Leslie Nr74

Leslie NR74 – Nouveaux récits
Histoires libertines - Estelle

Estelle est une femme de vingt-cinq ans, marié très jeune à seize ans à Henri, qui lui a quarante ans, sans ils peuvent s’adonner à leur nouveau plaisir favori et commun, le bondage et la soumission.
En fait Estelle, très jeune, fut envoutée par la beauté d’Henri, un ami de ses parents qui venait souvent diner chez eux et c’est tout naturellement que tombée sous le charme d’Henri elle lui dit avait dit oui quand il la demanda en mariage alors qu’elle était encore mineure. Mariage consenti avec l’approbation des parents d’Estelle.
Estelle est issue d’une famille de médecins relativement aisée, Henri lui-même médecin et spécialisé en gynécologie et elle, après des études brillantes qu’elle a continué après le mariage, est maintenant directrice d’une agence immobilière, ce qui fait qu’ils ont situation une situation matérielle confortable.
Dès les débuts de leur union, Henri qui connaissait bien Estelle physiquement pour avoir été son gynéco avant d’être son mari, l’initia aux plaisirs sexuels en l’emmenant progressivement au libertinage, puis à l’échangisme, ce qui fait que chacun de leurs côtés ils ont depuis maintenant plusieurs années des aventures extra-conjugales. Lui avec ses patientes et elle avec ses clients lors des visites de biens.
Puis il y a deux ans il se sont lancés ensemble dans le bondage et la soumission.

Côté physique, Estelle est une jolie femme blonde aux cheveux courts, assez grande, un mètre soixante-huit, ses traits sont fins et réguliers relevés par un discret maquillage mettant en valeur ses yeux verts. Ses hanches étroites et sa taille est fine et sa poitrine est composée de deux jolis seins fermes d’un quatre-vingt-cinq B qui même sans soutien-gorge se tiennent droits. Elle s’habille de façon classique avec toujours un côté sexy, même pour travailler et attirer le regard des clients, avec toujours une petite recherche particulière pour être désirable sans être provocante, à la maison elle vit nue et en ce qui concerne les sous-vêtements elle porte de la lingerie sexy et parfois ne met pas de soutif, ni de culotte.

Quand ils se rendent dans des soirées de bondage et de soumission, Estelle afin de garder son anonymat porte toujours une cagoule noire en stretch avec ouvertures pour les yeux et la bouche mais afin d’être reconnu elle porte souvent la même tenue…
Pour la partie inférieure, un string en tissu satiné noir comportant une très large ouverture à l’entrejambe, laissant ainsi son pubis découvert, le porte-jarretelles assorti et des escarpins ouverts vernis noir avec une fine bride sur la cheville et des talons de douze centimètres, tout cela avec une robe sexy très courte en wetlook se prolongeant par deux bandes en voile transparent, couvrant sans la masquer la poitrine et se nouant derrière la nuque, c’est une robe dos nus. Pour la partie supérieure et seulement pour sortir, afin de couvrir cette tenue quelque peu provocante, Estelle met une superbe cape en velours noir dont l’intérieur est doublé de satin noir.

Estelle prend toujours du plaisir lors de ces séances en compagnie de son homme, maintenant rien ne lui fait peur et accepte toutes sortes de rapports sauf le sado-maso et de plus elle a toujours refusé de porter un collier…
Maintenant en plus des soirées avec son homme et d’autres personnes, elle a, seule, des relations avec d’autres partenaires, le plus souvent des clients hommes ou femmes suivant les occasions qui se présentent et parfois lors des visites de biens…

Depuis quelque temps, Estelle a un nouveau client, Monsieur Gérard, un riche investisseur que ses parents lui ont présenté voilà à peine un an et qui a déjà acheté plusieurs biens à Estelle, un petit immeuble, trois appartements et plusieurs studios que l’agence d’Estelle gèrent à la location.
Monsieur Gérard est un homme chauve d’une soixantaine d’année de taille moyenne, mais trapu, le crâne complètement dégarni, le physique même de l’investisseur standard faisant souvent des diners dans de grands restaurants et aimant aussi la compagnie de jolies jeunes femmes.
Dès leur première rencontre, il avait proposé à Estelle une invitation au restaurant et comme toujours dans ces cas-là elle avait refusé, Estelle n’avait jamais accepté d’invitation de ses clients, même ci ceux-ci avaient été ses amants ou amantes, par principe. Estelle ne tenait pas à établir des relations durables pour garder sa liberté, un one shot lui convenait.

