Un Cadeau De Naissance

L'histoire s'est passée il y a environ 3 ans lorsque mon fils est né.
C'est un mardi matin, Lorsque ma femme m'annonce devoir aller à la maternité car elle est sur le point d'accoucher.
Je l'emmène et, contrairement à ce qui peut se passer dans les films, nous avons passé toute la journée et un bout de la nuit à attendre qu'elle soit prête à donner naissance à mon fils.
Il est la, il est né, je suis le plus heureux des hommes, nous lançons les sms à la famille et aux amis pour les prévenir que tout s'est bien passé.
Épuisés, nous montons en chambre, je passe le reste de la nuit à tenter de dormir sur un lit pliable.
Au réveil, le bébé est toujours la, il se porte à merveille et nous passons la journée à trois. En fin d'après midi, les visites arrivent et je profite que ma belle famille soit présente pour laisser ma femme et mon fils en bonne compagnie.
Je rentre, il est 18h. Les amis souhaitent passer fêter la naissance mais je suis trop fatigué, je leur propose de fêter ça le weekend.
Je me pose dans le canapé, je fais une sieste de 30mn puis décide d'enfin prendre une douche. Lorsque je me sèche, la sonnette retentit, je n'attends personne.
J'enfile un polo et un Jean sans prendre le temps de mettre mon boxer et descend ouvrir.

C'est Caro, la belle Caro, la cousine de ma femme avec qui je m'entends très très bien.
Caro à 33 ans, elle est hôtesse d'accueil, elle est grande, mince, petite poitrine mais sa posture et son ventre plat permet lui d'avoir un corps tout en harmonie.
Elle est devant moi, avec un grand sourire, en tenue que je pense de travail, escarpins, robe classe mais prete du corps dégageant un coté sexy et une veste en cuir noir.
Son maquillage est léger, très sobre mais avec un rouge à lèvre foncé, assorti à la semelle de ses escarpins. elle porte dans ses mains un doudou géant avec un nœud autour du cou.
- Félicitations Papa !!! Tu as enfin trouvé la notice, je me demandais si tu allais un jour y arriver.


Nous avons la faculté de nous chambrer mutuellement, on se vanne souvent, nous arrivons à parler de tout, même de sexe parfois.
- Que racontes tu, nous nous sommes entrainés des années pour enfin passer aux choses sérieuses et faire plus merveilleux des s.
- Çà va les chevilles? Laisse moi rentrer que je vois s'il est si merveilleux que ça! Laisse moi féliciter ma cousine aussi.
- Ah parce que tu crois que lorsque tu accouches, la maman peut sortir le soir même avec son bébé dans les bras...???
Je suis tout seul ici ce soir, mais maintenant que tu es la, entre, nous allons boire un verre à la venue du petit.
Elle sourit, je ne sais comment déchiffrer ce message, elle entre, s'assoit dans le fauteuil du salon, j'apporte le champagne, nous trinquons, je m'assoie sur le fauteuil d'en face.
Nous discutons de choses et d'autres, mais mon regard est attiré par ses jambes, fines, habillé d'un voile noir. Je dois être de moins en moins discret et elle s'amuse par moment à décroiser et recroiser ses jambes. je pense avoir vu des bas et une jolie culotte noire. C'est trop, je dois rester concentré, je profite de me lever, resservir un verre et venir m'assoir sur le canapé à coté d'elle, évitant ainsi d'avoir la vue sur... enfin vous voyez...
Après maintes discussions, je l'interroge sur sa vie amoureuse, demande si, parmi tous les beaux mecs qu'elle fréquente au travail, elle n'a pas trouvé le bon:
- Ah parce que tu crois que tous ces mecs au boulot, qui ne cherche qu'à me prouver qui pisse le plus loin, je vais trouver l'amour de ma vie?
- Tu sais, à leur décharge, tu es belle, et beaucoup d'hommes ne savent pas comment s'y prendre lorsqu'une fille leur plait, ils sont parfois maladroit.
- Oui tu parles...
L'alcool aidant, je commence à lui parler de ce que j'ai pu apercevoir sous la jupe.
- Enfin, s'ils ont le droit de voir au quotidien ce que tu as pu me montrer tout à l'heure, je crois qu'ils doivent être chauds bouillants.

