce soir, contrairement aux autres fois, et même quant javais loreille collé à la porte, ma queue se réveillait toute seule et même éjaculait. Mais ce soir, on dirait que je savais tout ce quil allait se passer, alors mon zeb resta calme. Jai beau le secouer, le branler, il resta inerte. Alors, je me suis endormi après un long moment.
Le lendemain, cest ma femme qui ma réveillée pour me dire quelle devait aller en ville pour achats, avec le couple et toute la matinée. Je lui ai donné un peu dargent pour ses courses et elle est partie. Jai fait mes toilettes et descendu au restaurant pour le petit déjeuner, il était encore 9h. Et suivant mon habitude je suis allé à la plage. Pendant plus dune heure, jai fais trempette dans leau et souvent allongé sur le sable. Un jeune marchand de beignets offrait sa marchandise tout le long de la plage et je lai appelé pour acheter car javais un petit creux à lestomac, mais je nai pas trouvé mon porte feuille dans mon sac. Jai du loublier sur le lit quant jai donné de largent à ma femme. Cétait embêtant car je voulais des beignets et même quelques boissons avant midi. Alors jai décidé de retourner à la chambre, lhôtel nest pas très loin. Arrivé à la réception, la clé était absente et lagent ma dit que Mr Amar lavait prise depuis le matin. Donc dès ma sortie, il est revenu et certainement avec sa femme et la mienne pour samuser à la bête à deux dos dans notre chambre. Alors comme dhabitude, jai collé mon oreille sur la porte et jai tout entendu. En effet, daprès leurs voix, ils étaient tous les trois dans la chambre et leurs halètements, gémissements et même cris et hurlements hystériques de ma femme étaient clairs. Ils se donnaient à fond, sans se gêner, le cocu était à la plage. Daprès ce que jai entendu et compris, lhomme était couché sur le lit et ma femme, assise sur son bas ventre, sautait sur son zeb et haletait en faisant ses vas et viens haut et bas. Elle lavait déjà fait lautre nuit dans la pénombre, très peu discrètement. Mais maintenant, elles sont libres de gémir à fond, de crier parfois et même de hurler leurs jouissances. Je suis resté collé à la porte un petit moment, mais comme je savais tout ce qui se passait dans la chambre, jai préféré menfuir et retourner à la plage.
Le reste de la semaine a été presque identique, journées et nuitées et jai continué à jouer mon rôle dendormi et en même temps dobservateur. Mon zeb ne se réveillait plus à cause de la routine, sans surprise. Au début de la semaine suivante, lhôtelier ma contacté car la chambre à coté de la notre venait dêtre libérée et il me la proposée. Jétais daccord mais ma femme a strictement refusée, elle ma dit que si jacceptais, elle nira pas avec moi mais quelle restera avec le couple, dans leur chambre. Javais donc compris que pour linstant et le reste des vacances, encore une vingtaine de jours, ma femme nétait mon épouse, dans sa tête et dans son corps. Cest le viril Amar qui avait maintenant une épouse légitime mais deux femmes, deux amantes totalement à sa disposition. Je ne pouvais plus continuer ainsi, alors jai loué la chambre dà coté, pour moi et ma femme. Pendant toute la journée, nous sommes ensemble, ma femme et moi, promenades, photos et achats en ville ou baignades à la plage ou au repas restaurant. Ce seront vraiment nos vacances. Mais le soir, cest différent. Ma femme se prépare pour la nuit dans notre chambre, puis je la libère pour quelle aille rejoindre le couple dans leur chambre à coté. Elle y passera toute la nuit ou une partie selon son aise, pour satisfaire ses besoins sexuels. Et quant elle aura fini et quelle se serait nettoyée et douchée chez eux, elle pourra rejoindre notre chambre, où je serais déjà endormi depuis un bon moment, dans le calme et la sérénité du cocu consentant. Et cest ainsi que nous avons passé les vingt autres jours du reste de nos vacances.
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