Toute Première Fois

Nous étions partis en club, pour dix jours, sur une île grecque. Nous étions en avril et le soleil était au rendez-vous, dardant tous les jours ses rayons ardents qui auguraient d’un été particulièrement chaud.
Ma femme avait tenu à m’offrir un massage intégral. Après maints refus, je finis par accepter. Nous étions à la moitié du séjour et je décidai donc à ce moment-là de m’offrir aux mains expertes de la masseuse ou du masseur. Lorsque je me présentais, à l’accueil, l’on m’indiqua une cabine dans laquelle je trouvais un peignoir blanc et une paire de claquettes en bois unisexe de même couleur. Il était indiqué que l’on devait préalablement être passé sous la douche. Je venais d’en prendre une et je dégageais toutes les fragrances de mon eau de toilette.
Cinq minutes plus tard, la porte de la cabine s’ouvrit et une hôtesse m’invita à rejoindre la salle n°10. Je frappai, entrai, refermai derrière moi. Personne. Au milieu de la pièce, une table de massage dressée pour l’occasion, le tout baignant dans une lumière des plus tamisées, tandis qu’une douce musique relaxante dansait entrer les murs. Une porte s’ouvrit au fond de la salle et ce que devinais être le masseur fit son entrée. C’était donc un masseur. L’homme était habillé d’un simple short, son torse en V, manifestement huilé, faisait ressortir une élégante musculature. Il devait avoir dans les trente-cinq ans, arborait une moustache drue sans être épaisse. Son regard d’un noir de geai était surmonté de sourcils fournis sur un visage carré mais avenant. Assurément, il était plutôt bel homme. Son visage s’éclaira d’un sourire accueillant, laissant apparaître une dentition aussi parfaite qu’incroyablement écarlate.
- Bonjour, je m’appelle Omar. Et toi ?
- Cyrille, répondis-je un peu intimidé.
- Si tu veux bien t’avancer et te dévêtir, me lança-t-il d’une voix douce, sur un ton familier qui invitait, toute de suite, à la confiance.
Je m’approchai de la table et il me fit signe de m’allonger sur le ventre, sans se départir de son sourire ravageur.

Je fis glisser mon peignoir sur le sol. Durant quelques secondes, je fus entièrement nu devant lui. Sans en avoir l’air, je sentais qu’il me jaugeait. Je grimpais sur la table et enfouis ma tête dans le trou prévu à cet effet. La table était confortable, recouverte de serviettes en coton, mon visage reposant sur un épais cercle en mousse, les bras le long du corps.
Je ne sais pourquoi, mais je tremblais imperceptiblement. Omar s’en aperçut et tout en posant ses mains larges sur mon dos, me chuchota de me détendre. Je sentis qu’il répandait un liquide tiède sur toute l’étendue de mon dos. Il entama alors son massage. Il débuta par les épaules, les trapèzes, descendit le long de la colonne vertébrale avec son pouce, pendant que ses doigts s’écartait jusqu’à enserrer ma cage thoracique. Je ne fus pas long à me laisser aller. Je me sentais noué et il paraissait défaire tous les nœuds qui s’étaient constitués sur cette partie de mon corps depuis de longues années. J’avais la sensation de m’enfoncer dans la table. Omar montait désormais jusque sous le crâne et terminais son périple manuel de plus en plus bas, au niveau des lombaires, tout d’abord, au milieu des fesses ensuite, puis juste sous celles-ci, à la naissance des cuisses. A cet instant, j’aurais voulu que ça dure une éternité. S’attardant en haut des cuisses, il me pétrissait lentement les fesses, faisant en sorte d’étirer chaque lobe, tandis que ses pouces semblaient s’aventurer dans la zone du périnée. Ce que je ressentis alors me troubla. Que l’on me toucha à cet endroit était pour moi chose inédite. Du moins que quelqu’un d’autre que moi-même s’appliqua à masser ainsi le cœur de mon intimité, ne laissait pas de m’interroger. En même temps, je me sentais vulnérable et délicieusement indolent, ne désirant nullement que cela s’arrête.
Mais c’est précisément à ce moment qu’Omar cessa ses manipulations langoureuses. Il s’occupait à présent de mes jambes, ses mains effectuant un mixte de massages et de caresses qui s’achevaient sur mes chevilles et bientôt sur mes voutes plantaires.
