Suite Des Aventures De Claire. (Chapitre 8)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je mhabille peu pour la saison. Catherine ma dit dêtre sexy.
Je mets une jupe rubis foncé, qui descend jusquaux genoux, un top noir avec une chemisier serré, de la même couleur. Des bas noirs couvrent mes jambes. Je me maquille. Jexagère un peu trop à mon goût. Mes cheveux sont attachés et quelques mèches folles tombent sur mes épaules et devant mon visage.
Jamais je naurais osé sortir comme cela auparavant. Jai lair dune prostituée.
Je descends et retrouve Catherine seule dans le restaurant. Elle mattend.
- Cest bien Claire. Tu es à lheure. Je savais que je pouvais compter sur ta présence. Mais tu aurais pu faire un effort et thabiller plus sexy.
Je ne relève pas. Jai peur. Mes mains tremblent, mon estomac est noué. Jai froid, puis chaud.
- Détends-toi. Tu vas aimer. Allons-y !
- Où ? Où est-ce que nous allons ?
- Juste là ! Viens !
Elle me prend par la main et me mène à cette porte, au fond de la salle. Je la croyais fermée, inutile ; une porte de débarras.
Elle louvre et des escaliers descendent dans une lueur tamisée. Jentends le son de voix, de rires.
Nous arrivons dans une grande salle rectangulaire. Une douzaine dhommes sont assis en demi-cercle sur des tabourets hauts.
Le silence se fait à notre entrée.
- Messieurs ! Je vous présente Claire.
Je reconnais les six hommes qui mont possédée la dernière fois. Six autres sont présents, tous ont entre trente et cinquante ans. Olivia est là aussi, à lécart.
Olivia est une petite femme dune vingtaine dannées, plutôt potelée mais le corps ferme. Ses cheveux noirs parent son doux visage dune sévérité contrastée. Sa bouche pulpeuse doit faire des ravages auprès des hommes.
- Vous pouvez commencer, lance Catherine.
Catherine vient vers moi et me chuchote :
- Reste assise ici et ouvre bien les yeux.
Je vois alors Olivia se lever. Elle porte une mini-jupe noire. Des jarretelles de la même couleur et un soutiens gorge noir lui aussi, met en valeur sa poitrine généreuse et laisse deviner la forme de ses mamelons.
Ses chaussures à talons la rendent un peu plus grande et lobligent à cambrer le dos lorsquelle se tient debout.
Un homme de cinquante ans sapproche delle, il est petit, maigre avec un visage dur et sec.
Il passe un collier autour du cou dOlivia, puis lattache à une laisse. Elle le regarde avant de recevoir une gifle qui loblige à baisser la tête.
Lhomme lui montre le sol du doigt. Elle sagenouille.
Mon ventre se serre de regarder cette scène. Jai envie de me révolter pour Olivia. La main de Catherine sur mes genoux me rappelle ma place.
Lhomme ouvre son pantalon. Son sexe en érection est à vingt centimètres du visage dOlivia. Il lintroduit dans sa bouche.
Olivia le suce une dizaine de minutes. Cela paraît une éternité.
Lhomme finit par se retirer, exerce un ou deux mouvements de sa main sur son sexe et éjacule sur le visage dOlivia.
Il se recule et un autre homme prend sa place. Il traine Olivia, toujours attachée à sa laisse jusquà une espèce de chevalet ou de cheval darçon. Du sperme coule de son front sur ses joues et ses lèvres. Elle semble impassible.
Il linstalle le ventre contre cet appareil et la penche en avant. Elle se retrouve les fesses en lair, les jambes écartées. Il lui lie alors les mains avec des menottes quil attache à des lanières au sol. Je constate quelle ne porte pas de culotte. Lhomme déboutonne aussi son pantalon et sans tergiverser introduit son sexe dans celui dOlivia. Il la pénètre ainsi devant tout le monde pendant quelques minutes. Olivia pousse de petits cris et lhomme grogne de plus en plus fort.
Il se retire et un autre homme prend directement sa place.
Il en sera ainsi pour encore quatre dentre eux.
Je suis scotchée à mon tabouret. Les yeux écarquillés. Je ne peux détourner mon regard, trop fascinée par ce spectacle.
Je réalise que ma culotte est trempe de mon excitation.
- Alors petite, me dit un homme qui sest approché de moi. Ça te plait ?
Il est gros, barbu, avec de petits yeux verts.
Ne mattendant pas à être interpellée, je bredouille quelques mots.
- Heu ! Je
oui, je crois.
Il me sourit. Il est moche avec des dents jaunes et un petit furoncle au coin du nez.
Déjà mon regard se retourne vers Olivia qui est à nouveau à genoux en train de sucer deux hommes à la fois.
Je sens à peine les mains qui passent doucement sur mon cou. Cest Catherine, elle me donne un baiser sur la joue. Puis un petit déclic rompt mon état quasi hypnotique.
