La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1399)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode N°1397) -
Quelques jours plus tard Louise était partie
La vie au Château se passait le plus normalement du monde sans incidents notables. Un jour, Emilie travaillant toujours aux écuries aux bons soins des chevaux fut saisie par larrivée inattendue de Messire Léon. Surprise en sursautant, elle lâcha malencontreusement le sceau de grains quelle avait en main. Messire Léon sapprocha delle.
- Espèce de maladroite, regarde ce que tu as fait, un sceau complet de grains gâché par ta faute. Je vais devoir te sanctionner.
Emilie leva vers lui des yeux implorants et demandant la parole. Messire Léon lautorisa à sexprimer.
- Messire, je mérite une sanction mais je vous supplie de la reporter le temps que je ramasse les grains au plus vite.
- Cest daccord, espèce de gaffeuse, mais dépêche-toi, salope.
Quand elle eut terminé, Emilie se mit en position dattente. Messire Léon avait attendu et sapprocha delle un fouet à la main.
- Bien, comme tu es novice, ce sera seulement 10 coups de fouet. Et tu comptes et me remercies après chacun deux. Si tu te trompes, je recommence à zéro. Est-ce clair la chienne ?
- Tout à fait clair, Messire Léon.
Le premier coup tomba.
- Aïe ! Un, merci Messire.
- De
Deux, merci Messire
-
- 10, merci Messire davoir pris de votre temps pour corriger ma maladresse.
- Tu iras toi- même voir le Seigneur dEvans pour Lui avouer ta faute et la sanction que je tai infligée. Et Il jugera Lui-même si cela est suffisant ou non.
- Bien Messire Léon.
- En attendant viens me sucer, il paraît que ta bouche de salope et bien savoureuse.
Emilie sapprocha et défit les chausses de Messire Léon déformées par la bosse caractéristique de lexcitation masculine. La soumise entama alors sa fellation avec dévotion et application.
- Utilise tes mains pour me masser les bourses, la chienne.
Emilie sexécuta mais ne savait très bien comment faire pour ne pas lui faire mal et le fit donc avec beaucoup de douceur. Pendant ce temps-là, toujours plantée dans sa bouche, la queue de Messire Léon avait gagné en volume, en dureté et en grosseur sous les savants coups de langue et léchage dEmilie. Si bien quau bout dun long moment de va-et-vient de la bouche dEmilie, cette grosse verge eut des soubresauts. Tandis quil râlait de plaisir, soudain Messire Léon plaqua le visage dEmilie contre son bas-ventre et éjacula en de longs jets saccadés de sperme chaud et épais au fond de la cavité buccale de la belle jeune fille. Cette dernière manquant de s par manque dhabitude, avala malgré tout lentièreté de la semence avec délice, bonheur et reconnaissance.
- Dis-moi la salope, as-tu déjà été dépucelée par le cul ?
- Non jamais Messire, je ne suis là que depuis peu de temps. Mais je sais que le Maître tient et exige dêtre Le Premier pour prendre possession de ce passage-là.
- Certes aussi, je me contenterai juste de le dilater de mes doigts.
- Suis-moi, je vais te faire découvrir une selle bien particulière.
En effet, il y avait dans la sellerie, bien rangées quelques selles, utilisées pour monter à cheval mais dune manière peu commune car munie dun ou deux sexes factices en bois. Cétait pour chacune de ces selles, un olisbos fixé à la verticale et toute la partie saillante ressemblant à sy méprendre à une verge dressée bien droite en un I vertical
- Grimpe sur celle-ci et empale-toi entièrement dessus dans ta chatte.
Emilie déjà ultra excitée par la situation et le lieu, neut pas la moindre difficulté à sasseoir sur la selle et à installer le sexe factice de bonne dimension, tout au fond de sa chatte déjà très humide.
- On dirait que mon traitement te plaît la chienne ? De plus tu touvres facilement, on ne dirait pas que tu naies jamais été dépucelée du cul.
- Je vous jure Messire, ça na jamais été le cas.
Insérant un deuxième doigt.
- Oui Messire, cest bon hummm
encore
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Messire Léon alla jusquà lui mettre trois doigts. Emilie navait encore jamais connu pareil plaisir, ni pareil état dhumidité, elle était plus que trempée et coulait littéralement sa cyprine.
- Mes
Messsire aah
puiiiiiis-je jouir, sil vous plait ?
- Tu as bien résisté donc je te laccorde
Jouit la chienne
Ce fut un orgasme hors norme, le plus puissant quEmilie neut jamais connu, tellement fort que Messire Léon dut la porter jusquau Château car ses jambes nauraient pu la supporter
Plus tard, après avoir repris ses esprits, elle aida pour le service du soir et avant que le Maître ne quitte la salle à manger, elle Lui demanda sIl avait un petit moment à lui accorder car elle devait Lui parler.
- Demain matin dans Mon cabinet de travail, après le petit déjeuner.
- Bien Maître, je Vous remercie.
Le lendemain matin comme convenu, Emilie se présenta devant la porte du cabinet de travail du Maître et frappa à la porte.
