Chapitre 15 : Marie Offerte En Gang-Bang.

Petit rappel du chapitre 14, où nous avons eu Denis et moi, une relation particulièrement chaude…
Dans sa voiture, et pour une fois, le soumis que je suis, a été beaucoup plus actif que d’habitude... (Voir CH 14).
Denis souhaite également organiser une soirée spéciale pour Marie avec Claude-Yves, Gérard, lui-même et un certain Jean-Luc…Mais comme prévu, Marie refuse, c’est quand elle veut …
Pendant cette période, une certaine « routine » s’installe entre Marie et moi, elle est toujours aussi active sexuellement, très coquine même, elle m’accorde mes rendez-vous quasi-mensuels avec Denis, et de temps en temps avec Gérard, que nous apprécions particulièrement, elle a participé à plusieurs trio avec Gérard et moi au mois de décembre, en février et en avril.
L'envie revient avec une régularité quasi-métronomique. Tous les deux mois environ, Marie me propose de retrouver un partenaire et en particulier Gérard dans un endroit où nous avons nos habitudes.
Ce rendez-vous lui permet d'assouvir son fantasme de faire l'amour à plusieurs.
Mais pour le reste, elle se contente de soirées torrides à deux.
Nous formons un couple plutôt très heureux en faisant l’amour une fois le matin et souvent deux fois le soir, cela permet de satisfaire l’hypersexualité de Marie et l’objectif est de trouver un équilibre entre nous deux.
Puis en juin, elle a bien voulu rencontrer de nouveau Denis pour un trio, Marie, Denis et moi, nous avons passé un weekend plutôt chaud et sportif à Paris tous les trois. (Je peux écrire un chapitre sur cette rencontre ?).
Au retour de Paris, Denis lui a demandé de lui faire confiance, il veut lui organiser une grande fête.
Avec l’aide de quelques amis, Denis veut organiser une soirée très chaude pour ma femme, sous le signe de la pluralité masculine, vu que ma chérie adore le sexe et n’en a jamais assez…
Il veut donc lui organiser un gang-bang, si Marie est d’accord avec la participation de six hommes : Denis (54ans), bien sûr, monté comme il se doit et très endurant, Gérard (57 ans), le chouchou de Marie, plutôt très bien monté et tout aussi endurant, puis Claude-Yves (63 ans) très caressant avec beaucoup d’humour, puis un certain Jean-Luc (47 ans) très bien monté et très, très endurant, j’ai pu tester en compagnie de Denis lors d’un trio entre hommes, un autre de mémoire Roger, un grand sec, très maigre, mais bien monté, la quarantaine, et un dernier, je crois Daniel, la cinquantaine, plutôt marrant, et moi-même pour accompagner ma chérie.

Après une longue réflexion, et de longues négociations sur sa rémunération, elle y tient particulièrement, c’est important, elle aime le sexe et l’argent…Marie accepte, et elle est ravie.
Nous avons rendez-vous le 26 juin 1992 à 20 h 30 dans une maison près de Granville, je pense Jullouville, c’est une des propriétés de Gérard, spécialement conçue pour ce genre de soirées.
Marie s’est habillée sexy et très léger, comme d’habitude pour ce genre de sortie, avec de la lingerie plutôt provocante composée d'un ravissant porte-jarretelles, d'un soutien-gorge style push-up puis d'un string assorti, en dentelle noire, et de bas assortis.
Une petite robe noire très courte et sculptante.
Une fois arrivés devant la maison, nous sommes accueillis par Jean-Luc et Daniel, qui font les présentations d’usage car Marie ne connait pas Jean-Luc, et nous ne connaissons pas Daniel, elle trouve Jean-Luc très mignon et à son gout, mais Daniel lui semble plutôt quelconque.
Direction la bibliothèque, où nous prenons une première coupe de champagne avec Marie en compagnie de Denis et Gérard.
Denis remet de suite une « petite enveloppe » à Marie, en lui précisant qu’il a bien vérifié, qu’il y avait même plus que demandé.
Mais en contrepartie, que ses « amis » sont très motivés, qu’ils ont payé et se sont déplacés pour venir jusqu’ici rencontrer Marie et que cela risquait d’être peut être un peu limite…
Qu’ils adorent les surprises et les nouveautés, en fait ils cherchent une fille ouverte à de nouvelles expériences…
- Je leur ai bien précisé que ton désir est insatiable, violent, sans répit. Que tu as une vie sexuelle très active et libérée. Que ton mari sera présent et consentant, qu’il n’y pas de limite ou peu…Tu es d’accord Marie ?? Demande Denis
- Oui, Denis, t’inquiète...Je suis constamment en recherche de plaisir et tu sais bien que j’ai un très fort appétit sexuel. J’ai une batterie énorme de ce côté-là, tu le sais Denis.
