Les Vacances De Valérie
Cest ma collègue de travail, Valérie, qui ma raconté ses vacances dans les îles, cet été, avec sa mère ...
La mère et la fille sont parties seules en vacances aux Antilles, pendant trois semaines, sans leurs maris, malgré le fait quelles soient toutes les mariées.
Depuis longtemps, les parents de Valérie allaient chaque année en vacances là-bas, ils adoraient lendroit, et ils ne voulaient pas changer de destination. Il y a trois ans, pendant ses vacances, le papa de Valérie a eu une grosse indigestion, il a été très malade, et il a passé dix jours à lhôpital. Il est rentré sur le continent amaigri, pâle, et il a eu beaucoup de mal à sen remettre. Lannée suivante, il a refait une indigestion avec le même plat (dont je ne me rappelle plus le nom).
Le médecin qui la soigné a expliqué que lindigestion était tellement forte quil était allergique, désormais, aux plats tropicaux, et quil devra se contenter de nourriture européenne. Le père de Valérie a encore passé de très mauvaises vacances, ne pouvant pas se consacrer à sa passion de se goinfrer de plats exotiques, et lannée dernière, il na pas voulu repartit dans les îles. La maman de Valérie a eu beau déployer des trésors dingéniosité pour le convaincre, rien à faire.
Donc, lannée dernière, ils sont restés sur le continent et là, cest la maman de Valérie qui a eut ses vacances gâchées.
Par conséquent, cette année, elle a réservé un séjour en Guadeloupe, dans son hôtel favori, sans rien dire à son mari, espérant arriver à le convaincre de la suivre là-bas. Mais cétait mission impossible, le père ne voulant rien céder.
Du coup, pour ne pas perdre sa réservation, la maman a emmené sa fille. Les maris nétaient pas contents du tout, surtout celui de Valérie, mais les deux femmes sont restées intransigeantes, et sont parties en vacances ensembles.
Le premier soir, les deux femmes se sont pomponnées et sont descendues au sous-sol, au night-club de lhôtel, pour samuser, danser et boire des coups, puisque cest compris dans le séjour.
Au cours de la soirée, un grand black bien habillé sest présenté pour inviter la maman de Valérie à danser. Rapidement, Valérie sest aperçue quils se connaissaient déjà, étant donné les familiarités que le noir se permettait avec sa mère.
Questionnée, la maman un peu embarrassée a avoué à sa fille que, lannée où son père avait été si malade, elle sétait baladée et quelle était sortie un peu pour se distraire. Sans donner plus de détails.
Le grand africain est revenu du bar avec les boissons quil était allé cherché. Il a posé les verres sur la table, il sest penché sur la mère de Valérie, et ils ont échangés un long baiser langoureux. Valérie était sidérée. Sa mère avec un jeune noir, lembrassant à pleine bouche, en public, dans un hôtel où elles étaient connues, quelle horreur !
Puis, il sest assis à côté de la maman de Valérie, entourant ses épaules de son bras, lautre main posée sur la cuisse de sa conquête, affichant sans équivoque son titre de propriété sur cette femme. Valérie, gênée, sest esquivée, prétextant les fatigues du voyage. Tandis que sa mère, rougissante, lui a répondu quelle allait «rester encore un peu».
Rester encore un peu
La maman de Valérie na regagné la chambre quau petit matin. Visiblement fatiguée, elle sest effondrée dans son lit et sest mise à ronfler. Valérie ne pouvait plus dormir, elle sest levée, a pris son petit-déjeuner, puis elle est allée faire bronzette au bord de la piscine, se rafraîchissant en faisant trempette ou en buvant des cocktails sans alcool. Vers midi, elle est retournée réveiller sa mère qui ronflait encore.
Il sest avéré drôlement difficile de la réveiller et, même après une bonne douche et un maquillage léger, les cernes sous les yeux étaient encore parfaitement visibles. Pendant le repas, Valérie a questionné sa mère qui a fini par lui confesser toute lhistoire.
Lorsque son père avait été si malade, et quil était resté une dizaine de jours à lhôpital, sa mère, livrée à elle-même, a tenté de se distraire pour ne pas gâcher ses vacances. Son mari, à lhôpital, était parfaitement soigné, elle passait ses journées à son chevet, mais le soir ?