Dieu que c’était exquis ! Ce le fut davantage quand il se prit à me masser les pieds. Ce fut incroyablement bon, extatique. N’aurait été ce bel Adonis qui me les tripotait, je dirais que je prenais littéralement mon pied. Il exerçait des pressions précises sur certaines parties de mes pieds, ce qui eut tôt fait de me faire avoir une érection.
Je bandais de plus en plus dur. J’étais dans un état second, au bord de l’orgasme, lors même que celui-ci me paraissait encore hors d’atteinte. Je soupirai d’aise à présent et fut bientôt incapable de réfréner de légers gémissements de plaisir. Plus Omar s’attardait sur ces points d’acupuncture, plus je me liquéfiais, au point de me sentir lascif, quasiment concupiscent. Je n’éprouvais aucune gêne, mes sens étant totalement paralysés par les hormones du plaisir qui prenaient possession de tout mon corps. Je ne savais que faire et ne voulais même prendre aucune initiative qui aurait rompu ce charme étrange.
Omar reposa doucement mes pieds sur la table et me demanda si cela allait. Je répondis en chuchotant.
- C’est le pied, cher Omar.
- Veux-tu qu’on continue ?
- Oh oui, lâchais-je dans un souffle.
- Veux-tu aller plus loin ?
- Pourquoi pas. Ça veut dire quoi ?
- Tu me fais-tu confiance ?
J’acceptais, hypnotisé par la musique relaxante qui me transportait dans une agréable irréalité et totalement apathique, bien que je sentais en moi des feux voluptueux me consumer le bas-ventre.
Je sentis un liquide tiède couler entre mes fesses. Serait-ce possible ? Je n’osais mettre de mots sur ce que je pressentais qui allait pourtant advenir. Ne me laissant pas le temps de prendre conscience de ce qui m’arrivait, Omar avait repris ses massages experts sur mon périnée. Je sentais qu’il remontait ses doigts à proximité de mon anus. Il travaillait mes fesses comme le boulanger sa pâte à pain. Je ressentais toujours un plaisir de même nature qui allait croissant. Ma queue n’avait pas débandée.
Soudain, je sentis quelque chose qui n’avait rien à voir avec les doigts d’Omar, s’enfoncer tranquillement en moi. Bien vite, je dus me rendre à l’évidence, dans un sursaut de lucidité retrouvée. Omar fichait entre mes fesses un objet qui devait ressembler à un olisbos ou un plug anal. Il l’enfonçait progressivement, tandis que je devais m’avouer, à cet instant-là, que j’aimais ça. D’ailleurs, tout en appuyant lentement sur le godemichet, Omar continuait de s’occuper de mon périnée en opérant, cette fois, des pressions régulières. Je fus alors traversé par une indicible onde de plaisir. Je poussai un cri d’extase.
- Tu aimes ça Cyrille ?
- Oh oui, c’est vraiment trop bon…
Bientôt, le plug fut sans doute entièrement enfoncé dans mon cul, car Omar était revenu s’affairer sur mes pieds. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis qu’il s’était mis à les lécher, à mordre mes talons et à sucer mes orteils.
- Tu as les pieds d’une femme Cyrille, on te l’avait déjà dit ?
- Non, bredouillais-je impuissant, subissant sans défense – mais voulais-je vraiment et sincèrement me départir de mon « agresseur » ? – une situation que je n’aurais jamais imaginée autrement que dans mes fantasmes refoulés. Car oui, j’avais toujours rêvé de vivre un jour une expérience homosexuelle. Depuis longtemps, même si mon attirance pour les femmes n’avait jamais été prise en défaut, y compris à mes yeux, j’étais attiré par les hommes. Adolescent, à l’internat, je m’adonnais à de régulières séances de masturbation en m’imaginant en train de sucer voire de me faire prendre par un garçon. Je me rappelle, d’ailleurs, que je fantasmais sur un grand black, Djibril, qui faisait se pâmer mes copines mais qui ne me laissait pas indifférent tant je le trouvais beau. Plus tard, quand je fus étudiant, ce fut un autre black, Paulin, célibataire endurci, que je rêvais aussi de me mettre sous la dent. Jamais je ne leur ai avoué quoi que ce soit, mes fantasmes érotiques s’épuisant toujours dans un kleenex.
