Le Temps Du Renouveau Chapitre 4

Suite d’une aventure marquant mon retour ici, chez moi, et mon retour auprès des femmes. Comme souvent dans ma vie j’ai eu du grand vide et du trop plein, comme tout arrive en même temps ou comme tout part en même temps. Curieux aussi d’écrire sur ce que j’ai vécu post confinement et voir la situation actuelle se dégrader, et ses interactions sociales avec.

Nous avons longtemps conversé à ce sujet sur ce canapé, nus comme des vers et subissant sans souffrir des premières chaleurs. Quel rapport aux autres avons-nous développé pendant cette isolation e. Ayant vécu cela d’abord de loin car j’étais au Canada, d’abord isolé, au début de la crise, puis seul, rentré en France au mois de mai où j’ai poursuivi mon isolement. J’ai vécu cela de manière très angoissée comme beaucoup je pense, le manque de contact de toute nature avec autrui mais aussi la peur de perdre la possibilité d’un contact, et les rapports de séduction qui vont avec.

Nelly, elle, c’était un peu l’inverse. Eric et Nelly se sont proposés dés le début de leur relation de vivre leur sexualité ailleurs que dans leur couple sans poser aucun problème. Ce que je trouve remarquable de leur part, fait de manière honnête et transparente et situation que j’ai fantasmé toute ma vie sans réussir à la pratiquer vraiment. Mais en plus ils sont partageurs. Nelly me raconte que Eric fréquente une de ses meilleures amies, qu’ils couchent régulièrement ensemble tous les trois, et quand Nelly est absente, Eric raconte tout. Eric a aussi permis à Nelly de rencontrer ses amis, et dans chaque cas, chacun s’est assuré que les personnes extérieures avec qui ils vivent leur sexualité soit conviées dans leur intimité ce qui selon elle, permet qu’il n’y ait pas de problème d’abus ou encore de sentiments « vénéneux » (c’est son mot). Bon ok. La relation libre, c’est chouette, mais la vivre avec des proches, j’avoue que ça ne m’attire pas plus que ça, enfin c’est leur vie. Et puis revenons au confinement.

Bien sûr cette période les a fait décrocher de leur mode de vie de partage pour se retrouver seuls tous les deux, l’un avec l’autre et c’est tout. Et ça, Nelly a adoré. C’était difficile de se l’avouer mais ne coucher qu’avec Eric l’a beaucoup manqué, jusqu’à ce qu’elle ait envie d’arrêter cette pratique et de vivre exclusivement avec Eric. Ils baisaient quotidiennement, Eric en télétravail, Nelly s’adonnant à la masturbation, elle ne s’était jamais donné autant de plaisir seule alors qu’elle était en couple, et par ailleurs plus que satisfaite. Et Eric prenait un malin plaisir à la laisser seule jusqu’au moment ou il allait la rejoindre. Nelly a vécu un confinement sexuel, si bien qu’elle s’est mise à douter de sa santé mentale, se diagnostiquant accroc au plaisir sexuel. Mais ça ne l’inquiétait pas vraiment, elle jouissait plusieurs fois par jour et ce n’était pas donné à toutes les femmes.

J’avais presque peine à croire ce qu’elle me disait tant je l’enviais mais je me posais donc la question : que faisait-elle avec moi puisque le confinement avait changé la donne et l’avait fait prendre conscience que sa vie sexuelle suffisait avec Eric ?

L’approche du déconfinement avait fait renaître l’envie d’aventure et c’est Eric qui avait pris les devants et le soir du 11 mai, il avait appeler un couple d’amis et ils célébraient la liberté ce soir là, en baisant avec le partenaire de l’autre ici même, dans l’appartement d’Eric.

Eric et moi on se connait depuis longtemps et nous avons travaillé ensemble depuis longtemps, il fait de la production video et sonore et travaille à son compte. C’est un grand séducteur et un mec d’une grande gentillesse. Nous avons passé quelques temps à séduire et ramener des filles chez nous, nous avons vécu divers situations embarrassante de refus, de pannes sexuelles avec deux nanas pour une soirée à quatre (mémorable et je pense que je le raconterai un jour) et donc de baise qui n’aura jamais lieu, et je le connais donc intimement et réciproquement.


D’après Nelly, Eric savait que nous nous entendrions bien elle et moi et n’avait pas de doute sur le fait que je ne tiendrai pas longtemps avant d’agir. Et plusieurs questions se posaient : d’abord Nelly me demanda comment avais-je vécu la « trahison » puisque c’est bien ce dont je croyais être coupable ?