- Bon, si tu es toujours d’accord...Et Éric ?
- Eh bien, cela m’inquiète un peu, pour tout te dire, il faut peut-être fixer quelques limites !!!
- J'aime jouer, j'aime séduire, chéri. Et comme beaucoup de femmes j'imagine, je suis sensible à mon cycle hormonal, et la période avant l'ovulation est une période "chaude". Et donc tu as compris…
- Donc, pas de marche arrière possible pour vous, ma chère. Déclare Gérard.

Après ces paroles, et en reprenant tous les quatre une nouvelle coupe, Denis et Gérard ont l’air très chaud et aborde Marie devant moi.
Je dois bien l’avouer, cela m’excite à fond.
Ça ne fait pas cinq minutes que Marie discute avec eux, et je vois déjà leurs mains courir sur le corps de ma miss.
Moi, pendant ce temps-là, je n’en perds pas une miette. Mon sexe durcit dans mon pantalon qui se déforme. En même pas dix minutes, ma chérie se retrouve en string et seins nus en plein milieu de la bibliothèque. Gérard prend Marie par la main et l’emmène dans le salon, où se trouve une grande banquette.
Il l’installe dessus, et attend que tous nos amis soient là
En un rien de temps, Marie se retrouve entourée des six hommes qui profitent de son corps.
Elle est caressée, léchée, embrassée par toutes ces mains, par toutes ces bouches.
Je l’entends gémir de plus en plus fort.
Quand je me rapproche, je vois ma « Marie » qui se fait enfoncer des doigts dans chaque trou.
Elle se trouve les jambes écartées, avec deux doigts dans la chatte, trois dans le cul, une bite dans chaque main et une autre, énorme, dans la bouche.
Marie se fait défoncer par tous les orifices, je vois les phalanges lui éclater le trou du cul, et sa bouche complètement déformée par ce sexe géant, celui de Denis.
À un moment, Marie se retourne sur la banquette.
Là, un mec, je pense Roger, le grand maigre avec un sexe comme je n’en ai rarement vu, épais et très courbé, le lui a enfoncé dans le cul pendant qu’elle continue à lécher le gros membre d’un autre type, en fait Daniel.
Elle se fait sodomiser énergiquement.
D’un coup, celui qu’elle a en bouche a lâché son sperme au fond de sa gorge.
Elle a tout avalé. Un autre est venu prendre la place de la bite ramollie dans la bouche chaude de ma petite femme chérie, et puis un deuxième.
Marie tente de pomper les deux en même temps, mais c’est un peu maladroit, d’autant qu’elle est toujours en train de se faire défoncer le cul.
A un moment, Roger se retire de son petit trou et ôte son préservatif, (nous avions convenu que les inconnus devaient être protégés) pour se vider les couilles sur le visage de ma chérie.
Puis, un cinquième en l’occurrence Gérard prend sa bite en main et se présente à l’entrée de la chatte béante de ma « belle », qui coule de plaisir et d’envie.
Il entre d’un seul coup, sans ménagement, et se met à la baiser avec force, à lui donner de grands coups pour s’enfoncer le plus loin possible.
Pendant ce temps-là, Marie est toujours occupée à sucer les deux sexes qu’elle a en bouche, et ils se sont tous les deux vidés, à quelques secondes près, eux aussi sur son visage.
Il est tapissé de sperme, ça lui coule jusque dans le cou.
Ensuite deux autres sexes (Claude-Yves et Jean-Luc) viennent se présenter à sa bouche, les glands s’entrechoquent contre ses dents, et ma petite Marie les suce avec ardeur.
L’un des deux, Jean-Luc s’est enfoncé jusqu’à sa glotte pour lui décharger son sperme au fond de la gorge pendant qu’elle se fait toujours labourer.
L’homme qui la baise (Daniel) s’est retiré pour lui jouir sur le minou.
Après ce début de soirée prometteur avec beaucoup de sexes, nous prenons une pause pour boire une coupe et pour permettre à Marie de se décontracter et de respirer un peu.
