Ma Première Sortie En Club

Bonjour, je m’appelle Vanessa, vingt six ans, et, d’après mes amis, pas mal gaulée. Je suis mariée depuis deux ans, à Ludovic, vingt huit ans, très beau gosse lui aussi.
Souvent, le week-end, nous dînons avec Enzo et Clara, un jeune couple italien, très bien également. Nous nous connaissons depuis le lycée.
Au cours du repas, nous époux évoquent souvent les soirées en club échangistes. Mais sans aller plus loin. Clara me demande ce que j’en pense, et lui répond qu’il est hors de question, que d’autres mains que celles de mon mari, caressent mon corps, et encore moins, qu’une autre queue que la sienne, pénètre ma chatte.
Si, j’ai trompé mon mari, c’était avant le mariage.

Après un repas, assez arrosé, nous allons finir la soirée, dans un club branché de la ville.
Il y a une partie casino, et une partie boite.
Pendant que nos époux jouent à la roulette, Clara et moi, nous défoulons sur la piste de danse.
Après environ une heure, nos maris viennent nous dire qu’ils rentraient, que demain ils devaient se lever tôt.
Effectivement, ils avaient prévus une journée pêche.
Je demande à Clara si on doit rentrer avec eux. Elle me propose de rester, et de profiter pleinement de la soirée. Sur ce, nos maris nous embrassent, et nous recommande, la plus grande prudence.
Nous voila célibataire.

Après une danse effrénée, nous allons au bar nous désaltérer. Au moment de régler, le barman nous dit, que c’est offert par un gars, installé au coin du bar.
Je me retourne, et découvre un groupe de jeunes, dont un lève son verre, pour trinquer à distance.
Bien évidemment, nous ignorons ces inconnus.
La danse suivante, je sens des mains me prendre par la taille. Après un léger sursaut, je parvient à me dégager, en faisant remarquer à l’intrus, que je ne suis pas libre, et qu’il est inutile d’insister.

Je m’aperçois que Clara aussi, subit le même traitement.

Sauf qu’elle le prend avec le sourire, s’approche de moi.

-On va l’avoir nôtre soirée échangiste, murmure-elle.

Je prends ça pour une plaisanterie.
Quand on retourne au bar, les trois inconnus viennent nous accoster. Là, de près, je tes trouve assez séduisant. Surtout un, que je reconnais.
Il s’appelle Djamel, un jeune beur. C’est le salaud qui m’a baisée toute la nuit, quand j’ai enterré ma vie de jeune fille. A voir son sourire, lui aussi m’a reconnu.
Je me souviens de cette nuit torride passée avec lui. Je m’étais offerte totalement. Il avait su tiré profil de mon corps, me faisant jouir à plusieurs reprises. Je n’ai plus jamais connu pareille relation physique, même pour ma nuit de noces, qui pourtant, fut exceptionnelle.

Je suis tirée de mes pensées, quand le DJ annonce une série de slows. Bien sur, Djamel se précipite pour m’inviter. J’hésite, mais pour ne pas passer pour une conne, j’accepte. Aussitôt, il me prend par la taille, tandis que je pose mes mains sur ses épaules. Lentement, il se colle à ma joue, me murmure à l’oreille.

-Tu te souviens de la première pipe que tu as taillé.
-Heu...c’est pas mon mari le premier, si c’est ce que tu veux savoir.
-Tu avais tout avalé cette nuit là...en avais redemandé.
-Arrêtes salaud...laisse moi. J’ai oublié tout ça, je suis mariée, maintenant, et fidèle.
-Ta copine aussi est mariée, pourtant, tu as vu comme elle s’amuse. Elle profite de la vie elle.

En effet, en tournant la tête, je vois Clara pendue au cou d’un homme. Elle l’embrasse à pleine bouche. Puis le couple disparaît dans un salon, attenant à la piste de danse. Elle me fait signe de la suivre. Djamel me prend par la teille, pour m’accompagner.
Le salon est jonché de luxueux matelas rouge.
Sur la droite, quatre à cinq couples, avec des masques baroques, se mélangent. Certainement des habitués, qui échangent leurs femmes. Des couples, à moitié nus, s’enlacent, Tout près, une femme est au prise avec deux mecs.

Djamel ne me lâche pas. Il me prend par la taille, remonte sur mes seins. Je sens les bouts durcir, sous mon chemisier. Il défait les boutons, un à un, les libère, les caresse.
Je sens des mains faire glisser ma robe et mon string. C’est Clara. Je me retrouve nue, au milieu d’inconnus.

-Allez ma chérie, souffle Clara, détends toi, amuses toi.
-Rentrons...s’il te plaît.

