Isabelle 3 Fin : Notre Maîtresse Va Trop Loin
Isabelle va trop loin
Notre relation avec Isabelle va sarrêter de façon brutale lorsque au cours dun week-end où nous étions « convoqués » tous les deux et subissions les désirs de notre maîtresse, un incident est venu « perturber » la réunion.
Ce jour-là, Isabelle recevait un couple damis. La femme était aussi une dominatrice, son mari nétait pas soumis et les deux femmes (qui étaient aussi amantes) avaient décidées de lui faire découvrir les joies de la domination.
Depuis le matin, nous étions Rose Marie et moi, à la disposition du trio. Les deux femmes avaient abusé de nous. Fessés, godés avec ou sans ceinture, nous étions passés successivement ou parfois ensemble sous la coupe des deux femelles en chaleur, qui avaient même utilisé ma chérie ensemble.
Lhomme sétait contenté dutiliser Rose Marie sous mes yeux après que je lai sucé, pendant ce temps là, face à eux, sa femme membrochait de son gode ceinture. Isabelle tournant autour des couples pour donner des conseils ou se faire lécher par lun ou lautre des quatre acteurs.
Après cette séance, nous étions, Rose Marie et moi en position dinspection et les trois autres discutaient tranquillement en buvant, lorsquune femme denviron soixante cinq- soixante dix ans fait irruption dans la maison. Elle est nue, se met en position dinspection à nos côtés. Isabelle se déchaîne alors sur elle
« Que fais-tu là espèce de raclure ? Tu sais bien que tu es partie et que donc tout est fini entre nous !
Sil vous plaît, maîtresse ! Reprenez-moi ! Je nen peux plus de ne pas vous voir ! Je vous jure que je ne repartirai pas, tatouez-moi à votre nom! Je vous appartiens corps et âme ! Faites ce que vous voulez de moi mais ne me laissez pas !
Je ne vois pas pourquoi je te croirais plus aujourdhui quavant. Tu es partie de ton plein gré et on ne revient pas comme çà chez moi ! Isabelle est en rage, elle ne se contrôle plus. Galvanisée peut-être par les spectateurs elle déclare alors : Tu vas passer un dernier test.
Merci maîtresse ! »
Commence alors une séance dune sauvagerie extrême. La femme subit tour à tour, le martinet, puis la cravache, celle-ci de façon violente, qui laisse des traces profondes sur son corps. La femme tente de ne pas crier mais ny parvient plus lorsque les coups atteignent son entrejambes. Isabelle transmet le martinet à lautre femme qui semble encore plus féroce. La vieille couine maintenant sous les coups. Les deux femelles excitées la prennent sous les bras et lattachent à un poteau. Isabelle se saisi dun fouet et sacharne sur le dos de la malheureuse qui, nen pouvant plus se relâche et urine sous elle, déclenchant les moqueries et les insultes.
Rose Marie ne peut se retenir de manifester son désaccord. Le regard que lui jette alors Isabelle fait peur, mais, se retenant, elle nous ordonne de partir « à la niche », qui est en fait une petite pièce noire sans ouverture avec juste un tapis par terre.
Là, blottis lun contre lautre nous entendrons longtemps les plaintes de la femme avant que la porte de notre réduit ne souvre et quelle soit jetée au sol. Nous lentourons pour la réchauffer et la réconforter. La pauvre est brûlante, son corps couvert de traces dues au fouet, ses lèvres intimes et son anus boursouflés, elle est couverte durine et même dexcréments !
Longtemps elle va pleurer dans nos bras. Nus les uns contre les autres, nous sommes solidaires de cette pauvre femme, qui vers le matin alors quune pâle lueur éclaire notre « niche » va nous raconter à travers des sanglots, les affres quelle a subit de la part de ses trois bourreaux et particulièrement des femmes.
Elle nous supplie de partir tant quil est temps.
« Si vous attendez trop, vous finirez comme moi. Jai cru pouvoir men détacher. Je suis partie il y a trois mois, après deux ans de soumission, mais voilà, je ne peux plus me passer delle.
Trois mois, dis-je et quinze jours pour mon amie mais pour moi cela na lieu que toutes les deux semaines, mon amie est venue plusieurs fois
Alors il est encore temps pour vous de choisir, si vous ne voulez pas finir en épave comme moi, sauvez-vous ! »
Nous discutons longtemps entre nous, nous serrant pour ne pas avoir froid, nous chuchotons. Rose Marie a été choquée par la violence dIsabelle et de la femme vis-à-vis de notre compagne soumise. Jusque là le jeu lui paraissait plutôt agréable mais la limite a été franchie. Un ressort est cassé.