Vous avez la réponse : pas très bien et moi aussi j’ai parfois l’impression d’être malade vu comment je me laisse dirigé par ma bite. Et en même temps j’affectionne l’interdit et là j’étais servi, un mélange de désir, de plaisir mais de frustrations : voilà comment résumer les évènements de la veille.

Et de mon côté, comme je ne pouvais posé la question à Eric, je demandais à Nelly quel plaisir y avait-il chez eux de partager ça avec leurs amis. Nelly répondit pour elle, que de savoir Eric avec son amie l’excitait non seulement par le simple fait d’imaginer son homme « raide et surexcité » s’occupant de sa pote mais qu’en plus elle avait accès d’une certaine façon à l’intimité de son amie. C’est encore plus fort qu’avec une inconnue même si elle affectionne ça aussi. Et puis de passer du temps à baiser entre potes, c’est comme un hobbie, un amusement qu’on partage, c’est excitant et en plus on se lâche.

Je reconnaissais la façon de penser d’Eric. Vous ne serez pas étonné de m’entendre dire que ça me fascine cette configuration, que je les envie, que je la désir et que je comptais bien en profiter. Nous étions nu sur ce canapé à parler depuis un bon moment et l’envie s’est à nouveau manifesté, avec l’impossibilité de la dissimuler me concernant… Nelly me regarde, un instant de silence… Nelly écarte les cuisses doucement, pose la main sur sa chatte… doucement… et moi la mienne sur ma verge, lentement… puis les mots…

Nelly : Est-ce que tu te branle sur les photos de seins que tu as prise en voyage ? J’ai du mal à croire au pur désir artistique ?

Je souriais et je savais que j’allais devoir raconter l’histoire de ces photos… Je me levais pour poser mes genoux sur le canapé, elle se retournait doucement, se caressant la vulve… Me tournant le dos, nous avions le même désir…

Moi : Bien sûr que je me branle en regardant ces photos, tu les as vu, elles sont magnifiquement sexy…

Nelly : alors tu maquille ça en intention artistique alors que ce que tu cherche est purement masturbatoire…

Son ton saccadé par l’envie dissimulait mal une forme de provocation… Je plaçais mon gland sur sa chatte et enfonçais lentement ma queue et jusqu’au fond de son trou dans une inspiration chargé de plaisir, je me penchais, je prenais ses seins et la plaquait contre moi.
Je sentais son cul épouser la forme de mon bassin, mon torse épousant son dos…

Moi : L’art n’est pas incompatible avec le sex, il est même le résultat de mes pulsions…

Je reculais et lui enfonçais durement ma bite jusqu’à la garde… Elle gémissait cherchant à poursuivre la conversation…

Nelly : Ohhhhhhh… Ouuuffff… j’aimerai que tu m’en dise… plus…

J’embrassais sa nuque, ses épaules, écrasait ses seins dans ma main… Reculant lentmement et pilonnant avec force…

Moi : Hummm… toutes ses filles… j’ai adoré leur seins… je revois ses photos et je me rappelle de… ohhh… de chaque … moment… de chaque geste qui les ont amener à… ohh… se dévêtir pour moi…

Nelly : oohh ouiiii… vas-y…

J’accélérais progressivement…

Moi : Mais comme je ne les ai pas touché… c’est comme si le désir… que j’ai pour elles restent intact… ohhhhh… et éternel… tu vois…

Nelly se met à rire…

Nelly : hhmmfff… on ne m’a jamais baisé de façon si… intello…

Je la sentais décrocher un peu de la conversation, et surtout je sentais qu’elle ne croyait pas à mon histoire… Je me relevais et prenais sa tête en la tournant vers moi, et bloquais mon pieu au fond d’elle… et la regardant dans les yeux…

Moi : Nelly, je ne les ai pas baisé comme je suis en train de te baiser… Je ne les ai pas prise en levrette comme je suis en train de te prendre… Je ne leur ai pas défoncer la chatte comme je vais te la défoncer…

Je savais que ça ferait mouche… Elle avait un air sérieux et grave… Elle se demandait juste pourquoi… je le lisais dans son regard… Et la conversation devenait décousue et même impossible à tenir, j’étais si tendu et dur en elle qu’elle frissonait déjà tout comme moi… Je la lâchais et la laissais choir sur le canapé. Je la baisais ensuite si durement qu’elle enfouis son visage dans le coussin et se mis à crier dedans !

