Leslie Nr75

Leslie NR75 – Nouveaux récits
Histoires libertines – Estelle, suite et fin

Estelle a compris qu’ils sont chez lui, après tout pourquoi pas, cela sera certainement plus confortable qu’une chambre d’hôtel.

Sans un mot, il la conduit dans une chambre et la prend dans ses bras, l’embrasse de nouveau en lui fouillant encore sa bouche avec sa langue. Il lui dégrafe et lui ôte son chemisier et elle se retrouve poitrine nue devant lui, il l’embrasse dans le cou en lui caressant un sein puis se recule et la regarde.
Il joue avec ses tétons qui durcissent sous ses doigts, puis il défait son pantalon et elle voit la bosse u membres qui déforme le slip.
- Sucez-moi…
Elle est surprise par la rapidité de la demande, jamais personne n’a été si direct avec elle, et pourtant cela ne lui déplaît pas tant que cela, alors elle se met à genoux, descend le sous-vêtement et découvre le membre qui se redresse aussitôt. Une queue de taille standard mais très épaisse. Il la prend dans sa main et lui présente devant sa bouche, alors elle approche sa bouche du gland, entrouvre les lèvres et sort la langue pour lécher le gland avec application.
Evidemment cela l’excite et elle sent sa culotte de plus en plus humide. Puis elle le prend entièrement en bouche et se met à le pomper, son souffle est fort et semble apprécier :
- Ohhh oui, vous sucez bien…
Après un moment, il la fait se relever :
- Déshabillez-nous, je veux te voir.
Elle ôte sa jupe ayant toujours ses seins à l’air et des ses deux mains fait glisse son string le long de ses cuisses et une fois à ses chevilles l’envoie balader sur le sol de la chambre dévoilant ainsi son pubis lisse, il la regarde en se branlant, nue devant la pubis encadré de son porte-jarretelles et les jambes gainés de ses bas, il lui demande :
- Vous vous épilez toujours intégralement la chatte ?
- Bien-sûr que oui.
- Pourquoi ?
- Parce-que j’aime avoir la chatte lisse !
- Donc tu l’auras ainsi la prochaine fois ?
Estelle, qui n’avait encore jamais passé une deuxième fois avec ses conquêtes, dit !
- Mais…
- Ne dites rien, nous sommes maintenant des complices, autant dans les affaires que maintenant dans nos relations sexuelles, et puis je vous laisserais du temps pour vos autres relations…

Estelle se rendit compte à cet instant que Monsieur Gérard savait depuis longtemps qu’elle avait des relations intimes avec d’autres clients, mais qu’il n’avait rien dit et avait garder le silence depuis leur première rencontre, une attitude de gentlemen pensa-t-elle et il rajouta ;
- Vous êtes de mon avis ?
Estelle avala sa salive et répondit :
- Oui, je le suis.


Alors Monsieur Gérard rajouta :
- Tourne-toi.
Sans un mot, comme fascinée par ce sui se passait elle se retourna en sentant le regard de Monsieur Gérard sur ses fesses, puis ses mains qui vinrent malaxer les deux lobes et dans son dos elle l’entend dire :
- Il me plait bien ton cul, tu sais. Tu as envie que je te prenne ?
- Oui prends-moi.
- Dites-moi que vous allez être mienne.
Estelle ne comprenant pas demanda :
- Comment ça ?
- Vous allez être mienne chaque fois que j’en aurais envie.
Estelle ne répond pas, mal à l’aise. Monsieur Gérard demande :
- Dites-le-moi chérie.
- Estelle lâche alors :
- Oui je serais tienne.

Ses propres paroles l’excitent et Estelle, sous l’excitation, perd le contrôle de la situation et Monsieur Gérard lui dit :
- Allongez-vous.
Elle se couche, complètement soumise, en travers du lit, les jambes à moitié dans le vide. Monsieur Gérard s’agenouille entre ses jambes et lui demande :
- Vous aimez être léchée ?
- J’adore, réponds t’elle sans réfléchir.

