La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1553)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode N°1519) -
- Vas dans notre chambre, je vais demander à Chloris de passer pour apaiser ton dos et ton cul. Moi je dois parler à mon père...
Chloris arriva rapidement avec un baume apaisant et puissant car Ronan ne voulait pas que les jolies fesses de Clémence soient abimées.
- Que sest-il passé Clémence pour quil te punisse ainsi ?
- Je lui ai demandé. Marie était avec nous et je voulais quelle voie que même sil maime, il peut aussi me punir, que les sentiments nont rien à voir avec une relation de Domination/soumission et nempêcheront jamais une sanction si celle-ci est méritée
Ma punition était donc méritée et donc je devais la subir avec humilité
Pendant ce temps Ronan frappait à la porte du cabinet de travail de son père, le Seigneur dEvans.
- Entrez !
- Père, pourrais-je vous entretenir un moment.
- Bien sûr, Mon fils. Un problème avec la nouvelle, cet après- midi ?
- Ho non, elle na commis aucune faute, cest Clémence que jai dû sanctionner.
- Clémence ?
- Oui elle ma désobéi mais cétait plus un réflexe malheureux mais ce nest pas la raison de ma venue. Voilà après la punition de Clémence, que jai puni volontairement devant Marie, je les ai vu toutes les deux à genoux et Marie, bien quessayant de le cacher, observait Clémence. Et jai eu une idée
Je sais que cela ne fait pas partie de nos habitudes et défient un peu vos règles établies, mais je pense que ce serait une bonne chose surtout pour les nouvelles...
Le Seigneur dEvans prit un air interrogatif, puis
- Ronan, jai toujours écouté ce que tu as à me dire, mais cest toujours Moi qui dirige ce Château, même si bientôt ce sera toi. Je ne suis pas contre les nouveautés mais si notre noble Famille et ce Château fonctionne bien, cest grâce au respect de Mes règles.
- Certes, père, je ne voyais pas les choses autrement. Mais, voilà pourquoi je suis là.
- Alors je técoute...
- Eh bien voilà, je me disais que les nouvelles soumises devraient avoir une sorte de marraine, une confidente avec qui elles pourraient parler de tout sans restriction. Quant à la marraine, elle pourrait parler de ses expériences, ses punitions et ce qui les a occasionnées et autres pour apprendre ce qui est acceptable ou pas à sa filleule.
Le Seigneur dEvans était pensif. Il tenait plus que tout à la confidentialité sauf dans certains cas. Il finit par dire :
- Ce nest pas une mauvaise idée en soi
Mais, il faudrait faire un test
.
- Justement je pensais à Clémence pour Marie, après ce qui sest passé et ce que jai vu cet après-midi.
- Bon, Je suis daccord, on peut essayer
Bien, jai encore fort à faire, alors on en reparle ensemble au souper.
- Très bien, père, à tout à lheure.
Ronan retourna dans sa chambre chercher Clémence et il fut surpris de la trouver endormie. Chloris à ses côtés rangeant ses affaires.
- Que ce passe-t-il ?, elle va bien ?
- Oui ça va aller, lui répondit Chloris. Elle a juste besoin de repos.
Antonin arriva juste à ce moment-là dans le cadre de la porte restée ouverte.
- Vous êtes prêts ?... Allons souper ou Charles va nous attendre.
Lors du repas, le Seigneur dEvans remarqua que lambiance était détendue entre Ronan et Chloris :
- Chloris, ça me fait plaisir de vous voir toujours bien vous entendre, tous les deux !
Ronan répondit à sa place :
- Oui on sentend toujours à merveille !... Et puis cette histoire du chat à 9 queues a émoustillé mes sens ! Je suis de bonne humeur, père !
- Quoi le chat à 9 queues?, interrogea le Seigneur dEvans.
- Chloris vient de soigner Clémence des coups du chat à 9 queues que jai utilisé pour la punir cette après- midi.
- Tout de même, Ronan, jespère que tu as su la corriger correctement ?
- Je ne lui ai donné que 10 coups et de plus, il y de cela un moment, cest elle-même qui ma avoué souhaiter tester le chat à 9 queues un jour et loccasion sest présentée aujourdhui ! Et cest pour ça que je suis de bonne humeur !
- 10 coups ? Cest bien peu ! Le double aurait été bien plus approprié pour une petite faute commise. Et donc tu as encore besoin dapprendre quil faut ne jamais sous-évaluer une sanction
conclut le seigneur dEvans, tout sourire.
A la fin du repas, Ronan se rendit aux cuisines demander à Angélique de préparer et de faire monter un repas pour Clémence et davoir leur petit déjeuner dans leur chambre le lendemain matin.
- Bien Monseigneur.