- Ah qu'as tu vu?
- Ne fais pas l'innocente jeune fille, c'est très sexy ces jambes recouvertes de bas noir qui terminent par des Louboutin.
- Ce n'est pas beau de regarder sous les jupes des filles, et habituellement je porte des collants au travail.
- C'est donc un cadeau que tu me fais?
- Peut être me dit-elle en souriant, tu penses vraiment que je pensais voir ma cousine en venant chez toi ce soir?
- Oh c'est un jeu qui peut vite dér, changeons de sujet.
- Peut-etre que je n'ai pas envie de changer de sujet. Je te plais?
- Oui, je ne vais pas te mentir. Tu es très jolie.
Caro se lève, vient s'assoir sur mes genoux, passe une main dans mes cheveux:
- Tu veux en voir plus?
- C'est un test? tu me testes la?
Elle lève ses yeux aux ciel, réfléchissant à sa réponse ce qui lui donne un air mutin:
- Oui est non... si tu penses que c'est ta femme qui m'envoie te tester, non pas du tout, par contre si tu crois que c'est test pour savoir si nous pouvons coucher ensemble alors la oui...
- arrête tes bêtises, lui dis je, ne cherche pas à me tester, ça ne marchera pas... mon sexe libre dans mon jean et dur comme du béton me trahit... elle se lève, me temps la coupe de champagne...
- Tiens, bois un verre et ouvre bien les yeux.
Elle me fixe, se mordant les lèvres, retire sa veste, passe ses mains dans le dos et dézippe la fermeture de sa robe, elle découvre lentement ses épaules puis lâche totalement sa robe.
Dieu qu'elle est belle cette femme, sa lingerie est en dentelle, son soutif brodé descend plus bas que les modèles habituelles, arrivant juste au dessus de son nombril.
En dessous se trouve pote jarretelle et un string assortis.
Elle tourne sur elle même, sa cambrure naturelle aidée par ses hauts talons et sa lingerie la rend irrésistible. Cette fois elle revient s'assoir sur moi mais en chevauchant mes jambes, son entrejambe venant au contact de mon Jean légèrement humidifié par le spectacle de cette allumeuse.
..
elle passe ses mains dans mes cheveux, approche sa bouche de mon oreille et me dit:
- Ma cousine aura besoin de repos pendant un bout de temps, je connais tes besoins, nous sommes attirés l'un vers l'autre et si tu dois un jour la tromper, autant que ce soit avec moi.
Elle ignore que j'ai toujours été fidèle à ma femme, mais lorsqu'elle a posé ses lèvres brulantes dans mon cou, j'ai lâché prise.
J'ai enfin posé mes mains sur son corps sur sa taille, caressé son dos, ses fesses, ses jambes, alternant entre sa peau douce et sa lingerie délicate.
- Tu m'as eu, lui dis-je, mais maintenant, il va falloir assumer, si tu me veux, il va falloir être aussi salope que ta cousine.
- Je serais ta salope, je te veux. Suite à ces mots, elle est venue poser ses genoux au sol, déboutonné mon jean, et bouton apres bouton est venue lecher mon sexe pour enfin le prendre en bouche.
- Humm depuis le temps que je me demandais comment il était, je ne suis pas deçue, j'espère qu'il va rester bien dure pendant des heures!!!
Sans rien lui dire, je passé ses mains dans les cheveux et fermement, je lui ai indiqué de me sucer, elle était belle, la bouche déformée par la fellation qu'elle me procurait, je n'allais pas tarder à jouir, alors je l'ai faite relevée...
- retourne toi, montre moi ton cul et retire ta culotte salope!
Elle était interloquée par mes paroles avant de rajouter
- Tu veux jouer à la salope, assume jusqu'au bout, obéis!
Elle s'est retournée, s'est baissée en avant tout en baissant son string, la vue est exceptionnelle, son sillon, son belle abricot légèrement humide et lisse ont fait tomber toutes les barrières, j'avais tout oublié. Je n'avais plus qu'une envie, la baiser.
- Viens maintenant, chevauche moi.
Sans mot dire, elle est venue, a frotté mon gland contre se clitoris quelques instants.
- regarde moi et empale toi doucement.
Nous sous sommes regardés, elle déscendait sur ma queue lentement, on l'aurait dit enfin soulagée, elle prenait tellement de plaisir à glisser sur moi.