Elle n’entend pas mon appel, couvert par le bruit. Je suis prise dans la tourmente.
Une main caresse mes fesses, des doigts s’insinuent entre ma raie, jusqu’à ma chatte. Un doigt la pénètre.
Je me retourne, et me trouve face à un homme d’un certain âge. Il me prend les lèvres, tout en m’entraînant sur le matelas. Je me laisse faire, ne résiste pas. Il est couché sur le côté, me dévisage en souriant. Il caresse mes seins, mon ventre, ma chatte, y enfonce deux doigts, excite mon clitoris. Je ne lui répond même pas, quand il me fait remarquer que ma chatte est toute mouillée. Puis il m’embrasse par tout le corps, arrive entre mes cuisses. Il enfouit son visage, lèche ma fente. Je suis entièrement écartée, offerte à un inconnu. Il roule sur moi. Je sens sa queue en érection entre mes jambes. D’une légère pression, il me pénètre. Je subit plus que j’approuve, mais petit à petit, le désir prend le dessus. Je commence à bouger, à gémir, jusqu’à atteindre l’orgasme. Je lui prend la tête et me colle à ses lèvres. L’inconnu se retire, me donne un baiser, et va voir ailleurs.
Autour de moi, ce n’est qu’orgie.
Les femmes taillent des pipes à des hommes, qui ne sont certainement pas leur mari, avalent leur sperme sans complexe. D’autres se font enculer, se bouffent la chatte entre elles. Ce n’est que gémissements, cris, émis majoritairement par des femmes qui jouissent.
Je prend goût à cette partie. J’ai repéré une bite disponible. Je m’avance à quatre pattes vers elle. Elle est colossale. Je me penche, excite le gland décalotté, l’aspire goulûment.
J’entame une lente fellation sur cette queue qui remplit amplement ma bouche. Au même moment, je sens une langue lécher mon bouton, puis une main caresser ma chatte. La caresse est précise, me donne des frissons dans tout le corps. C’est clair que ce sont des doigts d’experts. La bouche pleine, je me cambre en hurlant de plaisir quand les doigts vicieux me font jouir. Sans avertir, mon paetenaire vide ses couilles dans ma bouche...puis se retire.
Je me retourne, cherche celui qui m’a donné tant de plaisir en me branlant. Je m’aperçois que ce n’est pas un homme, mais une femme masquée, qui fait partie certainement du groupe de queutards. Elle est là, face à moi, le téléphone à la main. Lentement, elle ôte son masque. Et là, c’est le choc. Cette femme, c’est Leila, une jeune stagiaire marocaine, avec qui j’ai eu une violente altercation au bureau, dans la semaine. Elle avait juré de me le faire payer. D’un sourire vainqueur, elle me fait un doigt d’honneur.
Je raconte ma mésaventure à Clara, qui n’est autre que la responsable de Leila. Je lui dit que, ce qui m’inquiète, c’est qu’elle a pris des photos, filmé peut être, et que je ne voudrais pas que ça remonte jusqu’à mon mari.

Clara me rassure, en me disant que dès lundi, elle la convoquerait dans son bureau.
Je cherche refuge auprès de Djamel. Voyant ma détresse, il vient s’allonger à mes côté. A peine installé, une femme s’accroupit entre ses jambes, et commence à lui sucer le zob, tandis qu’un homme tombe à genoux entre mes jambes. Même si le cœur n’y est plus, je fais un effort, et le laisse me bouffer la chatte. Même si je n’atteins pas l’orgasme, je trouve ça très agréable.
Djamel tend un bras, me caresse un sein. Il s’approche, me murmure à l’oreille.

-J’ai envie de toi.
-Moi aussi !!!
-On se voit après...chez moi, comme il y a deux ans.
-Pourquoi ne pas y aller maintenant.

Je cherche Clara pour lui dire que je pars avec Djamel. Je la vois, en train de se faire prendre en levrette par un mec qui pourrait être son père, tandis qu’elle en suce un autre.
On parvient quand même à communiquer. Malgré sa position, je lui donne un baiser, suce au passage le gland du mec, et nous promettons de nous couvrir.

La nuit chez Djamel est torride...quel amant. J’ai eu droit à tout. Il m’a baisée, sodomisée, je l’ai sucé...la totale. Comme pour mon enterrement de jeune fille, que je n’ai pas oublié.
On est resté au lit, jusqu’au dimanche après midi, à faire l’amour. Sur beaucoup de points, il est encore passé avant mon mari, comme déflorer mon petit trou.
Bien évidemment, on a prévu de se revoir.
Quand je suis arrivé chez moi, mon mari était rentré. Je lui dit qu’on avait un peu bu, et préféré dormir chez Clara. Il approuve ma décision.
Je vais à la salle de bain, me glisse dans la baignoire. Malgré moi, je repense aux doigts de Leila, qui m’ont donnés tant de plaisir. Mais j’ai surtout encore le corps habité par la grosse queue de Djamel. Je me surprend même à me caresser, en pensant à lui.

Le lundi, je ne suis pas allé pas au bureau. La peur d’affronter certains regard sans doute. Ce qui ne m’empêche pas d’envoyer un message à Clara.

«Ma chérie, je ne viendrais pas travailler aujourd’hui. Est-ce que tu as pu régler le problème avec Leila.»
«Oui, elle a effacé le film devant moi...ben dis dont, tu le bougeais ton cul quand elle suçait ton petit bouton, et comme tu couinais quand elle te branlait la chatte. Franchement, elle t’a mis le compte...elle s’est vengée.»
«Mon dieu...comment as-tu pu obtenir tous ça.»
«Elle m’a demandé de passer chez elle, dimanche. Et d’une chose à l’autre, j’ai fini dans son lit. Si tu savais comme cette vicieuse s’est amusée avec moi. Je comprends que tu n’es pas pu résister...elle sait y faire avec les femmes. Elle m’a fait jouir tout l’après-midi. J’en finissait pas de crier de plaisir...»
«Oh mon dieu, je m’en veux de t’avoir infligé tous ça.»
«T’as pas à t’en vouloir ma chérie, au contraire. Leila m’a demandé de passer la voir de temps en temps. J’ai de suite accepté. D’ailleurs, je te réponds de son lit. Elle est entrain de s’amuser avec ma petite chatte. J’espère qu’un jour, on aura l’occasion de coucher ensemble... Leila serai prête à participer...Elle a pris du plaisir à te faire jouir, Allez, bisous ma chérie, je t’aime...Leila aussi t’embrasse, sur ta petite chatte. Et n’oublie pas, on se couvre.»
Je suis toute surprise par les propos de Clara. Mais je dois avouer qu’après le plaisir que m’a procuré Leila, une relation avec ma copine, me paraît intéressante. Quant à me soumettre à Leila, après ce qu’elle m’a fait subir...faut voir.




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