Mais les affaires marchaient bien, les signatures devenaient monnaie courante et Estelle a cessé de se méfier même si les fois suivantes Monsieur Gérard a réitéré son invitation en se montrant dans ses propos plus explicites, la flattant sur sa beauté et le bonheur de traiter avec une jolie femme séduisante.
Estelle n’avait plus de doute, cet homme la draguait ouvertement. Au début, elle trouvait cela plutôt comique, il avait plus de trente ans qu’elle, plus que l’âge de son père et en plus son physique ne lui plaisait pas de trop.
Elle voulut plusieurs fois mettre un terme à cette collaboration professionnelle, ou le remettre gentiment à sa place pour avoie la paix, mais les affaires étant les affaires et le portefeuille de biens de Monsieur Gérard étant maintenant important, elle préféra se taire, d’autant qu’une nouvelle affaire se profilait à l’horizon, la vente d’un hôtel de trente chambres, un hôtel particulier et une villa bord de mer sur la côte.
Et puis, même si elle ne voulait pas le reconnaître, elle ne trouvait pas désagréable d’être courtisée par cet homme d’un certain âge, elle trouvait cela plutôt touchant ayant pu être sa fille. En fait Estelle prenait un certain plaisir de savoir qu’elle plaisait…

Quelques jours avant la signature du contrat pour l’achat de l’hôtel, elle reçu un appel de Monsieur Gérard l’invitant une nouvelle fois à déjeuner avec lui au restaurant en disant :
- Très chère amie, ce serait un plaisir et une bonne occasion de déjeuner avec vous avant de concrétiser ce contrat et avant de donner une suite pour les autres.
Estelle sentit un peu comme une forme de chantage, mais là, sans réfléchir elle a accepté, alors Monsieur Gérard lui dit qu’il va venir la chercher à l’agence.

Estelle attend à l’agence, sur le pas de la porte de son travail se demandant si elle a bien fait d’accepter, mais dans quelques minutes Monsieur Gérard va arriver, il est trop tard pour se défiler. Elle porte une jupe grise qui lui arrive juste au-dessus des genoux, un fin corsage crème sans soutien-gorge, des bas transparents couleur gris-perle qui sont tenus par un porte-jarretelles noir et un string gris en dentelle.
Rien de bien extraordinaire, une tenue de travail habituelle, peut-être faisait-elle pour la première fois une erreur, mais il était trop tard pour renoncer, une Mercedes noire venait de s’arrêter à la hauteur de l’agence et Monsieur Gérard en descendit pour lui ouvrir la portière côté passager en disant :
- Installez-vous Estelle.
Elle s’installe dans la luxueuse voiture, sa jupe remonte à mi-cuisses dans les sièges en cuir, Monsieur Gérard jette un rapide coup d’œil sur ses cuisses et démarre aussitôt en disant :
- Si vous saviez comme vous me rendez heureux !
Monsieur Gérard l’emmène dans une auberge située à quelques kilomètres à la campagne, en forêt. Durant le trajet c’est le silence dans la voiture.

Arrivés, ils s’installent et après avoir commandé, le service commence, les plats sont succulents et se succèdent pendant qu’ils parlent affaires. Le repas dure une bonne heure et demie, et tandis que le repas tire à sa fin, au moment du café, il pose sa main sur la sienne et en la regardant dans les yeux il lui dit :
- Vous savez Estelle vous me plaisez beaucoup !
Estelle soutient son regard quelques secondes puis baisse les yeux, mais elle ne retire pas sa main qu’il caresse un long moment, le cœur d’Estelle s’emballe et un frisson traverse son corps et elle sent que son sexe est déjà humide, comme de nombreuse fois quand dans de pareils cas, elle a envie d’être prise là tout de suite, c’est incompréhensible mais c’est ainsi…
Monsieur Gérard demande l’addition, règle en carte bleue, puis l’invitant à se lever, il l’accompagne pour regagner la voiture.

Ils sont de nouveau dans la voiture, Monsieur Gérard s’apprête à démarrer, mais il se tourne vers Estelle, et lui demande :
- Vous savez, vous n’êtes pas obligé d’accepter !
Alors sans réfléchir, elle se penche vers lui, et pose les lèvres sur les siennes, aussitôt la langue de Monsieur Gérard investit sa bouche, la fouille et s’enroule autour de la sienne, puis une main se pose sur son genou, remonte le long de la cuisse par-dessus le bas, lentement, presque jusqu’au string, elle retient son bras avant qu’il n’aille plus loin alors que pourtant elle a envie qu’il la touche.
Il n’insiste pas, leurs baiser se termine, elle reprend sa place et il démarre. Ils roulent un long moment sans un mot, le silence est pesant car chacun est désireux de l’autre, puis la voiture entre dans une immense propriété et après s’être arrêté et avoir coupé le moteur, il descend et fait le tour de la voiture et elle l’invite à descendre, puis il pose sa main sur son épaule et l’entraîne vers l’intérieur.

A suivre…