Alors il plonge son visage entre ses jambes et se met à lui lécher la vulve, plusieurs fois de bas en haut, Estelle gémit étant très sensible de cette partie de son corps. Puis il se relève, Estelle est surprise, elle aurait aimé que cela dure plus longtemps, il baisse son pantalon et la couvre, elle sent, pendant quelques secondes, le gland tâtonner sa vulve humide.
Le gland est maintenant à l’entrée ses lèvres, avec sa main il le guide sur son vagin, instinctivement elle écarte ses cuisses un peu plus et d’un coup de reins il entre en elle.

Elle ne peut réprimer un gémissement, mais elle ne se sent pas complètement remplie comme d’habitude avec certains de ses amants, le sexe en elle est différent, il est plus gros et lui écarte bien les chairs, mais plus court elle ne le sent pas buter au fond d’elle, mais c’est très agréable. Monsieur Gérard commence à la limer, quelques allers et retours, et Estelle qui habituellement met plutôt du temps, jouit une première fois en silence en se pinçant les lèvres, il continue, il change souvent de rythme, se retire plusieurs fois, embrasse ses seins, et revient en elle, il la rend folle.

Il accélère, et l’a fait jouir deux fois de suite, son souffle est plus fort, il s’arrête, elle sentait qu’elle allait jouir encore :
- Tu veux que je me retire ?
Estelle réalise qu’il n’a pas mis de préservatif, mais elle a envie de recevoir sa semence, de toute façon, elle a un stérilet :
- Non, reste.
Encore deux coups de reins en ahanant et il se répand en plusieurs jets chauds et abondants.
Elle n’a pas joui une nouvelle fois, il reprend un peu le mouvement, elle sent que ça vient :
- Oui, vas-y encore.
Son vagin se contracte, elle crie :
- Ohhh, je pars…
Il se retire, sans un regard, il se réajuste. Estelle se dirige vers la salle de bain puis revient pour se rhabiller. Il la regarde sans discrétion en disant :
- Aller habillez-vous et je vous raccompagne.
Il l’a raccompagné à l’agence sans un mot et une fois qu’elle fut descendue il lui dit :
- Je vous rappelle, à bientôt chérie…

Les jours suivant, Estelle signa pour Monsieur Gérard tous les contrats de vente prévus, mais Monsieur Gérard étant en déplacement en Californie pour deux mois, Estelle devait attendre pour le revoir et lui donner les dossiers, enfin peut-être aussi le revoir pour autre chose…
Entre temps, en attendant, elle eu deux autres amants et une amante, les deux hommes ne lui laissèrent pas un souvenir impérissable, mais son amante, une lesbienne active fut un moment de jouissance intense tant pour elle que pour sa compagne.
Henri l’emmena plusieurs fois dans des soirées bondage, habillée dans sa tenue habituelle, elle eut, à chaque fois, beaucoup de succès auprès des invités de la soirée.
Comme un peu pour oublier ou simplement ne plus penser elle de livra dans des séances où entravée ou attachée sans pouvoir bouger, elle suça des queues à en perdre le souffle pendant qu’on lui bourrait la chatte ou qu’on l’enculait. Elle se donna dans des doubles pénétrations d’anthologie et rentrant souvent le cul les chairs meurtries suite aux nombreuses pénétrations subies dans la soirée par des membres démentiels.

Un lundi, elle ne pu même pas aller bosser et reporter ses rendez-vous de la journée, son anus la faisant tellement souffrir que même s’asseoir était pour elle une douleur.