- Bien de quoi souhaitais-tu Ma parler, Ma chienne ?
- Je dois Vous avouer une faute que jai commise et pour laquelle Messire Léon a pris de son temps pour me sanctionner et pour que Vous puissiez juger si cette sanction était suffisante ou pas quant à la faute commise.
- Jai toute confiance en Messire Léon en terme de sanction mais soit. Il me semblait bien avoir remarqué des marques sur ta croupe de salope. Alors explique-Moi.
- Hier, quand Messire Léon est entré dans lécurie, jai été surprise car je ne lavais pas entendu arriver et jai lâché un seau de grains. Messire Léon a eu la clémence de me laisser en ramasser le maximum avant de me punir. Puis, il ma donné 10 coups de fouet et ensuite, mais jignore si cela faisait partie de la sanction, il a exigé que je le suce et le faire jouir. Après il ma emmené dans la sellerie et massoir sur une selle particulière munie dun olisbos vertical et ma doigté le cul et inséré trois doigts.
- Je vois
Ta-t-il autorisé à jouir ?
- Oui Maître, après mavoir dit que javais bien résisté à me retenir.
- Très bien je pense quil est grand temps que je te dépucelle du cul. Ainsi si cela se reproduit ou en dautres circonstances, il pourra lui aussi en disposer.
Emilie baissa la tête en signe dhumilité et pour exprimer sa reconnaissance et son acceptation quant à la décision du Maître.
- Debout jambes largement écartées, penche-toi en avant, buste sur la table. Exécution chienne !
- Oui Maître, tout de suite.
Emilie se mit dans la position exigée et attendit très excitée à lidée de ce qui allait suivre. Elle était consciente de lhonneur que lui faisait le Maître mais aussi que dès lors, elle serait comme toutes les autres, certes toujours novice, mais ouverte de tous ses orifices.
- Bien puisque cest la première fois que tu seras prise par ton cul de chienne, tu es autorisée en cas de trop forte douleur de Me demander de ralentir, voire de stopper totalement. Tout dépend de la soumise. Certaines ont mal la première fois, dautre pas.
Le Maître attrapa un pot de graisse de porc quIl avait toujours à portée de main et ne voulant pas aller trop vite dans Son grand savoir-faire, Il commença par caresser le corps dEmilie, son bas du dos et ses fesses et lui mit quelques claques excitantes. Puis il passa Son doigt le long de sa raie de haut en bas et de bas en haut en allant à chaque passage un peu plus loin. Ensuite, Il enduisit son anus abondamment de graisse ainsi quun de Ses doigts quIl fit lentement pénétrer dans le cul graissé, de la jeune Emilie, qui comme la veille se dilatait rapidement. Quand Il eut mis trois doigts bien graissé, Il sortit Sa belle queue déjà bandée et lenduisit également dune bonne dose de graisse aussi en remis à lentrée de lanus dEmilie qui gémissait depuis le premier doigt inséré. Il la pénétra tout doucement jusquau fond, ressortit et recommença, le temps que le passage souvre. Grace à la graisse, la grosse verge entra facilement et Emilie ne gémissait plus mais hurlait de plaisirs ondulant de ses fesses. Voyant cela, le Seigneur dEvans alla de plus en plus vite jusquà la baiser, la sodomiser virilement, la prendre sauvagement à grands coups de reins, bestialement en une véritable saillie animale. Emilie criait, coulait tout son corps ressentant mille et un plaisir à la fois, ce fut donc un dépucelage anal mémorable. Le Maître lui titillait, en même temps, son clito si réceptif et si sensible et la pénétrait de Ses doigts encore enduit de graisse, Emilie était sur le point de basculer dans la folie jouissive.
- Oui Maître cest trop bon
ouiiiii encore plus fort
hooooooo
Ouiiiiiiiiiiiiiiii
.. jadooooooooooooooore
- Tu en veux encore salope de chienne, taime ça être baisée par le Maître. Baisée et enculée, salope !
Le Seigneur dEvans finit par jouir au fond de son cul désormais béant et lui donna lordre de jouir elle aussi. Comme cela était prévisible son orgasme fut encore plus puissant que la veille et ses cris durent se faire entendre dans une bonne partie du Château. Il fallut un long moment à Emilie pour redescendre sur terre, le Seigneur dEvans avait déjà repris Son travail. Quand elle put se relever, elle se mit immédiatement à genoux embrassant la main du Maître avec reconnaissance, gratitude, dévotion et amour en disant.
- Merci Seigneur et Maître Vénéré davoir pris de Votre temps pour mouvrir le cul et merci de Votre Saine éducation.
- Je dois reconnaitre que jai rarement ouvert un cul aussi facilement, tu es décidément une vraie salope en chaleur. Maintenant tu vas nettoyer de ta langue de chienne ta cyprine qui a souillé Mon planché, en Mexposant bien ta croupe en te mettant en levrette, ensuite tu pourras aller faire ton ouvrage de la journée. Exécution salope !
(A suivre
)
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