Et chaque fois, je m’imaginais être pris par eux et non en train de les prendre. Je ne sais pourquoi, mais je trouvais plus excitant d’être passif, offert à son amant comme une femme, enrouler ses jambes autour du bassin de son homme qui vous en mettait vigoureusement de bons centimètres dans le fondement…
Omar s’activait toujours sur mes pieds, en goûtant la moindre parcelle, tandis que je sentais le plug faire corps avec moi. Je ne ressentais aucune douleur. Je sentais que l’objet flirtait avec ma prostate car à chaque respiration, je ressentais des sensations aussi inhabituelles que sensuelles. Omar termina sa dégustation en déposant un baiser tendre sur un de mes pieds. Puis plus rien. La musique continuait à dérouler sa mélopée suave et enivrante.
Je sentis une main sur ma tête.
- Cyrille, mets-toi sur le côté, veux-tu ?
Je m’exécutais lorsque me relavant du confortable cercle en mousse, ce que je vis dépassa tout ce que je pouvais espérer. Omar se tenait entièrement nu devant moi, le sexe en érection. Et quel sexe ! Environ une vingtaine de centimètres pour quatre ou cinq de circonférence. Un superbe engin.
- Je voudrais que tu me suces Cyrille.
Je le regardais. J’étais sous son emprise. Du moins étaient-ce ses manipulations qui m’avaient plongé dans cet état second où je n’étais volontairement mais irrésistiblement plus maître de moi-même. Je luttais contre mon surmoi tandis que les pulsions de mon Ça me taraudaient affreusement. Comme s’il lisait dans ma plus profonde psyché, il s’approcha de mon visage et posa délicatement le bout de sa queue sur ma bouche. Je l’ouvris alors comme par réflexe et y laisse rentrer ce gros nœud qui sentait, par surcroît, merveilleusement bon. Mes lèvres formaient alors autour de ce moyeu de chair dure et chaude un singulier bracelet. Omar allait et venait tranquillement dans ma bouche, comme pour m’inciter à prendre les choses en main. Allongé sur le côté, je saisis sa bite et commença à la pomper, passant et repassant ma langue sur son gland lisse et tendu. Cette fois, je me lâchais complètement et assumais de faire ma première fellation à un inconnu, qui plus est sans préservatif – pensée qui ne m’effleura même pas l’esprit à ce moment-là, tellement préoccupé que j’étais à satisfaire mon plaisir comme celui de mon viril partenaire. Je branlais en même temps que j’aspirais son dard, le plug plus que jamais planté dans mon troufignon, dont la présence me procurait d’agréables et inédites sensations. Je fixais Omar des yeux, pendant que j’astiquais son gros nœud. Il me fixait aussi, la bouche grande ouverte, tout en humectant ses lèvres sèches et charnues d’une belle langue épaisse. Je commençais à ressentir une certaine transformation en moi-même. J’étais physiquement très attiré par cet homme et attendais, fébrile, qu’il se passa autre chose.
Je fus exaucé puisque mon amant me fit cette demande :
- Ça te plairait que je te prenne comme une femme ?
- Si tu ne me fais pas mal, pourquoi pas, Omar.
- Ne t’inquiètes pas, j’ai l’habitude de dépuceler les pédés comme toi.
Ces propos me laissèrent interdits. Cela avait un tantinet refroidi mes ardeurs. Omar dut s’en apercevoir puisqu’il enchaîna aussitôt :
- Ne sois pas vexé. J’ai deviné que tu étais gay. Je sais que ça t’excite quand je parle comme ça. Tu n’es pas le premier mec que je dépucèle et je sais que vous aimez ça quand on vous parle mal.
Sur ces mots, il me bascula sur le dos, leva mes jambes en les écartant, en extrayait aisément le plug et se positionna face à mon petit trou désormais distendu. Sans attendre et sans hésiter, il s’enfonça doucement en moi. Je sentis que l’on m’écartelait, bien que je n’éprouvai aucune sorte de douleur. Sa bite remplissait tout mon fourreau anal qu’il se mit consciencieusement à ramoner. Mes jambes étaient repliées sur mon ventre. Mon cul lui était ainsi offert sans retenue. Il m’enculait et je commençais à trouver ça bougrement bon. A chaque poussée, sa queue venait cogner sur ma prostate, ce qui me transportait vers des cieux orgasmiques jusque-là inconnus.
- Oh ! c’est bon Omar, ne t’arrête pas, j’aime ça !
- Vous êtes tous les mêmes les pédales. Vous aimez vous faire prendre comme des femmes. Vous êtes de vraies salopes !