La porte souvre dun coup et nous recevons une bassine deau froide.
« Allez, les chiens, debout ! Nettoyez-vous un peu çà pue là dedans ! Oh et puis, on va faire mieux, sortez de là ! Allez, dehors ! »
Trempés et penauds, nous soutenons notre compagne et suivons Isabelle à lextérieur de la maison. En passant le couple se gondole et nous suit.
Là, Isabelle se saisi du tuyau darrosage et nous asperge de leau froide, insistant malgré nos cris. Le couple et notre dominatrice commentent en rigolant nos efforts désespérés. Satisfaite de sa farce, elle nous jette une serviette pour les trois, et rejoint le couple à lintérieur. Avec notre infortunée amie, nous nous essuyons mutuellement. Cest au cours de lopération de Rose Marie annonce quelle arrête, que cen est trop, me demandant ce que je compte faire. Je suis daccord avec elle et, en rentrant, nous prenons nos habits, les enfilons rapidement, récupérons les clés de voiture et quittons la maison.
En démarrant je vois Isabelle à la porte qui gesticule et vocifère, mais, nous rentrons chez nous.
Sous la douche réparatrice et mutuelle, nous réapprenons la tendresse, même si Rose Marie mindique que à lavenir, rien ne sera pareil, quelle compte me « prendre en main » sans atteindre les débordements de notre ancienne maîtresse.
Lépisode pourrait sarrêter ici, mais la conclusion surprenante mérite dêtre narrée.
Le lundi suivant ce week-end particulier, Rose Marie convoque Isabelle dans son bureau. Elle lui confirme notre décision, lui interdit de lapprocher en dehors de ses fonctions, la menace de la dénoncer pour violence si elle savise de parler de notre expérience et la congédie en la remerciant toutefois de lui avoir fait découvrir le plaisir entre femmes et lui collant un baiser passionné sur la bouche.
Quelques temps plus tard, alors que jétais en week-end chez ma chérie, nous voyons débarquer Isabelle qui avait bien sûr attendu que je sois là. Elle nous apparaît fatiguée, lair las, négligée dans sa tenue. Elle ne ressemble plus à la femme distinguée qui prend lascendant sur ses interlocuteurs. Elle supplie Rose Marie de la recevoir une dernière fois. De concert nous lui refusons lentrée et la recevons sur la terrasse. Nous sommes assis et elle reste debout, penaude.
Tout dabord elle sexcuse de son attitude outrancière. Jure quelle ne cherchera plus à nous dominer, quelle a conscience davoir été trop loin et même avec notre compagne dinfortune entrevue chez elle, il ny a plus de violence. Elle arrive enfin au vrai but de sa visite et sa révélation ne se fait pas sans mal. Elle se tortille, baisse les yeux, marmonne, des larmes, même perlent dans ses yeux au fur et à mesure de son discours.
« Je suis venue, car je nen peux plus dêtre séparée et fâchée avec toi, dit-elle en sadressant plus particulièrement à Rose Marie. Depuis ton départ et ce que tu mas dis dans ton bureau, je nai plus dappétit, je dors mal, même ma soumise ne me reconnaît plus car je ne la frappe plus.
Je taime Rose Marie jai mis du temps à men rendre compte, mais aujourdhui je le sais, alors si tu veux bien de moi, ne serait-ce que pour faire tes taches ménagères, ta lessive, la vaisselle.
J'interviens alors.
Tu penses que ses filles ne seront pas surprises de voir la nouvelle femme de ménage travailler nue avec les fesses rouges ?
Tu es fou me dis Rose Marie
Non ! Mais, puisque quelle le demande, pourquoi ne pas samuser avec elle ?
Mais je ne suis pas du tout comme çà ! Et puis tu as vu où cela mène ? Non je ne suis pas daccord !
Je nai pas non plus envie d'être violent, mais nous avons un week-end pour nous amuser et puisque tes filles ne sont pas là, çà tombe bien.
Je ne sais pas si
.
Juste ce week-end. En contre partie, tu lautoriseras à te parler, sans jamais aborder ce sujet ni celui de son amour, à moins que tu nen ais envie ?
N
Non mais je
Juste une fois et on arrête
Si tu le veux.
Tu crois quon peut faire çà ?
On peut essayer et si ce nest vraiment pas notre truc on arrête tout de suite. Est-ce que tu es daccord pour avoir des relations
normales avec elle ?
Oui, je veux bien lui pardonner.
Bien, alors on va voir si elle est sérieuse. Toi, dis-je à Isabelle, tu as bien entendu, tu as un week-end pour prouver ta bonne foi. Tu as jusquà dimanche soir pour faire tes preuves. A ce moment, si elle est convaincue, tu auras le droit de lui parler pour autre chose que le travail. Tout peut sarrêter dimanche ou même avant.
