Bruno Et Virginie

Bonjour c’est Bob ! Je reviens vers vous pour vous raconter du nouveau après quelques mois d’absence. Voilà l’histoire : Il y a quelques mois, j’avais lancé par un récit sur Hds une invitation, sans trop y croire, à Nono, le fameux Bruno qui baisa ma femme pour la première fois et qui surtout lui fit découvrir la sodomie. C’était un récit et une époque mémorable surtout. L’histoire se passait bien avant que j’en fasse le récit. Aujourd’hui, je ne suis plus avec Virginie mais cela n’est pas grave. Ce ne sont pas les filles qui manquent sur Terre.

Bref, je lance l’invitation, discrètement sur le site, puis rien. Pas même un gars qui aurait pu se faire passer pour lui en me faisant croire que c’est lui, dans le seul but d’approcher ma meuf. Non rien ! Jusqu’à il y a quelques jours seulement où je fus vraiment surpris par la réception dans ma boite d’un mail vraiment étrange. Le message disait :

« Mec, je connais bien ta meuf. Elle s’appelle bien Virginie. Signé Bruno »

J’ai vraiment cru à un canular au début, me disant « encore un mytho qui veut se faire mousser » puis il y avait une pièce jointe, une photo sur laquelle j’ai cliquée pour l’ouvrir ; et là ôh ma surprise ! c’était une photo de Virginie que je n’avais jamais vu avant, une photo inédite mais pas très récente car on voyait bien qu’elle était plus jeune qu’aujourd’hui sur la photo. Puis, elle était au volant d’une voiture, elle regardait l’objectif du photographe et là je me suis dit :

« Ce n’est pas possible. C’est elle. C’est bien elle »

Après coup, je me suis demandé qui a bien pu prendre cette photo et quand. Puis j’ai repensé au contenu du message :

« Mec, je connais bien ta meuf. Elle s’appelle bien Virginie. Signé Bruno »

Là, je me suis dit que ce n’était pas possible et pourtant si, tout paraissait vrai.

- « Mon dieu, me dis-je, ce n’est pas vrai ? c’est vraiment lui qui m’écrit ? »

Je voulais en avoir le cœur net et sitôt après réflexions je m’empressai de répondre au mail.


En revoyant la photo, je me suis dit que ce ne pouvait être que Nono qui ai pris la photo et que cela l’avait du l’être lors de l’une de ses fameuses heures de conduite. Nono était un gars musclé, d’après Virginie, costaud, beau gosse, dans la trentaine à l’époque. Je crois même, avoir pris une heure de conduite avec lui car ma chérie et moi prenions à l’époque nos heures de conduite dans la même agence. Elle le samedi, moi en semaine.

Dans mon message adressé à Bruno, j’ai commencé à écrire ceci :

« Bonjour, je suis Bob… » puis je vis que l’homme avait laissé un numéro de téléphone et je me sentais con à écrire des banalités alors j’ai appelé Bruno et je lui ai dit :
- Allo ? Bruno ?
- Oui.
Le gars avait une voix forte et robuste.
- C’est Bob, l’ex-copain de Virginie, la voiture, l’auto-école…
- Bob ? Oui je vois bien qui est Virginie. J’étais sûr que tu m’appellerais.

Pendant près d’une heure nous parlions comme ça, finalement, du passé, de Virginie, de nos vies etc. Au final, nous décidâmes de nous rencontrer autour d’un verre. Je proposais à Bruno de venir chez moi et c’est ainsi que nous nous rencontrâmes pour la première fois ou presque.

En arrivant, je reconnus aussitôt l’homme que j’avais rencontré une fois en cours de conduite. C’était bien lui. Il était seulement un peu plus vieux et avait désormais les cheveux un peu grisonnants. Il était encore vigoureux et plein de verve.

Dans le salon, Bruno me demanda si je vivais toujours avec Virginie. Je lui avais dit que non au téléphone, et que finalement entre elle et moi tout était fini. Bruno acquiesça comme un vieil habitué des femmes. Je lui demandais s’il avait une femme dans sa vie. Il m’avoua préférer multiplier les conquêtes que de s’attacher à une femme. C’était son choix de vie. Je le respecte.

Dans la foulée, Bruno me sortit une nouvelle photo de Virginie. L’homme s’était assuré de ma réaction en contemplant tout mes faits et gestes.
En prenant la photo dans mes mains, je vis Virginie nue au volant de la voiture. Mon sang ne fit qu’un tour et je laissai échapper un « la salope ! » de ma bouche.
Nono souriait avec satisfaction et était content de l’effet que la photo faisait sur moi. A ma surprise, je me mis à bander tout de suite. Virginie, en fait, n’était pas véritablement nue sur la photo. Elle était assise dans la voiture les mains sous le volant ou sur ses jambes et surtout elle avait tout le buste dénudé, les seins nues, les bretelles de sa robe bien retombés sur ses bras et aucun soutien-gorge à l’horizon. Elle regardait avec sourire le photographe.