Le night-club de lhôtel, au sous-sol, était parfaitement sécurisé, elle ne pouvait pas y faire de mauvaises rencontres, et elle pouvait samuser un peu. Cest là quelle a rencontré ce beau jeune homme noir, un peu trop jeune pour elle, et quils sétaient «connectés». À lépoque, elle ignorait que de beaux jeunes hommes noirs traînaient dans cet hôtel pour distraire les riches touristes européennes, et que cétait même une «spécialité» de cet hôtel.
Lannée suivante, son père avait encore été malade, et sa mère sétait «reconnectée» au jeune africain, mais elle avait failli se faire surprendre par son mari, échappant de peu à une scène publique, ce qui la obligée à plus de discrétion. Elle lavait accompagné chez lui, une chambre en ville, quil partageait avec dautres gars, elle lui avait donné un peu dargent, puis elle avait rompu le contact
jusquà hier soir.
Valérie avait beaucoup de mal à comprendre sa mère, et encore plus à croire à une connexion occasionnelle, et elle insistait pour que sa mère lui explique un peu plus cette histoire ahurissante. Finalement sa mère, en baissant le ton, lui a racontée, gênée, que : "les jeunes africains, bien membrés, et très
vaillants, beaucoup plus que ton père, en tout cas, voilà, enfin, tu es une femme maintenant, tu comprends ce que je veux te dire, au lit, ils sont sans pareils !"
Voilà, elle sétait «connectée», plusieurs années durant, à de jeunes noirs bien membrés. Pendant que son mari prenait son plaisir en faisant bombance, et sécroulait pour une sieste réparatrice aux heures chaudes de la journée, elle sencanaillait dans des alcôves sordides, et se faisait baiser contre une poignée de billets.
Quand elles ont rencontrées le grand noir, une nouvelle fois, le deuxième soir, au night-club de lhôtel, il nétait pas seul. Il était accompagné par son «cousin», aussi grand que lui, un peu plus maigre, et moins bien habillé. Par contre, la bosse qui déformait son pantalon faisait saliver la mère de Valérie.
Valérie, elle, ne salivait pas, mais elle était curieuse de savoir, de connaître, pourquoi certaines filles, au lycée, à luniversité, en baissant la voix, en pouffant, racontait que cétait «extraordinaire». Et cette idée que sa mère, alors que son mari était souffrant, labandonnait pour aller se faire ramoner la chatte par de jeunes noirs, ce devait être quelque chose qui valait le coup, quelque chose à essayer
Après tout, son mari était loin ...
Valérie a accepté de danser avec le jeune black, très bon danseur, mais très caressant, très entreprenant même. Il savait pourquoi on avait fait appel à lui, et il voulait utiliser son démonte-pneu pour donner du plaisir à la femme blanche.
La mère de Valérie sest esquivée avec le grand noir, en glissant à loreille de sa fille :
"Ne viens pas te coucher tout de suite, laisse-moi une heure ou deux !"
Désireuse de ne pas faire desclandre sur la piste de danse, et ne parvenant pas à lutter efficacement contre les mains baladeuses du jeune homme, Valérie sest résignée à lemmener promener le long de la plage. À lombre dun bosquet complice, elle a compris pourquoi cétait aussi «extraordinaire» !
Allongée, sur un transat, sous la voûte étoilée, et couverte par un jeune noir en rut, elle a découvert ce que voulait dire le mot «baiser». Des dimensions hors normes, et puis infatigable, elle a finit rompue, moulue, brisée. Se croyant plus résistante que sa mère, et pensant quelle avait fini depuis longtemps, Valérie a abandonné son étalon contre un billet, puis elle est rentrée se coucher. Mais son arrivée intempestive a fait fuir le grand black.
Alors, mère et fille ont échangé des confidences. Tout y est passé : la taille, lincroyable douceur du contact du membre à lintérieur de la chatte, ce côté enveloppant, limite verrouillée à lintérieur dun cocon, subissant le rythme sans pouvoir répondre, soumise à un mâle dominant qui vous donne une série dorgasmes tous plus incroyables les uns que les autres, jusquà lapothéose finale qui vous laisse fourbue mais ravie, avec une seule idée en tête : recommencer.