Je réalise à ce moment que jai moi aussi un collier autour du cou et que cet homme moche, à mon côté, me tient en laisse.
Il tire dessus, je suis arrachée de mon tabouret et tombe à genoux.
- Reste comme ça ! Hurle-t-il alors que je veux me relever. Tu es ma chienne maintenant. Tu dois mobéir sinon je devrai te corriger. Crois-moi ! Jy prendrai un certain plaisir.
Je suis abasourdie par ce propos.
Quelle naïveté aussi. Un instant jai cru que jallais pouvoir assister à cette soirée en simple spectatrice. Mon erreur me ramène à la réalité. Jen serai lactrice principale, le clou du spectacle.
Il me traine durement au milieu de la salle. Jai de la peine à suivre. Je me râpe les genoux.
Un deuxième homme vient laider. Il me menotte les mains dans le dos, puis minstalle sur une grosse boule en latex. Je me retrouve à mon tour les fesses en lair, le visage posé sur le sol. Ils arrachent ma culotte, soulèvent ma jupe puis écartent mes jambes.
- Celle-là, je vais commencer par moccuper de son joli petit cul, dit le type aux yeux verts.
- Non ! pas comme ça ! mentends-je protester.
- Mets-lui un bâillon Mike. Je ne veux pas lentendre se plaindre pendant que je lencule.
Lautre homme minsère alors une boule rose dans la bouche. Elle est attachée par des lanières quils me crochent derrière la tête.
Je sens alors cet homme horrible pénétrer doucement mon anus et commencer des va-et-vient de plus en plus rapides. Je manque de m avec mon bâillon. Son sexe va toujours plus loin en moi. Il prend plaisir. Je sens sa sueur sous ses mains qui poissent mes hanches et mes épaules.
Il se retire enfin et vient vers mon visage que jai toujours posé à terre, la joue droite contre le sol. Il enlève mon bâillon et me redresse un peu. Je prends de grandes respirations. Jai mal au dos. Je ne peux utiliser mes mains qui sont toujours liées.
Il pousse son sexe dans ma bouche, grande ouverte. Je sens le goût de mon cul se répandre contre mon palais, mais ce qui me donne la nausée cest de sentir le pénis de cet homme sur ma langue, contre mes joues. Il ne se prive pas pour autant et jouit en poussant un beuglement de porc que lon égorge.
Sa semence à un goût infecte mais je ne peux la recracher, il laisse son sexe dans ma bouche jusquà ce que javale. Jai la nausée. Il se retire enfin. Le salaud prend encore le temps de sessuyer sur mes cheveux avant de sen aller.
Ma soirée ne fait pourtant que commencer.
Je me retrouve attachée dans des positions plus terribles les unes que les autres. Plusieurs hommes se soulagent en moi.
Je perds la notion de la réalité et suis entrainée dans un ouragan de sensations et démotions.
Mon esprit suffoque. Mon corps jubile.
Je suis submergée de honte, de plaisir, de rage, de désespoir, de jouissance. Tout se mêle puis se démêle. Jamais encore je navais senti pareilles émotions et sensations. Je découvre mon corps. Je me découvre. Cest horriblement délicieux.
Du sperme coule sur mon visage, sur mes lèvres, dans ma bouche, entre mes cuisses et mes fesses.
Lorsque tous les hommes dans la salle semblent soulagés, je crois que je vais pouvoir enfin me libérer. Jai envie de me doucher.
En dépit de mes émotions ou à cause delles, je me sens sale. Jai limpression quune déprime profonde sannonce. La lumière sobscurcit et je commence à glisser dans la fosse.
Je ne suis pourtant pas au bout de mes peines.
Olivia vient vers moi, elle aussi couverte de sperme.
Elle sassied sur un tabouret haut puis écarte les jambes.
Le même petit homme laid aux yeux verts me prend par mon collier et me traine à genoux devant elle.
- Nettoie-la !
Je ne comprends pas, je le regarde, les yeux vides.
Une gifle sanctionne mon impudence. Je reviens à moi.
Olivia écarte encore un peu plus les jambes. Elle met deux doigts sur ses grandes lèvres et les écarte. Elle ouvre son sexe et je vois du sperme poindre et commencer à couler.
- Lèche ! Dit-elle.
- Je
Non. Pas ça ! Sil vous plaît. Je ne peux pas.
Une autre gifle me surprend.
Des larmes se mêlent au sperme sur mon visage et coulent dans mon cou.
Je mapproche et pose mes lèvres sur le sexe dOlivia. Une odeur pénétrante de vulve et de semence en émane. Javale le sperme qui sen échappe. Je passe ma langue sur son clitoris et je lintroduis dans son vagin.
Des hauts le cur me secouent. Des rires les accompagnent.
Enfin, on me tire en arrière et me jette au sol. Des flashs crépitent. Les hommes partent.
Cest terminé.
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