Son langage cru me rendait fou d’excitation. Oui, je me sentais complètement chienne entre ses jambes. Sa queue me limait de plus en plus vite. Mon cul s’échauffait, mais ses heurts sur ma prostate m’arrachaient à présent des hurlements de jouissance.
- Putain quel pied Omar ! C’est si bon ! Je vais jouir !
Ce que je fis en éjaculant. J’étais hors de moi. Ma queue me donnait l’impression de se déchirer en deux. Je ne pensais plus à rien d‘autre qu’à cette subite éruption de jouissance qui embrasait tout mon corps.
Soudain, il sortit de mon cul. « Mets-toi par terre à genoux, je vais éjaculer dans ta gueule de pédé.
Je m’exécutais, sans objecter. J’ouvris la bouche par automatisme comme un bon pompeur que je commençais d’être. Sa queue dégageait un fumet breneux plutôt incommodant mais je ne fus pas long à attendre la douche spermique qui bientôt noya ma figure et dégoulinait sur mes lèvres. Sans qu’il me contraignit à nettoyer sa bite merdeuse, Omar, tout en feulant son plaisir, prenait soin de bien diriger le jet saccadé de son foutre vers ma bouche devenue avide de son jus d’homme.
Je me délectais de ce nectar très spécial qui sortait directement de ses couilles mâles, me pourléchant les babines et avalant sans hésitation ce lait chaud et dégageant une odeur d’hormones si caractéristique – j’avais, moi-même, expérimenté de goûter mon propre sperme…
Omar partit dans la pièce du fond par laquelle il était entré tout à l’heure, me laissant seul sur le sol, la gueule maculée de sperme, ainsi que mon torse suintant et collant de nos communes éjaculations, sans parler de mon trou du cul palpitant et échauffé. Je commençais à reprendre mes esprits. Je remarquai qu’un miroir mural renvoyait mon image. Celle d’un homme marié et père de famille qui venait de se faire déniaiser par un mec… et qui avait aimé ça. Sans doute est-ce cet aveu intérieur qui me troubla et augmenta mon rythme cardiaque. Je sentais d’ailleurs des frémissements dans le bas-ventre. Cela voulait dire que non seulement j’avais pris énormément de plaisir à ces ébats d’un genre nouveau pour moi, mais que j’étais prêt à recommencer. A cette idée, mon sexe se remit mollement à durcir.
A croire qu’Omar lisait dans mes pensées les plus cachées, y compris à travers une porte. Il réapparut à nouveau dans la pièce, toujours nu mais il venait visiblement de se doucher.
- Je t’invite à venir te laver dans la douche, si tu veux.
J’obtempérais, me sentant assez souillé pour ne pas refuser plus longtemps une telle offre civilisée.
Cinq minutes plus tard, une serviette nouée autour de la taille, je revins à mon tour dans la salle de massage. Omar, toujours imperturbablement nu, avait remis de l’ordre. Il jeta un coup d’œil dans ma direction, me dévisageant de la tête au pied.
- Tu es grand mais fin. J’aime bien ton physique un peu efféminé, tu sais…
Je bredouillais un « merci », ne sachant guère quoi faire, ni dire.
- J’ai beaucoup aimé faire l’amour avec toi, continua-t-il. Et toi ?
- Oui, moi aussi.
- Tu aimerais recommencer ?
A ces mots, mon cœur s’accéléra. Les mêmes fourmillements bas-ventraux me reprenaient.
- Oui, pourquoi pas. C’était vraiment bien tout à l’heure.
- Dis-le que tu as aimé ça, répondit Omar en me faisant face, appuyé sur la table de massage.
- Oui, j’ai aimé ça, Omar.
- Qu’est-ce que tu as aimé Cyrille, dis-le moi.
- J’ai adoré te sucer…
- C’est vrai, tu l’as aimée ma bite, tu la trouve comment, d’ailleurs ?
- Belle et grosse, répondis-je, cette fois complètement émoustillé par cet échange coquin et graveleux.
- Et dans ton cul, tu la sentais comment ? Elle te faisait du bien ?
- Elle me remplissait bien. C’était le pied.
- Si tu as pris ton pied avec une queue dans ton cul, c’est que tu es une vraie fiote, hein ? Répètes-le : ‘‘je suis une putain de tapette qui aime avoir un bon braquemart dans son boule’’
- Je suis une putain de tapette qui aime avoir un bon braquemart dans son boule.
- Répètes ça aussi : ‘‘J’adore me faire prendre par un mec bien mont钒
- J’adore me faire prendre par un mec bien monté.
