Collection Zone Rouge. La Jeune Bourge. Fin De La Saison I (3/3)
La perte de lhonneur, dun homme, même dun notaire est fonction du prix quon est prête à y mettre.
Pour maître Albert, une maîtresse attitrée dans une garçonnière est de ce niveau-là.
Il tranche dune main ferme, lenveloppe pourtant devant rester inviolée jusquà la mort de maman.
Pose lenveloppe sur ton bureau, tu viens de gagner une petite sucette.
Pour ma chatte, jaime mes aises et ce sera dans mon studio à deux pas dici.
Je magenouille, jouvre sa braguette et je sors sa petite verge.
Je laurais espéré massive, mais je dois être attitré à des verges lilliputiennes.
Quelques minutes et pendant quil se rajuste, je massieds dans un des fauteuils, me léchant les babines de son jus, hélas, fade.
Ce que je découvre est bien loin des simples parts dans la société.
La garçonnière 100 % à mon père suite à une perte faramineuse aux jeux par Tonton.
Idem pour la Ferrari.
Un chalet à Megève que mon père avait achetée avec de largent caché par son beau-père et quil cachait à maman.
Sans compter les parts dans différentes sociétés quil fraudait au fisc grâce à un compte en Suisse très bien rémunéré.
Indirectement, jétais riche à millions.
À la fin, il précisait que si sa veuve se remariait, tous ses biens reviendraient à sa fille unique prunelle de ses yeux, seule digne de lui succéder par son caractère.
Que disais-je plus tôt, cétait un rebelle comme moi je le suis ?
Megève, qui en a les clefs et les actes de propriété ?
À part tonton, ou le notaire, qui dautre ?
Maman, ce serait trop gros.
Merci Albert, tu peux la remettre dans ton coffre et ta bite dans ton pantalon.
Merci, à quelle adresse et à quelle heure se retrouve-t-on dans ton studio.
Jamais, je tai sucé, as-tu une preuve de ce que je tai promis, à qui vas-tu te plaindre ?
Au fisc en dévoilant que vous avez un compte en Suisse.
Appelle les, je leur dirais que le notaire de notre ville échange un coup de bite contre des informations que ses clients lui confient.
Je vais en parler à votre mère, de toute façon elle est déjà au courant de cette lettre et ce quelle renferme.
Tu aggraves ton cas, à quel titre maman as pu apprendre ces informations !
Je comprends trop bien, tu la sautes sur le coin de ce bureau.
Je vois à ton regard que je vois juste.
Papa devait le savoir et sen fichait royalement, il a simplement mis une barrière entre ton appétit et moi, en prenant des précautions si elle se remariait.
Tu le faisais cocu, mais cest lui qui vous la mise bien profond.
Aussi fière que lorsque jai quitté laccueil de la banque de papa, je prends le chemin de la sortie, la tête remplie dinformation et dinterrogation sur certains documents.
De retour dans le studio dont Rodolphe ma donné les clefs, jai la surprise dy trouver Jennifer, la jeune secrétaire qui a dû entraîner la mort de mon père.
Elle sursaute.
Excusez, ce sont des affaires personnelles que je suis venue chercher !
Loin de moi lidée de voler quoi que ce soit.
Jennifer, vous étiez bien la maîtresse de papa !
Euh !
Ce euh est une réponse en lui-même, on est sensiblement du même âge.
Tu peux tout me dire, si tu savais quelle a été ma vie dans cette famille de malades.
Elle éclate en sanglots, je la prends dans mes bras pour la consoler.
Je voulais arriver, dans la vie par les chemins les plus courts, être la maîtresse de ce vieux débris, cest tout ce que jai trouvé.
Dis-moi, tu as vu, naturellement, je te tutoie, fait en de même !
Sais-tu si à la banque, papa avait un endroit où il pouvait cacher des documents ?
Cest plus près que tu le cois, cest derrière ce tableau.
Je mapproche, il pivote et scellé dans le mur il y a un coffre-fort.
Il est dommage que la clef et la combinaison mempêche de louvrir.
Tu vas croire, que cétait pour ce coffre que jétais ici.
Je sais où ton père cachait la clef et le code.
Elle va vers la cheminée insolite dans cette pièce et passant sa main entre le faux âtre et le bois de décoration, en sort une boîte ayant contenu des galettes bretonnes.