A ce moment, suis-je heureux ? J’ai l’impression que nous allons trop loin, voir son épouse prise de la sorte par tous ces mecs m’offre un sentiment étrange, bizarrement, cela me fait vraiment bander, et je me masturbe pendant que Marie est fortement sollicitée, sans avoir envie de les rejoindre…Je reste spectateur…
J’entends les commentaires de certains qui sont allés prendre un verre et fumer une cigarette dans la cuisine.
En fait leurs échanges concernent exclusivement Marie, ils sont tous d’accord et surpris par la capacité de Marie à absorber tous ces sexes, qu’elle est bonne, que c’est une bonne pute, que c’est une vraie salope, qu’ils vont après se la prendre en double pénétration…
Ils plaisantent un peu avec moi…J’apprécie peu.
Mais le répit est de courte durée.
Encore une fois, Marie est sollicitée par tous ces sexes qui en redemandent. Mais, bien sûr, ma « petite Marie » est parfaitement ok pour prendre à nouveau du plaisir et jouir encore et encore.
Donner du plaisir à tous ces hommes, leur donner ce qu’ils sont en droit de demander…
Eh oui ça, c’est Marie, elle n’en a jamais assez, c’est une gourmande.
Je ne vous raconte pas la suite, car cela va être beaucoup trop long. Mais je peux vous dire que la soirée va durer jusqu’à 3 heures du matin, et que Marie se fait baiser par tous les trous, et que plus d’un homme lui a joui dessus, dedans, elle a même eu droit à deux très longues doubles pénétrations.
Les amis sont partis, en remerciant chaleureusement Marie, profitant encore au passage de bien la caresser, comme pour bien tester « la marchandise ».
Nous sommes restés tous les trois, Gérard, Marie et moi…
Et justement, moi, son mari, je n’en pouvais plus de regarder sans toucher…
Pour clôturer notre fiesta, alors, je lui défonce tout simplement son petit cul, les préliminaires ne sont pas nécessaires, car son cul est véritablement explosé après le passage de plusieurs grosses bites, un trou béant qui remplace la vue d’un anus normal… Je lui fait une sodomie d’enfer en lui donnant une fessée magistrale alors que Marie est encore occupée à sucer le sexe de Gérard qui va décharger son sperme au fond de la gorge pendant que je continue de la défoncer.
Nous avons ensuite terminé notre weekend tous les trois, plutôt calmement, car Marie a une légère inflammation dans la zone génitale, ses lèvres sont gonflées et lui font mal, les multiples relations ont été un peu trop intenses, les mouvements trop brusques et intenses, ce gonflement des lèvres vaginales s'accompagne de douleurs, de picotements, de brûlure entre autres symptômes…
En conclusion, malgré les douleurs, Marie est ravie, elle assume pleinement son hypersexualité, son fort appétit sexuel et son besoin de repousser ses limites, et surtout elle assume parfaitement son goût pour cette pratique.
Elle assume également le fait d’être rémunérés pour assouvir ses fantasmes.
Nous allons continuer notre libertinage pendant deux années encore, pendant lesquels je vais rencontrer souvent en solo, Denis ou Gérard, ou Denis et Gérard, et quelques trios avec Marie surtout avec Gérard qu’elle affectionne particulièrement et puis nous aurons une soirée encore plus chaude, environ une année après celle-ci, nous vivrons un gang-bang avec un autre couple (une première pour nous) et huit hommes tous très bien membrés et très endurants.
Et puis la maladie va nous toucher de près, peu de temps après notre rupture avec Denis, en mai 1994, Marie va avoir ses premiers ennuis, les séances de radiothérapie et les séances de chimiothérapie s’enchaînent. Un protocole qui prévoit une ou plusieurs séances, quelque fois consécutives.
Marie est épuisée, courageuse, combative, elle perd ses cheveux, elle maigrit énormément, elle est de plus en plus faible et malheureusement, elle succombe à un cancer foudroyant ou plutôt agressif.
Malheureusement pour nous, certains cancers ont un potentiel d'agressivité important. Ils ont un risque d'évolution vers le décès important en pourcentage et un délai d'évolution rapide.
Marie est décédée le 31 octobre 1995.
Je suis seul avec mon fils et désemparé, Marie, c’est l’amour de ma vie, c’est une très belle personne dans tous les sens du terme, c’est pour cela, qu’en retrouvant, vingt-cinq plus tard, nos journaux intimes suite à un déménagement, j’ai ressenti le besoin de faire « revivre » Marie à travers mes récits de nos aventures libertines.
Dans les prochains chapitres, vous retrouverez encore Marie, mais elle ne sera plus active. Vous pourrez constater, de sa grandeur d’âme, de sa générosité et de son ouverture d’esprit.