- Et encore ça : ‘‘viens m’enfiler, s’il te plaît, Omar chéri’’
Omar changeait d’aspect à chaque prononcé de mes phrases qui échauffaient ses sens. Son sexe reprenait de la vigueur. Il se caressait tout en me parlant. De mon côté, j’étais disposé à une nouvelle saillie, comme si mon cul la réclamait.
- S’il te plaît, Omar chéri, viens m’enculer, haletais-je, en défaisant ma serviette et en retournant mes fesses dans sa direction.
- Ouaah !, une vraie salope qui ne demande qu’à se faire mettre bien profond. Putain, avec toi, j’ai déniché un insatiable ترمة, (« terma », en arabe), sifflât-t-il en s’avançant vers moi.
Il me pelotait à présent les fesses, y faisant rentrer sans ménagement un puis deux de ses doigts puissants. Tout en fouissant dans mon le tréfonds de mon cul, il m’embrassa le cou et les épaules. J’appréciais énormément cette tendresse dont il faisait montre, en même temps qu’il savait utiliser le langage le plus cru pour nous exciter mutuellement. Il me prit par la main et m’entraîna vers la table.
- Penches-toi en avant et écartes les jambes au maximum, m’ordonna-t-il d’une voix douce mais très ferme.
Mes coudes calés confortablement sur la table, j’attendais, les jambes tellement écartées que je reposais en danseuse, sur la pointe des pieds. Sans prévenir, il me pénétra. J’eus un peu plus mal que tout à l’heure. Le sphincter s’était quelque peu rétrécit. Néanmoins, Omar y allait doucement, car une fois en moi, il poussa lentement jusqu’à ce que son pubis s’accola à mes fesses. Il ne bougea plus et resta ainsi fiché. En revanche, je remarquais qu’il continuait imperceptiblement à pousser. Je sentais à présent sa queue buter sur ma prostate, ce qui m’électrisa. Comme pour que je le sente bien, il leva une de mes jambes et pu ainsi gagner quelques millimètres. Cette fois, il décida de se livrer à de petits va-et-vient par à-coups, ce qui me fit oublier la douleur déjà bien atténuée, et commençait de m’entraîner vers les cimes de l’extase. Je sentais son bassin exécuter des cercles, comme pour tenter d’élargir mon fion pourtant bien distendu et surtout pleinement rempli de sa queue épaisse. Je fermais les yeux et m’imaginait son chibre aspiré par mon petit trou. Je commençais à prendre mon pied. Omar s’en aperçut qui déroula son sexe le long de mes entrailles. J’eu subitement la sensation de me vider. Puis Omar replongea en moi avec force et martela mon point P. Je poussais des petits cris de plaisir. Il s’enfonça encore puissamment jusqu’à la garde et recula puis de nouveau s’enfonça en moi. Il recommença et ainsi de suite, de manière plus soutenue et régulière. Cette fois, il me baisait le derrière. Il augmenta la vitesse et la profondeur de ses coups, me pilonnant et me faisant gémir comme une chienne en chaleur, ce que j’étais d’une certaine manière. J’étais entièrement à lui, soumis à ses assauts virils. Il allait maintenant de plus en plus vite, me défonçant littéralement le cul, ne songeant, manifestement, qu’à son propre plaisir. Il ahanait de plaisir.
- Ah ! il est trop bon ton terma de salope !
- Oui, Omar, il est à toi, prends-le bien fort, baises-moi bien !
- Argh, je vais cracher, je viens, argh !!!
Il plongea une dernière fois profondément en moi, déchargeant son jus au fond de mon cul. Pour la première fois, je sentis le sperme d’un homme inonder mes entrailles. Bêtement, je me dis que c’était chaud. Il s’enleva de moi, la queue souillée de merde et de sperme mélangés. Je sentais dégouliner quelque chose sur l’intérieur de mes jambes. Une sorte de liquide un peu sombre s’échappait de mon cul ouvert. Je bandais toujours.
- T’es une vraie salope. J’ai jouis avant toi. T’en reveux encore ?
Il est vrai que j’étais quelque peu resté sur ma faim, même si j’avais vraiment adoré d’être pris ainsi. Oui, je voulais jouir à mon tour.
- Je veux bien, dis-je d’un ton décidé en penchant ma tête sur le côté tout en me pourléchant les lèvres.
- Mon collègue va s’occuper de toi !
…

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