Le lendemain matin, après un petit déjeuner copieux, les deux femmes se sont promenées sur le front de mer, au bord de la plage. Bientôt, elles furent accostées et presque harcelées par une légion de jeunes hommes noirs, tous très beaux, mais extrêmement collants, limite effrayants. Heureusement, la mère de Valérie savait où retrouver leurs galants.
Quand Valérie vit arriver son taureau fougueux, ce matin-là, elle fut stupéfaite de voir à quel point il lui était beau !
Dabord, elle lui a tendu les bras. Létreinte sur le front de mer l'a amenée à prendre conscience du renflement dans son short, alors qu'il lenlaçait et lembrassait amoureusement. Un contact corporel étroit, prolongé, pour que la jeune femme sache bien quelle se trouvait en présence dun mâle alpha, quelle pouvait se détendre, elle était «prise en charge».
Dabord, elles se sont plaintes à leurs gladiateurs du traitement que leur avaient fait subir les jeunes autochtones. Lamant de Valérie avait la solution : une chaînette ornée dune médaille ésotérique quelles ont accrochées à leur cheville gauche.
"Ainsi, les mecs sauront que vous nous appartenez. Cest le symbole de notre gang. Vous êtes sous notre protection. Avec nous, ici, vous ne risquez rien. Nos gars sont craints et respectés."
Puis, les deux couples se sont séparés. La mère de Valérie voulait faire des emplettes au centre ville, Valérie voulait samuser un peu avec son nouvel amant. Elle l'a invité à laccompagner dans sa chambre, à l'hôtel.
Valérie ma dit qu'elle n'avait jamais été aussi excitée de sa vie que lorsqu'elle marchait sur le front de mer, puis dans les allées de l'hôtel, avec son flirt. Ils marchaient, étroitement enlacés, échangeant des baisers passionnés et des regards langoureux. Toutes les personnes quils croisaient et qui les dévisageaient, Valérie était parfaitement consciente qu'ils savaient où elle allait avec ce bel étalon, et ce quils allaient faire ensemble !
Elle a dit qu'elle s'en fichait éperdument à ce moment-là, elle savait juste qu'elle le voulait lui, dans sa chatte brûlante de désir ! Ils s'embrassèrent encore dans l'ascenseur, et Valérie pouvait sentir sa grosse bite noire et dure se presser contre son ventre. Valérie m'a confié qu'elle désirait plus que tout sucer cette bite, un désir bestial, primitif, alors quelle avait toujours refusé cette caresse à son mari, trouvant cette posture avilissante. Même si elle ne savait que peu de choses sur le jeune homme, cétait comme un besoin irrésistible.
Valérie ma dit que l'attraction animale était si puissante que, dans lascenseur, elle se frottait contre lui comme une chatte en chaleur qui rampe devant le matou. Elle navait jamais ressenti pareil convoitise, et elle sentait des fourmillements se propager dans son ventre.
Quand ils sont entrés dans la chambre, le gars a continué de l'embrasser voluptueusement tout en la déshabillant lentement. Sans qu'elle ne s'en rende compte (ses mots), elle était nue, et les mains du gars étaient partout sur elle.
Elle ma dit qu'elle avait adoré cette exploration méticuleuse, chaque centimètre carré de sa peau était sollicité, enfiévré, et son ardeur sexuelle augmentait sans cesse.
Elle subissait ses attouchements comme une poupée entre ses mains, ce jeune gars lui faisait découvrir des plaisirs inconnus et, bien que plus âgée que lui, elle simaginait comme de la pâte à modeler entre les mains du sculpteur. Elle déboutonna sa chemise pour senivrer de sa chaleur et de la douceur de sa peau. La sensation de son corps brûlé de soleil, musclé et sexy contre ses seins était si intense qu'elle poussa un soupir et se souda contre lui.
Ils s'embrassaient passionnément, puis elle se libéra de létreinte pour lembrasser dans le cou, sur la poitrine
elle suça longuement ses tétons et se baissa pour l'embrasser sur le ventre en descendant jusquau pubis. Elle s'assit sur le bord du lit et lattira près delle tout en baissant son short. Tout le temps, ses yeux bleus de petite fille nont pas quittés les yeux noirs du gars. Elle sétait frottée contre cette bite dans lascenseur, mais quand elle a baissé son short, le membre a surgi, comme un ressort, la faisant sursauter.