Nous nous sommes embrassés, la cadence venait plus rapide, elle a posé son crane contre le mien, je la sentais gémir, je me suis alors agrippé à ses fesses et j'ai augmenté la cadence...
- Oh putain oui c'est bon, baise moi salop, baise moi bien ouiiiiii !!!
J'ai continué a un rythme soutenu jusqu'à ce que la sente jouir. Ma queue était recouverte de mouille c'etait divin.
- Oh salop, tu m'as bien baisé c’était trop bon.
- Relève toi salope! On se lève, je la tiens fortement par le poignet, la tire vers la salle à manger, le rythme est soutenu, elle vacille sur ses escarpins.
Je l'allonge dos sur la table, lui relève les jambes, je m'agenouille, je veux la gouter, sa chatte est trempée, je m'enivre de son doux parfum intime, sa cyprine est délicieuse, je voudrais la manger sans m’arrêter, mais elle, venant de jouir, est trop sensible de clito, je le laisse donc tranquille, je me relève et enfonce ma queue directement en elle.
Elle est surprise, je commence à la pénétrer doucement puis la cadence s’accélère, je vois qu'elle reprend gout au plaisir
- Oui continue, c'est trop bon, j'aime ta queue, hummm, donne moi tout...
je ne me reconnais plus, elle révèle en moi un coté très animal, je veux lui faire mal, je m’agrippe a ses jambes sur au dessus des bas et je claque mon entrejambe contre sa chatte. Le bruit de claquement est très instance. je la sens monter, je ne vais pas jusqu'à sa jouissance je la relève et cette fois ci, plaque son ventre contre la table du salon.
Je luis dégrafe son soutif, je découvre enfin ses seins de mes mains. je m'agrippe à eux, je lui pince les tétons, elle hurle de plaisir...
- Oui Fais moi mal putain, défonce ta salope, engrosse moi comme tu as fait avec ta chienne de femme...
Il n'en fallait pas plus pour me faire chavirer, pour que je m'active une dernière fois, je lui ai donné de belles fessées, laissant de belle traces rouges, me suis agrippé à ses hanche et j'ai jouis au plus profond de ses entrailles... elle a posé sa main sur son clito et a joui peu de temps après avoir senti mon sperme au fond d'elle..
Nous étions en sueur, tous les deux, je l'ai aidé à se relever, nous nous sommes embrassés, je l'ai portés comme ci c'était devenue ma princesse. J'ai saisi sa petite culotte que j'ai enfilé entre ses jambes pour éviter que le sperme ne coule partout.
Je me suis allongé à coté d'elle et nous nous sommes caressés.
Je ne savais pas vraiment quoi dire, car j'avais un peu honte de l'animal qu'elle avait fait naitre en moi et surtout je commençais a culpabiliser de ce que je venais de faire.
- J'ai adoré cet instant, me dit elle, c'était très intense, surprenant même, mais j'ai adoré être à ta merci.
J'ai aimé qu'elle brise le silence, mais je savais toujours pas quoi lui dire alors elle a continué en disant:
- Je vais y aller, je vais te laisser te reposer. Elle s'empare de son soutif, enfile sa robe et me demande de remonter sa fermeture.
Je n'avais toujours pas ouvert la bouche alors en toute honnêteté, je me suis levé, je suis passé derrière elle, j'ai commencé à remonter sa fermeture. Mais à cet instant, j'ai bloqué lorsque j'ai découvert sa nuque au moment elle a relevé ses cheveux pour ne pas qu'ils se prennent dans la fermeture.
Elle m'a demandé ce que j'attendais et un son est enfin sorti de ma bouche...
-Et si tu restais cette nuit pour me tester encore un peu...

La suite si cette histoire si vous me le demandez en commentaire.

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