Je sais que mon père en raffolait.
Ils les faisaient venir par cartons entiers dun petit fabriquant breton.
Cest pendant son service quil y avait pris goût étant allé visiter latelier de fabrication.
Mon père tavait dit où tout cela était !
Il avait sérieusement confiance en toi !
Non, un soir où nous avions fait lamour, il a reçu un coup de téléphone.
Il sest levé et quand il a attrapé la boîte, jai entendu la clef sur la ferraille.
Au téléphone celui où celle avec qui il conversait à dû lui dire une chose le faisant changer davis, car tout en regardant si je continuais à dormir, il la replacé.
Las-tu ouverte une autre fois, car jai constaté quune femme devait faire le ménage vu létat de propreté.
À la maison, papa était bordélique, cest la bonne qui rangeait tous.
Elle repart en sanglots.
Arrête, je sais que tu es une fille bien, si tu savais ce que jai fait pour apprendre certains renseignements sur ma famille et leurs affaires.
Sans penser à ce que nous faisons, je lui relève le visage, jessuie ses larmes et je lui embrasse le bout du nez.
Ce sont nos lèvres qui se trouvent, sans que nous layons cherché.
Cest la première fois que jembrasse une jeune femme.
Au lycée jusquà la fac, les gouines mont toujours débecté.
Il faut reconnaître ses torts, contrairement aux garçons, cest doux et cest tendre.
Jennifer, cest bon, pourquoi ta chatte dégouline et quelle est libre de toute culotte ?
Elle recommence à pleurer.
Si tu tombes en larmes chaque fois que je te demande quelque chose, on va finir noyés et dans deux heures on y est encore.
Elle renifle un coup.
Tu as raison, mais cest la première fois que jembrasse une fille, les lesbiennes me débectaient jusquà maintenant.
Si ma chatte est libre de toute entrave, moi qui possède de bien jolie dessous, dont certains que je venais récupérer, cest parce que ton père mempêchait den porter depuis quelque temps.
Je vois, quand tu es sortie de lascenseur au-devant des pompiers, il te passait la main aux fesses où ailleurs plus facilement !
Elle renifle de nouveau, à deux doigts de repartir dans ses grandes fontaines.
Oui, nous venions faire lamour ici très souvent.
Non, il venait te baiser très souvent.
Crois en ma jeune expérience, ces hommes sautent des jeunes comme nous en profitant de leur position dominante.
Ils font ça à tous les niveaux sociaux, même chez nous les bourgeois !
Je refusais de devenir une jeune bourge.
Lamour tout au long de leur vie, ils en sont réfractaires.
Je me trompe, tu venais de te faire baiser !
Jai toujours ma main sur sa chatte que je trouve libre de toute pilosité.
Oui, souvent ici, mais suivant ses rendez-vous, sétait sur son bureau.
Cétait le cas ce jour-là.
Après le départ de son corps et des pompiers, je me suis aperçue que javais attaché mon chemisier mardi avec mercredi.
Tu en es sûr, moi javais remarqué lundi avec mardi.
Nous éclatons de rire et recommençons à nous embrasser.
Mes doigts se remplissent de sa cyprine tellement elle coule.
Je la pousse jusque devant la cheminée où se trouve une peau de bête, certainement un loup.
Le lit nous tendant les bras, des rares meubles présents.
On voit le côté pratique de ce lieu tourner vers des parties de sexe.
Faire lamour à Jennifer dans les draps où papa la baisait et où Rodolphe ma prise est au-dessus de mes forces, cette pauvre bête fera laffaire.
Elle soulève sa jupe au moment où mes lèvres savancent et comme je lai dit, les lesbiennes, terme plus approprié, comparer au mot gouine que jai employé sont loin dans mes pensées.
Javais eu une impression de saveur salée de ma propre cyprine après avoir baisé et sucer Rodolphe.
Jennifer est plus poivrée que salée, on dit que les rousses ont aussi des saveurs poivrées, il faudra que jessaye.
Je suis folle, moi qui disais ce que je pensais des amours féminins, deviendrais-je gouine à mon tour !...
Voilà la saison I se termine.
Les trois prochains chapitres se terminent et je les enverrais chez HDS après un ou deux chapitres dautres aventures.
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