Ses yeux sagrandirent détonnement en voyant les dimensions de lengin. La nuit dernière, dans lobscurité, elle sétait bien rendue compte que le sexe dans son ventre était colossal, mais si elle lavait vu avant, elle aurait douté de pouvoir laccueillir dans sa chatte
Valérie voulait ressentir la chaleur et la douceur de cette bite, alors elle la caressait de sa main en la frottant contre sa joue. Mais le gars ne lentendait pas de cette oreille :
"Ne me fais pas languir, bébé, prends-moi dans ta bouche et fais-moi jouir. Mets-la dans ta bouche, bébé, je veux voir tes lèvres roses sucer ma bite !"
J'ai eu le sentiment quil était beaucoup plus vulgaire que ça, mais c'est comme ça qu'elle ma raconté l'histoire.
Elle la prit en bouche et la sucé. Difficilement, parce quil était trop volumineux. Douloureusement, parce quil a mis sa main sur sa nuque pour lencourager à le prendre plus profond. Les muscles de sa mâchoire étirés au maximum se paralysaient, au bout dun moment, elle ne pouvait plus le sucer, et elle lui a demandé de sarrêter.
Il l'a ensuite soulevée dans ses bras musclés, et il la embrassée le cou en la déposant sur le matelas. Dinstinct, elle a replié et écarté ses jambes pour soffrir à son amant. Il sest penché sur elle et, avec ses lèvres, avec sa langue, avec ses doigts, il a joué une symphonie lyrique qui a fait chanter à Valérie toutes les notes de la gamme. Plusieurs fois, sa voix sest étranglée, rendue muette par les spasmes qui la secouaient.
Ensuite, il a rampé sur elle, il lui a dit de "le mettre dans", et elle sentit cette tête épaisse écarter les lèvres de sa chatte. Il est entré immédiatement en elle, sans douceur mais sans forcer, en lui coupant le souffle ! Elle m'a décrit leur étreinte comme un long orgasme, depuis le moment où sa queue est entrée en elle, jusquau bouquet final.
Il l'a travaillée de toute sa longueur. Lentement au début, pour quelle shabitue, puis en accélérant progressivement. La sentant complaisante et mouillée, il sarrêta pour lui faire soulever le bassin et glisser ses mains puissantes sous ses fesses dodues. À partir de ce moment, elle a subi un véritable bombardement. Le souffle court, écrasée par le poids du garçon, frappée par une bite qui heurtait le fond de son ventre, les longs coups féroces faisaient trembler ses chairs.
Elle ma raconté quelle ne pouvait pas sempêcher de geindre et de gémir chaque fois qu'il s'enfonçait en elle. Les deux amants étaient couverts de sueur et il continuait, infatigable, en lui disant des mots damour. Alors quelle perdait la tête et couvrait le visage de son amant de baisers passionnés, il est ressortit en lui demandant de terminer dans sa bouche.
Elle ma dit qu'en baissant les yeux sur sa bite, qui semblait encore plus longue et plus épaisse qu'avant, elle la vue trempée de leurs jus. Avant son mariage, avec ses copains, elle suçait parfois un peu avant, jamais après. Et pour sucer un peu avant, elle exigeait du gars quil lave son truc (ses mots). Mais avec ce gars, elle n'y a même pas pensé. Elle ma dit qu'elle avait pris sa bite trempée dans sa bouche et quelle lavait sucé comme une salope (ses mots). Et quand il est venu, il a glissé ses doigts dans ses cheveux sur sa nuque, pour maintenir sa tête. À ce moment-là, il lui a dit :
"Oui, cest ça, suce-moi bien à fond !" puis "Avale bébé, avale tout" Et il a jouit dans sa bouche une quantité effarante de sperme qui a ruisselé sur son menton, sur ses seins et jusque sur son ventre. Immédiatement après, il lui a dit qu'il avait des trucs à faire et qu'il reviendrait plus tard. Et il la plantée là, un peu frustrée.