Je suis daccord.
Sur tout ?
Sur tout !
Bien, alors à poil !
I
Ici ?
Pourquoi pas ? Après tout, tu ne tes pas gênée avec nous.
Oui bien sûr.
Ensuite tu rentres et tu nous attends »
Isabelle retire très vite ses vêtements, les abandonne et court se réfugier dans la maison. Je sens que ma chérie est à la limite dabandonner, aussi je la convainc que cest une leçon à lui donner, que cela ne nous engage à rien, que cela va mettre un peu de piquant, que
çà mexcite et que jai envie delle.
Je ne sais lequel de ces arguments porte le plus, mais elle accepte. On sembrasse tendrement et rentrons, non sans ramasser les effets dIsabelle restés sur la terrasse.
Nous la trouvons dans lentrée, immobile. Elle a même pris la pose dinspection que Rose Marie lui demande de quitter. Je lui trouve un tablier de devant et une paire de sandales. Nous lui indiquons alors les travaux quelle a à faire. La vaisselle, nettoyer la cuisine et la salle de bains, ranger les différentes pièces, toutes, sauf, pour linstant notre chambre dans laquelle nous avons « à faire »
Nous avons fait lamour pendant deux heures, ma chérie trouvant que jétais particulièrement excité, mais elle aussi, la situation la stimulait. Elle a même accepté de laisser la porte de la chambre ouverte afin quIsabelle puisse nous voir sans pouvoir bien sûr intervenir, ce qui lui causera beaucoup de tourments lorsquelle nous trouvera. Elle va rester sur le pas de la porte à nous regarder jusqu'à que nous la chassions. Rose Marie qui est d'habitude peu causante, a exagéré ses gémissements et ses cris afin de tourmenter notre spectatrice.
Toute la journée, nous la passerons en peignoir, à parler, à regarder la télé ou Internet, laissant notre « servante » travailler. Elle prétextait souvent un renseignement pour nous parler. Nous trouvait quelques fois, en train de nous embrasser ou nous caresser, mais ne faisait aucune remarque, même si ses yeux brillaient un peu plus.
Isabelle na pas arrêté de nettoyer, astiquer, laver. Le spectacle de cette belle femme exposant son corps involontairement avait tendance à nous exciter et sans nous cacher nous nous sommes embrassés, sucés et caressés plusieurs fois jusquau soir.
Après avoir pris une douche dans une salle de bains rutilante, nous nous sommes habillés pour aller dîner au restaurant. Nous avons laissé Isabelle en luis disant de se nettoyer elle-même et lui montrant le canapé où elle pouvait dormir.
Pendant le repas, nous avons discuté de cette situation, certes amusante, mais que nous navons pas vraiment envie de poursuivre longtemps. Nous voulons surtout lui donner une bonne leçon et faire en sorte que cette histoire se termine.
Nous convenons néanmoins que cela nous excite bien tous les deux et que cest finalement agréable alors
Au retour, nous trouvons Isabelle endormie profondément. Nous la laissons et lui laissons un mot sur le tableau de la cuisine, de nous apporter le petit déjeuner à neuf heures, dans notre chambre.
Rose Marie se sent de nature mutine et la présence dIsabelle lui donne des idées. Elle décide dêtre ce soir la « maîtresse » et moi son serviteur ce que je mempresse dêtre. Cest elle qui commande les caresses et les positions. Je pense que nous avons fait un peu de bruit, car un moment, nous avons entendu du bruit dans lescalier. Sûrement Isabelle que venait écouter, sans toutefois venir jusquà notre porte.
Le lendemain, à neuf heures précises, Isabelle entre dans la chambre. Ayant entendu ses pas dans lescalier jai enlevé le drap qui nous couvrait et fais semblant de dormir. Tourné vers la porte, entre mes cils je vois Isabelle portant le plateau et vêtue du tablier, qui sarrête et nous regarde silencieusement. Ses yeux brillent en regardant le corps de ma compagne endormie. Elle sapproche sans bruit, à toucher le lit. Je peux sentir son odeur de femme. Ne pouvant me voir à cause du plateau toujours à la main je glisse ma main sous le tablier et atteins aussitôt sa fourche moite. Surprise et se raidi, mais ne fait rien pour échapper à mes doigts. Je la branle rapidement et elle joui sans bruit, laissant échapper son flot de cyprine.
Je me redresse alors et déclare tout haut en réveillant Rose Marie
« Regarde ma chérie ! Voilà notre petit déjeuner. Nest-ce pas charmant ?