C’est ainsi que les jours passèrent, malgré toutes les diverses aventures qu’elle avait de son côté seule où en couple dans les soirées privées, malgré tous les orgasmes qu’elle prenait dans les bras de ses rencontres, Estelle n’arrivait pas à oublier, il lui est même arrivé dans les bras de son homme et alors qu’elle était entrain de crier sa jouissance de penser à Monsieur Gérard.
A la limite de l’obsession, elle ne pensait plus qu’à lui, elle avait envie d’être prise à nouveau par cet amant et le plus étrange c’est qu’elle ne savait pas pourquoi. Il n’avait pas un membre si exceptionnel, mais elle se dit que c’était l’envie d’être à nouveau dominé par cet homme, et en venait à espérer son appel.

Au bout de deux mois il finit par se manifester et il lui proposa de la voir dès le lendemain, au même endroit, avec les dossiers et surtout en tenue…
Le soir même, elle fit l’amour à Henri comme une déchainée et rêva de choses les plus osées possible.
Quand elle arriva à la propriété, il l’attendait et sentit son cœur s’accéléré, il l’accueille en disant :
- Bonjour chérie.
Monsieur Gérard l’embrasse, elle accueille aussitôt sa langue qui fouille sa bouche, puis il l’emmène dans son bureau ou rapidement ils règlent leurs affaires.
A peine les dossiers rangés, il se tourne vers elle et lui dit :
- Vous m’excitée terriblement !
Sans un mot, après lui avoir retroussé sa jupe, il s’agenouilla et vint poser son nez sur sa vulve dégarnie, après l’avoir embrassé et sa langue s’est incrustée aussitôt entre ses lèvres puis il s’attarda sur son clitoris. Sensible du clito, elle laisse échapper un gémissement et pose spontanément sa main sur la nuque de son amant comme pour l’encourager à rester.
Estelle a toujours apprécié les cunnilingus, mais jamais autant que celui d’aujourd’hui,
Car, en connaisseuse elle sentit que Monsieur Gérard s’avait y faire, il était doux, rien à voir avec les autres langues qui avaient rencontré sa vulve et son clitoris.


Il lui demande de se retourner, elle se retourne et pose ses mains sur le bureau, il attire son bassin en arrière et elle se retrouve cambrée, les jambes écartées, offerte, elle n’a pas le temps de réagir qu’il lui lèche à nouveau le sexe par-derrière et elle laisse échapper un :
- Ohhh oui, comme ça c’est bon !
Il ne la laisse pas jouir, mais sait qu’elle est au bord de la jouissance, il se relève et il défait son pantalon, puis elle sent sa queue plaquée sur ses fesses, elle ne désire plus qu’une chose, sentir son membre en elle, le sentir dans son ventre.
Il la pénètre, d’un seul coup entièrement, elle se penche encore plus en avant sur le bureau pour mieux lui offrir sa croupe et contrairement à la première fois elle le sent buter au fond d’elle, il se cramponne à ses hanches et la besogne comme un forcené.
Elle hurle de plaisir et tourne la tête vers lui, elle cherche sa bouche, elle l’embrasse et lui donne sa langue, elle est déchaînée.
Elle quitte sa bouche quand les spasmes surviennent, elle jouit et arrose de plaisir le membre de son amant. Lui regarde son sexe qui entre et qui sort de l’intimité luisante d’Estelle pendant un long moment.
Il se retire et lui écarte les fesses des deux mains et Estelle sent aussitôt la présence du gland sur son anus, sans conviction elle dit :
- Non pas ça.
Il continue à pousser et un frisson parcourt le dos d’Estelle, il marque une pause et s’enfonce un peu plus.
Estelle sait que son sphincter va céder et elle se laisse faire.
Il l’embrasse dans le cou, le sexe à peine entré dans son trou et il lui murmure :
- Je vais vous sodomiser, chérie !
- Tu veux m’enculer ? Demande ingénument Estelle.
- Vous ne le voulez pas ?
Monsieur Gérard qui lui caresse les seins en même temps, le membre toujours à l’orée de son anus qui frémit sans qu’elle le veuille.
- Si je le veux et j’en ai très envie mais tu vas me faire mal.
- Ne me dites pas que c’est la première fois, votre rosette est bien ouverte et à certainement accueillit de nombreux membres.
- Tu penses que je suis une salope qui se fait enculer par n’importe qui ?
- Je n’ai pas dit cela mais je sais que vous aimé cette pratique.
Et sans plus il donne un coup de reins et s’enfonce dans le trou d’Estelle qui pousse un cri de surprise, il la sodomise ainsi un instant, puis se retire et lui dit :
- Allonge-toi sur le bureau et sur le dos !
Estelle s’allonge, les fesses au bord du bureau et il lui dit :
- Tiens tes jambes avec tes mains, et remonte bien tes genoux contre tes épaules.
Estelle offre ainsi à sa vue l’intégralité de son intimité, sa chatte bien ouverte et le trou du cul offert, elle mesure l’obscénité de la scène. Monsieur Gérard s’approche et dirige son gland bien lubrifié vers son anus, elle sent le gland sur sa rondelle.
Il rentre un peu, se retire et recommence pour rentrer tout son membre dans le cul d’Estelle qui hurle sous la pénétration, elle a un peu mal quand la queue pénètre jusqu’à la garde.
- Oui, ouvrez-vous, laissez-vous aller.
Monsieur Gérard reste un instant au fond d’elle sans bouger, puis commence les va-et-vient, très lentement. Et elle commence à ressentir du plaisir, au bout d’un temps qui lui parait une éternité, le souffle de son amant devient plus court et plus fort :
- Ohhh chérie, dit-il, tu me serres fort.
Ses coups de reins se font plus forts.
- Dites-moi que vous aimez quand vous encule.
- Oui j’aime que tu m’encules. Dit-elle.
Elle sent une chaleur qui vient en elle, elle comprend qu’il vient d’éjaculer et elle jouit en même temps en se sentant remplir.