Je voyais son cul rebondir contre mon corps, ma grosse queue s’introduire et s’extraire de son sexe et mes mains maintenir ce cul, le sentir dans mes paumes chaud et moite.
Je la baisais sans retenu et sans fléchir, l’envie de jouir était encore loin et mon érection implacable, une tension continue dans mon sexe maintenait écartées son vagin dont j’obstruais l’espace de toute ma largeur…

Je sortis mon sexe … je la regardais de haut… Elle était transpirante, à ma merci, son cul superbement offert et bombé…

Moi : Je ne les ai pas enculé comme je vais t’enculer…

Je l’ai entendu chuchoter « oh putain… », je posais mon gland sur son anus et je poussais pour qu’elle s’ouvre, j’ai vu ses doigts commencer à se faire vibrer le clitoris pendant que mon gland disparaissait dans son cul… Elle à poussé un long cri crescendo « ooooooOOOOOOOOOHHHHHHHH… » c’était long et pleintif, je m’enfonçait toujours et arrivé à la moitié, je ne savais plus si elle avait mal ou si elle voulais plus… Je m’arrêtais et reculais quand uhn nouveau gémissement se fit entendre…

Nelly : « Ohhh putaiiiinnnn vas-y c’est booonnnn »

J’enfonçais alors ma poutre… jusqu’à la garde…

Je la sentais serrée… ma queue pulsait, je pouvais sentir les battements de mon coeur en elle et dans ma bite. J’avais l’impression de gonfler et de gonfler encore… Je crachais plusieurs fois sur mon sexe. Elle s’est mise à jouir en se masturbant, je la sodomisais lentement et je n’ai jamais accélérer, jamais je n’ai pu trouver ce moment ou son anus aurait été suffisamment dilaté… Son corps tremblait, ma bite rigide subissait des torsades presque douloureuses et je me dégageais pendant son orgasme, non sans mal de son emprise.

Je me branlais sur son cul qui dansait, mais ce n’était pas encore le moment.

Elle gémissait de moins en moins fort, sa peau offrait ses plus beaux hérissements et elle se caressait tout le corps, passant sur ses seins, puis ses hanches, ses fesses, elle enfonçait deux doigts… et surprise se retourna, les doigts dans l’anus…

Nelly : « Tu n’as pas jouit ? »

Moi : " Non"

Nelly : « Mais tu le fait exprès »

Moi : « J’ai pas envie de jouir… tu vas pas m’engueuler ?! »

Nelly : « Tu viens de baiser le plus cul de la région et tu n’as pas envie de jouir… finalement je te crois avec tes photos de seins… »

Je me rassis au fond du canapé, à la fois hilare et dépité. Elle avait effectivement un très beau cul dont je n’ignorais rien du privilège qu’il m’était donné de pénétrer. Et c’est là tout son charme, cette assurance… et en même temps son défaut, sa verve un peu crue et directe…

Nelly : « Mec, je vais pas te sucer là, tu sors de mon cul ! »

J’aime entendre parler crument et en même temps j’étais agacé de la voir briser l’instant. Après tout je pouvais décider si j’avais envie de jouir ou non. Mais cette façon de parler témoignait qu’elle en avait eu pour son compte et que quelque part c’était terminé. Mon érection était en train de faiblir…

Pendant qu’elle se retournait doucement, assise en face de moi je lui dis :

Moi : « Tu sais avec ces filles que j’ai photographier demi nue, je me suis fabriqué des souvenirs, les photos c’est juste l’instant mais tout le reste, c’est dans ma mémoire, et en ne les touchant pas, en m’infligeant cette frustration, j’ai rendu mon désir pour elle impossible à assouvir et donc impossible à effacer… J’ai longtemps chercher ces sensations… Le désir, pas le plaisir, pas la séduction, le désir pur »

Comme je me flétrissais et qu’elle voyait que je ne la désirais plus, elle se leva et alla à la salle de bain encore une fois…

Je sentais que le courant était fluctuant entre nous… En même temps son corps sublime me faisait monté la fièvre, en même temps son caractère très brut déclenchait des malaises, quelque chose d’indescriptible que je ne maitrisais pas. Mais ce n’était pas grave. J’éprouver du plaisir à la baiser, et je ne lui en tenais aucunement rigueur d’avoir des désirs pareils à des courants contraire. Et elle ne s’arrêtera pas de me surprendre quand elle revient avec un gand chaud et humide.

S’installant entre mes jambes, elle passa le gand sur la queue pour lui donner une divine toilette… Puis elle me suça tendrement la queue qui finit par se tendre émue, fière et dressée… Puis me guidant , m’allongeant sur le dos, m’enjambant, elle pris ma bite entre ses doigts, me masturbant et la collant entre ses jambes, effectuant une masturbation de ses doigts et de sa vulves… J’ai éjaculé giclant sous ses yeux et sur mon torse grâce à ses doigts et son charme atomique…

Nelly : « Celui qui voit mes seins nus est obligé de jouir… »

Fière de ses seins… à raison…

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