Mmmmhhh dit-elle un peu ensommeillée. Merci, Tu peux ten aller maintenant. Continue ton travail»
Nous déjeunons tranquillement puis, ayant posé le plateau jentreprends de lécher ma compagne, retrouvant entre ses jambes lodeur forte de la nuit qui me ravit.
Après la douche, jappelle notre servante afin quelle puisse voir le corps de ma compagne, lempêchant de sapprocher. Elle est complètement tétanisée lorsque je caresse Rose Marie. Admirer ce corps auquel elle na pas droit, est une pour elle.
Alors que je reviens après être sorti chercher du pain et des huîtres, Rose Marie me fait part dune demande dIsabelle
« Elle voudrait être punie et recevoir une fessée. Je lui ai dit que je ne la toucherai pas car jai vu où ces pratiques menaient.
Tu as bien fait ! Par contre jai remarqué que voir ton corps sans pouvoir y toucher était une véritable pour elle, aussi, nous allons faire lamour devant elle. Elle va voir comment tu prends du plaisir.
Oh non pas comme çà !
Elle nous a bien regardés hier. Attends, tu va voir ! » Je vais vers Isabelle, lui enlève son tablier, puis lui mettant les bras dans le dos, lui attache les poignets avec le tissu. « Tu restes debout et comme çà tu ne pourras pas te toucher ! Ecarte les jambes, tu ne pourras pas non plus te faire jouir. »
Nous prenons lapéro, histoire de faire sauter quelques barrières de ma chérie. Sur le canapé, je commence à lembrasser, la caresser, la déshabiller, et tendrement nous faisons lamour. Après les premières hésitations, Rose Marie se laisse aller et peut-être par la présence de notre spectatrice prend du plaisir lorsque la prenant en levrette elle regarde Isabelle qui se tord sous la frustration.
Alors que nous récupérons, affalés sur la couche, jappelle notre servante et lui commande de lécher ma chérie. Elle ne se le fait pas dire deux fois et se précipite à genoux, les mains toujours entravées. Ma chérie, curieusement, noppose aucune résistance et apprécie la caresse homosexuelle. Il faut dire quelle a appris à aimer cela.
Sous la langue experte dIsabelle conjuguée à mes baisers et caresses, elle jouit en abondance, demandant grâce après deux ou trois orgasmes particulièrement intenses.
Joblige Isabelle à se relever. Elle ne peut toujours pas sessuyer mais de la langue elle récupère ce quelle peut du jus de Rose Marie, son visage reste malgré tout barbouillé ce qui augmente sa car lodeur se son amour reste présente.
Le soir venu, avant que je ne parte, nous autorisons Isabelle à se rhabiller, dautant que les filles de ma chérie vont rentrer.
Nous faisons le bilan de ce week-end. Isabelle a pu voir que lon pouvait sans violence, entrer dans ce monde un peu spécial de la soumission/domination. Elle demande à pouvoir renouveler lexpérience, même si ce nest pas souvent. Je lui dis que la décision ne mincombe pas. Que cela devait être une occasion unique et que même si javais beaucoup pris de plaisir, je ne savais pas si jétais prêt à continuer. Ma compagne abondait dans mon sens et cest une Isabelle en pleurs qui nous quittait non sans nous remercier longuement.
Nous avions apprécié ce week-end ma chérie et moi. Quelques temps après je demandai à Rose Marie comment se comportait Isabelle avec elle.
« Elle est très respectueuse, tout le monde trouve quelle est devenue plus agréable avec tout le monde. Je vois quelle me regarde sauvent à la dérobée, mais cest tout. »
Après quelques semaines, Isabelle a demandé à ma chérie si elle la laisserait parfois la gouiner comme elle lavait fait une fois. Rose Marie a résisté plusieurs fois. Elle ma parlé un jour des demandes réitérées de sa collègue. Sentant bien quelle était tentée, je lui ai suggéré que cela pourrait être une récompense pour le bon comportement dIsabelle et une source de plaisir pour elle-même. Je lencourageais même à y répondre favorablement.
Ainsi, de temps en temps, Isabelle passait chez ma chérie et la léchait amoureusement, seule caresse autorisée. Rose Marie me lavait « avoué » un soir où elle était émoustillée, je pense même quelle avait envie à ce moment-là, dappeler Isabelle pour quelle le fasse en ma présence, mais ne la pas fait.
Trois jours plus tard, elle mappelle au téléphone comme nous le faisions souvent. Sa voix est câline et après quelques instants, elle me déclare :
« Mon chéri ! En ce moment, Isabelle est entre mes cuisses et me lèche divinement ! Je suis sûre que çà texcite ! »
***
FIN
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