Elle a pris une douche et elle est descendue à la piscine de lhôtel. Elle y a retrouvé sa mère qui bronzait au bord de la piscine. Elles ont parlé de leurs hommes respectifs et, à demi-mots, de leurs performances. Puis sa mère, en souriant, lui a parlé des bracelets de cheville. En fait, ce sont des «marques desclavage», ce qui veut dire que celle qui le porte appartient au gang. Oui, oui, au gang, à tous les membres du gang, à nimporte quel membre du gang.
Cest pour ça que les locaux, en voyant une femme porter ce «bracelet d'esclave», savaient quelle appartenait au gang et quils navaient pas le droit dy toucher, sauf sils appartenaient au gang. Cétait un code tacite, apparemment bien respecté des jeunes locaux.
Elle a demandé à sa mère où elle allait avec son chéri, au cas où elle aurait besoin de la retrouver. Sa mère l'a guidée vers le vieux port, tout au bout, une allée entre deux maisons. Elles ont emprunté le passage puant, débouché dans une cour, et lui a montré une porte au fond de la cour. Elle lui a montré l'appartement de l'extérieur et lui a dit de frapper à la porte si elle avait besoin d'elle.
Pendant qu'elles parlaient, le petit ami de sa mère, le grand noir, est entré dans la cour. Il a étreint sa mère et il a embrassé Valérie longuement, dans le creux du poignet, en la regardant droit dans les yeux. Valérie a senti un frisson courir le long de son échine. Sans la quitter des yeux, il a demandé à sa mère :
"Elle a accepté le bracelet de cheville, sait-elle à quoi elle sengage ?"
"Non, cest encore un peu tôt". À répondu sa mère.
Mais Valérie sest rebiffée :
"Et à quoi ça mengage ?"
"Tu appartiens aux hommes du clan, à TOUS les hommes du clan."
À ce moment-là, la porte sest ouverte, Valérie a vu un vieil homme noir assis sur une chaise, entièrement nu. Elle s'est détournée, choquée. Elle n'a vu l'intérieur que brièvement, mais elle a pu voir qu'il faisait très sombre.
"Tu devrais probablement y aller maintenant, chérie"
Valérie était inquiète et elle a demandé à sa mère si tout allait bien. Elle a ri et lui a répondu:
"Mais oui, ma chérie ... ici, cest une communauté, ils partagent tout ... pour mon bonheur !"
Valérie lui a sourit : "Pas étonnant que tu sois si fatiguée !"
Valérie ma dit qu'elle était sous le choc en rentrant à l'hôtel. Elle a dit qu'elle narrivait pas à penser à ce que sa mère pouvait accepter de ces gars. En arrivant à son hôtel, elle a retrouvé son chéri qui lattendait devant lentrée. Il la prise dans ses bras et elle a senti qu'il bandait déjà pour elle.
"J'ai pu me libérer plus tôt, javais tellement envie de toi, de ta chatte brûlante."
Il a joint le geste à la parole, glissant sa main sous sa courte jupe, pour empoigner sa chatte. Instantanément, une pulsion sauvage a enflammé sa chatte et elle a entraîné son étalon à lintérieur. Valérie ma dit qu'il était insatiable, mais quelle aussi. Ils ont fait lamour toute la nuit, entrecoupé de courtes pauses.
Profitant dune pause, Valérie a demandé à son homme de lui parler du bracelet de cheville. Pour lessentiel, son discours ne différait pas beaucoup de celui du chéri de sa mère. Sauf pour une chose. Elle appartenait au clan, cest sûr, mais le droit de cuissage ne sexerçait quà lintérieur de lappartement que sa mère lui avait montré. Cétait la tanière du chef du clan, et cétait lui qui exigeait des femmes quelles se soumettent au droit de cuissage. Et cest sa mère qui leur demandait daller là-bas. Personne ne ly obligeait.
Pour lessentiel des vacances, ils ont passé plus de temps à baiser qu'à explorer l'île. Valérie disposait de la chambre, sa mère étant souvent absente, occupée ailleurs. Valérie à découvert quelle pouvait passer beaucoup de temps à sucer, à caresser, sans quil y ait nécessairement de pénétration. En plus, elle sest rendue compte quelle aimait autant être active que passive. Choyée, dorlotée, comblée, Valérie sest posée la question, savoir si elle rentrerait sur le continent à la fin des vacances, ou si elle changeait de vie.