Ses seins avaient la forme de poires. A les regarder, je me tordais d’excitation dans mon futal.
- « C’est toi qui as pris la photo ? » demandais-je à Nono.
- « Oui, c’est moi. Qui veux-tu que ce soit ? »
- « Elle est belle ! » ajoutai-je.
- « Baisable, tu veux dire ? » ajouta Nono.

L’homme avait une assurance extraordinaire si bien que j’en suis venu à me demander s’il ne jouait pas un peu avec moi. Je sentais qu’il voulait me provoquer un peu mais non au final ce n’était qu’une simple discussion entre potes, même si je l’accorde la discussion fut très particulière.

J’ai demandé à Nono ensuite si elle portait un soutien-gorge ce jour. L’homme me dit effectivement que non, qu’elle était venue comme ça, sans soutif, avec seulement sa robe par-dessus-elle. Nono m’avoua se souvenir particulièrement de ça car, me disait-il, c’était la première fois qu’il vit cela dans sa carrière de moniteur d’auto-école. Il m’avoua qu’il avait rarement vu de filles aussi chaudes que ma Virginie, pimpante rayonnante toujours prête à rire et plus si affinités. L’homme avait bien expérimenté ma meuf, pour sûr.

Après cela, j’ai demandé à Nono encore, s’il avait d’autres photos, elle en train de le sucer par exemple. L’homme m’a juré que non mais je connais le loustic. Je sais qu’il est capable de ne pas tout me dire juste pour me faire marcher ou languir.
Peu après, il me tendit une autre photo : là mon sang ne fit qu’un tour une seconde fois et j’ai même recraché sur le coup la gorgée d’alcool que je buvais à l’instant même ou Bruno me tendit la photo.

En la regardant, je n’en cru pas mes yeux : je vis ma belle, Virginie, à genoux et accroupie devant la queue de Bruno dans le petit espace où le passager à côté du conducteur place ses jambes. Virginie avait la queue de Bruno dans sa main. L’homme était assis côté passager et avait les jambes bien écartées, ma belle au milieu. Virginie ne le suçait pas mais avait la queue devant son visage et elle souriait au photographe qui n’était autre que Nono.

- « Quelle chienne ! » disais-je
Bruno était satisfait de l’effet que cela fit sur moi. Moi, je regardais ma belle et ne pouvait m’empêcher de la trouver belle : son sourire, sa bouche, ses cheveux, ses yeux. Tout en elle était beau et merveilleusement beau. Mieux que ça : je me découvrais du plaisir à la voir, une queue dans la main, près de son visage. Elle était rayonnante, elle était douce, elle était belle.

En regardant la photo, je vis que Virginie à l’époque ne m’avait pas raconté d’histoire en me disant que le sexe de Nono était plus court mais plus épais que le mien. Nono ne savait pas à l’époque que Virginie me disait tout (ou presque tout !). Je n’avais, non plus, jamais vu sa queue en vrai ; et c’était là, la première fois que je la voyais en photo. J’ai cru que je pouvais être gêné de voir ça mais même pas. Puis j’avais déjà, depuis, fait plusieurs trios avec ma belle. De l’eau avait coulé sous les ponts pour ne pas dire autre chose que les uns aussi coquins que moi comprendront.

Nono me demanda si j’étais toujours en contact avec elle bien que n’étant plus ensemble. Je lui dis que non et qu’après notre séparation, elle quitta la région pour s’installer au Havre où elle avait trouvé un petit boulot de serveuse. Nono me dit que c’est bien dommage et qu’il n’aurait pas été contre un petit trio elle lui et moi.
C’est de là que je lui ai demandé s’il n’y avait jamais pensé à l’époque. Je lui ai dit : « tu aurais très bien pu la prendre en trio, dans la voiture de l’auto-école, avec un pote »

Nono m’avoua ne pas y avoir pensé à l’époque, puis, qu’il n’avait pas vu les deux mois passés avec elle à baiser presque tous les samedis matin pendant les deux heures de conduite qu’il avait avec elle.

- « Malin, lui dis-je. Résultat, elle a raté son permis »

Bruno et moi, nous nous mîmes à rire même si cela n’était pas si pas drôle. Ma belle eut réussi finalement son permis du deuxième coup et sans coucher cette fois-ci.

La soirée passa vite. On s’est quitté, amis, en se promettant de se revoir et de regarder contact au cas où.

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