Quelques jours plus tard, le Seigneur dEvans fit venir, dans Son cabinet de travail, Ronan et Clémence voulant les entretenir de lidée de Ronan et de léventuel accord de Clémence dêtre la confidente-marraine de la jeune Marie. Clémence accepta volontiers car malgré la différence dâge, elle se sentait proche de Marie qui lui rappelait la novice quelle avait elle-même été à son âge.
- Mon oncle, Vous êtes certain que je peux tout dire à Marie de mon parcourt et de ma vie de soumise ?
- Oui absolument, tout mais à Marie seulement. Bien javertirai Marie ce soir ... Maintenant vous pouvez vaquer à vos occupations.
Et donc ce soir-là le Seigneur dEvans fit venir Marie dans Sa chambre pour linformer de Sa décision. Ensuite Il décida de lui montrer encore un nouvel endroit du Château. Le Seigneur dEvans tenait Marie en laisse ainsi que Marion qui suivaient avec grâce et sensualité, leur nudité contribuant à pimenter leur déplacement en quadrupédie. Il dit à lattention de Marie.
- Tu te demandes où je vous emmène, nest-ce pas ?
- Oui Maître, mais jai confiance en Vous et je Vous suivrais partout où Vous memmènerez.
Tout en marchant, Il leur expliqua :
- Je vous emmène dans Mon Donjon tout neuf car réaménagé très récemment sur les trois niveaux qui le composent : Le premier étant pour les fautes graves, le second est pour fautes moyennes ou moins grave et le dernier, celui où nous allons, simplement pour les plaisirs D/s à vivre dans un Donjon.
Marie était très excitée, cétait la première fois quelle entrait dans un Donjon. En pénétrant à lintérieur, la lumière était tamisée et ne lui permit pas de voir ce qui composait le premier et le second niveau. En revanche, le troisième niveau était très bien éclairé par de multiples chandelles et via un grand feu dans la cheminée chauffant abondement lensemble du bâtiment. La pièce était équipée de cordes, de chaines, dattaches diverses, dune multitude de fouets et cravaches, une croix de Saint André et en son centre un immense lit à baldaquin recouvert de draps rouge parsemé de fin fils dor et de coussins bleu roi ainsi que quelques sièges et fauteuils recouvert de ces mêmes couleurs.
- Voici mes chiennes, Mon nouveau Donjon, dit le Seigneur dEvans fier de Ses travaux.
- Marion et Marie nen croyait pas leurs yeux et regardaient partout à la fois.
- Bien, nous allons commencer.
Le Seigneur dEvans prit Marie par les cheveux, sans violence mais fermement, pour quelle le suive et lattacha à la croix de Saint André.
- Garde la tête levée, pour linstant tu observes
Toi, Ma chienne, vient Me dévêtir, ensuite met-toi en position dattente.
Marion très docile fit ce qui lui était exigé et neut pas longtemps à attendre. Le Maître se leva et prit un des martinets et lui administra plusieurs coups destinés à lexciter. Marion adorait la sensation du cuir sur sa peau, son dos, ses cuisses, ses fesses et quand une lanière atteignait sa chatte déjà bien humide, elle sentait une forte poussée dexcitation monter en elle et un lorgasme se rapprocher, surtout quand le Maître la doigtait abondamment entre deux coups de martinet.
- Tu vois petite chienne ce quest une véritable soumise, elle subit sans se plaindre seuls ses gémissements et autres cris de plaisir lui sont autorisés, car jaime entendre Mes salopes gémir ainsi. Et elle ne jouit pas sans Mon ordre, nest-ce pas Ma chienne, tu seras bien obéissante pour Moi ?
- Ouiiiiiiiiii
Je
Je ne suis pas infaillible, Maî
Maître, mais je ferais de mon mieux pour Vous satisfaire.
- Bien, debout chienne, bras au-dessus de la tête.
Le Seigneur dEvans lattacha, mains en lair, les jambes écartées, et également attachées. Il tournait autour delle admirant sa croupe rougie par le martinet.
- Ce soir, je veux Me distraire, cest pourquoi je vous autorise à vous exprimer si vous souhaiter dire quelque chose ou poser des questions, mais ce sera uniquement pour ce soir car je suis de bonne humeur
Marion savait ce que cela voulait dire. Elle leva vers le Maître des yeux emplis de soumission pour demander la parole ayant les mains attachées au-dessus de la tête. Le martinet lavait tant excitée quelle mourrait denvie de sentir la noble Verge du Maître la posséder.
- Oui, chienne, que veux- tu ?
- Vous Maître, sil vous plait...
- Mais, je suis là !
- Je souhaiterais Vous sentir en moi, Maître.
- Hum cela pourrait se faire mais de la façon que jaurais décidé
Alors pour commencer, tu vas Me supplier de taccorder ce privilège.
- Maître, baissez moi, sil Vous plait.
- Il va falloir faire mieux que ça salope.
- Je Vous en supplie, Maître, par pitié prenez moi, possédez-moi, jai tant besoin de Vous sentir en moi...
(A suivre...)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!