Cette aventure a duré plusieurs années, pratiquement trois en se voyant au moins une fois par semaine quand Monsieur Gérard était là, Estelle rencontrait son amant l’après-midi dans sa villa, Monsieur Gérard lui fit faire des choses qu’elle n’aurait peut-être jamais osé accepter faire avec son mari, et avec lui elle connut un plaisir insoupçonné. Si les murs de la villa pouvaient parler, ils diraient le nombre d(orgasme qu’elle a pris et tous les cris et hurlements qu’elle a poussé dans la jouissance…
Il l’emmena dans des après-midis très particuliers où elle se livra à des séances de bondage et de soumission allant au-delà de ce qu’elle avait pu imaginer.
Monsieur Gérard prenait souvent Estelle alors qu’elle avait les jambes immobilisées par une barre d’écartement la mettant dans une position où elle se retrouvait les jambes grandes ouvertes ou il lui était impossible de bouger, ni même d’échapper, ainsi offerte elle ne pouvait dissimuler son intimité et alors il en profitait longuement.
Cet homme faisait hurler Estelle de plaisir à chacune de leur rencontre, elle ne saurait dire pourquoi elle acceptait de lui des choses qu’elle refusait toujours, comme une relation suivie alors qu’elle se l’était toujours refusée, porter un collier et être tenue en laisse quand Monsieur Gérard la préta à des amis lors de séances de soumission, certainement qu’avec cet homme, et sans jamais l’avoir aimé, tout était diffèrent.
Mais les moments passés et le plaisir prit avec Monsieur Gérard, ne l’ont à aucun moment empêché de continuer de faire l’amour avec son homme et de lui offrir tous ses orifices quand il le désirait, pas plus qu’elle n’a arrêté de l’accompagner dans les soirées privées et parfois spéciales pour donner et s’offrir à qui voulait d’elle, pas plus que de continuer ses relations extra-conjugales en ayant amants et amantes…
Comme quoi le plaisir et l’amour ne sont pas toujours associé…

A suivre…

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