Pour tout savoir de la vie du clan, elle a déclaré à son amant quelle se croyait prête à passer le test ultime, et quelle désirait être conduite à lappartement sur le vieux port. Il a eu lair un peu étonné, mais na pas fait de commentaires.
Ils se sont habillés et ils se sont dirigés vers lappartement. Arrivés devant la porte, son amant noir a toqué et a ouvert la porte sans attendre de réponse. Il sest effacé et elle est entrée, clignant des yeux pour shabi à la pénombre. Le vieil homme était assis sur sa chaise, entièrement nu.
Elle restait là, les bras ballants, alors son jeune amant a mis la main sur ses reins et la poussée en avant. Le vieil homme lui a fait signe de sucer sa bite, et elle sest agenouillée sans faire de manières. Rapidement, elle sest aperçue quil était encore bien vert, et remarquablement bien équipé. Encore mieux que son jeune amant. Elle la sucé et léché longtemps, espérant le faire venir. Mais un anneau à la base de sa bite lempêchait de gaspiller son précieux nectar.
Au bout dun long moment, alors que Valérie commençait à se fatiguer, le vieux a émit un son guttural, et son jeune amant la aidé à se relever et à sinstaller à califourchon sur les genoux du vieillard. Chevauchant le vieux, face à lui, elle sest empalée doucement sur lénorme bite qui se dressait vers le ciel. Sûrement que le vieux, en voyant que Valérie se livrait doucement, ça ne lui a pas plu. Il a saisi Valérie par les hanches, pour lempaler dun geste rageur, qui la fait crier.
Ensuite, le vieux la empoignée par les fesses pour laider à rebondir sur sa bite dressée. Elle a joui plusieurs fois. Haletante, pantelante, gémissante et geignante, elle sest effondrée, le front contre lépaule du vieux, épuisée. Alors, il la libérée, en émettant un commentaire désobligeant sur les performances de la mère et de la fille. La chatte dévastée, les lèvres tuméfiées, Valérie a eu du mal à retourner jusquà lhôtel, et son chéri la soutenait.
Valérie ma raconté quune nuit, sa mère avait surgi dans la chambre, au beau milieu de la nuit, légèrement pompette, Elle était accompagnée de deux jeunes noirs, son chéri et un gars quelle ne connaissait pas. Valérie était dans son lit avec son amant, et sa mère sétait couchée dans lautre lit avec les deux gars. Tout le monde était entièrement nu.
Sa mère et ses deux amants ont commencé à sembrasser et se tripoter, ce qui a excité le chéri de Valérie qui voulait la baiser. Mais Valérie la empêché, parce que c'était trop bizarre d'avoir des relations sexuelles avec sa mère à côté.
Ils avaient éteint la lumière, mais un peu de clarté venant de lextérieur permettait de distinguer les formes. Bientôt, les gémissements de sa mère se sont accentués, et Valérie la vue, dans le contre-jour, agenouillée sur le lit, entre ses deux partenaires, suçant lun pendant que lautre la baisait en levrette. Au bout dun moment, les hommes ont échangé leurs places. Valérie, éberluée par le sans-gêne et la débauche de sa mère, les regardait uvrer.
Son chéri, la voyant fascinée par le spectacle, la installée à quatre pattes, face à eux, et la prise en levrette. À ce moment-là, le téléphone a sonné. Cétait son mari, qui se trompait dans le décalage horaire, et qui lappelait en pleine nuit pour avoir de ses nouvelles. Elle a dû discuter avec son mari pendant que son chéri lui tambourinait la chatte, à lui hacher la voix, et que sa mère faisait des vocalises sur lautre lit.
Valérie sétait installée, la joue contre le matelas, la main par-dessus le combiné téléphonique, avec un oreiller sur la tête pour masquer le son. Mais son mari, pas dupe, voulait savoir «cest quoi, ces bruits?». Elle a dû inventer un balourd avec une comédie musicale que les deux femmes regardaient à la télé. Son mari a raccroché juste à temps car son amant était en train de finir et voulait jouir dans sa bouche.
Voilà pour l'essentiel, cest l'histoire que ma contée Valérie. Jai préféré édulcorer certains passages scabreux qui napportaient rien de plus à cette histoire.
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