Toute Première Fois (2)
Lorsque nous revînmes en France, je métais secrètement promis de poursuivre cette folle expérience. Mon travail mobligeant parfois à me déplacer, il fut décidé, in petto, que je madonnerais en ces occasions à mes plaisirs coupables. Le reste du temps, je tâcherais de me débrouiller en trouvant des compensations. Un soir, tandis que tout le monde dormait dans la maisonnée, je me rendis sur une aire dautoroute, située à environ trente minutes de chez moi. Cela faisait un bon mois que je navais pas déchargé autrement que dans un mouchoir et, ce soir-là, jétais passablement excité, dévoré par une irrépressible envie de me faire prendre sauvagement loignon. Nous étions presquau début de lété et il faisait très bon dehors. Je mhabillais léger : débardeur, short et claquettes en bois.
Arrivé sur le vaste parking, je sortis de la voiture et commençais à arpenter les longues allées de stationnement où salignaient dinterminables files de camions. Je ne fus pas long à être remarqué par un de ces chauffeurs en rut. Celui qui maccosta était imposant, affublé dune barbe fournie quon devinait de couleur rousse dans la nuit. Le type était plus quentreprenant ; il exhibait déjà sa grosse queue qui bandait ferme. Ny tenant plus, les présentations à peine faites, je mélançais sur ce chibre qui semblait attendre mes caresses les plus vicieuses. Putain que cétait bon ! Je pompais et suçais avec avidité, triturant les couilles, tirant sur le nud, aspirant le gland. Tout cela au clair de lune. Le camionneur était adossé à son camion et moi, à genoux, madonnais aux délices coquins de la fellation. Je bandais comme un âne sous mon short (je ne portais évidemment aucun slip ni boxer dessous). Je minterrompais parfois pour branler vigoureusement cet amant providentiel qui bavait de contentement en me jetant des regards lubriques et pervers. Puis je lembouchais à nouveau et repassais ma langue sur son gland épais dont le méat laissait perler quelques gouttes de précum salé.
Le mec me remercia à peine quil était déjà remonté derrière son volant. Il tira le rideau de sa cabine et
plus rien. Il allait sendormir, les burnes vidées par la bonne pipe que je venais de lui faire, pendant que moi, je restais sur ma faim, la queue en érection et une furieuse envie de me faire démonter le cul. « Eh, mec ! Psst ! » Je me retournais et vis un autre type, bien plus jeune, celui-là, et divinement beau. Il était en débardeur-jean, impeccablement sculpté et des bras tatoués.
- Je jai vu en train de sucer mon collègue. Tu mas donné la trique. Jai envie de te la foutre dans ton petit cul, ça te dirait ?
- Oh oui alors !, mexclamais-je, quasiment extatique, en déboutonnant mon short.
Le « bogosse » savança vers moi. Je me retournai et lui présentai mon postérieur.
Il mentraîna rapidement vers larrière dun camion où je pouvais maccouder. Jen perdis une de mes sandales. Trop tard, on verrait après. Je nattendais que ça. Jécartais les jambes et me cambrais au maximum. Lautre me versa de lhuile ou de la vaseline entre les fesses, ajusta son gland contre ma rosette et poussa sans ménagement au fond de mes boyaux. Je geignais de douleur sous cette virile avancée, mais, tellement heureux de me faire saillir par un beau mâle, qui plus est bien membré, jen oubliais bien vite ce désagrément passager pour me concentrer exclusivement sur la recherche de mon plaisir. Je voulais jouir du cul et procurer à mon amant une égale satisfaction.
- Ah putain, que cest bon ! Tarrête pas ! Baise-moi à fond !, lexhortais-je, complètement hors de moi, tandis que jéjaculais.
La supplique était vaine, car il déchargea si violemment en moi quil me fit décoller du sol (lautre sandale se décrocha de mon pied) à chaque coup de bite, donnant limpression que mon cul était tout entier vissé au bas-ventre de mon niqueur. Il me défonçait avec hargne, espérant ne pas débander et prolonger nos ébats.
Mais il finît par senlever de moi en disant : « putain, cétait trop bon de tenculer. Ton cul est bien serré comme je les aime. Ça fait pas longtemps que tu tes fait dépuceler, hein mon salaud ! En tout cas, on voit que tu aimes la queue. »
Essoufflé, je répondis que je métais fait déflorer par un masseur turc en Grèce.
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